Lambrechts Francis
25/08/2006
In the war that just ended, Israel proved that it does not know how to win, and after the war it is proving that it does not know how to lose: Nobody has risen from the ruins so far and said - I am to blame; nor have they said, at the very least - I am responsible.
None of the government’s ministers have stood up, nor said - I may not be prime minister and I am not defense minister, but as a cabinet member I betrayed my duty and breached trust, and I am taking personal responsibility. And no one stood up from among the army generals and senior government administration and said - We may take directives and orders, but we also had a hand in the misdeed. We, too, have trouble looking those soldiers in the eye who are asking, Why, why did you do this to us; and for those civilians on the home front who were dumped onto the frontline, we have only pathetic excuses and no real answers.
No one from the print or broadcast media, from among those who slaved for this government and this General Staff as though they were Moloch, has yet to drop his pen and his microphone, saying - I went along with the foolishness, and was a fool: Here is my apology and this is my way to make amends; I shall seek other employment, where I will do less harm. If only one person, just one, were to get up in the morning and start going home [like the hit song says] - perhaps many would follow in his footsteps; nobody does.
etc. Chapeau ! Nous sommes tous concernés, vite la suite :
Lambrechts Francis
25/08/2006
http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=55256 *** from P.G.Gosselin et J.Hook, Los Angeles Times
... le président va devoir s’inspirer de certains des programmes du New Deal et de la Great Society [la “guerre contre la pauvreté” déclarée en 1964 par le président Johnson], auxquels il a longtemps reproché d’être trop coûteux et de déresponsabiliser les Américains.
... De fait, c’est l’ampleur même du programme d’aide fédéral qui a pris de court les conservateurs et les autres. A plus de 62 milliards de dollars, cet effort dépasse en ampleur le plan Marshall.
... Les 62,3 milliards débloqués par la Chambre des représentants et le Sénat, presque sans débat, éclipsent largement les coupures budgétaires de 37 milliards de dollars sur cinq ans réclamées par les deux Chambres - des économies qui avaient été présentées à grand bruit comme l’effort de rigueur budgétaire le plus important de la décennie. Mais, cette semaine, des dirigeants du Parti républicain ont annoncé qu’ils avaient reporté sine die les délibérations sur ces décisions budgétaires, qui visent les programmes sociaux. ... “L’austérité n’est pas de mise en ce moment.”
(NB : un programme fiscal, budgétaire et économique apocalyptique pour qui connait l’ampleur des déficits cumulés des états, du fédéral, des consommateurs, du manque criant d’épargne et d’investissements dans divers secteurs dont l’énergie ... avec en conséquence un dollar branlant dans un contexte de hausse des matières premières dont ils apprennent leur nouvelle dépendance “à l’européenne” ... lisez des économistes “contrariens” dans “La Chronique Agora”.
Le temps est l’inconnue. La Grande Bretagne impériale, donc en guerre permanente, a mis un demi siècle pour couler la livre jusqu’à emprunter discrêtement au FMI comme une vulgaire dictature latine. Ils ont découvert, vers 1970, le pétrole de la Mer du Nord, mais croient que Super-Tatcher est la source de leur renouveau ! Comme l’or noir a été galvaudé à notre mode du “syndrome hollandais” et pas Norvégien, ils re-découvrent lentement la réalité avec les dernières gouttes des puits ... et Blair re-découvre l’atome. Ils vont même parler de solidarité européenne quand la béquille américaine deviendra baton. )
Emmanuel76
24/08/2006
Bientôt cinq ans, et les troublantes questions posées par des associations de plus en plus nombreuses, au sujet du 11/09/2001 n’ont toujours pas trouvé de place dans la presse. Une notable exception à cette omerta : la presse norvégienne s’est emparé du sujet tout récemment. Les différentes enquêtes publiées concluent soit à une implication passive de l’administration Bush, soit à un véritable complot.
Pour ceux qui ne sont jamais penché sur la question ou qui entretiennent des doutes, il existe de nombreux sites dédiés à cette affaire.
Je vous conseille vivement de visiter par exemple le site reopen911.fr.
De nombreux films d’investigation sont disponibles sur le net. Le plus pertinent, le plus récent et le plus complet s’intitule LOOSE CHANGE 2 et il est diponible en VF sur video.google.fr.
Il dure 1h20 et est une passionant plongée dans les coulisses de cette terrible attaque. Accrochez vos ceintures, ça décoiffe !!!
Jean-Marie
24/08/2006
Où avoir une preuve inconstestable que les deux soldats Ehoud Goldwasser et Eldad Regev,ont bien été enlevés sur le territoire israélien (qui devait être palestinien selon la résolution 181) et pas capturés sur le territoire libanais ?
C’était nettemernt moins facile qu’en Palestine où il a enlevé (en territoire étranger qu’il occupe) et pas “arrêté ” comme autorité légiitme de son territoire des parlemenatires et des ministres s et des hauts-fonctionaires, mais la réplque qu’ onaurait pu juger “légitime” n’aurait pu être que d’enlever quelques hautes personnalités “hezbollahsis” et/ou libanaises.
Ce point d’histoire est-il vraiment secondaire pour essayer de déstabiliser des sionistes français ou belges ?
Par delà l’orgueilleuse autre option choisie (une guerre de quelques jours à peine, Monsieur le Premier sinistre !), y avait-il en fait “répétition générale” téléguidée par la clique néocons de la marionnette états-uniennes ?
mathieu bultelle
24/08/2006
Apres les armes anti-char, voici la guerre electronique, avec le meme constat: Hezbollah (et par consequent l’Iran) ne sont pas aussi arrieres que certain pensaient (ou plutot esperaient).
DEBKAfile Exclusive: American electronic warfare experts in Israel to find out how Hizballahs Iranian systems neutralized Israeli EW
August 23, 2006, 3:18 PM (GMT+02:00)
>DEBKA-Net-Weekly 266 first drew attention to Irans heavy EW investment and its successful functioning in the Lebanon War on Aug. 11, 06. This first account will be followed up in the next DNW issue out on Friday, Aug. 25.
DEBKAfile on Aug. 23 adds: The American EW experts are interested in four areas. 1. The Israeli EW systems failure to block Hizballahs command and communications and the links between the Lebanese command and the Syria-based Iranian headquarters. 2. How Iranian technicians helped Hizballah eavesdrop on Israels communications networks and mobile telephones, including Israeli soldiers conversations from inside Lebanon. 3. How Iranian EW installed in Lebanese army coastal radar stations blocked the Barak anti-missile missiles aboard Israeli warships, allowing Hizballah to hit the Israeli corvette Hanith. 4. Why Israeli EW was unable to jam the military systems at the Iranian embassy in Beirut, which hosted the underground war room out of which Hassan Nasrallah and his top commanders, including Imad Mughniyeh, functioned.
From DEBKA-Net-Weekly 266:
Until the watershed date of July 12, 2006, when the Hizballah triggered the Lebanon War, Israel was accounted an important world power in the development of electronic warfare systems so much so that a symbiotic relationship evolved for the research and development of many US and Israeli electronic warfare systems, in which a mix of complementary American and Israeli devices and methods were invested.
In combat against Hizballah, both were not only found wanting, but had been actively neutralized, so that none performed the functions for which they were designed. This poses both the US and Israel with a serious problem in a further round of the Lebanon war and any military clash with Iran.
DEBKAfiles military sources add: Both intelligence services underestimated the tremendous effort Iran invested in state of the art electronic warfare gadgetry designed to disable American military operations in Iraq and IDF functions in Israel and Lebanon. Israels electronic warfare units were taken by surprise by the sophisticated protective mechanisms attached to Hizballahs communications networks, which were discovered to be connected by optical fibers which are not susceptible to electronic jamming.
American and Israeli experts realize now that they overlooked the key feature of the naval exercise Iran staged in the Persian Gulf last April: Irans leap ahead in electronic warfare. They dismissed most the weapons systems as old-fashioned. But among them were the C-802 cruise missile and several electronic warfare systems, both of which turned up in the Lebanon war with deadly effect.
Morville pierre
24/08/2006
Bonjour,
je tiens depuis 2002, une chronique hebdomadaire de politique étrangère dans le Quotidien d’Oran (1er quotidien francophone d’Algérie - chronique paraissant le jeudi - http://www.quotidien-oran.com - )
J’ai récemment découvert votre site que j’ai cité la semaine dernière.
Je vous fais parvenir ma dernière “chronique de Paris”.
Très cordialement,
Pierre Morville
” Liban : les raisons de la dérobade française
Paris préférerait attendre léchéance du 31 août sur le nucléaire iranien pour déterminer un éventuel envoi de troupes au Liban
« Les Français ne sont pas capables denvoyer plus de 200 soldats au Liban quand ils alignent 700 CRS pour évacuer un squat dimmigrants clandestins ! ». Cette remarque acide extraite du Courrier des lecteurs du quotidien Libération est pleine de justesse drolatique. On pourrait y voir lillustration de la hiérarchie des peurs de la société française beaucoup plus encline à traquer la main duvre étrangère illégale quà garantir la sécurité de son environnement méditerranéen.
Les réticences de larmée française à se déployer au Liban réclament cependant quelques explications complémentaires.
La raison officielle invoquée est connue : jusquoù va le mandat donné à la « Finul + » ? Les Nations unies ont promis de déployer un renfort de 3.500 hommes au Sud Liban d’ici le 2 septembre, pour atteindre rapidement 15 000 soldats en 90 jours mais lOnu pour linstant na reçu que peu d’offres de contributions. La Turquie pourrait envoyer un contingent important, mais tout comme la France, l’Espagne et d’autres : ils attendent que les règles d’engagement soient clairement définies par les Nations unies.
LItalie prête à prendre le relais
La résolution 1701 prévoit en effet que la Finul « renforcée » doit aider larmée libanaise à se déployer au Sud Liban et favoriser le cessez le feu mais sans que soient préciser les exigences, les moyens ou les limites de cette action armée. Paris veut ainsi obtenir des Nations unies des garanties, notamment sur « la liberté de réaction » de cette force, « robuste mais non offensive » selon lOnu.
Selon un document confidentiel révélé depuis par Le Monde, la force de l’Onu serait autorisée à ouvrir le feu pour se défendre, protéger des civils ou désarmer des miliciens qui se trouveraient sur leur passage. Mais les soldats de la Force intérimaire renforcée n’auraient pas pour mission de rechercher activement les armes du Hezbollah, ni de s’interposer en cas de reprise des combats.
Romano Prodi, le Président du Conseil italien, après y avoir été encouragé par Israël, le Liban, les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la Russie, a informé Kofi Annan que son pays était prêt à diriger la nouvelle Finul. « De la part d’Israël, nous attendons un engagement renouvelé, et cette fois véritablement contraignant, de respecter le cessez-le-feu », a souligné Massimo D’Alema, « il est juste d’exiger que le Hezbollah dépose les armes mais nous ne pouvons envoyer nos soldats au Liban si les Forces de défense israéliennes continuent de tirer». Le ministre italien des Affaires étrangères a raison de souligner demblée les difficultés de la mission qui pourrait être confiée à son pays. Maintenir le Cessez-le-feu ne sera pas tâche aisée. Encore plus, appliquer la résolution 1559.
Qui pourrait aujourdhui désarmer le Hezbollah ? Pas la Finul. Larmée libanaise ? On voit mal comment cette force, sous-équipée, constituée pour une bonne moitié de chiites, réduite essentiellement à des tâches de police pourrait désarmer le Hezbollah par la force
.
Côté israélien, les troupes se sont retirées de l’essentiel de ses positions au Liban mais dimanche, le talentueux ministre de la Défense Amir Peretz a agité la menace d’un « deuxième round » avec le Hezbollah.
La « cessation des hostilités » pourrait donc ne pas tenir longtemps. L’armée israélienne multipliera les opérations ponctuelles en territoire libanais, comme elle vient de le faire sans succès dans la Plaine de la Bekaa et la capacité de riposte du Hezbollah, qui a remporté la « première manche », sera rapidement reconstituée, voire renforcée.
Dans un tel contexte, la France qui reste pour linstant la seule force présente au Liban avec 1900 soldats mobilisés, na pas tort de réclamer des garanties sur laction de la « Finul + », et de demander à ses partenaires européens, notamment lAllemagne, un engagement réel et substantiel.
Cependant, lenvoi dun tout petit contingent supplémentaire, après son intense mobilisation diplomatique pour que soit adoptée la résolution 1701, sonne comme une dérobade : pourquoi tant dagitation française pour si peu de détermination militaire ? Ses diplomates savaient pertinemment que cette résolution ambiguë, fruit dun compromis laborieux, permettaient un grand nombre dinterprétations et que lOnu aurait peu les moyens den imposer une grille de lecture unique. De même, depuis lépisode du Drakkar en 1983, larmée française ne peut pas faire mine de découvrir aujourdhui les risques dune interposition au Liban.
Paris, prudent, attend le 31 août
Les réticences de Paris sexpliquent beaucoup plus par le calendrier. Entre le 22 et le 31 août, Téhéran doit faire connaître ses positions dernières sur le dossier nucléaire. Le 22 août, date de la commémoration de l’accession de Mahomet au titre de prophète, Layatollah Ali Khameneï a rejeté la suspension de lenrichissement duranium demandée par le Conseil de sécurité et lAllemagne, appelant à lunité des musulmans.
Téhéran a perçu la bataille de 33 jours au Liban comme un exercice mené conjointement par Washington et Tel-Aviv avant «la guerre» contre l’Iran. Attribuant une nette victoire au Hezbollah, la République Islamique constate l’échec des options militaires choisies par ses adversaires. «Ils vont réfléchir à deux fois avant d’attaquer un pays qui fait 158 fois la superficie du Liban», note M. Foroughi, politologue à l’université de Machhad. Pour faire preuve de sa détermination, lIran a organisé de spectaculaires manuvres militaires organisées à travers quinze provinces du pays. «L’expérience du Liban démontre que nous avons affaire à des ennemis qui ont perdu la raison, nous devons donc être prêts à faire face à des actes de folie», résume le général Salehi, chef de l’armée officielle.
Malgré une offre ambiguë de « poursuite des négociations », la menace de Téhéran est perceptible : ou le Conseil de sécurité laisse lIran poursuivre son programme denrichissement nucléaire ; ou le Grand Moyen Orient senfonce dans une crise généralisée.
Comment vont réagir les Etats-Unis à une telle sommation ? Georges Bush qui, le 7 novembre prochain, affronte au Sénat des élections difficiles, campe sur une position dure : le président américain a réclamé que le Conseil de sécurité décide rapidement de sanctions économiques si l’Iran persiste dans son refus de suspendre l’enrichissement d’uranium avant l’expiration de l’ultimatum du 31 août. “Il est bon d’avoir des dates butoirs, mais ce qui compte vraiment, c’est la volonté”, a déclaré Georges Bush, “Si les gens se moquent du Conseil de sécurité des Nations Unies, il faut que cela ait des conséquences”.
Larme économique est cependant à double tranchant : 4ème producteur mondial, lIran a parfaitement les moyens de faire exploser le marché pétrolier en réduisant ses capacités de livraison ou en bloquant le flux des navires dans le détroit dOrmuz (20% du trafic pétrolier international). De surcroît, la Chine et la Russie sont opposées à des sanctions économiques et lEurope demande une riposte limitée, excluant lénergie.
Reste loption militaire.
Iran : loption militaire américaine
Une étude de la Fondation française pour la recherche stratégique du 30 janvier 2006 (http://www.frstrategie.org) montre quune attaque aérienne israélienne est techniquement et politiquement peu probable. A linverse, malgré la modernisation de sa défense, Téhéran ne pourrait se défendre contre une attaque aérienne des Etats-unis « intense, précise et longue ». Déjà, des avions et des drones américains sapprochent de lespace aérien iranien ou le pénètrent à très basse ou très haute altitude pour forcer les radars à révéler leurs positions. En répétant lopération, larmée américaine entend disposer dun Electronic Order of Battle qui lui désigne la cartographie dune défense anti-aérienne insuffisamment mobile. Celle-ci serait annihilée avant la frappe de « contre-prolifération » qui devrait détruire la quinzaine de sites nucléaires iraniens. Lefficacité des moyens de riposte asymétriques dont dispose lIran (guérillas chiites en Irak et au Liban, attentats, arme pétrolière, fermeture du golfe arabo-persique
) doit être relativisée en cas descalade politique et militaire.
Les Etats-Unis devraient être cependant limités dans leurs actions par un constat réaliste : tant quils ont plus à perdre au Moyen-Orient quà gagner en Iran, ils ne devraient pas intervenir. Cest, hélas, sans compter sur laveuglement idéologique actuel de ladministration Bush
Malgré les avertissements de sa propre administration (le 17 août, 21 diplomates et généraux américains en retraite ont publiquement rejeté une intervention en Iran après le fiasco irakien), le président américain reste persuadé que cest lindétermination qui entraîne léchec : Georges Bush est, depuis trois ans, à la recherche dune démonstration de force réussie.
Dans un tel contexte explosif, le gouvernement français ne craint pas tant les directives incertaines données à la Finul que dêtre rapidement entraîné dans un conflit régional. Lexpectative nest cependant pas une bonne solution. Dautant que peu déléments seront décisifs dans le dossier iranien avant le 12 septembre, date de la nouvelle assemblée générale de lONU.
Pierre Morville “
Stéphane
24/08/2006
Difficile de donner des réponses définitives
Mais il existe un certain nombre de points qui doivent nous inciter à douter de la version officielle (sur lensemble des évènements), et qui à priori accusent plutôt une organisation US influente quun groupe dilluminées vivants dans des grottes en Afghanistan
Un premier point souvent oublié est lassassinat du commandant Massoud.
Il ny a pas de logique, du point de vu « des méchants », à synchroniser lassassinat de Massoud avec les opérations du 11/9. Il aurait été le candidat le plus légitime à la prise de pouvoir en Afghanistan
Deuxième point, il y a de nombreuses singularités sur les lieux des attentats :
Cest la toute première fois quon voit des crashs davions (vols 77 et 93) qui ne laissent quasiment aucun débris, pas de moteurs, pas de gros morceaux de fuselage, pas de bagages
Leffondrement des tours est très surprenant également. Elles sont constituées de quatre énormes piliers de béton armé, il est peu probable quun avion de ligne puisse en venir à bout.
Et jamais un incendie na fait descendre des tours en si peu de temps.
Troisième point, on doit admirer la qualité des pilotes kamikazes, un sans faute loin dêtre évident pour des amateurs. Ayant moi-même piloté, je suis bluffé, la manuvre dapproche doit être anticipée longtemps avant davoir le contact visuel, et lerreur de cap la plus infime ferait passer lavion à plusieurs centaines de mètres de la tour. A contrario, on ne peut que blâmer la nullité inédite des autorités américaines, qui disposaient dun temps énormes pour réagir, au moins pour le vol 77.
Enfin, notons que le FBI na pas inculpé Ben Laden pour ces attentats, et que lui-même a nié toute participation. http://www.fbi.gov/wanted/terrorists/terbinladen.htm
Notons également que le rapport de la commission denquête dit explicitement quil ne sintéressera pas au financement des opérations
Bref, la liste des bizarreries est longue
Blog Finance : (Pays ...) attirés par l'euro, infi
24/08/2006
http://www.leblogfinance.com/2006/07/les_emirats_att.html
Décidément, la suprématie du dollar et des USA est bien mise à mal ces temps-ci, puisque les Emirats semblent progresser dans leur volonté de choisir l’euro comme monnaie de référence, estimant que la devise est plus en plus attractive en tant que valeur d’investissement.
De quoi favoriser de vives réactions de la part des américains, via “Israël interposé” ? Qui sait ...
Pour rappel, le Venezuela envisagerait de libeller les prix de son pétrole en euros,
... l’Iran qui a déclaré il y a peu songer à adopter la devise européenne à la place du dollar américain pour ses exportations de brut.
... La Russie quant à elle projette d’évaluer son pétrole en rouble.
(NB : de nombreux pays augmentent “régulièrement” leurs réserves en euro ... les cadeaux financiers liés au monopole du dollar se partagent de plus en plus ... malgré ses défauts l’euro suscite la confiance, l’adhésion et la copie. Pour les initiés la “FED” et le dollar ont autant si pas plus de critiques que la BCE & l’euro)
serge caron
24/08/2006
Vraiment drôle ! J’ai beaucoup ri.
I hope diplomacy would work. Cest beau ! mais quest-ce que cest que cette diplomacie ? À premier abord, on pourrait croire que cela implique un dialogue dégal à égal avec lIran.
Erreur ! La diplomatie cest “the world (speak) with a united voice against Iran”.
MHB
24/08/2006
Malgre mon ignorance de la substantifique moelle de l armement aeronautique j ai toujours constate une certaine ambivalence chez les pilotes americains concernant le JSF ... allant meme jusqu a la triste constation - pour eux - qu il etait mal parti ainsi que leur corporation.
La RMA, si chere aux nanocrates du Pentagone, en a fait un UAV et voila nos pilotes confirmes dans leur role de bras casses.
A la lumiere du role subalterne qu ils sont appeles a jouer dans le futur de l aeronautique militaire ils sont consternes de ne pas avoir le support de leurs collegues de l OTAN qui eux, prudents, savent tres bien que l ITAR est un barrage de taille pour qu ils puissent jouir entierement des capacites operationnelles du F-35 dans quelque forme que ce soit.
Alors ?
Et bien Aviation Week vient de demander l abolition .... de l ITAR.
Lambrechts Francis
24/08/2006
PDF 51pages (maps) : http://www.liberation.fr/actualite/monde/200228.FR.php
Overview : http://www.timesonline.co.uk/article/0,,251-2325352,00.html
Chatham House (The Royal Institute of International Affairs) is an independent body which promotes the rigorous study of international questions and does not express opinions of its own.
... There is little doubt that Iran has been the chief beneficiary of the war on terror in the Middle East.
Lambrechts Francis
24/08/2006
http://www.liberation.fr/actualite/monde/200228.FR.php
... En 1983, 58 militaires français avaient été tués dans un attentat à Beyrouth, qui avait été attribué au Hezbollah ...
D’abord, le Hezbollah n’avait pas encore été fondé en 1983, et ensuite, nous ne sommes pas à la même époque, pas dans le même contexte.
... Les Casques bleus pourraient être autorisés à ouvrir le feu pour se défendre, à protéger des civils et à désarmer des miliciens qui se trouveraient sur leur passage. Etes-vous d’accord ?
Nous sommes d’accord avec les deux premiers points. Concernant les armes, je suis sûr qu’il n’y aura aucun soldat du Hezbollah sur leur chemin. Maintenant, si nous voulons à tout prix poser cette hypothèse, je pense que c’est à l’armée libanaise de prendre ces armes car elle a des relations directes avec le peuple libanais. Si la Finul voit des armes, je pense qu’elle ne devrait pas les prendre directement mais demander à l’armée libanaise de le faire.
Lambrechts Francis
24/08/2006
http://www.leblogfinance.com/2006/08/iran_espagne_et.html#more
et intervient désormais en faveur du droit de Téhéran pour développer son propre programme nucléaire, a déclaré mercredi l’ambassadeur Maximo Cajal. ... d’autres pays de la région, et notamment le Pakistan et l’Inde, développaient déjà depuis longtemps leurs programmes nucléaires.
... un porte-parole du ministère espagnol des Affaires étrangères a précisé à la presse russe qu’il “ne s’agissait pas là de l’opinion personnelle d’un diplomate, mais d’un revirement dans la politique extérieure de l’Espagne qui s’en était tenue jusqu’à tout dernièrement à la position commune de l’Union européenne (UE) à l’égard de l’Iran”.
... Par ailleurs, l’Espagne a également adopté une attitude indépendante de l’Union européenne dans le conflit libano-israélien, en soumettant à une critique virulente Israël et accordant son plein appui au gouvernement du Liban.
Le premier pétrolier espagnol Repsol YPF avait confirmé en octobre 2004 avoir signé un contrat de 27 M USD (21,6 M EUR) avec l’entreprise publique iranienne NIOC (National Iranian Oil Company) pour des travaux de prospection dans deux blocs pendant les 30 prochains mois.
III – L’Iran et la Russie : des frères décidément amis
... Atomstroïeksport est la principale entreprise russe réalisant des contrats intergouvernementaux concernant la construction d’ouvrages énergétiques nucléaires à l’étranger. Actuellement elle est la seule compagnie au monde à mener de front la construction de cinq réacteurs dans des centrales nucléaires en chantier en Chine, en Inde et en Iran.
Lambrechts Francis
24/08/2006
Une base de données sur Bush, le classement est intéressant (Link : Sources)
http://www.realchange.org/bushjr.htm#sources
(NB : mon WinXP a crashé. Un vieux PC généré en urgence sous Linux sans Operamail: d’où mon autisme)
Lambrechts Francis
23/08/2006
http://www.insightmag.com/Media/MediaManager/Funk.htm
President Bush and Vice President Dick Cheney have been extremely disappointed by Israel’s failure to defeat Hezbollah.
Government sources said the Israeli failure has led to deep pessimism within the National Security Council and Pentagon regarding U.S. goals in the Middle East, particularly the effort to top Iran’s advance in Iraq and toward nuclear weapons. The sources said the Israeli experience has been used by the Pentagon to explain the U.S. difficulty in halting the deterioration of order in Iraq.
... Over the last week, Defense Secretary Donald Rumsfeld, who has avoided meeting Israeli leaders, held an unannounced session with visiting Israeli Vice Premier Shimon Peres.
Later, ... The Livni-Kissinger talks focused on Israel’s strategic position and the expected confrontation with Iran.
... It was very clear that the government began this war rapidly, without proper preparation, without proper training of the reserves.”
Mr. Bush and Mr. Cheney have sought to understand the implications of the Hezbollah war for the U.S. military presence in Iraq. ... “This is certainly one of the toughest challenges we have faced in the last few years,” said Undersecretary of State Nicholas Burns, regarded as a leading architect of U.S. foreign policy in the Middle East. “We knew the consequences were very broad. We recognized this was not just a border war between Hezbollah and Israel.”
Mr. Rumsfeld is said to have assessed that Sunni and Shiite militias would use the Hezbollah model in the insurgency war in Iraq. ... If they can knock out the [Israeli main battle tank] Merkava, then they can certainly do the same with the Bradley, Stryker and even Abrams,” an official said. “This will be a priority for Rumsfeld and the army.”
Bush’s biggest concern is said to be Iran, which his advisers assert intends to dominate the Middle East through a takeover of Iraq, Lebanon and Syria. The president has ordered Ms. Rice to press hard for U.N. Security Council sanctions against Tehran over the next few weeks. ... “Syria is a tool of Iran today and it has been for some time,” former Secretary of State Alexander Haig said. “But it’s been a tool for other people, as well. Iran is the ideological core of our problem.”
At the same time, Mr. Bush has been urged by some of his advisers to prepare for a disengagement from the Middle East while focusing on homeland security.
... “America is safer than it has been, yet it is not yet safe,” Mr. Bush said. “The enemy has got an advantage when it comes to attacking our homeland: They got to be right one time and
we’ve got to be right 100 percent of the time to protect the American people.”
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