Analyse, c'est un sujet développé plus en profondeur. Ce sont aussi des articles publiés par nous dans d'autres supports. Ce sont enfin des contributeurs extérieurs que nous accueillons sur notre site, y compris des contributeurs en anglais.
• Hier, M.K. Bhadrakumar, ancien ambassadeur de l’Inde à Moscou écrivait: « La reconnaissance par la Russie des “républiques populaires” de Louhansk et de Donetsk dans la région orientale ukrainienne du Donbass, lundi, est un événement décisif. D'une certaine manière, par cette décision, le président Vladimir Poutine a franchi le Rubicon. Mais une période tumultueuse s’annonce... » • Le tumulte commence par l’“opération spéciale” lancée par la Russie, qui s’est avérée d’une très grande ampleur, portant sur divers points de l’Ukraine, comprenant des unités terrestres en plus de l’action aérienne et des missiles d’attaque. • Effectivement, la période qui s’ouvre est d’une extraordinaire incertitude alors que partout gronde les rejetions de la Grande Crise, comme formidable dynamique sismique. • Ce qui nous importe ici est d’observer la grande, l’effrayante question qui surplombe l’événement en cours, qui est celle du risque de la montée au nucléaire. • Il s’agit de ce que nous nommons “la charge du choix”, ou le partage des responsabilités face au risque de guerre nucléaire.
• Un nouveau front s’est donc ouvert, une nouvelle crise dans la grande Structure Crisique qu’est la Grande Crise, et ce font se nomme ‘Freedom Convoy’. • Les routiers canadiens désormais rassemblés à Ottawa sont là pour obtenir gain de cause, dans la levée de l’ordonnance les obligeant à être vacciné pour franchir la frontière entre le Canada et les USA. • Aussitôt formé, le ‘Freedom Convoy’ a acquis sa véritable essence, qui est effectivement d’être un événement politique, et une crise naturellement. • ‘Freedom Convoy’ n’est pas n’importe quoi, non seulement en raison de l’ampleur et de l’originalité du mouvement, mais aussi en raison de la spécificité canadienne, baptisé premier pays ‘Wokestan’. • Face au ‘Freedom Convoy’, il y a certes un Système avec tous ses relais, mais il y a surtout un homme (un jeune homme), stéréotype de notre futur chaotique et simulacre. • Déclaré “cas-contazct”, Trudeau a quitté Ottawa lorsque ‘Freedom Convoy’ est arrivé. • Cruels, ils l’ont baptisé ‘Coward19’, mais on annonce depuis qu’il est positif-Covid. • Époque d’étranges coïncidences.
• Nul n’en doute, si jamais la Russie envahit (encore, et encore, et encore) l’Ukraine, les sanctions que la civilisation occidentale lui prépare seront dévastatrices, apocalyptiques, eschatologiques, atroces et monstrueuses. • C’est la Russie qui est visée, n’est-ce pas, et non les sanctionneurs ? • Pourtant, les uns et les autres commencent à découvrir ce qu’ils savaient déjà : les conséquences pour eux et le Système seraient “dévastatrices, apocalyptiques, eschatologiques, atroces et monstrueuses ”. • A côté de cette réjouissante perspective, il y a d’autres nouvelles importantes en marge de l’urgence de l’alarme face aux “invasions” sans fin qui se poursuivent. • Il y a, selon notre classement, le réel durcissement russe, déduit de l’annonce que la Russie explore une coordination stratégique avec des amis d’Amérique Latine (Cuba, etcetera), pour, qui sait, envisager des déploiements militaires. • Il y a la division très nette désormais apparue, palpable et sérieuse, entre l’Europe et les USA face à la Russie. • Et “tout ça pour ça”, l’“invasion” de l’Ukraine. • Chronique d’une invasion-bouffe.
• La crise ukrainienne n’en finit pas de rebondir et de rebondir, à la mesure exactement de la Grande Crise qui dévaste le bloc-BAO. • Alors qu’on juge d’une part que Biden cherche par un empilement de simulacres à se sortir de cette crise en donnant l’impression qu’il a battu les Russes, des échos intérieurs (à Washington “D.C.-l’hyperfolle”) montrent que tous ne l’entendent pas de cette oreille. • Il en est même, et de hauts placés, et de hautes responsabilités, qui suggèrent qu’il faudrait envisager d’y déployer (en Ukraine) des armes nucléaires avec comme doctrine un emploi “en première frappe” si les Russes osent lancer leur nième “invasion” du pays. • Là-dessus intervient le nouveau gouvernement allemand, auprès duquel la Merkel paraît bien pâle et bien arrangeante avec Poutine. • L’idée est de lier très solidement l’ouverture de NordStream2 à une complète capitulation des Russes des nombreuses actions agressives qu’ils ne mènent aucunement en Ukraine. • Défi lancé au délire de ces temps-devenus-fous : “Arrêtez donc, Russes, de faire ce que vous ne faites pas !”.
• Dans le chaos de la campagne pour les élections présidentielles en France, un sujet inhabituel est apparu : l’attitude la France vis-à-vis de l’OTAN. • Depuis Sarko, la France ronronne au creux de l’OTAN, soumise aux USA et surtout à une bureaucratie formant une sorte d’égrégore diabolique. • L’affaire des sous-marins (AUKUS) autant que la déroute afghane sur fond de crise américaniste ont réactivé la question. • Nous envisageons ici l’option d’une démarche française de rupture de l’OTAN : soit un retrait du commandement intégré (comme de Gaulle en 1966), soit un retrait complet. • Nous examinons les avantages et inconvénients des deux formules, qui doivent se combiner avec un rapprochement français de la Russie, et optons pour la première. • La France doit sortir d’une intégration militaire qui la prive de son indépendance et lui donne de faux avantages, mais rester dans l’Alliance. • Son rôle devrait être alors de tout faire pour miner l’Alliance de l’intérieur car cette organisation est un fléau insupportable : “Delenda Est OTANia”, aurait dit le vieux Caton.
• On examine aujourd’hui la situation de la presseSystème et de son influence, et aussi celle des médias alternatifs, ce que nous nommons « Notre Samizdat globalisé », ou simplement la presse-Samizdat. • La pression pour la censure, pour le simulacre, pour la narrative n’a jamais été aussi forte (avec une interview d’Alain de Benoist), et pourtant notre constat est bien que l’effet de cette censure n’a jamais été plus contesté, plus malmené. • C’est bien que la Grande Crise (GCES) a atteint le cœur du Système, reléguant tout le reste, notamment les crises extérieures, au second plan. • Les événements commandent et nous faisons avec, et les gens de la presseSystème font avec, courant d’une voie d’eau à l’autre. • Le résultat est que l’esprit-Samizdat ne cesse de s’affirmer, même et le plus souvent contre le gré (et à son insu) des récipiendaires de rencontre : même la presseSystème est parfois Samizdat et antiSystème sans s’en apercevoir. • Nous prenons comme champ de notre investigation les cas de la France et des USA, considérés comme deux pôles culturels opposés à l’intérieur du bloc-BAO.
• Quel tintamarre extraordinaire, avec cette décision d’une trahison horrible, de l’Australie abandonnant sa commande énorme de 12 sous-marins à la France, pour passer à un fournisseur anglo-saxon. • Cela se fait à l’ombre de la signature d’une alliance, l’AUKUS (Australie, UK, USA), qui fait penser à certains qu’est en train de se monter une nouvelle Sainte-Alliance de l’“anglosphère”, tandis que la stratégie US pivoterait de l’Europe vers la Pacifique. • Mais toutes ces choses existent depuis Cecil Rhodes et Winston Churchill (les affaires d’“anglosphère” et la stratégie US du Pacifique, qui n’a pas à être orientée puisqu’existe également, à côté, une stratégie européenne des USA)... • Enfin, nous dirions qu’elles existaient car, aujourd’hui, toutes ces puissantes forces ont été réduites au niveau dérisoire des concepts de communication, pour tenter de faire écran au spectacle de la désintégration des pouvoirs des membres éminents de l’“anglosphère”. • La Chine observe tout cela, menace Taiwan, tandis que le général Li appelle amicalement mais fermement son pote le général Milley.
• Épisode si instructif sur la situation de la direction US, et particulièrement dans ce cas de la direction militaire des forces armées US. • L’habituel livre (à peu près tous les trois-quatre ans) de Bob Woodward sur les situations peu inconnues et inconnues des présidences successives apporte son lot d’informations controversées et pour cette fois extraordinairement révélatrices. • Il s’agit de la “politique étrangère et de sécurité” menée secrètement par le général Milley, président du Comité des chefs d’état-major, entre octobre 2020 et janvier 2021 pour court-circuiter la chaîne de commandement et les pouvoirs du président (Trump) sur l’arsenal nucléaire stratégique US. • Milley a ainsi correspondu amicalement avec son vis-à-vis chinois, le général Li, lui promettant de l’avertir en cas de projet d’attaque nucléaire de la Chine. • On navigue entre trahison, coup d’État et folie délirante de la politique washingtonienne. • En même temps que l’on apprend toutes ces étranges manœuvres, d’autres généraux sonnent l’alarme devant le renforcement du potentiel nucléaire chinois. • Belle cohérence.
• D’une façon subreptice, sans exclamations particulières sinon quelque étouffement de rage d’un neocon l’autre, le président Biden a prononcé mardi un formidable discours qui n’est rien d’autre qu’une condamnation détaillée de la “politiqueSystème” que les USA suivent d’une façon affirmée et visible depuis le 11 septembre 2001. • Comme tout dans cette époque, les grands événements se déploient dans le silence, l’indifférence et l’ignorance, – feintes ou pas, c’est selon... Il n’empêche qu’ils [les grands événements] ont lieu, et ce ne sont pas les hommes [Biden, en l’occurrence] qui les machinent, se contentant de les exécuter. • Biden, que nous vouions aux gémonies il y a peu, s’est trouvé poussé dans une extrémité entretenue par un état de santé fragile et l’obsession du retrait d’Afghanistan. • Pressé par la tempête de la communication déchaînée contre lui et le chaos de Kaboul, il en est venu à dénoncer l’ensemble de la politiqueSystème, et le Système par conséquent. • Cela ne fait de lui ni un héros ni une espérance, cela acte un événement essentiel.
• Nous allons traiter du formidable chambard, sur le terrain et dans les nombreuses chancelleries concernées, que le désastre afghan nous donne à penser, à illustrer et à commenter. • Le spectacle qu’offre actuellement l’aéroport de Kaboul est un tribut quasiment hollywoodien rendu au formidable désordre dont sont capables les soldatesque humanitaristes du bloc-BAO, à partir d’une décision extraordinaire d’un président des USA complètement hors des standards. • Pour autant, nous ne quittons pas de l’œil les autres désordres, celui de la crise-Covid avec ses conséquences, notamment cette formidable insurrection des anti-vaxx qui prend garde à ne pas laisser aller quelque désordre que ce soit en son sein. • Là-dessus, nous nous attardons longuement à une référence qui est partout, directe ou indirecte, et qui va à l’extraordinaire penseur de la “servitude volontaire” que fut le Français Étienne de La Boétie. • Sa pensée, particulièrement productrice d’émancipation des peuples confrontés au pouvoir si elle est bien comprise, est détaillée par un excellent vulgarisateur.
• Description nécessairement partielle d’une situation américaniste qui rassemble toutes les crises en cours, dont nous connaissons nous-mêmes, à notre mesure, des effets de réverbération. • La pire crise aux USA est celle du pouvoir, avec une direction complètement absente et un Joe Biden en vacances (« Commander-in-Absence », propose un humoriste twitteur) en plein développement dynamique de la crise afghane. • Les crises multiples aux USA sont en train de voir se développer une nouvelle-venue, une “crise inflationniste” que certains décrivent comme étant de la taille d’un tsunami. • Après avoir vu l’Afghanistan hier, on saisit une circonstance étrange provoquée par le chef du commandement stratégique (StratCom). • Jonathan Turley, commentateur de haute tenue, perd son calme devant les prétentions de formatage des esprits des ‘Big Tech’. • La Grande Crise du monde, dont la matrice sont les USA, poursuit son développement comme un bateau ivre dans la tempête, sans personne à la barre bien entendu, et peut-être bien sans barre du tout.
• Entêté, Oliver Stone nous revient avec un nouveau film sur l’assassinat de Kennedy : « JFK Revisited : Through the Looking Glass », présenté au Festival de Cannes (comme quoi, le Festival a son utilité). • Stone exploite l’accès à près de deux millions de pages de documents déclassifiés concernant l’assassinat. • Il se trouve renforcé dans sa thèse d’un assassinat exécuté au terme d’une conspiration du DeepState, communauté de sécurité nationale et une CIA ou l’autre. • La cause de l’élimination de Kennedy, c’est son intention de négocier des accords fondamentaux d’arrangement avec Krouchtchev pour arrêter la Guerre Froide, en même temps que stopper les interventions extérieures et lever le blocus de Cuba. • Kennedy “guerrier de la paix”, résume Stone, confirmant une thèse qu’on laisse aller implicitement sans jamais trop s’y attacher sinon pour vitupérer contre le “complotisme”, tant elle nous révèle d’une façon trop voyante combien le vice déconstructeur est le principal caractère des USA, et comment l’assassinat de JFK conduit directement à notre époque.
• A propos de l’affaire Dreyfus, Péguy écrivit : « Tout commence en mystique et finit en politique » ; notre situation est telle, les événements sont si pressants et autonome que l’on pourrait inverser la formule : “Tout commence en politique et finit en mystique”. • Autre citation pour conduire cette analyse d’une civilisation effondrée, en attente de ce qui suivra : « Les événements spirituels capitaux ont récusé toute prévision » (Malraux). • La situation générale a fait de la Grande Crise notre environnement naturel, à une très grande vitesse, en nous prenant systématiquement à contrepied. • Aujourd’hui, on se trouve dans un “entre-deux”, entre une civilisation effondrée et celle qui nous attend. • Quelques avis et réflexions (Maffesoli, Onfray, Finkielkraut, Kunstler) pour admettre qu'il s’avère impossible de sortir quelque vision de ce phénomène : une civilisation s’effondrant sous nos yeux. • « Notre époque ressemble à celle de saint Augustin qui voit s’effondrer la civilisation gréco-romaine et ignore que se prépare, avec lui notamment, celle qui va la remplacer... »
• Nous présentons une sorte d’“état des lieux” après une grosse année de wokenisme, parvenu à la maturité de sa production subversive. • Ces observations concernent deux pays concernés par cette dynamique (France et USA), montrant que le wokenisme a une vocation subversive globale, à l’image du capitalisme globaliste qui est son soutien le plus puissant. • Les deux cas étudiés sont très spécifiques et très significatifs pour notre façon de voir : le témoignage de Philippe Val pour ‘Valeurs Actuelles’, contre la wokeniste (LFI) Obono ; l’action du gouverneur DeSantis en Floride pour contrer la pénétration du wokenisme. • Cela se réalise dans les “démocraties” du bloc-BAO qui se transforment en régimes “libéraux-totalitaires” selon le Directeur Narichkine du SVR (successeur du KGB). • Notre constat : « L’affirmation surpuissante du Système est elle-même emprisonnée en sa propre production d’autodestruction sous la forme des résistances qu’elle suscite : [... ] la puissance exceptionnelle de la dynamique wokeniste obtient des effets de résistance à mesure. »
• “Enfin”, dit-on ici et là, surtout chez les Européens décidément de plus en plus vides et de plus en plus vains dans leurs jugements, et particulièrement dans le chef de la chancelière Merkel qui exprime avec soulagement et avec NordStream 2 dans la poche : “Enfin, Russie et USA se rencontrent au sommet, les choses vont mieux”. • Nous avons choisi comme référence un texte de Fiodor Loukianov peignant choses et esprits pour ce sommet Poutine-Biden du 16 juin. • L’intérêt de son texte est son constat d’une impuissance et d’une paralysie partagées, et sa prévision qu’on n’en obtiendra absolument rien de ce sommet. • Ce n’est pas à cause d’un antagonisme Russie-USA dont on ne sait l’intérêt, ni à cause d’une incompatibilité d’objectifs, – même si l’un et l’autre existent, – mais à cause de la situation du monde (Grande Crise) : « Le manque de confiance en soi et le malaise face à l’avenir se font sentir partout. Cela est compréhensible, compte tenu de la nature chaotique des récents développements dans le monde. ». • Au cœur de la tempête hurlant, on attend qu’elle s’apaise.
• S’il y a une constante dans la politique générale d’agression (“politiqueSystème”) des USA depuis 15-20 ans, c’est bien l’hostilité à l’encontre de la Russie, et particulièrement à l’encontre de Poutine. • Dans cette démarche, la CIA devrait occuper une place centrale mais ce n’est pas le cas : elle n’est en rien le pôle rassembleur et inspirateur de cette spécificité essentielle des USA de 9/11 que nous nommons “politiqueSystème”. • Dans un texte fouillé et très analytique, le commentateur Scott Ritter offre un récit de l’évolution interne de la CIA. • Ancien officier de renseignement des Marines, puis spécialiste des missions de désarmement ONU de l’Irak dans les années 1990, Ritter est passé à la “dissidence” antiSystème depuis autour de 2000, et ses commentaires critiques s’appuient donc sur une expérience et des sources privilégiées dans les milieux du renseignement. • On se trouve plongé dans l’évolution de la perception US de la Russie jusqu’à comprendre l’actuelle “politique” russe de Biden. • Ritter termine sur une note optimiste que nous contestons.
• Voici une affaire qui n’avait guère retenu notre attention, qui aurait dû passer son chemin et qui, pourtant, s’avère déboucher sur une dynamique crisique d’une importance que l’on pourrait considérer comme considérable. • Au départ, c’est l’adoption d’une loi modifiant la procédure du vote dans l’État de Géorgie, où se déroulèrent de rudes batailles et de vicieuses polémiques durant les dernières élections (présidentielles et parlementaires). • Biden a choisi cette nouvelle loi pour dénoncer le racisme qu’on y trouve, selon lui, avec comparaison avec l’époque de la ségrégation raciale. • Erreur d’appréciation ou (et ?) faiblesse pathologique d’un président de plus en plus dévasté ? L’attaque provoque de dévastateurs coups de fouet en retour. • Mais surtout, cette affaire est l’occasion de l’apparition d’un regroupement idéologique d'un millier d’entreprises qui proclament leur engagement vers l’extrême-gauche. • Apparition structurée d’une nouvelle forme de capitalisme, dont l’on reparlera. • Événement essentiel : voici le “Woke-Capitalisme”, le capitalisme aligné sur le wokenisme.
• Certes, Vlad c’est Poutine, et Xi qui-vous-savez. • Or, sans aucun calcul compliqué ni complot à longue portée, simplement conduits par la force des événements et l’occasion qui fait le larron, ces deux compères ont établi l’état pathétique de Biden et la monstruosité-mortifère du DeepState (du Système) avec deux ‘premières’ diplomatiques considérables • Il s’agit du rappel “pour consultation” de l’ambassadeur russe à Washington D.C. et de l’esclandre incroyable, à la rencontre d’Anchorage, des 15 minutes de fureur antiaméricaniste (alors qu’il n’avait droit qu’à deux minutes) du ministre chinois des affaires étrangères devant le secrétaire d’État Blinken, ébahi, après son ‘minimum syndical’ de ministre US, des deux minutes réglementaires de “Chinese-bashing”, conformément à leur habituelle absence de vergogne. • Tout cela suppose une entente tactique autant que stratégique et une coordination improvisée Moscou-Pékin selon l’opportunité, autant qu’une dérive pathétique-chaotique du pouvoir US. • On attendait un “retour à la normale” mais commence le calvaire de l’“administration Biden”.
• Une revue de détails ? • Les USA accumulent les rancœurs et les préparatifs de leurs adversaires pour d’éventuels conflits, tandis que le président Biden poursuit son destin erratique, de gaffe en gaffe et d’absence intellectuelle en absence intellectuelle, dans une posture pathétique qui relève de plus en plus de l’insupportable cruauté de la part des forces du Système qui le maintiennent au pouvoir. • L’effet politique, lui, est calamiteux malgré le rideau de silence de la presseSystème du bloc-BAO. • L’état de Biden ne fait que refléter celui des USA et même celui du bloc-BAO, lancés dans une sorte de “révolution cognitive” type Senile-Dementia. • Contre cette dynamique folle, les résistances se font de plus en plus fortes et s’expriment implicitement mais quasiment sous la forme de menaces de guerre. • Parmi d’autres et avec d’autres, il y a l’Iran, il y a la Russie, il y a aussi la Chine. • Notre revue de détails concerne une possibilité de conflit dont on se demande si cela n’est pas la seule possibilité de sortir de cette dynamique folle du bloc-BAO dont la meilleure expression est une cosmique bêtise.
• Autrement dit : “‘Cancel’ Platon & Aristote !”, mot d’ordre chronologiquement extrême du wokenisme. • Nous ne cesserons pas d’affirmer que ce que nous nommons ‘wokenisme’ constitue la plus puissante entreprise de déconstruction de tout l’univers social et culturel de la civilisation ayant abouti au bloc-BAO, – des USA d'abord, de la France ensuite et immédiatement après dans l'ordre d'importance. • Les Français commencent péniblement à en prendre conscience, car leurs élitesSystème si piètres, si hystériques en faveur de l’‘ouverture aux autres’, du globalisme, de la dénonciation du ‘repli sur soi’, ont une peine considérable à sortir de la prégnance provincialiste-parisienne pour appréhender comme tel cet évènement à dimension universelle. • Le wokenisme, en complément quasi-fraternel avec la crise-Covid, forme avec elle l’essentiel de la Grande Crise GCES. • Nous luttons tactiquement contre lui pour aiguiser les esprits et protéger les âmes contre l'aveuglement, mais il doit stratégiquement aller à son terme pour achever l’autodestruction du Système.