Forum

http://www.marianne2.fr/Bank-run-en-Europe_a218530.html

La situation économique dans la zone Euro continue de se dégrader rapidement.

En Grèce, avec la double annonce de la suspension des négociations avec le FMI et de la suspension des prêts de la BCE aux banques, le « bank run » modéré que l’on connaît actuellement peut à tout moment s’amplifier et devenir incontrôlable. Il faut se souvenir qu’en Russie, en 1998, ce fut un « bank run » qui sonna la fin pour le système économique eltsinien. En 5 jours, les banques étaient exsangues et le gouvernement contraint de déclarer un défaut et de laisser flotter le Rouble, ce qui aboutit à sa dévaluation de 50%.

Si le système bancaire grec s’effondre dans les prochains jours, il n’y aura plus d’arguments (autres que politiques) pour refuser un défaut et une sortie – à terme – de l’Euro.

En Espagne, l’adjudication aujourd’hui d’une somme de 2,54 milliards d’euros s’est faite dans de mauvaises conditions. Les taux à 4 ans sont montés au-dessus de 5% et les taux à dix ans atteignent 6,3%. Le rapprochement rapide des taux « courts » avec les taux « longs » est un symptôme indubitable d’une crise de liquidité. L’Espagne est, désormais, dans la même situation que début novembre dernier. La dégradation de la note de 16 banques espagnoles est logique quand on sait que le pourcentage de crédits qui ne sont pas remboursés atteint désormais 8,1% de l’encourt total. Encore, ce chiffre est une moyenne. Dans certaines banques, on atteint des taux de plus de 10%. Le pays est coincé entre une récession qui provoque un taux de chômage historique et une crise bancaire massive, qui vient de l’insolvabilité des ménages. Ceci avait été annoncé en septembre dernier. La solution est que l’État prenne à son compte les dettes privées, mais la somme atteint désormais de 170 à 250 milliards. Sous la menace d’un « bank run » qui peut se déclencher très rapidement, le gouvernement ne pourra plus tergiverser et devra demander rapidement à bénéficier de l’aide européenne (FESF).

La situation espagnole se traduit par une aggravation rapide de la crise en Italie (ou les taux à 10 ans ont atteint 5,8%), au Portugal (déjà sous perfusion du FESF) mais aussi de la France, dont l’écart des taux avec l’Allemagne a atteint aujourd’hui 1,4% (142 points de base).

La mécanique de la crise de l’Euro s’est bien remise en marche (en fait dès la fin du mois de mars). Cette crise s’accélère et devient généralisée avec la concomitance des problèmes grecs et espagnols. Si un « bank run » survient en Espagne, ou si le même mécanisme s’accélère en Grèce, la question d’un effondrement a très court terme de la zone Euro ne pourra plus être éludé.

Faute de réponses structurelles, aujourd’hui impossible tant pour des raison politiques qu’institutionnelles, une dissolution ordonnée de la zone apparaît comme la seule solution susceptible de préserver l’avenir et de permettre la survie de mécanismes de coordination monétaire.

Dans le même temps on apprend que les britanniques, traitres comme d’habitude à l’égard de leurs “engagements” continentaux, viennent de décider de remplacer les possibles Rafales catapultés, sur leurs 2 futurs porte-avions supposés coopérer avec la France, par des F35 à décollage vertical.
A supposer que ceux-ci se révèlent opérationnels, ils ne le seront pas longtemps en cas d’engagement.

Voilà, c’est fait! Monsieur Hollande a promis à Monsieur Obama de tout faire pour maintenir - à prendre littéralement - la Grèce dans l’€... Et la tête dans l’eau.

J’aimerais savoir à quel point l’énarchie brillantissime est infestée - et infectée - par Gladio. Ceci, vraisemblablement, sans en avoir la moindre conscience. Nous avions les séropositifs. Nous avons maintenant les gladiopositifs. Ce qui n’a rien de positif.

Monsieur Grasset,

Je suis touché par la situation actuelle, qui nous impacte tous, même si l´intensité peut varier d´une personne à une autre. Je suis également touché de savoir que nous, lecteurs - amis - utilisateurs, avons atteint nos limites au niveau du matériel. Mais je continue à penser que ces limitations sont indirectement imposées par la Situation. En revanche, ces limitations, qui ne sont que “systémiques” n´ont, bien au contraire, aucun impact sur nos “relations de pensées”. Si la quantité (matériel) baisse, la qualité (conscience) est en augmentation.
Je souhaite saluer votre capacité d´adaptation, qui est la marque d´une intelligence, marque que l´on retrouve dans vos textes.
Si, en vous libérant de pressions, vous retrouvez une certaine autonomie, liberté d´esprit qui vous permettra d´être plus à l´aise dans vos publications, et bien… au diable la quantité....
Nous ne pouvons que vous suivre dans vos choix et nous nous réjouissons de pouvoir continuer à lire des analyses d´une qualité Haute à partir de l´inconnaissance et donc de l´intuition;  et de pouvoir lire, prochainement, cette fameuse Grâce
Amicalement,

Olivier

en fait, contrairement à l’image très répandue d’un “Etat de Droit” modèle-du-genre, la manière dont les institutions répressives américaines fonctionnent (en particulier le FBI originellement créé pour surveiller et réprimer le mouvement ouvrier américain du début du siècle passé) et leur corruption endémique (relire La Moisson rouge de Dashiell Hammett) n’ont pas grand-chose à envier aux dictatures de l’Europe d’autrefois: les garanties légales formelles du système judiciaire n’existent vraiment que pour ceux qui ont les moyens de se payer de bons avocats (cf. l’affaire DSK)  ; il est vrai que le système américain, grâce au poids écrasant de son double consensus bigoto-communautariste et libéralo-individualiste ressemble plus à des régimes cléricaux autoritaires du type Pilsudski ou Horty qu’au fascisme pur et dur d’un Mussolini ou d’un Franco.
Et pourtant, le fascisme proprement dit a eu d’assez nombreux adeptes aux USA dans les années 20-30 (“chemises vertes” etc.) et un véritable complot fasciste financé par les grandes compagnies industrielles de l’époque (pétrolières et chimiques en particulier) a été une menace réelle lors de la première présidence de Roosevelt (il s’agissait d’organiser des actions assez similaires à ce que furent les agissements de la Cagoule en France à la même époque)
En cherchant un peu, vous trouverez des choses édifiantes sur le soutien de certains trusts (Dupont de Nemours en particulier) à ces mouvements (et sur leur fort profitable complicité ultérieure avec les nazis.)
Je me permets également de vous renvoyer à la très intéressante analyse sur l’émergence du servage comme conséquence de l’endettement privé (survenant en parallèle de la dissolution de l’Etat dans une banqueroute orchestrée par ses propres “élites”, que je préfère appeler “les dominants”), analyse publiée la semaine passée sur le site de Paul Jorion: le parallèle macro-économique et socio-psychologique avec la situation actuelle du Monde Occidental est assez saisissant: la fin de l’Empire, c’est maintenant (mais ce qui s’ensuivra ne sera pas forcément très frais ni très joyeux)

La responsabilité des banques dans le problème de la Grèce n’est pas celui que vous suggérez. Qu’il y ait des “banksters” ne fait aucun doute, mais ce ne sont pas les prêteurs qui sont en cause. Personne n’a obligé les Grecs à lever des emprunts au lieu de lever des impôts. S’ils souffrent autant de leur inconséquence, c’est parce qu’ils (dirigeants et électeurs) ont voulu participer à l’Euro alors qu’ils n’étaient pas prêts.
Sur ce point, je suis d’accord. Les “banksters” de Goldman-Sachs ont maquillé les comptes de la Grèce pour permettre cette entrée dans l’euroland. Seulement, ce maquillage n’a pas été imposé aux Grecs ; ce sont leurs politiciens qui l’ont demandé et, sans doute, avec la complicité bienveillante des autorités européennes.
En ce qui concerne leurs emprunts, les Grecs doivent assumer. Ils ont déjà obtenu qu’environ la moitié de leur dette soit effacée, comme pour un pays du tiers-monde, et il semble que cela ne soit pas suffisant. Je comprends l’électeur-fourmi allemand qui ne voit pas d’un bon oeil le “contribuable” grec qui vient faire la manche.
Si la Grèce sort de l’euro, elle va devoir dévaluer et les prêteurs vont une fois de plus se faire gruger. On peut toujours se dire que ce n’est pas grave, puisque ce sont les banques. En fait, cet argent dévalué, c’est celui de nos dépôts bancaires, quelle qu’en soit la forme.

“à la lumière d’évènements passés qui sont le plus souvent avérés et qui sont plutôt de l’“action secrète“ que des “complots” proprement dit. (Le cas de Gladio est ici évident.) “

Sans vouloir vous taquiner Dedefensa   j’ai toujours du mal à vous suivre sur ce genre de distinguo.  Ainsi le terme ( Complot,) sous son assertion “action secrète” serait acceptable pour décrite les choses de ce coté de l’atlantique et dans le cadre du Gladio donc,  mais pas applicable de l’autre coté je suppose pour un passé vieux d’un peu plus de 10 ans maintenant !

Pourtant,  définition de Complot : selon le dictionnaire Médiadico de TV5
“Entente secrète entre plusieurs personnes qui préparent une action contre quelqu’un, contre une institution.”

Et selon Larousse
“Atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation.
Résolution concertée de commettre un attentat et matérialisée par un ou plusieurs actes.
Par extension, projet plus ou moins répréhensible d’une action menée en commun et secrètement. “
Je sais bien que le qualificatif de complotiste concernant une hypothèse quelle qu’elle soit est maintenant symptomatiquement frappé d’anathème, ce qui fait que l’orateur doit s’entourer de précautions (et toujours se défendre et d’une façon ou d’une autre marquer ou évoquer une réserve avec les théories ou hypothèses du même nom )  pour ne pas je suppose courir le risque de se décrédibiliser auprès de certains lecteurs tant certains yeux et certaines oreilles sont devenues sensibles à ce   mot

Nos “psychologies” auraient-elles donc été à ce point conditionnées de façon pavlovienne à réagir ainsi et dans le même temps d’autres psychologies plus lucides seraient-elle finalement contraintes à de telle attitudes de précautions ?

Songeant et sachant que Gladio est lié à l’Otan selon les travaux de Daniele Ganser que vous citez avec raison ,celui ci faisant autorité en la matière, et que l’Otan (traité de l’atlantique nord ! ) émane donc de….vous savez qui….  je n’ai pas de difficultés à étendre mes réflexions vers les nuisances possibles “sur sa terre d’origine”  de la nébuleuse qui entourait Gladio sur les fonts baptismaux.

Bien que je vous ai lu avec intérêt aussi sur “les vertus de l’inconnaissance ”  pour moi je ne ressens pas du tout ce type d’obligation d’interpréter les choses d’une façon ici et d’une autre là bas.  Et je n’ai aucune honte à me revendiquer comme complotiste,  bien au contraire !

Nuance importante toutefois je n’explique pas TOUT par des “complots”, mais un certain nombre de choses disons, ou bien ” pas mal”  si vous préférez tant hélas de nos jours l’imposture règne en maitresse dans le Système.  ils en expliquent pas mal en effet et je suis plutôt satisfait de ma compréhension des événements qui résulte de cette optique voire de mes propres prévisions parfois.

Je noterais même aussi que l’étude des faits passés est plus sûre car il y a là de la matière à étudier en fonction des incohérences officielles et des doutes suscités, alors qu’utiliser l’idée de complot pour le futur (dans le cas Grecque actuel )  on ne peut “qu’évoquer et spéculer sur des possibles”  dont bien sûr les colonels du passé eux plus tangibles. mais c’est de la spéculation

D’ailleurs pour moi,  bien que l’histoire ait été jalonnée de complots en tout genre,  petits ou plus grands,  ce règne que j’évoque de l’imposture et de la fourberie comme plus particulier à notre époque est bien un des facteurs principaux d’autodestruction du système et une manifestation de l’avancement de sa dissolution.

email reçu aujourd’hui 17/05/2012 (eh oui, je suis un F-35 supporter!! just kidding) . Le début de la fin, ou la fin du crépuscule? Je laisse le soin à dedefensa de faire un commentaire sur cette goutte de plus s’ajoutant au vase déjà bien plein.

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Call To Action:  Urgent F-35 House Floor Vote

Dear F-35 Supporter:

Thank you for your support of the F-35 Lightning II Joint Strike Fighter.  As an advocate for the program, the F-35 needs your immediate help in contacting your elected congressional Representative to vote against an amendment on the floor of the House of Representatives.  This vote could occur as early as today.

The Conyers / Ellison amendment (#103) to the FY13 National Defense Authorization bill would propose to terminate the F-35B Short Takeoff and Vertical Landing (STOVL) variant from the program.  This variant is critical to the US Marine Corps and our allies (specifically United Kingdom and Italy).  It is also critical to keeping the F-35 program affordable. 

Please call your elected congressional Representative at (202) 224-3121 as soon as possible and urge him/her to vote “No” on the Conyers/Ellison Amendment #103 to the National Defense Authorization Bill.

Thank you for your help on this urgent matter.

Below are a few helpful talking points for your use.

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We urge you to vote “No” on the proposed Conyers / Ellison Amendment that will eliminate the F-35B STOVL variant for the Marine Corps and our international partners.

This amendment is opposed by the Department of Defense, the Marine Corps, the Navy, the Air Force and the F-35 Industry Team.

The F-35B will enhance the Marine Corps’ ability to operate as an organic “expeditionary” force, while at the same time increasing its ability to operate in conjunction with the Navy, the Air Force and our coalition partners in combat operations.

To date, the F-35 industry team has delivered 10 F-35Bs to the Marine Corps.  Four F-35Bs are participating in the flight test program at Naval Air Station Patuxent River in Maryland and six have been delivered to Eglin Air Force Base in Florida to begin initial training for the Marine Corps.

At least two of our F-35 program international partners, the United Kingdom and Italy, are buying the F-35B as their fighter of the future.

Bottom Line:  The F-35B is critical to our future national security and is urgently needed by the Marine Corps and our international partners.

VOTE NO on the Conyers / Ellison amendment to cancel the F-35B!

Cet article de Endthelie, opportunément cité par Dedefensa, est très important. La Grèce n’est pas seule à être menacée.
La question rejoint d’autres indices, concernant notamment le rôle de la NSA, qui ne peuvent être exposés ici.
Ceux qui s’imagineraient que les USA sont sur le déclin se tromperaient lourdement.

La liste des congratulations diplomatiques et leur analyse ici exposées indiquent le niveau d’ angoisse dans les pays en bute à l’extermination par les holding de banque et le FMI . (Amérique Latine , Afrique )
Face au poulpe Judéo-Américain et ses nouvelles armes de destruction économiques, la recherche d’ alliés semble un jeux à très grand risque dans lequel la France actuelle peut aussi bien masquer un redoutable soumarin du BAO que se révéler comme un premier cricq dans le métal du cuirassé américain .  Tout semble se concentrer sur la véritable personnalité du président Hollande.
  Et c’est là que l’ espoir des peuples doit marquer le pas , par simple prudence de survie .
  Le citoyen Hollande , jusqu’à ces jours , fut un homme transparent . Sans doute un honnête homme , ce qui serait déja immense , si il avait la force de le rester face aux pressions impitoyables qu’il doit se préparer à subir.
Le silence du PS sur tous les dossiers que la censure francophone élimine du débat publique , nous a donné l’ image d’un craintif ... ou d’ un grand politique sachant cacher son vrais caractère jusqu’au moment de pouvoir agir… ce à propos quoi je ne trancherai pas .
Il sera facile d’en juger , tout simplement en suivant la fréquence et le degrès de congestion des délégations du CRIF et des diplomates d’ Israel. Et aussi en analysant l’opinion du rédacteur de notre prompteur d’information (*), car en 2012, le pouvoir politique est devenu l’ otage d’un pouvoir médiatique désormais totalitaire et qui lui , n’ a pas de compte à rendre au peuple Français . . Et ce pouvoir est toujours aux mains des fanatiques de l’ ancien président . La poursuite de l’ information avariée sur la criminalité d’importation en Syrie montre que ce pouvoir parallèle ne désarme pas.
  L’ablation de la tumeur sarkozyste impose un temps d’ observation prudente , avant tout diagnostique autorisant un espoir pour les peuples d’Europe aujourd’hui sous indenture .

(*) Au singulier : le pluralisme de l’information n’étant plus qu’ un souvenir en France.

Il serait souhaitable si vous ne l’avez pas déjà fait de prévenir en toute urgence Tsipras que sa vie est en danger!!!

“nous sommes passés dans le domaine de “la politique”, celui que nos “politiques” [nos directions politiques] veulent de toutes leurs forces écarter”

==> Chevènement disait : “Il ne faut pas confondre l’art de gouvernementer avec celui de gouvernancer !”

“mais un processus politique où s’exprime l’insurrection populaire née de l’attaque du Système”

==> du Mélenchon dans le texte que cette révolution citoyenne en cours d’accomplissement par le truchement d’une insurrection par les urnes !

Cette video semble ètre virale:
http://www.zerohedge.com/contributed/2012-20-16/does-12-year-old-canadian-victoria-grant-understand-more-about-most-important

Si le Système n’est pas exclusivement financier, sa structure semble l’ètre quasi intégralement.
Comme le dit si bien Celente; le NWO, c’est le bankster order!
La Grèce meurt essentiellement de ça, après tout..

Il y a 80 ans jours pour jours on lisait dans
                  “L’indépendance Belge”
du Lundi 16 mai 1932 (102è année de parution)  A la (p.) Une:

          “LE RèGLEMENT DES DETTES GRECQUES”
                    La Grèce demande un délai.

Athènes, 15 mai.  -  L’agence télégraphique d’Athènes communique:
Le gouvernement héllénique n’a jamais déclaré  qu’il allait utiliser pour des besoins extérieurs la somme bloquée à la Banque de Grèce représentant les intérêts des emprunts extérieurs.
Dans quelques jours,  le nouveau ministre des finances soumettra à la Chambre le budjet de l’exercice 1932-1933; après quoi le gouvernement sera en mesure de proposer aux détenteurs des emprunts grecs un règlement équitable.
Les créantiers ont tout intérêt à prévenir la ruine financière de ce pays, car des transferts provoqueraient aujourd’hui une dépréciation du drachme et une véritable débâcle, qui exclurait, dans les mois prochains, toute idée de nouveaux transferts.
La Grêce demande un délais d’un ou deux mois afin de mettre en ordre ses finances et de faire des propositions pour le règlement des créances.
La Grèce ayant de tout temps effectué  ses paiements en or et même pendant et après la guerre et malgré le désastre subi, croit avoir le droit, plus que tout autre pays débiteur, à quelque patience de la part de ses créantiers.

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