Le Journal dde.crisis de Philippe Grasset, qui a commencé le 11 septembre 2015 avec la nouvelle formule de dedefensa.org, l’accompagne et la commente en même temps qu’il tient la fonction d’être effectivement un “Journal” pour l’éditeur et directeur de la rédaction de ce site.
Certes, ces lignes sont écrites alors que dedefensa.org-nouvelle version (New Age, si vous voulez) est toujours en radoub, encore interdit de vision à ses lecteurs. Elles n’en expriment pas moins l’annonce de ce qu’il faut espérer être un élément nouveau important de la pérennité du site : ce Journal dde.crisis dont ce texte sonne le premier jour de son existence, – un 11-septembre, comme cela été proclamé (voir le 19 août 2015), en même temps qu’il salue la nouvelle formule du site. (J’en profite, cela s’impose, pour rendre grâce à Sébastien Beuken pour son travail, pour son inspiration, pour sa capacité à trouver ce qu’il faut de “modernisation” nécessaire en évitant le piège de la modernité complète dont il sait bien l’horreur où dedefensa.org la tient, – je veux dire où dde.org tient la modernité... Bref, il fait du beau travail.)
Ce petit mot du principal protagoniste de la chose est aussi pour préciser les plus importantes modalités de cette nouvelle aventure buissonnière de dedefensa.org. Chaque fin de semaine (à partir du 19 septembre), en page d’accueil, dans le cadre du Journal dde.crisis de Philippe Grasset, on trouvera un texte décrivant les principales tendances de la semaine qui vient de s’écouler, telle que perçue par dde.org, notamment au travers de certains de ses articles mis en ligne pendant la période. Cela constituera un texte à part, qui restera affiché tout au long de la semaine, jusqu’à être remplacé par le suivant de la semaine écoulée, – comme Lapalisse lui-même n’aurait su dire mieux, aussi tranchant je veux dire. Le reste sera fait d’interventions de PhG soi-même, c’est-à-dire moi-même il faut bien le révéler, qui porteront sur autant de choses qu’il y a de sujets intéressants dans le monde, qui constitueront un peu mon “école buissonnière”, car l’on est élève à tout âge, et l’on continue toujours à apprendre, toujours et encore, avec le goût de faire part aux autres de ses étonnements, de ses passions, de ses réflexions, jusqu’au bout, sans désemparer.
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