dominique
28/02/2013
Elections italiennes, un épine dans le pied israélien
“Le blog de Beppe Grillo est progressivement devenu lun des tout premiers en Italie, et lun des plus « influents », selon les médiatologues.
Grillo y a développé les thèmes qui ont servi de programme à sa formation électorale, le Movimento Cinque Stelle (« Mouvement 5 Etoiles »).
On y trouve des revendications qualifiées de « populistes » par la presse bienpensante, alors quelles sont manifestement populaires, telle linstauration dun revenu minimum mensuel de 1.000 ou la limitation à 2 du nombre de mandats parlementaires successifs.
Mais on y trouve aussi, et cest ce qui effraie bien évidemment le lobby israélien, des points de vue très critiques de loppression du peuple palestinien, les occasions offertes par lactualité ne manquant malheureusement pas (attaque de la Flottille de la Liberté, massacres à Gaza, tortures des prisonniers, etc.)”
mumen
26/02/2013
Dedefensa est à ce jour le *seul* site pour lequel je me fend, non seulement d’une somme d’argent, mais de l’effort /contrarié/ de la faire parvenir quand je l’estime correct.
Effort contrarié :
La dernière fois que j’ai fait un paiement chez vous j’ai obtenu ce reçu de :
Votre paiement nous est bien parvenu
Détail de ce payment :
Un article seul
Montant total du paiement : 3 Euros.
Le problème c’est que j’avais déboursé 70 euro. Ça refroidit. Le courrier que je vous ai fait parvenir (webmaster) ensuite est resté lettre morte. De refroidi je suis devenu figé, figé de la CB.
Et puis votre panique mensuelle du 19 est déprimante. Je la saute. C’est le seul post de votre plume que je zappe par lassitude, dussé-je perdre une once de votre personne privée, puisqu’il s’agit la d’une de ses rares manifestations. Mr Grasset, je vous aime, mais n’ai pas l’intention de vous ‘sauver’ tous les mois.
Votre force tient sans doute en autre chose que QI, culture, outils et talent. Le stress est il votre moyen de toujours rester en éveil ? Désireriez vous réellement le calme et la paix que procurent une trésorerie et des comptes prévisionnels sains ?
Dedefensa mourra-t’elle de ce stress, de cette vie survoltée, surdouée, ou bien aurons nous la chance et le privilège de vous lire encore des années (tant que ça dure, je veux dire, le monde comme on le connait). Qui perdra en dernier, vous ou le système ?
En attendant, je vais mettre en place, même pas avant le 28, ce que je pense faire depuis que je fréquente ces lieux : un virement de banque à banque pour une somme fixe et mensuelle de 10 euro. Cela ne vous sauvera pas, mais si vous persistez dans la tourmente, cela pourra vous donner un tout petit morceau d’oreiller en plus, pour vous reposer un peu, espérant peut être amorcer d’une façon naïve le cercle vertueux d’autres lecteurs aimants ce style et cette richesse qu’il y a à vous lire au point d’anticiper leur don à votre survie.
Olivier
26/02/2013
Si effectivement les déboires du système prêtent à rire en Italie, si vous regarder vers l´Espagne, c´est du très grand…..
(Tout en sachant que les conséquences seront des plus désastreuses…)
Jean-Paul Baquiast
26/02/2013
Si nous nous posions la question de savoir quelle est selon nous la plus grande menace contre les USA, que répondrions-nous?
Pour ma part, je dirais que 1. il n’y a pas réellement de menaces, tout au moins venant de l’extérieur. Les USA sont trop puissants pour être menacés; que 2. si l’on veut vraiment identifier une menace, ce serait celle du monde islamique, sous la forme notamment de la G4G; mais menace bien faible; que 3. la Chine pour le moment n’est absolument pas une menace, mais pourrait à force de bêtises de la part des américains le devenir un jour.
François Jéru
25/02/2013
Question : En bref, manquerait-il des sanctions à la France pour qu’elle puisse 1/ dans quelques années (ou décennies) recouvrer
une part d’indépendance comme en 1913 et 2/ plus tard, rembourser des dettes antérieures, en partie gelées ?
Richard RUTILY
25/02/2013
J’ai traduit de manière un peu libre un article de the star.com: Out-of-control outsourcing ruined Boeings beautiful Dreamliner. Beaucoup des problèmes soulevés s’appliquent aussi au JSF.
Le dernier problème du Dreamliner - les avions ont été cloués au sol après un incendie de la batterie sur deux vols des compagnies aériennes japonaises - est juste un autre coup à l’industrie du transport aérien, mais il est celui qui affecte le plus les passagers.
Le transport aérien est devenu une activité mature où le confort est un facteur différenciant important, aussi l’idée d’un avion léger qui économise le carburant et qui pouvait voler sur de longues distances tout en améliorant la qualité de l’air intérieur et en proposant de plus grandes fenêtres était un peu un rêve, oubliez le.
Il semble bien que Boeing, qui a lancé son programme de rêve en 2004, a géré le programme de manière à satisfaire les industries financières, c’est-à-dire en externalisant la conception, l’ingénierie et la fabrication de l’avion. James Surowiecki, du New Yorker journaliste économique réputé - ce n’est pas un rêveur - a tracé la décision désastreuse de Boeing d’externaliser l’essentiel du travail à 50 entreprises différentes - oui, 50 - depuis le mariage entre Boeing et McDonnell Douglas en 1997.
Essentiellement, écrit-il, Boeing était un doux rêveur et McDonnell Douglas était plutôt prudent, ce qui signifie qu’ils ont fait des compromis sur un lit de taille royale si l’on peut dire. Ils sous-traitée à un tel degré qu’il était plus difficile de garder la trace des entrepreneurs sous-sous-traitance plutôt que d’avoir réalisé en interne.
Le calendrier des problèmes du Dreamliner peut s’envisager comme un thriller mais en fait c’est peut-être une tragédie grecque. Christopher Tang et Joshua Zimmerman ont écrit une étude de l’UCLA : Gestion du développement des nouveaux produits et des risques de la chaîne logistique : le cas du Boeing 787, révèle que Boeing a cherché à écraser la sous-traitance.
Normalement, les entreprises s’approvisionnent en sous ensembles provenant de fournisseurs pour construire un produit. Selon l’étude Boeing a conçu un système de fournisseurs avec des tiers participants à l’intégration avant même l’assemblage final. La carte des participants au programme est un puzzle qui ressemble à quelque chose conçu par l’ONU. Les sections d’ailes seules provenant de six sociétés dans quatre pays.
Le raisonnement initial pour un approvisionnement planétaire semblait correct. Ainsi que de tenter de prévenir les retards en refusant de payer les fournisseurs jusqu’à ce que le premier 787 soit livré aux clients. Mais il y a eu des problèmes techniques, par exemple avec les matériaux composites qui ont remplacé l’aluminium qui est normalement utilisé pour les avions. Ils ont fait un avion merveilleusement léger, mais l’étude a rapportée que la foudre a été initialement un souci.
Puis vint la gestion du risque de Boeing. L’approche “Just-in-time”, s’applique parfaitement à l’industrie du transport et à Wal-Mart, mais ne fonctionne pas parfaitement pour l’aéronautique. Pourquoi cela devrait il fonctionner? Les humains ne respectent pas les délais. Presque aucun gestionnaire n’a été assez doué pour maîtriser la vaste chaîne logistique, selon l’étude. La main-d’uvre de Boeing était terrifiée par la crainte de licenciements et a fait grève. Les clients ont commencé à reculer.
Boeing a cherché à réduire le risque, il a racheté les fournisseurs trop faibles pour survivre, il a embauché un nouveau directeur général ce qui a mécontenté le personnel et ce qui a énervé les clients des premiers avions.
Mais découvrir que les batteries lithium-ion ont tendance à surchauffer c’est comme vouloir faire une expédition au pole avec des poneys plutôt qu’avec des chiens de traîneaux. L’étude préconise : “Boeing aurait dû choisir les personnes adaptées au travail dès le début”.
Surowiecki dit que les nouveaux produits ont toujours des défauts et qu’il fallait s’attendre à des ennuis. Il a tord. C’est que si on peut tolérer quelques erreurs dans les avions, on n’a aucune tolérance pour se retrouver dans une boule de feu catapultée à la terre.
L’externalisation de la sous-traitance a un coût: il distend le lien entre les sous ensembles et le produit final. C’est un risque que les consommateurs britanniques ont pris quand ils ont acheté des hamburgers bon marché fabriqués à partir de viande sous-traitées dans toute l’Europe, qui s’est avéré être du cheval, pas du buf. Et maintenant, ils vomissent.
Quand ils ont demandé tarifs bon marché, les consommateurs ont payé un prix : une baisse de qualité. Ils adoraient le dieu des voyages pas cher et Boeing a essayé de les satisfaire.
Richard RUTILY
23/02/2013
Le moteur du JSF, le F 135 étant dérivé du F 119 qui propulse le F22, on peut se poser la question de la panne commune, au moins par mesure de sécurité.
Niigata
23/02/2013
Les ennuis continuent ... cette fois, c’est le moteur. Mais promis, il va revenir en vol rapidement ...
François Jéru
21/02/2013
J’ai noté la question
Stephane Eybert
21/02/2013
Bonjour,
J’habite en Estonie, le pays createur de Skype. Ils ont maintenant cree un autre service qui semble prometeur.
http://transferwise.com/?v=1&utm_expid=32817948-19&utm-campaign=early-debit&utm_referrer=http%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2F
Vous pourriez y avoir un compte pour recevoir des donations.
Je vais ouvrir le mien. Je vous y attend :-)
Cordialement,
ZC
21/02/2013
article à rapprocher de celui lu sur le blog de Paul Jorion intitulé “le spectre de Néron” où l’auteur invité belge du blog, a tout dit dans le sens de cette décomposition à laquelle nous assistons tous impuissants et attérés.
autre signe de décomposition l’altercation épistolaire d’un marchand de pneus américain et d’un ministre de la république en haillons (le ministre ou la république, là est la question) qui convoque l’Histoire, pour une réponse prétendue “cinglante” mais de mon modeste point de vue pittoyable, à un hurluberlu qui n’en demandait pas tant ...
Enfin et pendant ce temps, la Chine entre dans la danse dans les parages du détroit d’ormuz, en prenant le contrôle d’un port pakistanais, géré jusqu’alors par Singapour.
Le printemps arabe? QUESAQUO?
Richard RUTILY
21/02/2013
Boeing ne sait plus où garer les fameux Dreamliner. Et il y en a beaucoup: entre ceux qui avaient été cloués au sol, soit une cinquantaine, ceux qui avaient été construits mais pas encore livrés, et ceux qui continuent à sortir de lusine à un rythme de un toutes les semaines puisquil a été décidé de continuer, sans même ralentir, le rythme de production.
http://www.bfmtv.com/economie/boeing-ne-sait-plus-stocker-dreamliner-453888.html
Jean-Paul Baquiast
20/02/2013
Que pensez vous cependant de cette “prévision” du GEAB concernant un effondrement prochain du dollar? http://www.leap2020.eu/GEAB-N-72-is-available-Global-systemic-crisis-Second-half-of-2013-The-reality-or-the-anticipation-of-the-Dollar_a13384.html
Jean-Paul Baquiast
20/02/2013
Un seul mot, continuez….
Zolpi
20/02/2013
“Malgré les déboires du Boeing Dreamliner, le Pentagone maintient lutilisation de batteries sur les avions de chasse”
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