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Le piège à ...

Article lié : Le printemps espagnol

Morbihan

  26/05/2011

Cela fait des années que nos “élites” , qu’elles soient de droite comme de gauche (voyez les dépenses de DSK, et des autres…), utilisent les masses populaires comme moyen de pression sur les classes moyennes, au comportement individualiste et, donc, n’ayant pas organisé de moyens de se défendre. Rien de nouveau là, sauf que maintenant, sous prétexte de mondialisation, ce sont les masses pauvres des pays en voie de développement qui servent de moyen de pression. Et les classes dites moyennes se paupérisent à vue d’oeil. Elles finiront par rejoindre “les moyens de pression”.
Gauche. Droite. Les discours changent. Pas les actes. Et les extrêmes rêvent trop de prendre leur place.
La solution, selon moi, passe par une prise collective de conscience. Et, pour y arriver, il faudrait d’abord mettre fin à la désinformation, bien entretenue par les media. Bon courage.

Une pensée pour vous ...

Article lié : A Margot, pour qu’elle repose en paix

A.G.

  26/05/2011

.

Realiste

Article lié : Le printemps espagnol

Fabrice

  26/05/2011

Ce me semble pourtant une analyse réaliste. En quoi le fait de s’indigner ou de donner des bons et mauvais points à tels ou tels mouvements ferait avancer le Schmilblik?

Le congrès US debout, c'est à dire couché, devant Netanyahou

Article lié : Le Rafale et l’axe (accidentel) Inde-Libye

pierre

  26/05/2011

Par Uri Avnery, Gush Shalom, 26 mai 2011

C’était un spectacle peu ragoûtant.

On a vu les membres de la plus haute chambre parlementaire de la seule superpuissance du monde, comme autant de yo-yos, se lever, se rassoir, se relever encore, et applaudir frénétiquement à chaque instant, pour saluer les plus scandaleux mensonges et approximations débités par M. Benyamin Nétanyahou.

C’était pire que le parlement syrien lors d’un discours de Bashar Assad, où quiconque n’applaudissant pas se retrouverait en prison. Ou encore le Soviet suprême de Staline, où la moindre insuffisance de respect manifeste aurait signifié un arrêt de mort.

Ce que craignaient les sénateurs américains et les membres du Congrès, c’est un sort pire que la mort. Celui qui serait resté assis ou n’aurait pas furieusement applaudi aurait pu être pris en faute par les caméras - ce qui équivaudrait à un suicide politique. Il suffisait qu’un seul membre du Congrès se lève pour applaudir, et tous les autres se devaient de l’imiter. Qui aurait osé s’abstenir ?

La vue de ces centaines de parlementaires bondissant, frappant des mains, encore et encore et encore et encore, face à un « Leader » exprimant sa reconnaissance d’un geste de la main, ramenait à la mémoire le souvenir d’autres régimes. A ceci près qu’en l’occurrence, ce n’était pas le dictateur du cru qui obligeait à cette adulation, mais celui d’une nation étrangère.

Le plus déprimant, dans tout ceci, c’est que pas un seul élu - républicain ou démocrate - n’ait osé résister. En Allemagne, alors jeune garçon de 9 ans, j’ai osé laisser mon bras droit inerte le long de mon corps lorsque tous mes camarades de classe levaient le leur, effectuant le salut nazi et chantant l’hymne hitlérien. N’y a-t-il donc personne à Washington qui ait ce courage élémentaire ? Washington est-elle réellement un TOI - un Territoires Occupé par Israël - comme l’affirment les antisémites ?

Voila plusieurs années, je me suis rendu au Sénat américain et ai rencontré plusieurs sénateurs, parmi les plus importants à l’époque. Le choc ressenti fut profond. Elevé dans un grand respect pour le Sénat des États-Unis, le pays de Jefferson et de Lincoln, j’ai alors été confronté à des individus suffisants, dont nombre étaient de vrais idiots, n’ayant pas la moindre idée de ce dont ils parlaient. On m’avait alors expliqué que c’était leurs conseillers qui avaient une vraie connaissance des sujets.

Mais qu’a donc déclaré ce grand homme à cette auguste assemblée ?

C’était un discours de belle facture, utilisant tous les tours habituels de l’exercice - la pause dramatique, le doigt levé, les petites plaisanteries, les phrases répétées pour produire de l’effet. Ce n’était en aucune façon le discours d’un grand orateur - pas de Winston Churchill, ici - mais suffisamment bon pour ce public-là, en cette occasion.

Le message délivré pourrait se résumer par un seul mot : Non

Après leur désastreuse débâcle de 1967, les dirigeants du monde arabe se sont réunis à Khartoum et ont adopté les trois fameux non : Pas de reconnaissance d’Israël, pas de négociation avec Israël, pas de paix avec Israël. C’était exactement ce que les dirigeants israéliens souhaitaient. Cela leur permettait de poursuivre joyeusement leurs projets de consolidation de l’occupation et la construction de colonies.

C’est au tour aujourd’hui de Netanyahu de vivre son Khartoum. NON au retour aux frontières de 1967. NON à une capitale palestinienne à Jérusalem-Est. NON au retour, même symbolique, de quelques réfugiés. NON au retrait de l’armée de la rive du Jourdain - ce qui signifie que le futur Etat palestinien serait complètement entouré par les forces armées israéliennes. Pas de négociation avec un gouvernement palestinien « soutenu » par le Hamas, même s’il n’y a en fait aucun membre du Hamas dans le gouvernement. Et ainsi de suite - NON. NON. NON.

L’objectif consiste clairement à veiller à ce qu’aucun dirigeant palestinien ne puisse même rêver d’entamer des négociations, même dans le cas peu probable où il serait prêt à remplir une condition supplémentaire : reconnaître Israël comme « l’État-nation du peuple Juif » - ce qui inclut les dizaines de sénateurs et membres du Congrès d’origine juive, qui étaient les premiers à se relever de leurs sièges, encore et encore, comme autant de marionnettes.

Netanyahu, tout comme ses associés et compagnons en politique, est déterminé à empêcher la création d’un Etat palestinien par n’importe quel moyen. Cet objectif ne date pas du gouvernement actuel - il est profondément ancré dans l’idéologie et la pratique sioniste. Les fondateurs du mouvement ont ouvert la voie. Cet objectif motivait déjà l’action de David Ben Gourion en 1948, en collusion avec le roi Abdallah de Jordanie. Netanyahu ne fait qu’y ajouter sa marque personnelle.

« Pas d’Etat palestinien » signifie : pas de paix, ni maintenant, ni jamais. Tout le reste est, comme disent les Américains, peanuts. Toutes les phrases pieuses sur le bonheur de nos enfants, la prospérité pour les Palestiniens, la paix avec le monde arabe dans son ensemble, un avenir radieux pour tous, ne sont que pure foutaise. Une partie au moins de l’audience doit l’avoir compris, bien qu’occupée à se lever et se rassoir sans cesse.

Netanyahu a craché au visage d’Obama. Ce qui a dû réjouir les républicains présents dans l’assistance. Et peut-être également certains démocrates.

Obama, lui, n’a sûrement guère apprécié. Quelle sera sa réaction ?

On raconte une blague juive sur un pauvre affamé qui entre dans une auberge et demande qu’on lui donne à manger, sans quoi, il menace d’agir comme son père l’aurait fait. Pris de peur, l’aubergiste lui donne de la nourriture, puis interroge timidement : « Qu’aurait fait votre père ? » Avalant la dernière bouchée, l’homme répond : « Il serait allé se coucher le ventre vide. »

Il y a de grandes chances qu’Obama agisse de même. Il prétendra que la salive maculant sa joue n’est rien d’autre que de l’eau de pluie. Sa promesse d’empêcher une reconnaissance de l’Etat de Palestine par l’Assemblée Générale des Nations Unies l’a privé de son principal levier sur Netanyahu.

On évoque à Washington l’idée qu’Obama se rende à Jérusalem pour s’exprimer devant la Knesset. Ce serait une réponse en direct - Obama s’adressant au peuple israélien, par dessus la tête du Premier ministre, tout comme Netanyahou vient de parler aux américains par-dessus sur la tête du Président.

Ce serait un événement passionnant. En tant qu’ancien membre de la Knesset, je serais invité. Mais je ne le suggèrerai pas. Je l’avais proposé il y a un an, mais aujourd’hui cela ne serait plus le cas.

Le discours historique de Sadate à la Knesset fournit à l’évidence un précédent. Mais en réalité, il n’y a aucune comparaison. L’Egypte et Israël étaient encore officiellement en guerre. Se rendre dans la capitale d’un pays ennemi était sans précédent, d’autant plus que cela se déroulait quatre ans après une guerre sanglante. Cet acte a bouleversé Israël, abolissant d’un seul coup toute une série de préjugés et ouvrant la possibilité d’un nouvel état d’esprit. Pas un seul d’entre nous n’oubliera jamais le moment où la porte de l’avion s’est ouverte, quand est apparu, beau et serein, le chef ennemi.

Plus tard, lorsque j’ai interviewé Sadate chez lui, je lui ai dit ceci : « Je vis dans la rue principale de Tel Aviv. Lorsque vous êtes sorti de l’avion, j’ai regardé par la fenêtre. Rien ne bougeait dans la rue, à l’exception d’un chat - qui cherchait probablement un poste de télévision. »

Une visite d’Obama serait très différente. Il serait bien sûr reçu poliment - sans le rituel obsessionnel des levers et des applaudissements - bien que probablement chahuté par les élus d’extrême droite de la Knesset. Mais ce serait tout.

La visite de Sadate était un acte en soi. Pas une visite d’Obama. Il n’ébranlera pas l’opinion publique israélienne, à moins qu’il ne vienne avec un plan d’action concret - un plan de paix détaillé, avec un calendrier détaillé, soutenu par une volonté manifeste de le voir aboutir, quel qu’en soit le coût politique.

Un autre beau discours, aussi joliment ciselé soit-il, ne suffira pas. Nous avons eu notre compte avec le déluge de déclarations effectuées cette semaine. Les discours peuvent être importants lorsqu’ils accompagnent des actes, mais ils ne peuvent se substituer à eux. Ceux de Churchill ont contribué à façonner l’histoire - mais uniquement parce qu’ils accompagnaient des actions de dimension historiques. Sans la bataille d’Angleterre, sans la Normandie, sans El Alamein, ces discours auraient paru ridicules.

Désormais, toutes les issues étant bloquées, il ne reste qu’un seul chemin praticable : la reconnaissance de l’Etat de Palestine par les Nations Unies, allant de pair avec une action non-violente de masse du peuple palestinien contre l’occupation. Les pacifistes israéliens joueront également leur rôle, car le destin d’Israël dépend tout autant de la paix que celui de la Palestine.

A coup sûr, les États-Unis vont tenter d’entraver ce processus, et le Congrès va à nouveau s’agiter sur ses chaises. Mais le printemps israélo-palestinien va son chemin.

Avec vous

Article lié : A Margot, pour qu’elle repose en paix

pierre

  26/05/2011

Très bel hommage, très bel au-revoir qui, un peu curieusement, ne jure en rien avec l’esprit de dedefensa.
Avec vous, donc,

Moins d'une loi sur dix a des chances, un jour, d'être votée au Brésil.

Article lié : Le Système contre lui-même

Francis Lambert

  26/05/2011

30 000. C’est le nombre de projets et de propositions de loi en souffrance au Congrès de Brasilia, le Parlement fédéral qui rassemble 513 députés et 81 sénateurs. Moins d’un sur dix a des chances, un jour, d’être voté.

Parmi ces textes en sommeil figurent 975 amendements constitutionnels jamais approuvés. Le plus ancien est vieux de seize ans. On y trouve aussi 2 180 textes auxquels les divers présidents successifs ont opposé leur veto, et dont le sort aurait dû être décidé par le législateur dans les… trente jours suivants.

Sans oublier 50 traités internationaux : l’un d’eux, ratifié il y a deux semaines, datait de 1994. Si le Congrès décidait d’examiner tous ces textes - et eux, seulement - au rythme actuel, cela lui prendrait un siècle. Les élus fédéraux ont largement renoncé à une autre prérogative : contrôler les comptes de la présidence de la République. Douze budgets sont en attente d’examen, le plus ancien date de 1990.

Le Congrès possède un talent singulier pour ne pas décider. Parce qu’il est divisé, émietté en une kyrielle de partis, asphyxié par la bureaucratie, soumis aux clientélismes et exposé aux pressions de la présidence. Résultat, c’est surtout l’exécutif qui légifère. La Constitution autorise le chef de l’Etat à prendre des “mesures provisoires” : 1 127 depuis vingt-deux ans : en moyenne une par semaine.

La conclusion, brutale, revient à l’ancien président de la République (1992-1994), redevenu sénateur, Itamar Franco : “Nous sommes des législateurs à la noix !”

http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2011/05/25/des-chiffres-a-donner-le-tournis_1527130_3222.html

NB : en France les rapports de la Cour des Comptes ne sont pas ignorés : c’est une optimisation de gestion. En effet le gouvernement se base dessus pour son action ... c’est le meilleur indice de rentabilité de la lobbycratie, ce rapport est l’équivalent des “agences de notations” appliqué à la corruption ... la pire note fait effet de levier pour les serviteurs de l’oligarchie, pardon : les “fermiers généraux de la monarchie présidentielle”.

Au Brésil la destruction massive de la forêt Amazonienne vient de passer (un pillage rétroactif gigantesque !) avec la “nouvelle présidente” : quand c’est le pire ça passe.

Indigné!

Article lié : Le printemps espagnol

Subotai

  26/05/2011

En voulant rester poli…
En fait vous demandez à ceux qui n’ont rien demandé du bordel mondial et prennent plein la gueule les conséquences de l’avidité des “Pouvoirs” d’être plus responsables que les enfoirés qui les appauvrissent!
Je comprends bien qu’à vos yeux le “raisonnable” est ce qui a des chances de marcher, mais pensez bien que si je veux faire pencher la balance de l’autre coté pour rétablir l’équilibre, ce n’est pas près du fléau que j’appuie.

Ce qui indigne particulièrement les manifestants du printemps espagnol.

Article lié : Le printemps espagnol

GEO

  26/05/2011

http://descartes.over-blog.fr/article-le-camping-urbain-nouvelle-passion-des-classes-moyennes-74641120.html

Mercredi 25 mai 2011 3 25 /05 /Mai /2011 12:30
Le camping urbain, nouvelle passion des classes moyennes…

“Un fantasme parcourt l’Europe”... et c’est le fantasme de la “révolution citoyenne”.
 
Rien de bien nouveau là-dedans. Si quelque chose caractérise le gauchisme, c’est sa capacité à lire dans tout événement l’annonce incontestable que ses prédictions commencent à se réaliser. En 1967, un jeune philosophe appelé Régis Debray publiait un livre aujourd’hui bien injustement oublié “Révolution dans la révolution”. Dans ce livre, son jeune auteur lisait dans les événements d’Amérique Latine la promesse d’un changement révolutionnaire imminent. On sait ce qu’il advint. Plus près de nous, les grandes grèves de 1995 ont donné lieu à toute une série d’ouvrages démontrant (ou du moins affirmant…) que nous entrions dans une nouvelle époque et que les luttes populaires allaient tout changer. Là non plus, rien ne vint.

(.....)

Et sur le camping de la Puerta del Sol, la question est la même: qui sont les jeunes “indignés” ? Des jeunes ouvriers ou employés ? Ou plutôt des étudiants issus des classes moyennes et menacés de déclassement ? Comment se fait-il qu’on ait une “révolution dans les places” alors que tout est calme dans les usines ? Et plus profondément, comment est-ce possible de croire qu’on fera une “révolution” en campant sur une place, alors que le monde du travail non seulement ne bouge pas, mais montre une indifférence tentée de méfiance envers un mouvement qui, de son côté, rejette d’un même mouvement partis politiques et syndicats ? Car malheureusement les faits sont là: en Espagne, les principaux bénéficiaires électoralement de la crise et de l’agitation, c’est d’abord le Parti Populaire (droite), et les partis “régionalistes”, et cela dans un contexte d’augmentation de la participation électorale. Sauf à croire que l’opinion est dans un état de schizophrénie avancée, il faut comprendre qu’il y a une totale dissonnance entre l’opinion publique et les campeurs de la Puerta del Sol. Et que le “camping des indignés” tient plus des “appéritifs SMS” organisés il y a quelques mois dans plusieurs villes françaises que d’une “révolution citoyenne”.

(....)

La “gauche de la gauche” n’a pas réussi à transcender les intérêts de ses militants - c’est à dire des classes moyennes - pour élaborer un projet politique qui puisse s’adresser aux couches populaires. Relisez le compte-rendu de Céline Meneses cité plus haut. Qu’est-ce qui, dans le discours qui y est tenu, pourrait intéresser l’ouvrier industriel, la secrétaire administrative, la femme de ménage, le conducteur de train ? Et plus près de nous, où est le “programme partagé” du Front de Gauche, qu’on nous promet depuis des mois, et dont la publication semble remise aux calendes grecques ?
 
Descartes

justement...

Article lié : Comment la France (le Rafale) a perdu le Brésil

Fabrice

  25/05/2011

C’est bien cela qui rend la bourde diplomatique plus triste encore. Pour ces 2 pays qui auraient pu être “naturellement” complémentaires il a fallu qu’un instinct idiot bouleverse les choses.

Bresil

Article lié : L’Inde, ses avions et le Pakistan (et les Français)

Fabrice

  25/05/2011

Tout comme avec le brésil la diplomatie de l’instinct pourrait aussi couler l’affaire.

missiles....

Article lié : La Libye, conformément au plan prévu…

Fabrice

  25/05/2011

Si il suffisait de faire et vendre des missiles pour faire tourner une économie l’économie américaine se porterait comme un charme…

Et on recommence...

Article lié : L’Inde, ses avions et le Pakistan (et les Français)

Morbihan

  25/05/2011

... Sarko va nos refaire le “coup” - apparemment, il adore les coups - du Rafale au Brésil, et du Mistral en Russie.

Sans commentaire

quel fierte !

Article lié : L’Inde, ses avions et le Pakistan (et les Français)

michel fillion robin

  25/05/2011

Ah,oui on serait fier de vendre notre chasseur moyen a l’inde ,et cela ferait oublier que l’Europe et le seul bloc (en espérant qu’il y en est un ) important a ne plus avoir de chasseur lourd , au moins nous sommes entrain de préparer les futurs technologie de défense , mais c’est vrai que nous avons besoin des eau pour ça .

le rafale ,le rafale !

Article lié : Comment la France (le Rafale) a perdu le Brésil

michel fillion robin

  25/05/2011

les ventes d’arme ne s’arrête pas au seul rafale , et le brésil et demandeur dans d’autre cas (aide a la construction d’un sna voir d’un futur pa ,et là le nombre de pays a pouvoir les aider n’est pas nombreux ),donc de la a dire qu’on s’est fâché a cause de l’Iran , c’est pas bien grave , il sera surement plus intéressant de voir nos relations au sein de l’OMC , sujet bien plus important que l’Iran dont tout le monde se contrefout actuellement .

Le Rafale enfin victorieux ?

Article lié : L’Inde, ses avions et le Pakistan (et les Français)

StarDefense

  25/05/2011

En passe de décrocher son premier contrat hors du sol français, le Rafale devrait logiquement remporter ce juteux contrat en Inde.

Dans le passé, le rafale souffrait de sa non opération sur champs de manœuvre. Aujourd’hui il peut se prémunir d’une belle réussite lors de ses mission en Libye. La Libye où l’eurofighter a énormément souffert sur certains type de missions dont les attaques au sol. comme le décrit un des paragraphes de cet article: http://www.myzone59.com/aviation/avions-de-chasse/eurofighter-typhoon.html

Techniquement supérieur, seul la question financière pourrait être un handicape pour le contrat du Rafale.

Affaire à suivre…