Jack v.
08/07/2011
Quelques fichiers qui mettent à mal une esbroufe climatique qui est surtout destinée à alourdir les taxes.
http://lemytheclimatique.files.wordpress.com/2010/01/manuel.pdf
http://lemytheclimatique.files.wordpress.com/2010/01/manuel-du-sceptique-ii-v4.pdf
Voir le site suivant pour se faire une opinion qui ne soit pas une réponse affective au battage des média.
Geraldo Lino
07/07/2011
Dear Subotai:
What do the sandstorms in the US have to do with what I said? Such phenomena are anything but new, remember the so-called Dust Bowl in the 1930s.
In any case, let me ask again: Where’s the evidence in the real world that the temperature and sea level changing rates of the last centuries are abnormal as compared to the previous ones? When this question is adequately answered it will be possible to start discussing seriously about the human influence on the climate on a global scale.
Francis Lambert
07/07/2011
Quoiqu’une des rares Nations productrice de pétrole (même si elle a dépassé son pic) l’arrogante Grande-Bretagne n’arrête plus de couler ... vivement les jeux olympiques de Londres en 2012 ... puis ses conséquences comme en Grèce : ce show vaniteux sera un boulet budgétaire de plus dans leur noyade.
UK needs £20bn more austerity and retirement at 70, says PwC
To bring public debt back down to just below 40pc of GDP by 2050, where it was in 2007 before the financial crisis, would require fiscal tightening of around 1.3pc of GDP by 2020, PwC said. That would mean both a further £20bn of austerity and an increase in the planned retirement age to 70.
Fiscal stimulus doesn’t work, claims Harvard economics professor Robert Barro
http://www.telegraph.co.uk/finance/economics/8618623/Fiscal-stimulus-doesnt-work-claims-Harvard-economics-professor-Robert-Barro.html
GEO
07/07/2011
Le régime Juncker contre la mauvaise Grèce
Jérôme Leroy
http://www.causeur.fr/le-regime-juncker-contre-la-mauvaise-grece,10537
(....) répétons-nous encore la phrase de Jean-Claude Junker pour en mesurer lénormité: « La souveraineté de la Grèce sera considérablement restreinte ». On a presque limpression dentendre Mac Arthur parlant du Japon, les Alliés de lAllemagne de 45, voire Paul Bremer de lIrak en 2003. Restreindre la souveraineté dun Etat, en général, la communauté internationale se le permet quand celui-ci a perdu une guerre dans laquelle il a commis des atrocités.
Elles consistent en quoi les atrocités grecques ? Avoir trafiqué des comptes et masqué des déficits ? Avoir laissé la fraude fiscale sinstaurer comme un sport national ? Avoir financé un Etat-providence alors que le pays nen avait pas les moyens, tout au moins dans une logique libérale puisque dautres économistes estiment que les dépenses de santé, déducation, de police, de défense ne devraient pas être prises en compte dans le calcul du déficit ?
Cest tout ? Vraiment ? Pas la moindre épuration ethnique dune minorité, pas de déclaration de guerre unilatérale à la Turquie, pas de prisonniers politiques torturés comme au temps de la dictature des Colonels ?
Les événements historiques passent souvent inaperçus au moment où ils se produisent. La déclaration de Junker en fait partie. On découvrira plus tard ses implications. Ce jour apparaîtra comme celui où, pour la première fois, un haut responsable aura affirmé clairement que le pouvoir politique ne pesait plus rien devant les exigences de la finance mondialisée, que le banquier avait plus de pouvoir que le ministre et une place boursière quun parlement élu. On sen doutait un peu mais là, cest merveilleusement explicite.
On pourrait conseiller à Juncker de relire Byron, de regarder les tableaux de Delacroix ou encore de se faire raconter, dans les bureaux climatisés de son grand-duché, lhistoire de Manolis Gleizos qui, une nuit de mai 1941, se faufilant avec quelques camarades communistes au milieu des sentinelles, descendit le drapeau à croix gammée qui flottait sur lAcropole pour le remplacer par le drapeau national que tous les Athéniens virent pour quelques minutes flotter dans le soleil du matin.
Gleizos vit toujours, il est de toutes les manifestations de la place Syntagma. Et, paradoxe du combattant internationaliste, lui sait ce quest la souveraineté. (.....)
Francis Lambert
07/07/2011
Très bien écrit mais sans références pour appuyer ses affirmations cela affaiblit la réception.
Morbihan
07/07/2011
... Monsieur, d’avoir exprimé, si bien, ce que je pense, tout comme vous.
Subotai
07/07/2011
To answer your suggestion…
I suggest you pay attention to the amazing events witch enjoying the life of the american citizens, like weird sand storm on Phoenix-Arizona…
Ilker de Paris
07/07/2011
En effet “scènes de murs” dans un jeu de dupes où “on” voudrait bien biffer la scène du crime mais le crayon qui efface est également celui qui écrit.
Les socialos n’en peuvent mais, Valls, représentatif du reste, pète un câble (http://www.lemonde.fr/politique/article/2011/07/06/affaire-dsk-des-responsables-socialistes-critiquent-un-feuilleton-nauseabond_1545338_823448.html#ens_id=1522342) les droits de l’hommiste se retrouvent à soutenir un agresseur sexuel, et les médias voudraient tant qu’on revienne aux choses banales où ils peuvent exercer tranquillement leur métier qui consiste à distribuer des bons points au Système et des blâmes aux autres, affaire intéressante donc, c’est le monde à l’envers, pour montrer qu’il n y a pas vraiment d’endroit.
Laurent Demaret
06/07/2011
Ce n’est pas moi qui le dit mais le site du Leap 20/20
http://www.leap2020.eu/Operation-militaire-en-Libye-Un-accelerateur-puissant-de-la-dislocation-geopolitique-mondiale_a6826.html
Et ça entre en résonance avec bien des choses qu’on peut lire ici..
Geraldo Lino
06/07/2011
Dear Sirs:
This website is one of the best references for my work of analysis of the global strategic scenario and is obviously part of my daily readings. However, in what concerns the climate issues I dare to say that your general trend favoring alarmists like James Hansen and his ilk is completely off the mark.
The so-called Anthropogenic Global Warming (AGW for short) has long become a political issue in the worst sense of the word and an economic and financial one, also in the worst sense. The business of carbon trading has the same economic consistency of selling bottled rainwater.
And as to the scientific basis ot the AGW hypothesis, I leave to you the same challenge I and other of its critics have been presenting since this hysteria began to gain steam some time ago: to come up with one single hard evidence proving that the temperature and sea level changing rates observed during the industrial period (the last two and a half centuries) are in any way abnormal as compared to the previous ones that occurred during the whole Holocene epoch in which our civilization has been existing (the last 12,000 years). For hard evidence I mean one observed in the real world, not mathematic concoctions from the supercomputer-driven climatic models.
So, I modestly suggest that you start to pay attention to this other side of the climatic coin.
gerard turcin
06/07/2011
Ce “fameux” passé c’est le 11 Septembre, les vraies fausses preuves d’armes de destruction massives de S. Hussein, mais c’est surtout le 11.9., que faudra-t-il faire de ce lourd passé?
Je pense que trop de monde à trop de comptes à réclamer, à Bush, mais surtout à Cheney, enfin aux néoconservateurs en général, pour en rester là. Il faudra un jour ou l’autre crever labcès, ils ont vraiment été trop loin, et c’est un euphémisme.
Seul Obama avait encore la possibilité de le faire au lendemain de son élection, il n’a pas voulu, n’a pas pu, n’en avait pas les moyens, mais là c’est un autre débat. Toujours est il qu’il est maintenant trop tard, que cela ne pourra plus ce faire que sous la contrainte d’un coup de théâtre, puisque Obama a accepté l’héritage de Bush, et qu’il s’en est même servi avec l’étrange “mort” de ben Laden…
En attendant la politique qui a été enclenchée après le 11 Septembre est trop “énorme” (je ne trouve pas de qualificatif à sa dimension!), sans compter cet évènement par lui même d’ailleurs, pour qu’elle soit abandonnée par ses commanditaires sans “combattre”.
Jack v.
06/07/2011
Ces scientifiques fourbes s’inquiètent plutôt pour la manne, on l’espère bientôt tarie, des subventions destinées à leur donner les moyens de justifier la fameuse taxe carbone qui aurait renfloué les finances du système au détriment des plus pauvres.
Qu’ils brûlent en Enfer !
Jean-Paul Baquiast
06/07/2011
Je me suis permis de re-publier cet article sur le site Automates Intelligents, car il impacte directement le lectorat de ce site. Merci à Philppe Grasset
http://www.admiroutes.asso.fr/larevue/2011/119/revoltehansen.htm
Laurent Caillette
06/07/2011
Dans l’espèce de course à l’hystérie médiatique et au vide politique, sur la trajectoire du trio Mitterand-Chirac-Sarkozy, on dirait bien que la logique folle des événements appelle Strauss-Kahn de tous ses vux. À coups de communication bien dosée, de pédagogie bien appliquée, de réformes bien pensées, d’affaires nauséabondes comme autant de puits de pétrole jamais rebouchés, de choix otaniens raisonnables et d’européanolâtries soigneusement justifiées, Strauss-Kahn s’impose comme une version professionnalisée de Sarkozy. Certains objecteront qu’il n’est pas encore sorti de l’affaire Sofitel, mais ce joyeux épisode pourrait surtout fournir un coup d’accélérateur décisif.
Tout dépend de la capacité de Strauss-Kahn à endosser le rôle de vertueuse victime. La femme de chambre du Sofitel y a fait long feu ; maintenant la place est vacante et l’ancien patron du FMI dispose d’une ribambelle de spécialistes en communication pour l’y asseoir. De là il peut transcender des oppositions anecdotiques telles le féminisme, en s’inscrivant dans un courant beaucoup plus profond qui est celui de la sacralisation de la victime (tiens on retrouve SOS-Racisme dans ce camp-là). Même si Sarkozy a tenté d’investir le domaine du compassionnel avec divers bricolages calamiteux, son style aggressif ne lui a jamais permis d’incarner quoique ce soit de victimaire.
Strauss-Kahn est donc en mesure de nous jouer ça façon planchette japonaise—prise de judo qui consiste à entraîner l’adversaire vers soi en se laissant tomber en arrière, avant de le projeter cul par-dessus tête en poussant avec le talon posé sous son nombril. Avec un éclairage favorable et sa très télégénique épouse en bord de champ, il émergerait comme une sorte de héros façonné par la lutte courageuse contre une sorte de mensonge qui ne dit pas son nom mais que tout le monde sera prié de reconnaître ; et cela ferait de lui le candidat de la sincérité, du courage, du droit bafoué, de l’innocence rachetée. Bref le choix incontournable de tous les adeptes de la religion de la victime, la mère de toutes les hystéries. Le bling-bling délétère du Sarkozy des premiers temps, le style racaille élyséenne, tout cela ne faisait qu’égratigner la surface des éléments structurants de notre société. Un Strauss-Kahn victimisé, jouant avec brio de cette corde sensible, nous permettrait d’atteindre des niveaux de destructuration inédits. On imagine déjà Bernard Henri-Lévy venant déposer aux pieds du nouvel ami des Français le mot de circonstance : il ferait de Strauss-Kahn un rassembleur.
Dedef
06/07/2011
Un article sur ce point que vous avez raté:
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