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APOCALYPSE NOW

Article lié : Candidat de l’apocalypse (modèle iranien)

ZC

  13/01/2012

RON PAUL l’homme dont on ne parlait jamais (sauf ici bien sûr et merci, merci, merci) panique le système mainstream media, lire à ce sujet l’express de ce soir, du grand “journalisme” soit:
de l’art d’informer sur le phénomène que l’on ne peut plus taire et de le dézinguer en énonçant contre lui et ceux qui le supportent tous les lieux communs de la mal pensance, un chef d’oeuvre!!!
mais aujourd’hui ce vendredi 13 est à marquer d’une pierre blanche: perte du triple AAA de la FRANCE, le festival Melenchon d’hier soir a du y être pour quelque chose.Avez vous vu les journalistes lui faire face, vous auriez adoré, grand moment de plaisir dont nous étions depuis longtemps frustrés.
Désordre, désordre quand tu nous tiens.
En résumé, RON PAUL, MELENCHON,perte triple A, euro qui devisse tout ça à 24h près, 2012 tient ses promesses.

Manager la mis-information?

Article lié : Le succès comme échec final du Système

Richard RUTILY

  13/01/2012

Le document “2010–11 Major Projects Report” est un document Australien qui passe en revue tous leurs programmes. On y découvre Page 261/544 que pour ce qui concerne le F35 - JSF parmis les 11 “Major Challenges” celui-ci :

. Appropriately manage JSF misinformation in the media.

israel sont ils les seuls à monter des super PACs?

Article lié : Un acteur (attendu) dans les présidentielles US : Netanyahou

Nicolas

  13/01/2012

On parle beaucoup de l’influence encore plus incontrôlable du business “corporate” sur les élections via les nouveaux super PAC.

Il y a deux jours, je me posais justement la question de la possibilité de pays (je pensais plus à la chine et l’Iran) d’utiliser ce mécanisme pour influencer eux aussi.

Et justement, cet article qui tombe à point pour démontrer que c’est possible et déjà utilisé par israel.
On pourrait supposer que la chine a tout intérêt à dépenser quelques dixaines ou centaines de millions de dollars de réserve dans divers super PAC pour aider un candidat qui promeut un dollar fort (Ron Paul) qui assurera la perrénité de la valeur de la dette US à long terme.
Et l’Iran pour aider un candidat qui ne leur est pas hostile (Ron Paul encore).

Si quelqu’un a des infos sur ce sujet??

Merci encore pour votre site et vos articles, souvent trop long à mon gout mais toujours instructifs et qui procurent un angle intéressant.

L'absence de la diplomatie européenne

Article lié : La Chine, désormais partie prenante majeure de la crise iranienne…

Jean-Paul Baquiast

  12/01/2012

Cette absence est particulièrement de mauvaise augure pour l’Europe quand on voit toutes les possibilités d’actions qu’une Europe indépendante pourrait avoir dans la crise du détroit d’Ormuz. Sans copier exactement la position chinoise, elle pourrait s’en inspirer, ce qui ferait enfin de l’Europe une puissance respectable.
Aujourd’hui les chefs d’Etat européens, à la remorque des USA, confirment leur inexistence existentielle, si l’on peut dire. Pas de quoi pour nous d’être fiers d’être européens.

La guerre de Troie n'aura pas lieu

Article lié : Contre l’Iran, leur “politique de l’assassinat” qui les définit si bien

carole

  12/01/2012

L’inertie du système et des psychologies que vous décrivez ressemble en tous points au phénomène que met en scène le diplomate Giraudoux dans sa pièce.

On a l’impression d’assister à un mécanisme implacable qui mène à une fin inéluctable, quels que soient les obstacles ou les parades qu’on lui oppose.

“HECTOR
Elle aura lieu.

CASSANDRE
Le poète troyen est mort… la parole est au poète grec.”

Whoever

Article lié : Contre l’Iran, leur “politique de l’assassinat” qui les définit si bien

Philippe Le Baleur

  12/01/2012

“Whoever is killing Iran’s scientists is clearly willing to risk catastrophic consequences that could engulf the région”. Il est clair que ceux qui tuent les scientifiques iraniens veulent risquer des conséquences catastrophiques qui pourraient englober toute la région.

Comme toujours lorsqu’il s’agit de la politique occidentale des dernières décennies, on peut interpréter les événements de deux façons. Soit les dirigeants occidentaux sont stupides, soit ils sont très intelligents.

S’ils sont stupides -ou bloqués par un Système aveugle, comme vous semblez l’affirmer-, alors ils agissent à l’opposé des intérêts de leur propre civilisation occidentale, pour ainsi dire sans le faire exprès, par bêtise ou conformisme… Mais il y a une autre solution.

Il est fort possible que ces dirigeants agissent parfois DELIBEREMENT à l’opposé des intérêts de leur pays, mais pas de leurs propres intérêts.

Les plus âgés d’entre nous se souviennent certainement des tractations entre Arabes et Israéliens dans les années 70. Toutes les fois où une ouverture de paix apparaissait, un événement soudain ramenait la situation à son état antérieur de guerre et de haine. Des deux côtés, ils y avait des factions “illuminées” extrémistes, dont l’alliance objective empêchait efficacement tout progrès.

Nous retrouvons ce genre de cas avec la tension internationale actuelle. La situation des rapports entre l’Iran et les Occidentaux a abouti à un “stalemate”, où toute évolution ne peut conduire qu’à une forme d’arrangement amiable. Les Israéliens extrémistes, très habiles comme d’habitude, l’ont compris à l’avance. Ils ont donc entretenu une tension guerrière artificielle, juste destinée à temporiser en attendant le coup suivant.

Leur politique d’assassinats ciblés est mise en oeuvre, comme vous le dites dans l’article, non pour empêcher le programme nucléaire iranien, mais pour irriter les ayatollah et leur faire commettre une erreur… Mais les Iraniens savent aussi jouer aux échecs.

En réalité, le sens de toutes ces gesticulations est la volonté guerrière des milieux dirigeants occidentaux.

Comme toujours, Monsieur Whoever essaie de détourner la colère grandissante des peuples vers des ennemis fictifs… Car Monsieur Whoever aime la guerre.

Si des anges n’interviennent pas, nous sommes partis pour une nouvelle guerre mondiale, plus meurtrière que toutes les autres. Nous plaignons ceux qui ne croient pas en Dieu.

langue et identité

Article lié : Bons baisers de Hongrie

Léon Chibolet

  10/01/2012

  Je suis persuadé qu’en Europe (et sûrement dans d’autres continents) des groupes sociaux vivent leur identité au plus prêt de la langue qu’ils parlent, parce qu’elle a résisté, qu’elle est compliquée et qu’elle a une histoire. Pourrait-on dire que leur langue est l’une des composante de leur patrie?
  Etant issu du gros boudin des langues latines, marinant depuis longtemps dans l’autre boudin des langues germaniques, je vois bien que dans le cadre de l’assemblée européenne, parler le magyar et vouloir en maintenir la présence, ne doit pas être bien vu par cet ensemble d’humanistoïdes toujours prêts à condamner ceux qui ne jouent pas leur partition.
  Je pense que les hongrois ont bien compris que des forces multiples, voudraient bien voir disparaître leur langue et eux en même temps en tant que peuple de Hongrie. N’est-ce pas déjà ce que voulait faire le traité de Versailles qui humilia ce pays?
Ils ont bien raison de se bagarrer!
  Il me semble que cette proximité entre des langues non-indo-européennes et leur résistance aux institutions ravageuses de l’Europe américanisée a des sources vitales. L’épuisement de la résistance basque signifie-t-il la fin de leur langue et quelque part de leur identité?

Merci

Article lié : “Faire monde” par-delà le Système (Dialogues-33)

Markus Hege

  10/01/2012

Mr. Steiner,

Je tiens à vous remercier de m’avoir fait découvrir Kenneth White il y a de ça deux ans, ainsi que pour cette explication qui apporte du sens.

Cordialement,

Markus Hege

et pendant ce temps-là...

Article lié : Les sanctions contre l’Iran, manifestation de l’épisode maniaque

pierre

  10/01/2012

désordre et incohérences à tous les étages…

http://www.commondreams.org/headline/2012/01/08

Published on Sunday, January 8, 2012 by CommonDreams.org

Panetta: Iran Not Building a Nuclear Weapon

Secretary of Defense Leon Panetta appears on CBS’ Face the Nation this morning and declared, despite enormous public rhetoric among pundits and many US government officials - not to mention GOP presidential candidates, that Iran is not currently trying to build a nuclear weapon.

The Associated Press reports today:

[Panetta] says Iran is laying the groundwork for making nuclear weapons someday, but is not yet building a bomb and called for continued diplomatic and economic pressure to persuade Tehran not to take that step.

As he has previously, Panetta cautioned against a unilateral strike by Israel against Iran’s nuclear facilities, saying the action could trigger Iranian retaliation against U.S. forces in the region.

The comments suggest the White House’s assessment of Iran’s nuclear strategy has not changed in recent months, despite warnings from advocates of military action that time is running out to prevent Tehran from becoming a nuclear-armed state.

Iran says its nuclear program is only for energy and medical research, and refuses to halt uranium enrichment

And although such comments pair with Iran’s insistence that its nuclear program is strictly for domestic non-military purposes, and despite renewed warnings to US-allied Israel not to strike Iran prematurely, Chairman of the Joint Chiefs of Staff Gen. Martin Dempsey, who joined Panetta on Face the Nation rattled the US saber without mistake, saying:

he wanted the Iranians to believe that a U.S. military strike could wipe out their nuclear program.

“I absolutely want them to believe that’s the case,” he said.

Panetta did not rule out launching a pre-emptive strike.

As such threats from both Israel and the United States continue it’s little wonder the Iranians would seek to put their nuclear facilities beyond the reach of incoming airstrikes. As Reuters reports:

Iran will in the “near future” start enriching uranium deep inside a mountain, a senior [Iranian] official said.

[...]

A decision by the Islamic Republic to conduct sensitive atomic activities at an underground site - offering better protection against any enemy attacks - could complicate diplomatic efforts to resolve the long-running row peacefully.

Iran has said for months that it is preparing to move its highest-grade uranium refinement work to Fordow, a facility near the Shi’ite Muslim holy city of Qom in central Iran, from its main enrichment plant at Natanz.

Responding to threats by Iran to close the Strait of Hormuz to oil shipments, Panetta did not hesitate to raise the possibility of military intervention yet again. According the Agence France-Presse:

“We made very clear that the United States will not tolerate the blocking of the Straits of Hormuz,” Panetta told CBS television. “That’s another red line for us and that we will respond to them.”

Panetta was seconded by General Martin Dempsey, the chairman of the Joint Chiefs of Staff, who said Iran has the means to close the waterway, through which 20 percent of the world’s oil passes.

“But we would take action and reopen the Straits,” the general said.

Optimiste !

Article lié : “Faire monde” par-delà le Système (Dialogues-33)

Dedef

  10/01/2012

Vous ne semblez pas très loin de la théorie de GAÏA, à moins que l’avenir n’ait pas besoin de nous.

Aircraft carriers but no jets to fly from them is “a caricaturists dream.”

Article lié : La Royal Navy, annexe dévastée d’une U.S. Navy chancelante ?

Dedef

  10/01/2012

Complément d'info

Article lié : L'Iran et l'incertitude du général Dempsey

Anonyme

  10/01/2012

Lire cette trés bonne analyse Mahdi Darius Nazemroaya

http://www.voltairenet.org/Would-the-US-be-defeated-in-the

La géographie est un aspect que j’ai souvent négligé. Sa conclusion explique certaines réactions :

Washington has been on the offensive against Iran using any means at its disposal. The tensions over the Strait of Hormuz and in the Persian Gulf are just one front in a dangerous multi-front regional cold war between Tehran and Washington in the broader Middle East. Since 2001, the Pentagon has also been restructuring its military to wage unconventional wars with enemies like Iran. [10] Nonetheless, geography has always worked against the Pentagon and the U.S. has not found a solution for its naval dilemma in the Persian Gulf. Instead of a conventional war, Washington has had to resort to waging a covert, economic, and diplomatic war against Iran.

En fait la conclusion Mahdi Darius Nazemroaya rejoint les votres, c’est à dire que l’affrontement relève plus de la guerre psychologique, que d’une guerre tout court, que les deux belligérants veulent éviter à tout prix.

Cordialement.

Dilemme de Washington

Article lié : L'Iran et l'incertitude du général Dempsey

Anonyme

  10/01/2012

Vous avez trés bien résumé la situation concernant les limites materielles et psychologiques de l’armée des Etats Unis. Toutefois encore faudrait il ajouter que si guerre il y a, c’est à dire guerre aérienne, elle ne pourrait aboutir à la neutralisation totale du programe nucléaire iranien, en ce sens que que l’Iran a maintenant acquis le savoir-faire nucléaire. Même si vous tuez un, deux, dix savants, et détruisez toutes les centrales, le savoir-faire est toujours , et les iraniens reconstruiront méticuleusement tout ce qui a été endomagé.
Le compétence technologique est une chose qui ne peut être détruite que par ce qui a été fait en Irak, c’est à dire :
Embargo, blocus, puis intervention militaire au sol brutale, 1 million de civils massacré, et plus de 300 scientifiques irakiens exécutés par Israèl, mais….L’Iran n’est pas l’Irak, et encore moins la Libye, l’echelle n’est pas du tout la même, la psychologie - terme si chère à DeDefensa- diffère complètement. Pour atteindre leur but les américains vont se saigner à blanc. Les américains sont capables avec beaucoup de mal à renverser militairement le régime iranien -même si c’est encore discutable, puis que les américains aujourd’hui négocient, , via la Qatar, le retour au pouvoir du Mollah Omar, qu’on nous avait présenté comme l’un des pires des monstre terroriste en 2001-, mais pas d’installer un autre régime qui leur soit favorable. Apparement le savoir faire que les USA avaient en 1945, a été perdu semble-t-il, parce qu’on ne peut pas dire que Nouri Maliki soit le dirigeant irakien que Georges Bush père et fils révaient, cependant Obama l’a fait. On ne peut pas dire non plus que Karzai soit trés coopératif avec ces mêmes américains qui l’ont installé. Je n’ai même pas parlé de leur déficit budgétaire astronomique, qui pourrait provoquer une implosion du pays.

Résumons, l’intervention au sol en Iran, en l’etat actuel des choses, pour les Etats Unis il n’en est pas question, alors guerre aérienne ? Pour obtenir quoi ? La destruction de Bushehr, Natanz, et peut être Fordo ?... A condition que les USA utilisent l’arme nucléaire tactique. Si tel est le cas, inutile de dire que les pays comme le Brésil, l’Argentine, Vénézuela,  les Corées, le Japon et d’autres, vont accélérér la mise au point de cette arme décisive. Par ailleurs sans intervention au sol décisive on peut facilement parier que d’ici quelques années, si ce n’est pas quelques mois, l’Iran mettra au point son arme nucléaire tactique -si ce n’est déjà fait ?-, Au final l’Iran sera de toute façon une puissance nucléaire, ce que ne voulait pas les psychopates de Tel Aviv, éh bien ils vont l’obtenir.

L’autre alternative pour les USA est de ne pas intervenir, si c’est le cas, à terme c’est l’ensemble de l’ancien tiers monde qui va accéder à sa véritable indépendance, c’est à dire le savoir faire technologique,dans tous les domaines. Et ce jour là on traitera avec le Ghana, le Gabon, le Bangladesh, le Venezuela, le Chili comme on traite avec la Novège, la Suisse, la Hollande, l’Australie, la Nouvelle Zelande. Peut être que l’imigration se fera de l’autre sens, si le thais, comme l’ivoirien est capahle de fabriquer des microprocesseurs, faire des voitures, des fusées pour aller sur Venus,  La fin d’un monde ? On a toujours été conditionné à voir en l’homme noir qu’un être inférieur, y a qu’à regarder les films de Tarzan et les noirs dans les années 30, leur version moderne dans Starsky & Hutch, avec les bons nègres Huggy et le gros capitaine Dobbey. Quand c’est pas la danse avec Michaèl Jacskon. De ce monde qui se transforme ...jamais à Tel Aviv où Washington on en voudra. Et pourtant histoire de revenir sur terre, on le constae chaque jour,, chaque semaine, chaque mois, l’influence de plus en plus déclinante de Washington, ce qui m’amène à penser comme l’avait fort justement estimé le NIE en 2008, qu’Israèl -donc la bras armé de l’occident, donc l’occident- n’a plus que vingt ans tout au plus à exister. La CIA l’en avait déduit du fait du déclin avancé de la puissance des Etats Unis et du Royaume Uni qui va s’accélerer au cours de cette année, et surtout de l’actuelle décénnie.

Pour conclure guerre où pas contre l’Iran, ce pays -comme en 1950 avec Mossadegh, ironie de l’histoire. A l’époque les britaniques croyaient les iraniens incapables d’exploiter leur pétrole, aujourd’hui ils nous démontrent, et c’est peut être là la vraie indépendance, qu’ils sont capables de raffiner leur propre essence à partir de leur pétrole, plus besoin de BP, Totale, Esso, plus besoin de l’occident.  70 ans aprés Mossadegh, c’est sans doute l’un des plus grands faits, pour les pays du tiers monde- sera le catalyseur du déclin des USA, soit par la guerre -qui va accéleraer le processus du déclin, et peut être implosion des USA-, soit par la retenue, c’est à dire la non guerre et donc l’éviction des Etats Unis du Moyen Orient, et par conséquent la fin du gendarme du monde.

Tel est le dilemme à Washington….

Précisions

Article lié : La crise iranienne de plus en plus intégrée dans la crise générale

hannibal hannibal2003

  09/01/2012

A cela il faudrait ajouter que le Japon, et la Corée du Sud refusent d’appliquer les sanctions unilaterales américaines :

http://www.presstv.ir/detail/219634.html
[quote][i]
We are not considering banning imports,
[/i] [/quote] d’aprés le ministère des affaires étrangères. Donc on le voit aprés les pays du Brics, c’est maintenant Japon et Corée du Sud qui refusent d’appliquer les sanctions américaines.

Si on fait un petit décompte, on est pas loin de la moitié de la planète qui refusent d’appliquer ce que Washington et Tel Aviv souhaitent.  C’était bien le cauchemard de Washington.

à noter dans le Washington Post d'aujourd'hui (9-jan-2012)

Article lié : Défaite-victoire dans l'Iowa

Michel DELARCHE

  09/01/2012

une remarque intéressante d’un éditorialiste qui rejoint vos analyses sur le double rôle excitateur/perturbateur de Ron Paul dans les Primaires américaines:
The ideological fervor in the party might have overcome the frailties of its candidates and mobilized the faithful anyway. But so far, this hasn’t happened. The crowds at rallies and events have been far from exceptional, and at least in the Iowa caucuses, turnout almost certainly would have been down from 2008 but for the independents and young people brought into the caucuses by Ron Paul. Many of these libertarians and peace activists will not naturally fit into the GOP, and can’t be counted on to support the party’s nominee.

un autre article insiste sur la ferveur que Ron Paul déclenche parmi les “nouveaux convertis”, mais le plus intéressant à lire est la kyrielle de commentaires sur cet article… que je vous laisse découvrir