Forum

Pour poster un commentaire, vous devez vous identifier

Les négationnistes du changement climatique

Article lié : Technophilie verte

Jean-Paul Baquiast

  02/04/2012

Il serait intéressant de comparer le poids des forces qui ont intérêt à ce que rien ne change (charbon, pétrole, etc) autrement dit les négationnistes, et celui de ceux qui, avec le GIEC, tirent la sonnette d’alarme. Ces derniers sont économiquement et politiquement très marginaux. Les déconsidérer en leur imputant des dérives d’illuminés ne devait pas suffire à autoriser les premiers à continuer à nous mener à la catastrophe.

La Rébellion s'organise..

Article lié : Discrètement mais fermement, le BRICS devient politique

Franck du Faubourg

  02/04/2012

Un des aspects les moins commentés de cette réunion porte sur la constitution d’une structure financière internationale hors “Empire”..

Extrait AFP d’un des rares papiers mentionnant la réunion, sur boursorama.com :
“Les cinq grands pays émergents du bloc des “Brics”, ont plaidé jeudi pour la création d’une nouvelle banque de développement et
ont exprimé leur inquiétude concernant les excès de liquidités dans le système financier mondial provoqués par les politiques des pays riches.
La présidente du Brésil Dilma Rousseff, le Russe Dmitri Medvedev, le Chinois Hu Jintao et le Sud-Africain Jacob Zuma, ainsi que le Premier ministre indien, Manmohan Singh, se sont rencontrés pour le quatrième sommet des “Brics” (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du sud), à New Delhi.
“Les liquidités excessives émanant de la politique agressive prise par les banques centrales pour stabiliser leurs économies sont
en train de se répandre dans les économies des marchés émergents”, a relevé dans sa déclaration finale le bloc…”

Réponse indirecte de Robert Zoellic (http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/afp-00435895-le-president-de-la-banque-mondiale-favorable-a-une-concurrence-des-brics-308376.php) :
“Le président de la Banque mondiale Robert Zoellick s’est dit favorable, dans un entretien publié dimanche par le Financial Times sur son site internet, à l’idée du groupe des pays émergents des “Brics” de monter une banque de développement concurrente.”
.. et en conclusion: “Aucun de ces cinq pays n’a présenté de candidat à la succession de M. Zoellick, qui doit quitter ses fonctions à la fin de son mandat le 30 juin…”

Pour donner le ton, extrait d’un papier du LIESI:
“Le système monétaire que la Chine, les BRIC et leurs alliés ont mis au point, pour remplacer le système actuel a été testé jeudi et vendredi.
Il est immédiatement opérationnel. Ce système n’a aucune connexion avec le système de la Fed et avec les réseaux des banksters de l’oligarchie “...
Malheureusement sans liens, il est difficile de vérifier cette assertion…

Avec le fiasco de l’interdiction à l’Iran d’utiliser le mécanisme Swift, il est facile d’imaginer que des joutes sans merçi sont en cours..

En commentaire à la question de Daniel

Article lié : Notes sur la chute du “modèle” qui n’existait pas

Bertrand Arnould

  31/03/2012

Je ne prétend pas répondre à cette question, intéressante par ailleurs, mais il me semble, d’aussi loin que je ressente cette question, donc avec une bonne perspective, il me semble donc qu’il y a un certain flou, dans la tête de Mr lévy certainement, à son age et ne s’étant jamais remis en question il doit être psychotique et finalement électron libre, quand à israèl et ses différents centres de pouvoir, cela pourrait être le début de sa fin, dans le désordre et les options inconcilliables, une fin certainement apocalyptique

J'ai une idée

Article lié : Technophilie verte

Bertrand Arnould

  31/03/2012

Nous pourrions suggérer à Mr Liao que, au lieu d’avoir recours à l’ingenierie humaine, pour faire de grands joueurs de basket, nous pourrions demander à des artisans d’abaisser les paniers, ce qui serait plus dans le sens de sa dangereuse ineptie et en outre donnerait des chances plus égales au dits joueurs

Précision demandée

Article lié : Notes sur la chute du “modèle” qui n’existait pas

Daniel

  31/03/2012

> surarmer Assad pour en faire un écran face à l’invasion sunno-salafiste, sans doute avec l’aide du Mossad

Pensez-vous donc que BHL agit à l’envers du Mossad ?

JL Mélenchon : " une Défense souveraine et altermondialiste "

Article lié : Le “modèle JSF”, ou la “prison emprisonnée”

Olivier_47

  31/03/2012

Bonsoir M. Grasset,

Je vous propose, et aussi à la communauté DeDefensa, d’écouter le discours de JL Mélanchon sans lequel il exprime ses positions et sa vision géostratégique du monde :

http://www.jean-luc-melenchon.fr/2012/03/30/discours-pour-une-defense-souveraine-et-altermondialiste/

A ma connaissance, et à ce jour, c’est le seul candidat qui se soit livré à cet exercice. J’ai trouvé ce discours passionnant et en complète phase avec avec ce que vous exposez dans ce blog.

J’en profite pour vous remercier du formidable travail d’éclairage que vous menez, jour après jour, et qui rend cet endroit indispensable à qui veut tenter de comprendre notre - pauvre - monde.

article: de defensa et...

Article lié : dedefensa.org et la fin du mois

Léon Chibolet

  30/03/2012

Pour moi aussi, pas moyen de passer par paypal! J’ai essayé trois fois de suite

les mystères de l'électronique..

Article lié : dedefensa.org et la fin du mois

un lecteur

  30/03/2012

Afficionado de Dedefensa, il m’est impossible de faire fonctionner Paypal!
Chèque suit par courrier…
(Bientot du cash ds une enveloppe?)

Rafale India et autres

Article lié : Le Rafale en marge du BRICS

Dedef

  29/03/2012

@Morbihan (suite)

Article lié : Le “modèle JSF”, ou la “prison emprisonnée”

Richard RUTILY

  29/03/2012

En plus il faut faire une ségrégation entre le logiciel “critique” et le logiciel normal car si le module “navigation” plante il n’est pas question que les commandes de vol ne répondent plus.

Il est bien évident que le logiciel critique demande plus de travail et de tests que le logiciel normal.

@Morbihan

Article lié : Le “modèle JSF”, ou la “prison emprisonnée”

Richard RUTILY

  29/03/2012

Bonjour Morbihan

Mon taux de 250 lignes par an peut sembler un peu faible, mais c’est un taux qui ne compte que le logiciel embarqué, puisque j’imagine que la taille du logiciel dont on parle est celle de celui-ci.

Or pour le mettre au point il faut développer d’autres logiciels : on commence par faire un logiciel qui teste les interfaces, pour cela le calculateur tactique envoie les messages élémentaires relatifs à un équipement et vérifie que les réponses correspondent à ce qui est attendu. Ce programme doit être aussi simple que possible pour que sa mise au point soit facile, il est statique et ne teste que les échanges (en général sur un bus).

Il faut ensuite faire une simulation numérique de chaque équipement (on peut utiliser le programme de test des interfaces pour un premier niveau de mise au point) ces simulations serviront à l’évaluation validation du logiciel tactique. Il faut ensuite faire des programmes de stimulation des équipements : par exemple si on a une centrale à inertie il faut remplacer les accéléromètres et les gyros par des stimulations calculées par le calculateur de simulation, les injecter dans une centrale réelle branchée sur le bus afin de pouvoir tester l’intégration de celle ci au banc.

Il faut enfin faire une simulation générale qui produit des thèmes d’exercice et qui coordonne l’environnement général avec la simulation (ou la stimulation) de tous les équipements du système d’arme.

Sur ce banc les tests d’intégration vont beaucoup plus vite qu’en vol: on peut par exemple pour tester un module faire varier les configurations par software alors qu’en vol chaque configuration représente un vol différent. En plus sur le banc on peut tester les réactions du système d’arme aux différentes pannes des équipements.

Il y aurait encore beaucoup à dire mais cela permet déjà de se rendre compte du volume de travail nécessaire pour mettre au point un “module”.

La crise c'est Londres : l'iceberg vertigineux des fraudes de la City

Article lié : Notre “crise-Frankenstein” transmute la crise iranienne

Francis Lambert

  29/03/2012

Même Sarko & Co, l’avocat d’affaires devenu Manager-président, voulait “refonder le système”. Le système financier empire, ce qui peut précipiter sa chute ... mais avec quels dégats ? La convergence des crises deviendra t’elle alors paroxysmique ?

Les scandales permanents de la City en sont ridiculisés, rappelons un des “petits” derniers :

“La Banque de la Reine d’Angleterre condamnée pour blanchiment !
http://economie.trader-finance.fr/actualite/Banque+la+Banque+de+la+Reine+d+Angleterre+condamnee+pour+blanchiment++476380.html
Coutts (ma NB: le bankster), qui offre ses services à tout l’aristocratie britannique depuis la fin du XVIIe siècle, ainsi que plus récemment, aux stars de la politique, du sport et du show business mondial… ()
Au final, la sanction peut paraître symbolique, d’autant qu’il s’agit de la deuxième amende contre Coutts en quelques mois…”

Alors voici une facette du système “La fraude du LIBOR ou la perversion des marchés monétaires.
http://finance.blog.lemonde.fr/2012/03/28/la-fraude-du-libor-ou-la-perversion-des-marches-monetaires/#mf_sid=501543517

“Depuis des décennies les crédits bases sur les taux à court terme ont pris ce taux pour référence : la plupart des grands crédits syndiques ont en effet un taux d’intérêt fluctuant, basé sur le LIBOR à trois ou six mois. La masse d’instruments dont les taux sont liés au LIBOR est estimée par le Financial Times à 350.000 milliards de dollars. ()
Le Gouvernement américain aurait été le premier à se soucier de ce sujet et enclencher une enquête sur ce mécanisme lors de la crise financiere. ()
Comme dans le cas de notations frauduleuses des obligations représentatives des crédits subprime, certains traders avaient obtenu accès au système où les dirigeants de banques entraient leurs taux de référence et pouvaient les manipuler.
Il y a une certaine hypocrisie dans la manière dont les banques (qui ont toutes fait savoir qu’elles coopèreraient avec les autorités) tentent de faire peser le poids d’une fraude systémique aux seuls traders. Une fraude d’une telle ampleur implique non seulement la connaissance, mais l’approbation des hauts dirigeants des institutions concernées.

Comme le déclarait un avocat qui travaille sur ce sujet « cela pourrait bien n’être que le sommet de l’iceberg ».

Pleinement d'accord avec l'article et les commentaires

Article lié : Le Rafale en marge du BRICS

Jean-Paul Baquiast

  28/03/2012

Juste un point: pour que la France puisse tirer parti de ces évènements, elle devra se départir de la Françamérique, selon le terme d’Immarigeon.
Il n’est pas sûr que François Hollande (personnellement) ait bien encore intégré l’enjeu. Au contraire de Mélenchon. Voyez http://www.admiroutes.asso.fr/larevue/2012/126/francamerique.htm

L'espace toujours oublié ...

Article lié : Le Rafale en marge du BRICS

Francis Lambert

  28/03/2012

Moins de trois mois après son lancement, le satellite FASat Charlie, a été déclaré “accepté” par la FACh (Fuerza Aérea de Chile) sans aucune réserve.

Le programme SSOT comprend un satellite et un segment sol opérationnel implanté à Santiago du Chili.

http://www.cerclefinance.com/default.asp?pub=valactu&art=320573

24 000 000 de lignes de code

Article lié : Le “modèle JSF”, ou la “prison emprisonnée”

Morbihan

  28/03/2012

Pour conforter ce qu’écrit M. Richard RUTILY, on considérait, de mon temps, qu’un développeur pouvait mettre au point (écriture, tests unitaires, intégration a minima) 1 000 lignes de code par mois, ceci alors que le développeur avait une - petite - visibilité sur la finalité de son travail, ce qui n’est plus le cas. Ceci en ne comptant pas les charges de pilotage, de coordination et de tests d’intégration, ces derniers représentant à eux seuls de l’ordre de 40% de la charge totale… et étant souvent bâclés pour “respecter les délais”.

Selon ces abaques, cela représente 24 000 mois/homme pour uniquement développer les lignes de code. Plus le pilotage et l’intégration. Avec les découvertes - les déconvenues - à chaque coin de rue. D’où le choix de faire des impasses. Sans commentaire.

Bon courage au directeur de ce projet…