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amérique

Article lié : Du n°1 à l’empire de la communication

patrick rizzi

  27/03/2005

Empire virtuel dites-vous ? Je n’en suis pas si sûr.  L’idée qui voudrait qu’il s’agisse au fond d’une bataille visant à abolir l’Histoire – thèse adjacente de celle de Fukuyama – elle ne tient pas pour la bonne raison que l’Histoire n’existe pas, vu qu’elle est une sorte de boussole fabriquée par la raison humaine (je n’engage pas ce débat).
Que l’Amérique soit la puissante dominante, nous sommes d’accord, même si l’Amérique ne présente pas tous les attributs de la puissance au sens européen du terme, c’est-à-dire de « pax romana ».A cela une seule raison – parmi d’autres – l’Amérique est une île et comme l’Angleterre de jadis, ignore superbement le reste du monde (en terme culturel).
Je vous renvoie, par ailleurs, aux analyses des géopoliticiens allemands, à savoir l’opposition entre puissance maritime et puissance continentale, toujours d’actualité.
La raison pour laquelle, à mes yeux, l’Amérique est une puissance éphémère, c’est qu’elle n’a aucune unité raciale (tension culturelle permanente entre « noir », « chicanos » « jaune » « juif » et « blanc » avec demain la perte de l’anglais comme langue majoritaire). Sauf qu’aujourd’hui elle est « incontournable » et qu’elle est en train de changer la face du monde. Les dégâts seront-ils irréversibles ? à l’heure où l’Europe se délite et ne fait montre d’aucune « volonté de puissance » ?
Pour aller vite, et je pense qu’il y a là un axe de réflexion, ce qui me frappe c’est le changement d’échelle de la puissance sur le temps long (historique si vous voulez). Exception faite des empires greco-romains (ce qui fait dire à Valéry que les civilisations sont mortelles), nous assistons à un changement d’échelle sur lequel s’exerce la puissance dans le temps : on est passé du territoire à la nation, de la nation à l’empire (austro-hongrois, russe, etc.) pour aboutir aujourd’hui aux continents (Europe, Amérique, Asie). D’où ma question : et après ? Que peut-il donc bien y avoir au-dessus du continent ? Rien, l’espace ? Où le retour au Moyen Age mais style Mad Max !
Relire Nietzsche, je suis d’accord avec vous.

Article lié : L’euro, arme de la guerre asymétrique?

Paolo Scampa

  26/03/2005

L’utilisation de l’euro impliquera la guerre. Voir Saddam.

Force protection, up to the limit ...

Article lié :

JeFF

  25/03/2005

J’essaye de suivre le lien que vous donnez sur la Force protection (ce vendredi matin, for the record) :

Star s & stripes

Le lien ne fonctionne pas, le site est introuvable. Introuvable du genre “le serveur n’existe pas”

Donc réflexe : aller sur anonymizer

tapez y le lien :
http://www.estripes.com/article.asp?section=104&article=27980

et cela marche ...

conclusion :
sachant que ma connexion provient du gros fournisseur historique français (Wa ... ) le site Stars & Stripes filtre les accès en fonction des adresses ip et jarte les connexions grand public françaises. Et ce n’est pas le seul (beaucoup des sites de l’US Army par exemple ... )

ou alors c’est le vendredi matin qui n’est pas propice

Wolfowitz Of Arabia at the World Bank

Article lié : La “WolfBank” et la raison

John G, Mason

  20/03/2005

It’s worth noting that all of the anti-american commentary that you cite in the press reaction to Wolfie’s nomination to the World Bank, seems to be coming from Americans. It’s a bad sign for this administration when Yanks start doing ideology critique. Worse that I word, is the connection now being made between neo liberal Ideology and the kind of propaganda that was used to scam the world investiment community by Enron and whihc is now be deployed to scam the Amerian public over Social Security “reform.” Readers should take a look at Frank Rich’s latest column in the New York Times’ Arts section, “Enron: Patron Saint of Bush’s Fake News,” for biting criticism. Rich is yet another example of a NYT columnist who - like Paul Krugman - has suddenly evolved into an “accidential radical” and become a major thorn in the side of this mendacious and corrupt Administration.

Wolfowitz

Article lié : Wolfowitz s’en va, une époque s’achève…

Paolo Scampa

  18/03/2005

Wolfowitz s’en va, la radioactivité reste.

Paolo

defendre lla France contre l'hégémonisme métérialiste

Article lié : Analysis, Context n°79 (December, 2004) — The French Factor

defendre la France

  18/03/2005

Vous trouverez sur le site

defendrelafrance.canalblog.com

des illustrations adéquates de constatations de cet article.

Berlusconi

Article lié : Berlusconi cède

flupke

  16/03/2005

Berlusconi a du réagir par rapport à des prochaines élections régionales , reste à voir en septembre ce qu’il en adviendra ... effectivement .
Quant à la mort de Calipari , Sgrena est mise en avant mais si surtout les américains
avaient voulu éliminer
une possibilité d’entrer
en contact , traiter avec des opposants et hors de leur contrôle .. Clipari étant déjà intervenu à diverses reprises dans d’autres cas .

Rice est lasse.

Article lié : Rice est lasse

Lecrique

  14/03/2005

Bush est louche.

Et encore bravo !
    l’Omnivore Sobriquet

Regime change a Washington

Article lié : USA et Europe s’entendent pour préparer la prochaine crise Europe-USA

John G. Mason

  13/03/2005

Bravo, comme d’habitude, de defensa a bien vise une guestion essentielle - quelle est nature du regime en place a Washington dominee par une faction radicale du camp “transformationaliste neo-conservateur, dont l’approche au monde exterieur est plus Bonapartiste que traditionaliste.
Interessant a noter donc, que le comite de redaction du National Interest, le forum de debat principal sur la politique exterieure Americaine des conservateurs divers, s’est casse en deux cette semaine et que la fraction neo-conne ont tous demissione en bloc pour protester contre la violence des critiques neo-realistes de la politque Bushevik permis dans le journal sour la ligne editioriale du Dimtry Simes,  redacteur en chef, etpresident du Nixon Center.
Le radicalisme des nationalistes du style du John Bolton (plus neo-confedere que neo-conservateur) provoque des fortes tensions au sein de la classe dirigeante americaine. C’est le moment pour s’interesser un plus aux clivages qui font des ravages au sein du Parti Republicain. Les contraints sur l’adventurisme Bushienne ne sont pas tous trouve a l’exterieur des Etats Unis.
John Mason

2. articolo di maurizio blondet

Article lié : Journal de bord de dedefensa.org — 040105

giovanni

  12/03/2005

FALLUJA, ARMI PROIBITE: PERCIO’ LA SGRENA DOVEVA MORIRE
07/03/2005
Maurizio Blondet

Dopo l’atroce battaglia di Falluja, l’armata americana vi è entrata con bull-dozer e autobotti. I bull-dozer hanno cominciato a scorticare il terreno tutto attorno ai crateri di esplosione delle loro bombe. Hanno asportato accuratamente 200 metri quadri di terreno attorno ad ogni cratere, caricato la terra su autocarri e l’hanno portata in località sconosciuta (1). La stessa cosa hanno fatto con alcune delle case bombardate. Hanno abbattuto gli edifici e portato via il materiale. Queste operazioni sono state compiute soprattutto nei quartieri di Julan e di Jimouriya, teatro dei più feroci scontri, ma anche a Nazal, Mualmeen, Jubail. Attenzione, solo “alcune” case sono state demolite. Quelle dove erano cadute le “bombe speciali” usate dagli americani. Le stesse che avevano formato i crateri accuratamente ripuliti.

Di che bombe si trattava? Tutti gli abitanti di Falluja che erano ancora in città durante i raid le hanno descritte così. “Facevano una colonna di fumo a forma di fungo. Poi, piccoli pezzi cadevano dall’aria, con una coda di fumo dietro ogni pezzetto”. Cadendo, questi “pezzetti” esplodevano con grandi fiammate che “bruciavano la pelle della gente, anche quando vi si gettava sopra dell’acqua. Molti hanno sofferto tanto per questo effetto, combattenti non meno che civili”.
E’ la descrizione esatta degli effetti di bombe al fosforo, molto usate dai liberatori anglo-americani contro Germania e Giappone. Ma vietate dalle convenzioni internazionali, e perciò sostituite dagli Usa con l’invenzione del Napalm, mistura gelatinosa e adesiva di celluloide sciolta in benzina che ha il “vantaggio”, come il fosforo, di appiccicarsi alla pelle mentre brucia, ed è molto più economico (brevetto Dow Chemicals). L’uso del fosforo però è più “efficiente” se lo scopo è di ridurre corpi umani a tizzoni ardenti carbonizzati, con un effetto terroristico aggiuntivo.
L’uso di queste armi è un crimine contro l’umanità. Ecco perché, dietro ai bull-dozer, il Pentagono ha inviato anche grosse autobotti: le quali hanno “lavato” con potenti getti forzati tutti i muri o quel che ne restava in piedi, evidentemente per dilavare il fosforo. E’ il tentativo di coprire il crimine, di farne sparire le tracce.

Ciò potrebbe spiegare anche parte della sciagurata avventura di Luciana Sgrena. Come si ricorderà, la giornalista stava andando a un appuntamento con alcuni profughi di Falluja quando fu, molto opportunamente per i criminali di guerra, “rapita” da “insorti”. Altrimenti avrebbe potuto raccontare di quelle bombe al fosforo, cosa che non hanno mai fatto “i grandi giornali” neocon ed ebraici, come il Corriere della Sera o il New York Times. Lo stesso discorso si può fare per la francese Aubenas di Libèration: sempre giornalisti di piccoli giornali no-global poco controllabili dalla nota lobby.
Naturalmente, la Sgrena non ha saputo nulla: ha recitato la parte che le è stata assegnata, “drammatizzando” in video, e ascoltando i suoi rapitori ripetere che in Irak “non vogliono nessuno”, nemmeno, anzi specialmente, giornalisti simpatizzanti con la guerriglia; frasi che acquistano un senso illuminante, se attribuite a “terroristi” dal Pentagono. La sua tentata uccisione dopo la “liberazione” con riscatto pagato dai contribuenti ai cosiddetti “insorti” (probabilmente la solita banda Al-Mossad, che ci ha fatto anche un guadagno) può essere interpretata forse come “una lezione” da dare agli italiani. E va ascritta anche ad errori da parte italiana. Il primo dei quali è non voler capire chi è, in Irak, il nemico principale.

di Maurizio Blondet

*La foto che accompagna l’articolo mostra un gruppo di abitanti di Falluja presso un cratere causato da una bomba sganciata durante un attacco aereo che, secondo quanto riportato dagli americani, mirava a colpire militanti coinvolti in rapimenti e attentati.

Note

1)Dahr Jamail, “Odd happenings in Falluja”, Electronic Iraq, 18 gennaio 2005.

article de maurizio blondet

Article lié : Journal de bord de dedefensa.org — 040105

giovanni

  12/03/2005

SI PREPARA IL BIS DELL’ 11 SETTEMBRE?
05/03/2005

Maurizio Blondet

Sempre nuovi indizi che il gruppo di potere americano sta preparando un nuovo auto-attentato da infliggere ai suoi cittadini, per persuaderli alla nuova tornata di guerre in programma.
Primo indizio: il presidente George Bush è tornato a parlare di Osama Bin Laden. Dopo averlo trascurato per anni (del resto anche Osama non ha dato molti segni di vita) Bush lo ha ricordato di punto in bianco. Mettendo le mani avanti: “bloccare Osama è la più difficile sfida dei nostri giorni.Al Qaeda progetta ancora di attaccarci sul nostro suolo”, ha detto (1). Lo ha fatto il 3 marzo scorso alla cerimonia d’insediamento di Michael Chertoff, il nuovo capo della Homeland Security, cioè della sicurezza interna. Lo stesso giorno, recatosi alla Cia a salutare il nuovo direttore Porter Goss (un membro della società segreta di Yale “Skull & Bones”, da cui sono usciti quasi tutti i capi dell’Agenzia) il presidente è tornato sul discorso: “ogni giorno raccogliamo informazioni per localizzare Bin Laden. Non dormiamo sugli allori”.

Il motivo apparente di questo improvviso ritorno d’interesse per il tenebroso saudita sarebbe un “messaggio” che Osama avrebbe mandato ad Al-Zarqawi per incitarlo a colpire i suolo americano. Né sulle modalità di trasmissione (piccioni viaggiatori?) né sul contenuto del messaggio si sa nulla: l’unica fonte al proposito è una voce anonima uscita dalla Cia - ciò che nei tempi sovietici si chiamava dizinformazija o maskirovska.
Altro indizio. Il sindaco di New York Michael Bloomberg (ebreo) ha rivelato quanto segue: la “cellula di Al Qaeda colpevole dell’attentato alla metropolitana di Madrid aveva in progetto di fare un attentato esplosivo anche alla Grand Central Station, nel cuore di Manhattan (2). La scoperta sarebbe in un dischetto di computer trovato in un appartamento di Madrid che sarebbe stato occupato da un terrorista, tale Moutaz Almallah, ritenuto ‘un membro importante di Al Qaeda’”. Inutile dire che Moutaz s’era reso uccel di bosco già nel gennaio 2002, molti mesi prima dell’attentato di Madrid. A proposito dell’attentato di Madrid, bisogna ricordare che è avvenuto l’11 marzo 2004. Come mai il dischetto con il piano del nuovo attentato a New York è apparso solo oggi, non si sa. L’Fbi ha farfugliato che la polizia spagnola s’è resa conto dell’importanza del contenuto solo nel dicembre scorso, per via “della sua natura tecnica” (“c’erano delle piante della stazione di New York”). In ogni caso, perché la storia emerge ora?

Terzo indizio. E’ il più grave, e consiste nell’insediamento di Michael Chertoff a capo della Homeland Security col grado di ministro. Ora Chertoff (figlio di un rabbino, cittadino israeliano) ha avuto strani legami con un sospetto finanziatore dell’attentato dell’11 settembre, tale Magdy Elamir. E’ una vecchia faccenda, di cui diede notizia a suo tempo - il 20 giugno 2000 - The Record, il giornale della contea di Bergen, New Jersey. Magdy Elamir era stato accusato dallo Stato del New Jersey di ammanchi e malversazioni finanziarie per 16,7 milioni di dollari. Fra cui 5,7 milioni “trasferiti a beneficiari sconosciuti”. Elamir aveva una specifica connessione con il primo attentato alle Twin Towers, avvenuto nel 1993 e anch’esso di marca “islamica”. Infatti, l’attentato era stato architettato nella moschea di Al-Salam a Jersey City, dove predicava il mullah estremista Omar Abdel-Rahman, considerato il mandante di quel primo attentato. Come ebbe a dire l’allora poliziotto Allan Duncan, “alla moschea di Al-Salam era stato permesso di continuare ad essere un centro di attività terroristiche in Usa”. Inoltre, nel 1999, Elamir con suo fratello erano stati perseguiti dall’Fbi per aver cercato di comprare armi e munizioni da un informatore dello stesso Fbi, Randy Glass, ed era per questo stato condannato a 30 mesi.
Insomma, un tipo altamente sospetto. Ma chi ha difeso il losco Elamir davanti alla corte del New Jersey nel 2000? Sì, avete indovinato, proprio lui: Michael Chertoff, il figlio del rabbino (3). Che era allora avvocato.
Ma il brillante israeliano ha fatto una rapida carriera. Nell’estate del 2001 - attenzione alla data, poche settimane prima dell’11 settembre - Chertoff riappare come vice-Attorney General della sezione penale del ministero della Giustizia. La vicenda del tentato acquisto di armi del suo ex cliente capita proprio sotto la sua giurisdizione, come ha ricordato il solito poliziotto Allan Duncan. Ebbene, che cosa fa il nuovo vice-procuratore Chertoff? Blocca di autorità i capi d’accusa contro Elamir.

Ma non si creda che Chertoff fosse salito alla carriera di pubblico accusatore per salvare Magdy Elamir. A ben altri compiti lo destina quel posto. Come si ricorderà, l’11 settembre una cameriera nota cinque ragazzoni che, sul tetto di un camion di traslochi, si fotografano a vicenda sullo sfondo delle due Torri in fiamme, facendo il segno di vittoria con le dita. La cameriera segnala la targa alla polizia di New York, che ferma i cinque. Risultano tutti israeliani, esibiscono documenti falsi, uno di loro ha 4500 dollari in contanti in una calza. Parecchi di loro ammettono di essere membri del Mossad. Consegnati alla giustizia federale, i cinque vengono.espulsi perché il loro visto (sui passaporti falsi) risulta scaduto. Restituiti ad Israele. Chi è che li espelle? Ma lui, il figlio del rabbino Chertoff! Sempre Chertoff aveva, poco prima, espulso (cioè liberato) almeno un centinaio di agenti israeliani beccati in una gigantesca retata della Dia (antidroga) e dell’Fbi, alcuni dei quali abitavano accanto ai “terroristi arabi” indiziati per l’11 settembre.
Dopo queste belle imprese, Chertoff viene elevato ancora più in alto: giudice federale d’Appello, una carriera fulminante. Ed oggi, ministro della Homeland Security, che già dal nome (“Sicurezza della Patria”) promette di essere una sorta di Gestapo o di Stasi. La posizione giusta per coprire il prossimo mega-attentato e i “terroristi musulmani” che lo compieranno. Magari con un camion di traslochi.

Ad ogni buon conto, vale l’avviso ai turisti dato dai servizi segreti italiani ed europei (che certo hanno qualche indizio di ciò che si prepara): evitate Gran Central Station, state alla larga da luoghi turistici anche medio-orientali.
Quando avverrà, non dite che non vi avevano avvertito.

di Maurizio Blondet

Note

1)Joseph Curl, “Stopping Bin Laden is ‘greatest challenge’”, Washington Times, 4 marzo 2005.
2)Ben Sills, “Al Qaida plan to bomb Grand Central station”, Guardian, 3 marzo 2005.
3)Michael Chertoff è nato nel 1953 da Livia Chertoff, israeliana e dal rabbino Ghershon, di nazionalità sconosciuta. La madre Livia è stata una hostess della El Al e partecipò nel 1945 all’operazione Tappeto Magico, il trasporto forzato di 45 mila ebrei yemeniti messi ad occupare i territori dei palestinesi: un agente del Mossad dunque anche la mamma.

Le Figaro et France-Amerique

Article lié : La nomination de Bolton comme réponse “multilatérale”

mhb

  10/03/2005

“les habituelles tentatives d apaisement chez les europeens ... voir le Figaro…”

Mais au fait Le Figaro n a t il pas ete “repris” en partie (entre autres par le biais et a l occasion du rachat de France-Amerique) par de celebres investisseurs americains ?
Bien sur ces politico-investisseurs n investissent qu a coup sur et apres moulte-etudes.
Alors qu en penser ?

Les blessés oubliés ....

Article lié :

JeFF

  09/03/2005

Bolton et NY

Article lié : Bolton à l’ONU, le loup dans la bergerie

Paolo

  09/03/2005

Vous vous inquiétez trop pour sa nomination. Vous vous méprenez totalement. C’est sa condamnation à mort. Car New-York est une ville definitivement radioactive depuis le 11-09.

Le sphinx européen

Article lié : L’Amérique devant l’énigme du sphinx européen

Rémi Perelman

  04/03/2005

L’Europe est assez riche d’expérience et d’idées pour affiner progressivement une nouvelle façon de se comporter collectivement, sans recourir à des formules qui ont été mises elles-mêmes au point en d’autres temps et autres lieux.
Cela demandera sans doute quelques décennies et l’épreuve d’un certain nombre de situations différentes à affronter ensemble. Par définition, cette nouvelle forme de pouvoir ne peut être précisée aujourd’hui et réclame la confiance dans les capacités de nos sociétés comme dans l’avenir (c’est en cela que pour beaucoup l’Europe d’aujourd’hui reste un sphinx). Entre le fédéralisme américain et l’empire pseudo-marxiste de la Chine, il y a certainement place pour une forme originale de développement “en commun” qui enrichira le monde en étant source renouvelée d’inspiration et, espérons-le, d’enthousiasme. Ce sera la fierté de nos enfants et petits-enfants que d’avoir su créer une nouvelle garde-robe avec les différentes étoffes nationales.