laurent juillard
21/09/2011
“on comptabilise en 2008 environ 270 émeutes, tous continents confondus. On passe à 540 en 2009, puis à 1 238 en 2010. Ce chiffre sera dépassé en 2011, puisquau 31 août nous en sommes déjà à plus de 1.100. “
Tres interessant entretien avec Alain Bertho, professeur danthropologie à luniversité Paris 8
Frederic Dedieu
20/09/2011
Comme beaucoup de vos lecteurs qui vous suivent depuis longtemps, votre site m’est indispensable au quotidien. Et comme beaucoup d’eux j’aurai du mal à me regarder dans une glace en apprenant sa disparition pour quelques malheureux euros par lecteurs. Je suis complètement fauché mais je me fais un devoir de vous soutenir mensuellement à mon tour. L’engagement doit effectivement passé par ces choses du Système, l’argent, dans le but de le combattre et de démontrer notre soutien sans faille à votre nécessaire démarche d’analyse.Je suis comme un autre de vos lecteurs vous qui stipulait être abonné à Arret sur Images (pour ma part, 3 euros par mois), vous serez ma seconde contribution à hauteur égale ou supérieure selon mes finances.
Derrière vous, Dedefensa !!
Fred de Bordeaux
Arrou Mia
20/09/2011
manquerait plus qu’ça.
L’autre rigolo moldave videur de boîte de nuit qui menace d’appuyer les séparatistes nationalistes kurdes.
Comm’ si c’était pas déjà le K depuis des décennies, l’entité finance et appuie les Kurdes turcs comme elle a financé et soutenu avec une belle force logistique puis/et communicationnelle le Sud Soudan.
Bon disons qu’il y a de ça.
Les Turcs, leurs têtes y compris, y z’en ont a marre de ce dommage collatéral abcédé bien entretenu de l’occupation de l’Irak.
Je dis ça mais c’est que même leur saloperie de phosphore blanc sur Gaza tiens juste en pleines fêtes de fin d’année occidentale, tout le monde fat sauter le bouchon de champagne, alors les bombes sur les civils ça s’entend moins voluptueusement, ben ptet ça a à voir avec le gaz off shore que les Palestiniens y auraient droit.
D’où la renonciation potentielle de Mahmoud Abbas aux 500 millions de dollars de subvention à son sabotage de l’OLP et de la Palestine. L’appétit lui est venu de partager ce gaz là avec quelques militaires égyptiens rescapés de la Place Tahrir.
Merci M. Grasset d’être dans la permanence de votre être.
Chez les Palestiniens, ou les Arabes, cela s’appelle “soumoud”- quitte à courber le dos en attendant que la vague aille se fracasser plus loin et reflue, inévitablement elle épuisera son élan.
Francis Lambert
20/09/2011
“Special relationships” à la mode des Glorieuses Nations.
How America planned for an attack on BRITAIN in 1930 with bombing raids and chemical weapons
Emerging world power feared British reaction to its ambitions
Plan Red was code for apocalyptic war with British Empire
Top-secret document once regarded as ‘most sensitive on Earth’
$57m allocated for building secret airfields on Canadian border - to launch attack on British land forces based there
“In 1930, a mere nine years before the outbreak of World War Two, America drew up proposals specifically aimed at eliminating all British land forces in Canada and the North Atlantic, thus destroying Britain’s trading ability and bringing our country to its knees.
Previously unparalleled troop movements were launched as an overture to an invasion of Canada, which was to include massive bombing raids on key industrial targets and the use of chemical weapons, the latter signed off at the highest level by none other than the legendary General Douglas MacArthur.
Eventually, President Franklin D. Roosevelt would refuse to subscribe to what was known as War Plan Red - preferring a strong Britain to fight Nazi Germany. (...)
After the 1918 Armistice and throughout the 1920s, America’s historic anti-British feelings handed down from the 19th century were running dangerously high due to our owing the U.S. £9billion for their intervention in The Great War.
British feeling against America was known to be reciprocal. (...)
In 1935, America staged its largest-ever military manoeuvres, moving troops to and installing munitions dumps at Fort Drum, half an hour away from the eastern Canadian border. (...)
Even Hitler thought such a war was inevitable, but astonishingly wanted Britain to win, believing that to be the best outcome for Germany, since the UK could then join his forces to attack the U.S.
Frédéric GUILLIEN
20/09/2011
Bonjour,
Je ne participe qu’une fois par an. Comme un abonnement. Et autant voire plus que je ne donne aux autres publications que je suis. Autant qu’à Politis ou le Diplo en somme, deux fois plus qu’à Arrêt sur Images… Mais hélas… nous ne sommes pas autant de lecteurs que pour ces trois autres médias :-)
Tjs aussi content de vous lire en tout cas. Le développement Erdogan en particulier en ce moment, que je suis heureux de lire chez vous, et toujours autant étonné de constater comme certaines choses sont occultées, inconsciemment ou non, par chez nous. Une recherche Google News FR pour constater la cécité totale de nos médias à ce sujet.
Bonne journée :-)
François Cartan
20/09/2011
Ci-dessous le message que je diffuse à mes contacts :
“Bonjour,
Je me permets de vous envoyer ce petit message, il vous informe du besoin vital de donations pour le site d’analyse « psychopolitique » Dedefensa (lien).
Tout y est. Si cette lecture vous semble d’une importance majeure, merci de diffuser ce lien (lien, dedefensa.org et l’esprit de la chose.)
Pour appuyer cet appel, j’emprunte la citation lu dans Marianne2, de Pierre Louis Basse (lien Marianne2) : «Cela vaut bien la peine daimer encore et toujours la fulgurance de ce bon vieux Scott Fitzgerald : « Il faut savoir que les choses sont sans espoir, mais néanmoins essayer de continuer à les changer. » Comptez sur moi pour mouiller la chemise. ».
Sincèrement,
FC”
Dedefensa, tenez bon.
Bien à vous,
FC
Olivier
20/09/2011
Monsieur Grasset,
Soyez assuré que ce n´est pas de vous dont nous doutons. Car vos textes sont remplis d´une foi qui ne laisse pas de place au doute. Votre profession de foi n´a rien à voir avec celle des avocats d´affaires ou des marchands mais bien plus de celle des médecins voire des religieux (j´emploie ici le terme religieux dans le sens de « relier » les hommes entre eux voire entre eux et avec une puissance supérieure qui est pour vous cette « intuition haute »).
Mais si vous avez senti un doute dans nos commentaires, c´est bien un doute de nous-même car il faut bien se rendre compte que 2.000/3.000 euros mensuels pour la continuation du site ne devraient représenter que quelques euros par lecteur. Et si nous (lecteurs/abonnés) ne sommes pas capables de nous mettre d´accord là-dessus, il y a bien matière à douter dans notre « foi ».
Mes commentaires ont été ceux d´une incompréhension et avaient pour objectif de créer un choc. Choc qui, je l´espère, sera propice à une remise à plat de notre engagement vis-à-vis de ce site afin de vous assurer que le front financier ne soit pour vous qu´un front mineur à un coût mineur pour nous.
Cordialement,
Olivier
Christian
20/09/2011
La remarque d Olivier me semble intéressante: Pourquoi ne pas considérer la publication du nombre dabonnés ? Ça ne changera peut-être pas grand chose, mais cela aurait au moins le grand mérite dêtre clair, nu, concret, limpide. Et si jai appris quelque chose, cest que dans certaine situation, poser les choses dans toute leur nudité, dans toute leur clarté, voir la situation telle quelle est, ça ne peut quaider à agir. Cest même parfois la seule manière de passer à laction! (Je parle de nous autres lecteurs, bien sûr, et pas de dedefensa.org, qui sait de quoi il en retourne ! Mais disposer à notre tour de cette information nous met directement devant nos responsabilités, notre volonté, notre authenticité )
(Si josais une première et très grossière estimation, je pense que nous risquerions dêtre surpris quant au nombre dabonnés. Si le nombre des visites annuelles pour 2010 fut de 1728’568, cela fait 1460 visite par jour. Je ne pense pas quil y ait 10% dabonnés parmi ceux-ci (pourquoi 10% ? Parce que cest le nombre moyen de résistants pendant la Seconde Guerre mondiale, que jai en tête, daprès de lointains souvenir scolaire), ce qui nous place déjà en dessous 140 à 150 abonnés.
Deuxième manière destimer la chose : la moyenne des donations mensuelles, davril à août, est 1360 euro. Si je me rappelle lordre de grandeur des abonnements avant le changement de formule (150 euro pour un abonnement annuel, et donc ( ?) 12.5 euro par mois), et que nous prenions ces 12.5 euro comme moyenne (supérieure) des abonnements, alors nous sommes à 108 abonnés
Bref, je dirais entre 100 et 200 abonnés ?)
georges dubuis
20/09/2011
Je ne fréquente plus le site autant qu’avant, il y a 3 ans, j’y viens toujours, certes mais les où mes propres sources se sont élargies et je deviens aussi un émetteur.Times are changing dans le sens du pressant et qu’il y a énormément d’impressions virtuelles et physiques. Depuis que j’ai tué le temps, je me rends compte qu’il est extrêmement difficile de rencontrer physiquement les commentateurs, qui trouvent çà... suspect.
Mr Grasset, je regardais le mot sérendipité sur wiki,ce matin,je pensais à DeDefensa, une rencontre chanceuse qui crée la fortitude, l’intuition haute où la foi pratique plus prosaïquement. Vous êtes un de ces multiples phares qui n’ont heureusement pas de prix mais de la valeur.
Quand on voit que le 1er blog économie, cette matière noire, celui de Paul Jorion avatar virtuel d’Attali- que je suis à la trace , attire jusqu’à 600 000 cliques où clic et que cet imposteur se remplie les poches comme çà, cool, on se demande, qu’est ce que ce public et la réponse est: à peu près l’effectif des militants de gôches, désespérés de trouver une nouvelle recette auto dérisoire autour d’une solution surréaliste, l’abolition des paris sur la fluctuation des prix.
Je connais même un situ, mourrant certes, qui lui envoie des gros chèques pour faire de la pub a Guy Debord cet éternel incompris fumeux.Misère.
Haut les curs, Philippe, l’esprit souffle et son manque encore plus.
PS j’envoie un chèque dans les prochains jours.Respect.
Olivier
20/09/2011
Bonjour,
J´étais ce matin avec un ami dans un bistrot et nous parlions de la situation actuelle. Et je lui ai raconté l´expérience que j´avais eu dans un garage automobile. J´habite en Espagne, vous savez le pays du mouvement des indignés (ou 15 M).
Bien, alors j´amène ma voiture pour la révision et la laisse au technicien, je pourrai la récupérer le soir même (quelle efficacité). En revenant chez moi, je me rends compte que j´ai oublié de dire au technicien de réviser les plaquettes de frein, ils m´avaient dit, lors de la révision précédente qu´il faudrait surement les changer. Je ne m´inquiète pas trop de cet oubli, car après tout, l´état d´usure des plaquettes cela doit pouvoir se voir très facilement, surtout pour des professionnels. Je retourne au garage le soir même, et ils me font attendre avant de pouvoir récupérer la voiture, dans la salle d´attente il y a une télévision et une machine à café. Je prends donc un café (sic ) et regarde les informations, passe alors le technicien du matin et me commente l´information du 15 M avec la culpabilité des banques, les politiques etc… Il faudrait tous se manifester et faire la révolution parce que rien ne va plus Il m´invite alors à récupérer la voiture et me donne la check-list de la révision ainsi que la facture. Je regarde rapidement la facture (pas de trace de changement de plaquettes de frein) et regarde la check-list et vois que tout est OK pour la révision des plaquettes. Ne comprenant plus trop, je lui demande si les plaquettes sont OK et il me dit que oui qu´ils les a inspectées mais que probablement dans 15.000 km il faudrait les changer. Ce à quoi je lui réponds que, ce commentaire, il me l´avait déjà donné il y a 15.000 km et lui demande de bien vouloir me confirmer si le travail avait bien été fait. Il me répond du tac-au-tac que oui. On va à la voiture et on regarde les plaquettes et effectivement le plastique était parti en fumé (tout comme les actifs des banques .). Cette petite histoire pour dire, que finalement les gens sont prompt à porter des jugements (comme ce mécanicien) sur des choses qui les dépassent, mais qu´ils font exactement la même chose à leur mesure.
Tout cela m´amène à penser que le système est bien installé dans la mentalité des gens et que pour pouvoir faire un changement, cela doit forcément passer par un travail personnel/individuel de réflexion, de volonté de changement et non ce laisser porter par la facilité, par le courant des choses.
Un site internet comme Dedefensa est un site des plus utiles dans cette perspective; et le travail, que fait Monsieur Grasset, est des plus enrichissants. Je ne comprends pas comment les abonnés, lecteurs, nous autres en définitive, nous ne pouvons pas répondre à cet appel de détresse lancé par Monsieur Grasset. Et que finalement, nous faisons la même chose que ce mécanicien, ce banquier, ce politique Avons un discours, mais n´avons pas les actes qui y correspondent. Et ce pourquoi ? Parce que 1.000 personnes ne veulent pas perdre UN café par mois pour assurer la simple survie de ce site????
Lecteurs de Defensa, faisons cause commune et montrons que nous ne sommes pas si totalement imprégnés de ce Système (que nous aimons critiquer) et que nous pouvons nous montrer solidaire d´une entreprise qui est, non seulement nécessaire, mais également humaine
Olivier
Andros
19/09/2011
La ruine de l’Antiquité fascinait l’époque des Lumières finissantes, avec notamment , en cette même année 1776 où Adam Smith publiait « La richesse des nations », le britannique Edward Gibbon publiait son « Histoire de la décadence et de la chute de l’Empire romain ».
En 1939, le livre « Les raisins de la colère » s’achève sur une scène hautement symbolique. Une jeune mère, qui a vécu l’éclatement de sa famille par la Grande Dépression et une chute continuelle vers le dénuement, se retrouve au milieu de la désolation calme et morne d’un Déluge qui finit d’emporter les derniers vestiges de la civilisation. Son enfant est mort, elle allaite un vieillard affamé. L’hiver 1932-1933, c’était déjà le grondement de l’Apocalypse.
Dans la culture des Etats-Unis, l’Apocalypse selon Saint Jean tient une place de choix, alors que texte est d’un intérêt bien plus mince en Europe. Elle est ressentie à la fois comme un châtiment pour cette Sodome & Gomorrhe, cette Grande Prostituée régnant sur le monde, mais aussi comme une libération et un retour au jardin d’Eden, qui ressemble furieusement au 19ème siècle américan tel qu’il fut fantasmé par Hollywood. Un exemple des plus directs est le roman (puis le film) « The Postman ». Tea Party est en partie bâti sur ce fantasme (adulation du “cowboy d’opérette président” R. Reagan incluse).
Une partie des « survivalistes » américains vit dans cette optique d’un chambardement certes immense (car *américain*, en quelque sorte) mais auquel on survivra car on aura accumulé armes, munitions et nourriture que l’on se gardera bien de donner aux nécessiteux car ce serait gâché.
Il y a dans cette vision des survivalistes « mainstream »une réelle rage, une impatience de régler ses comptes dans un Grand Soir sans programme politique, et qui ressemblerait quand même beaucoup aux pogroms médiévaux.
Or, pour une autre frange des survivalistes, qui sont plus des « alternatifs » cherchant à vivre sainement, ou au moins d’une manière moins toxique que l’américain moyen (« leaving the rat race »), l’effondrement est celui du Système (tel qu’il est décrit par Dedefensa). Les influences sont multiples, mais une des références récurrente est le Manifeste d’Unabomber (où Theodore Kaczynski s’inspire confusément des écrits du théologien français Jacques Ellul, dans une sorte de « remake » US).
Dans tous les cas, il s’agit de gens accablés mais non encore broyés par le Système, très souvent issus de cette fameuse classe moyenne qui n’a cessé de se déliter depuis au moins les années 1980, et qui semble vivre ses derniers moments. Les survivalistes “mainstream” ont encore l’illusion de valoir plus que cette immense classe populaire, en grande paupérisation, que sont devenus les Etats-Unis.
Un film de 1972, « Delivrance » du britannique John Boorman, nous livre un regard intéressant sur cette illusion. Il montre des citadins dans un endroit « sauvage » encore présérvé du Système, mais que celui-ci va bientôt dévorer (un barrage va être construit). Un de ces citadins est Burt Reynolds, héros viril de l’époque s’il en est, qui se professe d’une forme de survivalisme, hésitant entre le « mainstream » et « l’aternatif ».. Pourtant face à l’accumulation des difficultés il se « dégonfle », et c’est un pékin moyen qui doit tirer les marrons du feu pour tout le monde. Les locaux sont à la fois source danger mais aussi d’humanité, une famille les incluant dans leur cérémonie de deuil.
Le survivalisme « mainstream » est une expression du Système. On en tire les moyens de vouloir s’en affranchir, sans le pouvoir : les critères de valeur ont été faussés par le Système, ce n’est qu’un marketing ciblé de plus, comme le 4x4 qui permet de rêver à l’évasion et à la liberté en attendant la fin de l’embouteillage des heures de pointe.
Il y a bien, dans chaque cas, la perception d’un monde moribond, avec l’espoir ou la certitude d’y survivre, comme on croit finalement à la vie après la mort. Peut-être les caves emplies de boîtes de conserve et de munitions sont-elles nos momifications à nous (avec les bunkers du CMI - « Continuity of Goverment » en guise de Vallée des Rois, pour l’émerveillement de sociétés d’un avenir lointain).
Mais lorsqu’on se prépare à vouloir surmonter l’Apocalypse, c’est que l’on a décidé que le monde ne pourrait plus être sauvé, engoncé qu’il est dans son surplus de puissance inutile. Lorsque non seulement vos amis ne peuvent plus vous sauver de votre démarche suicidaire (Veto français de 2003 ?), mais même vos propres gens, cela signifie simplement qu’il est trop tard.
dont acte
19/09/2011
enfin opter pour la publicité serait moins une infamante contradiction quune énième version de «la corde pour les pendre».
dont acte
19/09/2011
Pardonnez mes mots sans doute trop durs (qui aime bien, etc.)
mais foin dangélisme ! La fin justifie les moyens. Salissez-vous un peu, que diable !
Cest à ce prix que vous pourrez poursuive votre uvre, déchiffrer les mutations de notre monde et le faire savoir, continuer de faire bouger les consciences. Quimportent les moyens qui vous permettent de poursuivre votre entreprise, de subsister.
Bref, à moins que vous jugiez votre amour-propre, votre « pureté » plus importante que votre noble tâche, osez ce compromis, fût-il compromission : faite de la publicité. Ainsi, vous pourrez durer, persister et signer encore les nombreux commentaires qui vous restent à écrire.
Laurent Caillette
19/09/2011
J’expédie ce jour-même un don équivalent à deux cafés par jour pendant un an. Je laisse la direction financière de de defensa choisir entre le pic de caféine et une représentation mensualisée d’aspect moins violent.
Qui dit mieux ?
Longue vie à de defensa.
ericb
19/09/2011
voir à ce sujet le site :
( fortement déconseillé aux âmes sensibles)
Les personnes qui s’ occupent de ce site ont mis en place dés le départ une stratégie de confidentialité de leurs identités et de leurs adresses IP…
Il y aurait beaucoup à dire sur le fait que d’une manière générale, les menteurs, les escrocs, les assassins et à fortiori les tortionnaires ne supportent absolument pas d’être mis en face de leurs actes.
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