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My point,exactly!

Article lié : La Syrie, de al Qaïda à DEBKAFiles

Fabrice

  13/02/2012

J’ai toujours pensé aussi que l’étrange tendance de certain à tout imputer aux machiavéliques “contrôleurs” de ce monde était peu réaliste.

Dans machiavélique, en plus du sens de maléfique il y a aussi le sens d’intelligence que j’avais du mal à voir dans la politique BAO.

Ce n’est pas chez nos chers dirigeant qu’on irait trouver une intelligence maléfique…. Bien malheureusement!

Le cancer gagne l'empire Murdoch

Article lié : Les Etats de l’Union, la libération du dollar et la sécession

Francis Lambert

  13/02/2012

“Le scandale autour de l’empire Murdoch, ouvert par l’affaire des écoutes, est en train de prendre une nouvelle dimension, explique The Observer,  parlant de “cancer”.

D’abord parce que ce n’est plus News of the World qui est concerné mais The Sun, le premier quotidien britannique, dont quatre journalistes ont été arrêtés le samedi 11 février. ()

Ensuite parce que le scandale a changé de nature : il ne s’agit plus seulement d’écoutes illégales, mais aussi de pots-de-vin versés à des fonctionnaires contre des informations.

Enfin parce que la justice américaine pourrait dès lors ouvrir une enquête contre News Corporation ()”

http://www.courrierinternational.com/breve/2012/02/13/le-cancer-gagne-l-empire-murdoch

Dedefensa avait bien vu tout cela

Article lié : Le Rafale, de la Suisse au Brésil, en passant par l’Inde

Jean-Paul Baquiast

  13/02/2012

Saluons la pénétration et la compétence de notre ami Grasset qui depuis de nombreux mois avait bien vu se confirmer la supériorité tous critères réunis du Rafale…
Je dis souvent que, lorsqu’il en aura le temps, il dispose de tous les éléments pour proposer une saga politico-technique détaillée du destin de ce qui restera les deux avions de combat emblématiques de notre époque, l’un pour son succès, le Rafale et l’autre pour ses échecs, le F35

Faillites ou renflouements ... la Grèce recrée toujours une nouvelle dette

Article lié : Le laboratoire grec et l'infamie du Système

Francis Lambert

  13/02/2012

« Même avec une répudiation intégrale de la dette grecque, la situation ne serait pas tenable », jugent même les experts d’UBS dans une note consacrée au pays.

Le déficit public primaire grec (hors paiement des intérêts de la dette) serait ainsi estimé à 5 % à 6 % du PIB en 2011, calculent-ils. Avec des compteurs remis à zéro, le pays continuerait donc de « fabriquer » trop de dette.

De fait les difficultés de la Grèce ne sont pas seulement le fruit d’une gabegie de la dépense publique mais aussi le résultat des faiblesses structurelles de son économie.
« Son industrie est l’une des plus petite de la zone euro », souligne Jésus Castillo, chez Natixis : la valeur ajoutée industrielle représente 8 % du PIB grec contre 20 % en Italie ou 14 % en France, poursuit-il. Pour fonctionner « normalement » le pays ne produit donc pas assez et a sans cesse besoin de capitaux extérieurs.

« DES CHOSES INFAISABLES »

1. Pour inverser cette tendance, il faut donc réduire les dépenses publiques mais aussi, et surtout, doper les exportations. Problème : reconstruire une industrie et rendre le pays plus compétitif ne peut se faire du jour au lendemain. Cela réclame du temps mais aussi de l’argent. La manne de la troïka sera sans doute consacrée à cet objectif mais qui seront les autres financiers assez audacieux pour investir en Grèce ?

2. L’autre option, plus rapide et plus douloureuse, consiste à jouer en priorité sur les importations afin de réduire la demande intérieure.
Grâce à cette tactique, le Portugal, lui aussi sous assistance financière, n’est-il pas parvenu en 2011 à rendre plus toniques ses exportations ? Mais en Grèce le déséquilibre est tel que les chiffres pour y parvenir semblent hors de portée : selon M. Probyn, l’économiste de State Street, une telle option reviendrait à réduire le PIB de 20 % à 25 %. La récession se transformerait alors en dépression.

3. In fine, la Grèce n’aurait-elle pas intérêt à sortir de la zone euro pour se rétablir ?
C’est ce que pensent certains. En dévaluant la monnaie le pays parviendrait peu ou prou au même résultat mais d’une manière plus indolore. Sauf que là encore le résultat risque de ne pas être convainquant. Au-delà des effets politiques et financiers potentiellement désastreux, cette solution serait inutile tant que l’industrie grecque est quasi inexistante, rappelle M.Probyn.

En résumé le dispositif prévu semble pour l’heure inadéquat pour redresser le pays à long terme. « On pousse la Grèce à faire des choses infaisables. C’est sans doute ça l’ultime erreur », conclut Mme Valla.

Extraits de l’article de Claire Gatinois
http://www.lemonde.fr/crise-financiere/article/2012/02/13/la-cure-d-austerite-ne-suffira-pas-a-redresser-l-economie-grecque_1642532_1581613.html#ens_id=1508090

Une balle dans le pied...

Article lié : Le Rafale, de la Suisse au Brésil, en passant par l’Inde

Morbihan

  13/02/2012

Mon Dieu (ou bien Allah, ou bien Yahvé, ou quiconque…), que Sarko ne nous tire pas, d’ici la fin de son mandat, une nouvelle balle dans le pied, comme il est parvenu à le faire si bien avec la Suisse et le Brésil.

Ceci dit, rendons grâce aux ingénieurs de chez Dassault, comme à leurs utilisateurs (AdA et Aéronavale), qui auront su développer un appareil sans réelle comparaison et, ceci, pour un budget largement inférieur (20%?) à celui du Typhoon. Quant à celui du JSF :-) cough cough cough comme diraient certains anglo-saxons

Le protectorat

Article lié : Le laboratoire grec et l'infamie du Système

Arrou Mia

  13/02/2012

Ou l’invention de la nouvelle démocratie pour la Grèce

Les quelques quarante députés qui ont voté hier soircontre le nième plan d’austérité ont été radiés de leurs partis ( droite et gauche)
La fondation de la démocratie athénienne avait coïncidé avec la suppression de la prison pour dette, en 2012, la nouvelle version valide la sujétion des peuples pour dette.

Henry le prophète...

Article lié : Le laboratoire grec et l'infamie du Système

Jack v.

  13/02/2012

Voilà un article qui prétend rapporter des propos de Kissinger…

—> http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=28610

Soit le vieux Henry est gâteux ( si c’est lui) soit il tente un coup de bluff pour intimider les fortes têtes du conseil de sécurité laissant entendre que les US ne désirent que la confrontation armée parce qu’ils encore ont plein de joujoux technologiques que les autres ne sont pas censés avoir.

Dans ce deuxième cas, on peut se demander pourquoi ils n’ont pas attaqué plus tôt, lorsque leur avance technologique et leur moral les avantageait beaucoup plus puisque de toutes façons ils n’ont que faire de l’avis du reste du monde mondiale.

Le socialisme, l'étatisme, ça colle !

Article lié : Le syndrome sioniste

Daniel

  12/02/2012

> il serait sans doute vain de rappeler qu’en 1929 les Usa n’étaient pas socialistes avec leur taux de chômage à 40% et que sous Bush et Obama ils ne le sont pas davantage

Ce serait surtout faux.
Le socialisme, ce n’est pas comme le Port salut, ce n’est pas toujours marqué dessus !

Les USA actuels croulent en effet sous le socialisme, à peine moins que nous (et aussi l’impérialisme).
En effet, dès qu’on impose à des citoyens des dépenses auxquelles ils n’ont pas expressément consenti, on est en socialisme ; cela se traduit par une monnaie unique imposée, des taxes (Pierre-Joseph Proudhon disait qu’à partir de 7% d’imposition, on quittait le socialisme pour entrer dans la tyrannie ; que dirait-il des USA ?!), de l’interventionnisme de l’état, une absence de referendum d’initiative populaire mais des élections aux mains de lobbies où les élus ne représentent pas le peuple…

Quant à 1929, voici les explications libérales, prenant en compte le fait que l’état “tripatouille” la monnaie, donc empêche l’équilibre, donc déclenche des crises qui ne sont que retour brusque à cet équilibre :

Les auteurs libéraux s’accordent pour rendre l’État responsable de la crise, mais avancent des causes précises différentes : pour Milton Friedman c’est la politique déflationniste qui est coupable, pour Ludwig von Mises et Murray Rothbard c’est la politique inflationniste, pour Jude Wanniski, c’est la loi protectionniste sur les tarifs douaniers qui est à blâmer.

Les historiens, souvent apologistes des pouvoirs en place et ignorants en matière d’économie, expliquent la plupart du temps la Grande Dépression par un soit-disant “refus d’intervenir” du Président Hoover, ou par une simple “surproduction”, voire par le laissez-faire ou le marché libre.

En réalité, la cause profonde de la crise de 1929 est bien l’interventionnisme étatique :

1   une expansion inflationniste : le tout jeune système de réserve fédérale (banque centrale des États-Unis) favorise l’expansion de la masse monétaire pour accompagner la croissance économique ;
2   les États-Unis accordent des prêts à bas taux d’intérêt aux pays européens (et notamment à la Grande-Bretagne qui s’efforce sans succès de maintenir la parité de sa monnaie en équivalent or) pour favoriser les exportations américaines, ce qui accroît encore l’inflation.

Comme toujours dans la plupart des “bulles”, l’inflation du crédit engendre une fausse prospérité, et se traduit par des cours de Bourse déconnectés de la réalité économique, jusqu’au retour au réel par un krach qui peut se produire lors d’un “jeudi noir” comme celui du 24 octobre 1929 (en quelques heures l’indice Dow Jones perd 22,6 %). Sans banque centrale pratiquant impunément l’argent facile et l’inflation pour complaire à une clientèle politique, la Grande Dépression n’aurait pas eu lieu - ce qui ne signifie pas non plus que sur un marché complètement libre il n’y aurait jamais de cycles d’expansion-récession, mais ces cycles naturels n’auraient pas l’amplification causée par l’interventionnisme étatique.

Les efforts des politiciens de l’époque, Herbert Clark Hoover, puis Franklin Delano Roosevelt, malgré la légende du “New Deal”, n’ont en rien réglé la crise, qui ne prendra fin qu’avec la Seconde Guerre mondiale. La crise aura ensuite été l’occasion pour Keynes d’exposer ses théories et ses “solutions” à base de manipulations monétaires, aujourd’hui bien dépassées et réfutées par Milton Friedman ou Friedrich Hayek. (...)

http://www.wikiberal.org/wiki/Grande_D%C3%A9pression

Retour aux monnaies nationales : c'est parti.

Article lié : Les Etats de l’Union, la libération du dollar et la sécession

BRUNO ARFEUILLE

  12/02/2012

Dimanche 12 février 2012 : Kastelórizo ou Megísti est une île de Grèce, baignée par la mer Méditerranée orientale et située à moins de cinq kilomètres de la côte Sud de la Turquie, environ 110 kilomètres à l’est de Rhodes. Le 23 avril 2010, Georges Papandréou s’y rend, pour nous annoncer par un très mauvais direct télévisé et en moins de six minutes que « la Grèce accepte le Mécanisme de soutien économique, institué par le Fond Monétaire International, l’Union Européenne et la Banque Centrale Européenne (…) Les marchés ne nous laissent pas le temps (…) Mais les partenaires de la Grèce nous offrent cette possibilité, afin de conduire notre navire dans les eaux d’un port alors protégé, pour pouvoir ainsi le réparer, utilisant des pièces solides et fiables (...) ». Notre dernière île si loin au large a été depuis surnommée par les journalistes, «île du Mémorandum ». Mais plus maintenant, et de manière officielle. Car son maire, Pavlos Panigiris, vient de proclamer « le retour à la drachme et ainsi à l’indépendance » de son île : « Nous reviendrons à la drachme, car sous l’euro notre patrie n’est plus souveraine. Pour rester libres et Grecs, il faut partir (…) Nous ne voulons plus les voir ici [ces politiciens], plus jamais » (journal des Municipalités – aftodioikisi.gr).

http://greekcrisisnow.blogspot.com/2012/02/article-120.html

Syrie, Lybie...Jusqu'où peut s'étendre la déstabilisation générale

Article lié : De la Syrie à la Libye, démonstration ad absurdum et ad nauseam

Léon Chibolet

  12/02/2012

  Ce qui me semble incroyable, c’est la vitesse à laquelle se succèdent des événements qui pour certains ont des aspects philosophiques importants:
- qu’il s’agisse des guerres du système BAO contribuant à des restructurations planétaires importantes,
- à propos des conséquences de ces agressions asymétriques sur la formation de guerres civiles inexpiables, le chaos lybien post-Otan (en attaché, l’ article du New York Times que vous citez);  bientôt, sur le même modèle, la guerre civile en Syrie.
- à propos du thème de la diffusion du chaos, en Jordanie, Turquie, Liban, Egypte, Pakistan, Algérie, etc. Il faut se demander si ces processus de déstabilisation générale peuvent atteindre l’Europe et permettre la réapparition de guerres civiles dans différents pays du continent. On peut évoquer à ce propos quelques thèmes freudiens développés dans ses ouvrages, par exemple dans Malaise dans la civilisation (P.U.F., Paris, 1971) et L’avenir d’une illusion,(P.U.F., Paris, 1971). Pour lui, les pulsions agressives, la haine entre les proches, le sadisme sont parmi les plus puissantes, bien plus que la libido,
- Faut-il rappeler que sur notre agenda “apocalyptique”, les risques de confrontation entre les USA, Israel, leurs alliés européens, et l’Iran, éventuellement soutenu par ses alliés-clients, la Russie et la Chine se rapprochent de leur terme.
 
  C’est une rude tâche que s’est donné de defensa de tenir la chronique des temps eschatologiques mais c’est aussi une nécessité étant donné le niveau de bassesse des différents médias français dans la présentation qu’ils font de la politique étrangère de notre pays. Pourtant, la France est directement partie prenante au sein des divers opérations en train de se dérouler. Très peu d’informations filtrent à propos des navires dans le golfe d’Oman, ou au large de la Syrie; où sont les Rafales? dans la base française du Qatar?
  Bref! si cela devait tourner mal pour nous, qu’au moins nous en soyons informés avant de courir aux abris!

Dixit Panarin

Article lié : Les Etats de l’Union, la libération du dollar et la sécession

Anonyme

  11/02/2012

Bonsoir,
en lisant votre article je ne peux m’empêcher de penser aux anticipations d’Igor Panarin. C’est vrai qu’il s’est trompé sur la date-il avait prédit l’éclatement de l’union pour juin 2010-, mais sur le fond,...pas si sûr, votre article illustre parfaitement les contours du processus d’implosion. Panarin parlait lui, d’éclatement de l’entité USA en zone d’intêrêts -etchniques, économiques-.

Cordialement.

Populo

Article lié : Une remarque de l'expert en idées

Arrou Mia

  11/02/2012

Si la politique n’était pas faite pour le peuple ni par lui, alors cette politique serait faite par et pour QUI sans ambiguïtés?

Ben quoi!

Par une élite qui pense et agit à sa place sans ambiguïté aucune pour ses intérêts.

Le champ intellectuel et politique est en ruine à ce point que cet énergumène en vienne à ‘théoriser’ nonchalamment et avec une insuffisance de concept alarmante sur l’inanité du ‘peuple’ , des gueux qui ne savent décidément rien au “progrès” et rien de ce qui est bon pour lui.
Quel effronté falsificateur!

Audit

Article lié : Une proposition imprévue d'usage du conseil de sécurité

Arrou Mia

  11/02/2012

Il faudra faire un audit de toutes les dettes souveraines, en commençant par les pays d’Afrique qui ont payé plus de 4 fois le principal en 40 ans.
Le FMI y a appliqué les remèdes actuellement infligés à la Grèce depuis les années 80, quand les taux d’intérêt variables ont été remontés .
Auditer également la dette française au prétexte de laquelle vous n’aurez plus ni sécurité sociale ni retraites, il y aura des surprises…

vain

Article lié : Le syndrome sioniste

Arrou Mia

  11/02/2012

@ Daniel

il serait sans doute vain de rappeler qu’en 1929 les Usa n’étaient pas socialistes avec leur taux de chômage à 40%
que sous Bush et Obama ils ne le sont pas davantage

les réflexes idéologiques quels qu’ils soient introduisent une vision astigmate du réel social

Taguieff use de procédé déloyaux et malhonnêtes intellectuellement

Article lié : Une remarque de l'expert en idées

Pascal B.

  11/02/2012

Taguieff semble toujours en mission commandée pour venir en aise au système en discréditant soigneusement tous les ferments de contestation du système par ceux qui parlent du point de vue des “perdants” de celui-ci. Son instrument de prédilection semble être l’amalgame : mélanger le pire avec le meilleurs et assimiler le second au premier.

Par exemple, parler des démocraties à tendance socialo-bolivarienne d’Amérique du sud comme de ” régimes autoritaires latino-américains” classés dans le même sac que les “droites radicales européennes”, dont on connaît les liens qu’elles entretiennent encore avec les nostalgique du IIIe Reich, ainsi qu’avec “certaines théocraties islamistes” constitue de ce point de vue une manoeuvre doublement traitresse : primo elle ose un parti pris scandaleusement mensonger en diffamant les états question. Secundo, elle les compare à des régimes diabolisé.

Ce procédé dont Taguieff est coutumier est un déshonneur pour le travail des intellectuels.  Ceci étant posé, cet extrait, en dépit encore une fois de son aspect tendancieux, présente un certain intêret de par le recours à la notion de religiosité qui habite les différents acteurs qu’ils convoquent dans cette analyse.