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Vous avez dit décliniste ∫

Article lié :

Fred

  24/03/2006

Quand la vision de l’étranger n’est restituée qu’à partir de journalistes appartenant à des journaux “libéraux”. On retrouve tous les ingrédients du déclinisme dans cet article fabuleux… On y retrouve même les marottes de certains anglo-saxons, le blabla sur la rupture Sarkozienne et tout et tout.

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Le CPE vu de l’étranger
http://www.lexpress.fr/info/quotidien/actu.asp?id=3037

Quatre mois après les émeutes en banlieues, la France refait la Une des médias étrangers avec le CPE. Tour d’horizon, entre incompréhension et colère

La France, pays des manifestations. En ces jours de grogne contre le CPE, le monde en a la confirmation : la contestation sociale est bien une réalité française. A l’étranger, on ne manque pas de le souligner, et de rappeler au passage la Révolution française, Mai 68, voire les récentes émeutes des banlieues. Mais le mouvement anti-CPE suscite surtout beaucoup d’incompréhension, voire de colère.

“Mai 68 est de retour”

En vogue en France, le parallèle entre mars 2005 et Mai 68 est encore plus courant à l’étranger, surtout depuis que manifestants et casseurs ont choisi l’emblématique Quartier latin comme nouveau QG. Au lendemain de l’occupation de la Sorbonne, plusieurs quotidiens italiens titraient “Mai 68 est de retour”. Mais le quotidien allemand Die Welt n’est pas de cet avis: “Comme par un réflexe de Pavlov surgissent les images du “conflit générationnel” de Mai 68 et de la fuite de De Gaulle à Baden-Baden devant la jeunesse. Cette association a en réalité à peu près autant de choses en commun qu’une bouteille de château Lafite avec un rollmops”. Et d’ajouter: “En 1968, la France était prospère, s’ennuyait et rêvait de parricide.”

La question de la précarité

Beaucoup d’analystes étrangers ne comprennent pas que la France, pénalisée par une croissance faible et un chômage élevé, refuse d’assouplir les règles en vigueur sur le marché du travail. C’est dans les pays où les emplois précaires sont désormais la règle que l’incompréhension est la plus grande, comme aux Etats-Unis, au Royaume-Uni ou encore en Italie - où la flexibilité constitue l’un des thèmes clés de la campagne électorale de Romano Prodi, candidat de gauche. Quelques voix de gauche s’élèvent tout de même pour soutenir le mouvement. D’après le Financial Times Deutschland, le CPE “aggrave la discrimination à l’égard des jeunes”. Le Guardian va plus loin et encourage les jeunes Français à ne pas suivre le “miracle économique” britannique. Et à réaliser “combien il y a à gagner en combattant dans les rues”.

L’idéalisme à la française

Les Français vivent en dehors de la réalité. Voilà l’explication communément avancée à ce mouvement dont l’ampleur interpelle. A en croire la presse étrangère, derrière ce violent rejet du CPE se cacherait une tendance plus profonde de la France: le refus de céder à la pression libérale. Pour le New York Times, “le capitalisme est diabolisé au profit du souvenir d’un passé révolutionnaire romantisé”. Certains journaux font d’ailleurs le rapprochement avec le non français au référendum: Jason Burke, du quotidien britannique The Observer , soupçonne la mobilisation d’être en fait une punition contre le gouvernement. El Pais, quotidien espagnol de centre gauche, estime que “comme pour la Constitution européenne, la France est victime de ses peurs ne veut pas aller de l’avant”.

De l’incompréhension à la colère

Si ce constat est répandu, les réactions qu’il suscite sont très variables. Certains portent un regard un brin moqueur mais affectueux sur des Français un peu trop idéalistes mais attachants. Un journaliste suisse du Temps avoue ainsi ne pas comprendre le message mêlant antilibéralisme et antimondialisation. Mais d’autres ressentent un véritable agacement. En refusant de concéder certains acquis face aux réalités du marché, les Français se penseraient différents, pour ne pas dire meilleurs. L’éditorialiste du journal espagnol El Mundo s’en prend aux “enfants gâtés de la gauche”. De l’autre côté de l’Atlantique, le Wall Street Journal voit dans les manifestations “les derniers symptômes d’une démocratie malade”. D’après le quotidien économique, “si la France veut renverser sa tendance (...) elle a besoin de mettre à bas les barrières de la législation du travail dans tous les secteurs, et pas seulement pour les moins de 26 ans.”

Les politiques sont aussi responsables

“Le problème, écrit l’International Herald Tribune, c’est que la France manque d’hommes politiques capables de parler franchement, de solutions réelles et définitives”. Pire, le même journal accuse Jacques Chirac d’avoir exacerbé le réflexe français de défense inconditionnelle des acquis sociaux, en cautionnant l’idée - de gauche - que tout risque individuel était inacceptable.

Face à cet enlisement dans le politiquement correct, certains voient dans le ministre de l’Intérieur et président de l’UMP une solution d’avenir. “Si l’heure est au déclin français, alors Nicolas Sarkozy, qui prône une rupture nette (...) avec le passé, est l’homme qu’il faut”, analyse Jason Burke. “Mais, ajoute-t-il, si ce thème fait long feu, l’actuel ministre de l’Intérieur sera perçu comme un politicien ambitieux, et peut-être dangereux, qui tire sur tout ce qui bouge”.

La France court-elle à sa perte ?

Selon l’ampleur de la colère, les pronostics sont plus ou moins alarmistes. Le quotidien allemand Die Welt n’hésite pas à évoquer la “décadence et la chute de l’Empire romain”, le Wall Street Journal le “déclin de la France”.

A la question de savoir comment Dominique de Villepin peut se sortir de la crise, Die Welt imagine que le Premier ministre pourrait se contenter de renflouer l’appareil étatique, comme l’ont déjà souvent fait ses prédecesseurs, notant que, depuis des décennies, la France créée de plus en plus de postes de fonctionnaires, là où le secteur privé ne fait qu’en supprimer.

Une chose est sûre, l’agitation en France fait réfléchir ses voisins, même lointains, qui se voient renvoyés à leur propre situation. Un député du parti socialiste allemand (SPD) laissait entendre la semaine dernière qu’un retour des tensions sociales en Allemagne n’était pas à exclure.

JSF, ou la tunique de Nessus de Tony BLAIR.

Article lié : Le JSF et nos lecteurs

LeBayorre

  23/03/2006

Je suis d’ accord avec la rédaction de DeDefensa, le poker menteur va se poursuivre au moins jusqu’ au 05/12/2006 ; sur le thème “Chéri, fais moi peur, sinon j’ achète le french Rafale”. Mais il y a des risques de débordements en politique intérieure britannique.

Ceci dit, il serait de bonne politique pour la France de faire la danse des sept voiles devant Tony BLAIR, histoire d’ accroître la confusion, pcc “La discorde chez l’ennemi” de Ch. de G. ; “l’Art de la Guerre” de Sun-Tzé.

Avec un risque : celui de transférer des technologies françaises à un pays qui n’ aura pas complètement rompu avec les “special relationships”, et donc de voir atterrir lesdites technologies tricolores sur le bureau du FeldMarschall von RUMSFELD (si ce n’est déjà fait).

Il y a quand même quelque chose d’intéressant dans la chronique d’ Alexandre ADLER, c’ est l’ explication de la décision Estadunienne. D’ après AA, GWB, RUMSFELD et RICE seraient tombé d’ accord pour trouver que BLAIR s’ est montré “wobbly” en négociant avec l’ Iran et les autres européens, et que ça méritait une sanction.

Conclusion : vous êtes avec nous, les USA inconditionnellement et aveuglément, sinon on tord le cou à votre industrie d’ armement.
Autre conclusion : les USA sont décidés à attaquer l’ Iran, seuls s’ il le faut, et quelque soit l’ opinion internationale.

Mainstream, mainstream, mainstream...

Article lié :

Fred

  23/03/2006

“On” utilise ce mot en sachant tous ce qu’il désigne. Mais si on veut le dire en français, on dit quoi ?

La presse “du courant dominant” ? Ce n’est pas aussi joli. Il doit bien y avoir moyen de trouver une contraction élégante non ?

sur fukuyama

Article lié : Fukuyama, ou The End of the Logic

yodalf

  23/03/2006

je me réfère à mon commentaire sur Brzezinski du 16 mars…

les uns croient voir le déclin américain, les autres le retour à un isolationnisme, les troisièmes une crise mondiale du dollar et du système monétaire.
Ce sont des méditations qui cherchent à donner un sens aux évolutions en cours, et sont générées par l’absence de résultats en Afghanistan: Bin Laden court toujours, mais on va y donner la mort à un converti chrétien… et en Irak, chacun sait!
Fukuyama aussi cherche à se situer.
Il est cependant clair que la dispersion des forces, comme le disaient les Anciens stratèges chinois, est ce qui affaiblit les grands empires - la grenouille de la fable. En ce sens ce que nous voyons, dans le nationalisme unilatéral US, est une sorte de péché d’orgueil, une dispersion dispendieuse qui use les opinions publiques et ruine leur prestige.

Le discours sur le déclin serait alors bien plus une vision, depuis les USA, des limites déjà existantes (mais jusque là méprisées) des moyens et de la stratégie américaines, donc un amère prise de conscience, ainsi qu’un réajustement des relations internationales dans les sens du multilatéralisme. je dirais volontiers, un mutilatéralisme pour une période de temps. La Première Puissance mondiale se montre comme n’étant pas la superpuissance omnipotente ayant tous les droits - pas plus que Louis XIV n’en disposait, lui qui, ayant la prépondérance en Europe, a dû finir par se ruiner face à toutes les coalitions qu’il avait suscitées.
Encore une fois, la pauvreté de la culture exportée par les USA, leur dette de 30 000$ par personne, le sentiment de déclin (défini par Brzezinski), la révolte andine contre le TLC (plus qu’une ” révolution mondiale”), la mondialisation des débats et des décisions politiques des grandes puissances , tout ces nouveaux phénomènes posent un défi à l’humanité, c’est celui de trouver par quoi on pourrait remplacer le “capitalisme” - et sa croissance, s’il s’avère que son déclin est réel.
Le déclin américain, alors, serait le signe manifeste d’une double impasse qui existe au niveau planétaire et qui est à la fois capitaliste et spirituelle.

Il est cependant “logique” qu’au lieu de laisser les Européens (qui n’ont toujours pas de vraie politique internationale) se réjouir des échecs US et s’éloigner d’eux, Fukuyama leur conseille de rester leur allié: en effet, face à d’autres situation conflictuelles, la puissance mal armée et sans stratégie qu’est l’UE, ne saurait se passer des USA.  Evidemment, il en irait autrement si les Européens disposaient d’un vrai pouvoir législatif, de vraies élections qui donneraient les conditions de vrais débats (si apparaissaient de vrais enjeux, programmes et leaders… ce qui reste une condition hypothétique). De façon “néo-réaliste”, ces données n’existant pas, Fukuyama ne voit pas d’autre solution que de proposer de coller aux USA alors même qu’ils risquent de s’enfoncer dans leur isolationnisme, et peut être même de plonger le monde dans une crise monétaire pour sauver le dollar et la dette.
le défi est donc bien là. Les islamistes proposent leur solution… les Chinois profitent de la confusion pour augmenter leur commerce et leur puissance continentale… reste à l’Europe certainement la tâche de trouver des réponses à ces défis, si cette puissance composite, dépendante du parapluie militaire US, ne veut pas se retrouver en train de glisser sans le vouloir dans le gouffre ouvert par les Bush - et les démocrates.

bourse iran

Article lié : L’IOB iranienne? Pas (encore?) au courant

Vladimir KOMAR

  22/03/2006

bonjour,
j’ai sursauté samedi matin en ecoutant un commentaire sur France Inter vers 9H,annoncant un accord en vue entre americains et iraniens sur le nucleaire,depuis silence et que dire de l’article de la Pravda http://english.pravda.ru/world/asia/21-03-2006/77628-oil-0,annoncant l’ouverture de la bourse iranienne?

JSF: vers un nouveau cas Dubai∫∫

Article lié : Le JSF en Barnum globalisé

louis kuehn

  22/03/2006

Fears grow over new Dubai revolt
[Financial Times, 22 Mars]
By Stephanie Kirchgaessner in Washington and James Boxell in London
Published: March 21 2006 20:58 | Last updated: March 22 2006 00:39

US docksArab and US officials are growing nervous at the prospect of a second congressional uprising against the acquisition of American assets by a Middle Eastern-controlled company in the wake of the Dubai Ports World debacle.

A person familiar with the thinking of both the US and United Arab Emirates said officials were concerned that the pending investigation of Dubai International Capital’s £700m ($1.2m) purchase of Doncasters, a privately-held British aerospace manufacturer that works on sensitive US weapons programmes, including the Joint Strike Fighter, could provoke a similar backlash and further damage the relationship between the two countries.

Although the proposed transaction has not yet drawn much attention in Congress, the first signs of unease emerged on Tuesday when John Barrow, a Democratic lawmaker, released a letter demanding a tour of Doncasters’ Georgia facility.

DP World chief says dispute was ‘shock’
Click here

“It is reported that your facility produces turbine engine parts critical to tanks and military aircraft…one must assume [it] plays a necessary and substantial role in the nation’s ongoing military efforts in Iraq and Afghanistan,” Mr Barrow wrote.

The Treasury has said the deal will be subject to an extensive 45-day investigation, pushing back the completion to as late as May.

The review comes as officials from Dubai work to ease tensions in Washington after protests forced DP World, also a state-owned company, to agree to divest five US port terminals acquired from the UK’s P&O.

Sheikha Lubna Al Qasimi, the UAE’s economy minister, who is visiting Washington, said in an interview that the overall relationship with the US, including security and intelligence, remained paramount. She did not want to prejudge the regulatory review of the Doncasters deal but conceded that the UAE needed to do more to “educate” the people in the US, including lawmakers.

President George W. Bush, who defended the DP World deal but was unable to quash the rebellion by members of his own party, has emphasised the UAE’s role as an ally in the “war on terror”.

Even if the administration were to approve the Doncasters deal, the reaction to the DP World deal has signalled to foreign investors in the US - particularly in Arab countries - that Congress has the capability to derail any deal.

Doncasters generated 35 per cent of its sales in the US in 2004 and would be likely to draw interest from private equity buyers if Arab ownership were to be blocked.

Adler et le JSF

Article lié : Le dernier truc à la mode: menacer de quitter le JSF

Jmeu

  22/03/2006

Au sujet justement du projet JSF (que je suis attentivement, essentiellement par votre intermédiaire, en croisant les doigts pour que la GB abandonne sa participation), je vous signale qu’Alexanre Adler, chroniqueur dans “les Matins” de France Culture, a déjà évoqué deux fois cette semaine (et notamment ce matin) une information “de la plus haute importance” : la Grande Bretagne, et les autres pays européens auraient déjà dit non aux Etats Unis.

J’ignore d’où il tire ses infos, mais je n’ai trouvé nulle part la moindre trace d’une telle décision.

Bon, comme c’est Alexandre Adler qui le dit, méfiance : en général, ses prévisions se révèlent rigoureusement inverses de la réalité (aïe !), sa chronique était naze, on peut pas dire qu’il maîtrisait le sujet.

Avez-vous idée de ce qui aurait pu le conduire à tenir de tels propos ?

JSF: vers un nouveau cas Dubai∫∫

Article lié :

louis kuehn

  22/03/2006

Fears grow over new Dubai revolt
[Financial Times, 22 Mars]
By Stephanie Kirchgaessner in Washington and James Boxell in London
Published: March 21 2006 20:58 | Last updated: March 22 2006 00:39

US docksArab and US officials are growing nervous at the prospect of a second congressional uprising against the acquisition of American assets by a Middle Eastern-controlled company in the wake of the Dubai Ports World debacle.

A person familiar with the thinking of both the US and United Arab Emirates said officials were concerned that the pending investigation of Dubai International Capital’s £700m ($1.2m) purchase of Doncasters, a privately-held British aerospace manufacturer that works on sensitive US weapons programmes, including the Joint Strike Fighter, could provoke a similar backlash and further damage the relationship between the two countries.

Although the proposed transaction has not yet drawn much attention in Congress, the first signs of unease emerged on Tuesday when John Barrow, a Democratic lawmaker, released a letter demanding a tour of Doncasters’ Georgia facility.

DP World chief says dispute was ‘shock’
Click here

“It is reported that your facility produces turbine engine parts critical to tanks and military aircraft…one must assume [it] plays a necessary and substantial role in the nation’s ongoing military efforts in Iraq and Afghanistan,” Mr Barrow wrote.

The Treasury has said the deal will be subject to an extensive 45-day investigation, pushing back the completion to as late as May.

The review comes as officials from Dubai work to ease tensions in Washington after protests forced DP World, also a state-owned company, to agree to divest five US port terminals acquired from the UK’s P&O.

Sheikha Lubna Al Qasimi, the UAE’s economy minister, who is visiting Washington, said in an interview that the overall relationship with the US, including security and intelligence, remained paramount. She did not want to prejudge the regulatory review of the Doncasters deal but conceded that the UAE needed to do more to “educate” the people in the US, including lawmakers.

President George W. Bush, who defended the DP World deal but was unable to quash the rebellion by members of his own party, has emphasised the UAE’s role as an ally in the “war on terror”.

Even if the administration were to approve the Doncasters deal, the reaction to the DP World deal has signalled to foreign investors in the US – particularly in Arab countries - that Congress has the capability to derail any deal.

Doncasters generated 35 per cent of its sales in the US in 2004 and would be likely to draw interest from private equity buyers if Arab ownership were to be blocked.

Oui, le calme est bizarrement calme

Article lié : L’IOB iranienne? Pas (encore?) au courant

Fred

  22/03/2006

Bonjour,

Je me posais la question… j’essayais de comprendre pourquoi cette semaine était si calme. Pas d’agressions verbales autour des négociations à l’ONU… pas de nouvelles particulières. A part l’énième révolution orange regroupant quelques milliers de personnes qui semble plus impressionnante/intéressante dans les commentaires que les centaines de milliers de participants aux manifestations en France… (j’ignore pourquoi des associations occidentales les incitent à manifester quand on voit l’innefficacité patente de ce mode d’expression dans nos belles démocraties, à l’écoute du peuple, et tout et tout).

Donc, oui, c’est étrange cet dénégation qui n’en est pas une. Au point où nous en sommes, finalement, les iraniens exploitent-ils ce qui est une désinformation qui ne serait pas de leur fait… ou ont-ils au contraire fait marche arrière, histoire d’avoir moins de pression avec leur nucléaire ?

Political Statistics

Article lié : ...Jusqu’à 500.000 morts?

jj mollo

  21/03/2006

There have been many posts that challenge the study published in Lancet.  The stated goal of the study was to measure “excess” deaths from any cause whatsoever, but there is no way to determine what would have happened if the US had refrained from invading Iraq.  There are also other problems with the study that I have documented on my own web site.

To keep things simple, please note that the Iraqi press identifies events involving a dozen deaths as significant.  Perhaps there are 5 or 10 deaths for each death noted in the press.  I deliberately choose a high number.  Let us say there are 100 Iraqi deaths due to war related violence every day.  That would be 36,500 per year, at most 100,000 since the war began.  This is not good, but it is a much more reasonable number than 500,000. 

There is also no reason to blame all these deaths on American malfeasance.  When Saddam released all the criminals from jail, he became responsible for many of these deaths.  When Syria allows suicide bombers to cross its borders, it becomes responsible for some of these deaths.

Coup de froid transatlantique sur la défense - Le Figaro

Article lié :

Thierry Delbosc

  20/03/2006

l’affaire éclaterait-elle dans la presse mainstream ?
Vers un front commun des acheteurs du JSF ?
“”” http://www.lefigaro.fr/international/20060318.FIG000000691_coup_de_froid_transatlantique_sur_la_defense.html

Arnaud de La Grange
18 mars 2006, (Rubrique International)

 
Armements Le programme d’avion de combat JSF est menacé par la volonté américaine de limiter les transferts de technologie. Le Royaume-Uni proteste.

UN COUP DE CHIEN jamais vu, entre Londres et Washington, en matière de défense. L’objet du litige n’est autre qu’un des futurs outils de puissance aérienne des deux pays, le Joint Strike Fighter (JSF). Un avion de chasse que les Américains entendent livrer à leurs amis britanniques… sans les codes secrets qui régissent tout le système d’armes.
Londres estime que sa «souveraineté» est en jeu. Et pour la première fois, un haut responsable britannique en visite aux Etats-Unis a menacé de jeter l’éponge. Une possible remise en cause d’un programme de quelque 12 milliards de dollars, mais aussi, par ricochet, d’un partenariat militaire historique et des plus étroits.
Avec une vigueur jamais vue chez l’allié privilégié de Washington, Lord Drayson, ministre délégué à l’Armement, a fustigé il y a deux jours le non-respect du marché initial en matière de transfert de technologie. «Nous avons clairement des lignes rouges sur ce sujet, a-t-il déclaré outre-Atlantique, et si elles sont franchies, nous ne pourrons pas acheter cet avion.»
Menace sur la sécurité opérationnelle
Les sénateurs américains ont été estomaqués. Les Britanniques, eux, se sentent floués. Ils ont prévu d’acquérir 150 chasseurs JSF, qui doivent notamment équiper leur futur porte-avions. Le contrat devrait impliquer des transferts de technologie que le Congrès américain et le constructeur Lockheed Martin font tout pour empêcher.
Or, ces «codes source» sont cruciaux. Ils sont la clé permettant d’entretenir l’avion de manière autonome, d’y intégrer les armements que l’on veut – européens par exemple –, de moderniser l’avion ou de l’exporter. A l’extrême, ils peuvent permettre aux Etats-Unis de rendre inopérationnels les avions qu’ils ont vendus. Le général Jock Stirrup, chef de la Royal Air Force et bientôt patron de toutes les armées britanniques, n’a pas hésité à parler d’une menace sur la «sécurité opérationnelle».
A ce camouflet vient s’en ajouter un deuxième. Le mois dernier, le Pentagone a décidé de mettre fin au développement d’un deuxième moteur, fabriqué par Rolls Royce, pour le JSF. Du coup, le seul motoriste reste Pratt and Whitney. La décision aurait été prise sans consulter les Britanniques qui, là encore, ont vu rouge. Tony Blair se serait même fendu de plusieurs lettres à George W. Bush. Sans effet. Pour l’industrie britannique, ce sont des millions de dollars qui s’envolent.
En cas de retrait du programme JSF, la presse britannique évoque des «plans B». Une prolongation du Harrier, l’avion actuel, qui ne peut cependant pas emporter nombre d’armements modernes comme le missile de croisière. L’exploration d’une nouvelle version «navalisée» du Typhoon (l’Eurofighter) paraît très aléatoire. Ou encore un mouvement vers le Rafale français.
Même si l’irritation est grande, la Grande-Bretagne est cependant encore loin d’avoir claqué la porte. D’abord, parce qu’elle a déjà investi 2 milliards de dollars dans le programme. Ensuite, parce que, politiquement, ce serait un séisme. «Il en restera, quoi qu’il advienne, une prise de conscience de la nécessité d’investir dans des technologies stratégiques, sans acheter tout sur étagère aux Etats-Unis, explique un proche du dossier, avec en corollaire la nécessité de collaborer entre Européens puisque les budgets nationaux ne sont pas assez robustes.»
La fronde gagne d’autres pays associés au JSF – en l’occurrence la Norvège, l’Italie, le Danemark, les Pays-Bas et la Turquie – qui se sont réunis il y a huit jours pour décider d’une stratégie commune. Une coalition d’un nouveau genre avec un «ennemi» tout aussi inédit, le Pentagone.

Armements Le programme d’avion de combat JSF est menacé par la volonté américaine de limiter les transferts de technologie. Le Royaume-Uni proteste.

UN COUP DE CHIEN jamais vu, entre Londres et Washington, en matière de défense. L’objet du litige n’est autre qu’un des futurs outils de puissance aérienne des deux pays, le Joint Strike Fighter (JSF). Un avion de chasse que les Américains entendent livrer à leurs amis britanniques… sans les codes secrets qui régissent tout le système d’armes.
Londres estime que sa «souveraineté» est en jeu. Et pour la première fois, un haut responsable britannique en visite aux Etats-Unis a menacé de jeter l’éponge. Une possible remise en cause d’un programme de quelque 12 milliards de dollars, mais aussi, par ricochet, d’un partenariat militaire historique et des plus étroits.
Avec une vigueur jamais vue chez l’allié privilégié de Washington, Lord Drayson, ministre délégué à l’Armement, a fustigé il y a deux jours le non-respect du marché initial en matière de transfert de technologie. «Nous avons clairement des lignes rouges sur ce sujet, a-t-il déclaré outre-Atlantique, et si elles sont franchies, nous ne pourrons pas acheter cet avion.»
Menace sur la sécurité opérationnelle
Les sénateurs américains ont été estomaqués. Les Britanniques, eux, se sentent floués. Ils ont prévu d’acquérir 150 chasseurs JSF, qui doivent notamment équiper leur futur porte-avions. Le contrat devrait impliquer des transferts de technologie que le Congrès américain et le constructeur Lockheed Martin font tout pour empêcher.
Or, ces «codes source» sont cruciaux. Ils sont la clé permettant d’entretenir l’avion de manière autonome, d’y intégrer les armements que l’on veut – européens par exemple –, de moderniser l’avion ou de l’exporter. A l’extrême, ils peuvent permettre aux Etats-Unis de rendre inopérationnels les avions qu’ils ont vendus. Le général Jock Stirrup, chef de la Royal Air Force et bientôt patron de toutes les armées britanniques, n’a pas hésité à parler d’une menace sur la «sécurité opérationnelle».
A ce camouflet vient s’en ajouter un deuxième. Le mois dernier, le Pentagone a décidé de mettre fin au développement d’un deuxième moteur, fabriqué par Rolls Royce, pour le JSF. Du coup, le seul motoriste reste Pratt and Whitney. La décision aurait été prise sans consulter les Britanniques qui, là encore, ont vu rouge. Tony Blair se serait même fendu de plusieurs lettres à George W. Bush. Sans effet. Pour l’industrie britannique, ce sont des millions de dollars qui s’envolent.
En cas de retrait du programme JSF, la presse britannique évoque des «plans B». Une prolongation du Harrier, l’avion actuel, qui ne peut cependant pas emporter nombre d’armements modernes comme le missile de croisière. L’exploration d’une nouvelle version «navalisée» du Typhoon (l’Eurofighter) paraît très aléatoire. Ou encore un mouvement vers le Rafale français.
Même si l’irritation est grande, la Grande-Bretagne est cependant encore loin d’avoir claqué la porte. D’abord, parce qu’elle a déjà investi 2 milliards de dollars dans le programme. Ensuite, parce que, politiquement, ce serait un séisme. «Il en restera, quoi qu’il advienne, une prise de conscience de la nécessité d’investir dans des technologies stratégiques, sans acheter tout sur étagère aux Etats-Unis, explique un proche du dossier, avec en corollaire la nécessité de collaborer entre Européens puisque les budgets nationaux ne sont pas assez robustes.»
La fronde gagne d’autres pays associés au JSF – en l’occurrence la Norvège, l’Italie, le Danemark, les Pays-Bas et la Turquie – qui se sont réunis il y a huit jours pour décider d’une stratégie commune. Une coalition d’un nouveau genre avec un «ennemi» tout aussi inédit, le Pentagone.

Armements Le programme d’avion de combat JSF est menacé par la volonté américaine de limiter les transferts de technologie. Le Royaume-Uni proteste.

UN COUP DE CHIEN jamais vu, entre Londres et Washington, en matière de défense. L’objet du litige n’est autre qu’un des futurs outils de puissance aérienne des deux pays, le Joint Strike Fighter (JSF). Un avion de chasse que les Américains entendent livrer à leurs amis britanniques… sans les codes secrets qui régissent tout le système d’armes.
Londres estime que sa «souveraineté» est en jeu. Et pour la première fois, un haut responsable britannique en visite aux Etats-Unis a menacé de jeter l’éponge. Une possible remise en cause d’un programme de quelque 12 milliards de dollars, mais aussi, par ricochet, d’un partenariat militaire historique et des plus étroits.
Avec une vigueur jamais vue chez l’allié privilégié de Washington, Lord Drayson, ministre délégué à l’Armement, a fustigé il y a deux jours le non-respect du marché initial en matière de transfert de technologie. «Nous avons clairement des lignes rouges sur ce sujet, a-t-il déclaré outre-Atlantique, et si elles sont franchies, nous ne pourrons pas acheter cet avion.»
Menace sur la sécurité opérationnelle
Les sénateurs américains ont été estomaqués. Les Britanniques, eux, se sentent floués. Ils ont prévu d’acquérir 150 chasseurs JSF, qui doivent notamment équiper leur futur porte-avions. Le contrat devrait impliquer des transferts de technologie que le Congrès américain et le constructeur Lockheed Martin font tout pour empêcher.
Or, ces «codes source» sont cruciaux. Ils sont la clé permettant d’entretenir l’avion de manière autonome, d’y intégrer les armements que l’on veut – européens par exemple –, de moderniser l’avion ou de l’exporter. A l’extrême, ils peuvent permettre aux Etats-Unis de rendre inopérationnels les avions qu’ils ont vendus. Le général Jock Stirrup, chef de la Royal Air Force et bientôt patron de toutes les armées britanniques, n’a pas hésité à parler d’une menace sur la «sécurité opérationnelle».
A ce camouflet vient s’en ajouter un deuxième. Le mois dernier, le Pentagone a décidé de mettre fin au développement d’un deuxième moteur, fabriqué par Rolls Royce, pour le JSF. Du coup, le seul motoriste reste Pratt and Whitney. La décision aurait été prise sans consulter les Britanniques qui, là encore, ont vu rouge. Tony Blair se serait même fendu de plusieurs lettres à George W. Bush. Sans effet. Pour l’industrie britannique, ce sont des millions de dollars qui s’envolent.
En cas de retrait du programme JSF, la presse britannique évoque des «plans B». Une prolongation du Harrier, l’avion actuel, qui ne peut cependant pas emporter nombre d’armements modernes comme le missile de croisière. L’exploration d’une nouvelle version «navalisée» du Typhoon (l’Eurofighter) paraît très aléatoire. Ou encore un mouvement vers le Rafale français.
Même si l’irritation est grande, la Grande-Bretagne est cependant encore loin d’avoir claqué la porte. D’abord, parce qu’elle a déjà investi 2 milliards de dollars dans le programme. Ensuite, parce que, politiquement, ce serait un séisme. «Il en restera, quoi qu’il advienne, une prise de conscience de la nécessité d’investir dans des technologies stratégiques, sans acheter tout sur étagère aux Etats-Unis, explique un proche du dossier, avec en corollaire la nécessité de collaborer entre Européens puisque les budgets nationaux ne sont pas assez robustes.»
La fronde gagne d’autres pays associés au JSF – en l’occurrence la Norvège, l’Italie, le Danemark, les Pays-Bas et la Turquie – qui se sont réunis il y a huit jours pour décider d’une stratégie commune. Une coalition d’un nouveau genre avec un «ennemi» tout aussi inédit, le Pentagone.
“”“

Il était temps..

Article lié :

Balajo

  19/03/2006

Un soldat britannique membre des SAS quitte l’armée, dégoûté par les tactiques états-uniennes illégales en Irak

Un soldat des SAS a refusé de combattre en Irak et a quitté l’armée à cause des tactiques qu’il juge illégales des troupes des États-Unis, et de la politique des forces de la coalition.

Après 3 mois à Bagdad, Ben Griffin a déclaré à ses supérieurs qu’il n’était plus prêt à se battre au côté des forces États-uniennes.

Il dit qu’il a été témoin de douzaines d’actes illégaux commis par les troupes US, qui voient les Irakiens comme des “untermenschen” - le terme nazi pour les races considérées comme sous humaines.

C’est la première fois qu’un soldat des SAS refuse d’aller au combat et quitte l’armée pour des raisons de conscience.

Cela a immédiatement mis un terme aux 8 ans de la carrière exemplaire de Mr Griffin.

Mais cela embarrasse également le gouvernement et a potentiellement un profond impact dans les dossiers d’autres soldats qui ont refusé de se battre.

Mercredi, des audiences préliminaires commenceront devant la cour martiale dans le cas du lieutenant Malcolm Kendall-Smith, un docteur de la Royal Air Force qui a refusé de retourner en Irak pour une 3e fois, parce que dit-il, cette guerre est illégale. Les déclarations de Mr Griffin tombent au moment où le ministre des affaires étrangère Kim Howell, en visite à Bassora hier (samedi 11 mars) a admis que l’Irak était devenu un bourbier. (‘a mess”)

Mr Griffin, 28 ans, qui a servi pendant 2 ans dans les SAS, a déclaré que la mentalité belliqueuse et à la gâchette facile des soldats états-uniens et leurs façons de faire avaient définitivement miné toute chance de gagner les coeurs et les esprits de la population irakienne. Il a ajouté que de nombreux innocents avaient été arrêtés dans des raids nocturnes, interrogés, emprisonnés ou remis aux autorité irakiennes, et “plus que probablement” torturés.

Mr Griffin a finalement déclaré à ses supérieurs du SAS qu’il ne pouvait pas participer à une guerre qu’il considère comme illégale.

Il a ajouté qu’il pensait maintenant que le Premier ministre et le gouvernement avaient menti à plusieurs reprises dans la conduite de la guerre

“Je n’ai pas rejoint l’armée britannique pour faire la politique étrangère US”, a-t-il dit. Il s’attend à être étiqueté de ‘lâche”, et à faire face à une cour martiale et à une peine d’emprisonnement, après avoir pris ce qu’il appelle “la plus difficile décision de ma vie”.

Au lieu de cela, est venu à sa décharge un témoignage le décrivant comme “un individu équilibré, honnête, loyal, et déterminé, qui possède la force de caractère pour avoir le courage de ses convictions”

Hier soir, le député conservateur Patrick Mercer, a déclaré que “le soldat Griffin était un soldat hautement expérimenté. Cela rend sa décision particulièrement dérangeante et son point de vue et ses opinions devaient entendues par notre gouvernement”

POINT DE VUE VIRTUALISTE INATTENDU SUR GW BUSH.

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lebayorre

  19/03/2006

Extraits “fair use” d’ un quotidien britannique de l’ ultra-gauche :
[...]
“He {GW, nldr} is famously loyal; and expects the same. And so he has created a bubble of people who love him, who rarely challenge him, who defend him, and who represent a circle of ideology out of which the president makes sure he rarely treads.”[...]

“And then you remember you’ ve been saying the same thing to yourself for three years. And you wake up and smell the coffee the administration now needs just to keep itself from slipping into a coma.”

Ce point de vue nous vient d’ Andrew SULLIVAN dans le Times de Londres du 19 Mars 2006.

http://www.timesonline.co.uk/article/0,,2092-2092151,00.html

Pour l’ équivalent conservateur britannique des Izvestias soviétiques, il fallait quand même le faire, plus exactement l’ écrire.

Les “special relationships” vont connaître des développements intéressants, cf le JSF / F-35.

Réaction à l'article de Chomsky 15 mars 06

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C.D.

  19/03/2006

Dans les analyses géopolitiques contemporaines, un fait ne cesse de m’étonner : la passage sous silence de la SCO : Organisation de Coopération de Shanghaï.
Il est très curieux de constater que Chomsky, dans l’article du Guardian du 15 mars,  ne mentionne même pas l’existence de la SCO.
Cette puissante alliance asiatique a pris naissance en 1996, sans tambours ni trompettes.
Ce fut d’abord un traité entre Moscou et Pékin, suivi de l’adhésion de de 3 anciennes républiques de l’URSS, le Kazakhstan, le Kyrgystan et le Tajikistan. Il prit le nom de
“Shanghai Five”. A cette époque, on croyait à une mésentente profonde entre la Chine et la Russie. Lorsque Moscou livra à Pékin, en 1999, les premiers Sukhoi et des destroyers atomiques, personne n’en parla, dans les grands médias occidentaux. Le but avoué de cette alliance était la lutte contre le terrorisme. Les Russes connaissaient ce fléau bien avant qu’il ne frappe l’Amérique : d’abord la subversion en Afghanistan, soutenue par Washington, puis les affaires tchétchènes. Les Chinois commençaient à connaître des problèmes semblables dans les région du sud ouest de leur territoire.
En 2001, l’ Uzbekistan vint rejoindre le noyau initial et l’alliance pris le nom définitif de SCO.
Mais les 6 Etats membres décidèrent, toujours au nom de la lutte contre le terrorisme, qui
avait pris une dimension mondiale en septembre 2001, de donner une compétence militaire
à la SCO.
C’est le Times de Londres qui annonça le premier la nouvelle, le 3 août 2005 : de grandes manoeuvres étaient annoncées pour le 18 août, en mer de Chine, auxquelles participeraient
des troupes de la SCO, ainsi qu’une flotte aérienne et des navires de guerre.
Les médias chinois confirmèrent la nouvelle dès le 7 août.
Le 18 août, l’exercice “Peace Mission 2005” commençait. Partant de la région de Vladivostock, 10.000 soldats soutenus par air et par mer en,treprirent une opération de débarquement dans la;province de Shandong (Nor-est de la Chine). Le 25, les opérations prirent fin.
David R. Sands avait, dès le 4 août 2005, considéré avec appréhension ces manoeuvres,  dans un article du Washington Times. ” The exercises, seen as hard evidence of a warming alliance between the two powers against U.S. influence in Asia, have sparked concern across the region, particularly in Taiwan, which China claims is a breakaway province.”
Les journaux chinois ont montré avec orgueil les avions achetés aux Russes : des chasseurs du modèle SU-27SM, des bombardiers Tu-22MZ et des bombardiers stratégiques TO-95 et TU-160.
Cette lacune, dans le texte de Chomsky, est accompagnée de prévisions très discutables, quant à une alliance Chine-Indes. Là, les carottes sont loin d’être cuites.

Félicitations...

Article lié :

EL BAKI Mohamed

  18/03/2006

Oui, toutes mes félicitations,et mes encouragements.Continuez dans cette voie de l’indépendance…