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Courrier intl & Washington Post : un espoir 'l'attitude de la majorité silencieuse des musulmans'

Article lié : La litanie jusqu’à la nausée des rapports : nous nous sommes trompés, nous alimentons le terrorisme…

Lambrechts Francis

  28/09/2006

... les commentateurs américains et arabes ironisent sur un rapport secret du renseignement américain ... “Mais de quel secret s’agit-il ?” demande l’éditorialiste d’Asharq Al-Awsat. “Pourquoi toute cette confidentialité autour d’un rapport qui annonce que la guerre en Irak a augmenté la menace terroriste ? Pour aboutir à cette conclusion, il suffit de lire la presse internationale, y compris la presse conservatrice américaine”, poursuit le quotidien saoudien. ... Pour l’éditorialiste, cette analyse est évidente et n’a pas besoin “des efforts conjugués et de l’intelligence de 16 agences de renseignements”.

... Le Washington Post veut surtout retenir l’une des conclusions du rapport :

“A terme, l’arme la plus puissante dans la guerre contre le terrorisme n’est pas un succès militaire en Irak, ni l’arrestation ou la liquidation des dirigeants d’Al-Qaida, mais l’attitude de la majorité silencieuse des musulmans. En effet, celle-ci rejette les solutions radicales proposées par Al-Qaida et ses alliés. Elle sera renforcée si les réformes démocratiques progressent dans les pays musulmans, si les problèmes de corruption et d’injustice trouvent une solution, et si la crainte d’une domination occidentale est écartée.” ( Scoop : la menace terroriste aurait augmenté depuis l’invasion de l’Irak, par Hoda Saliby, http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=66633 )

Modernes et antimodernes

Article lié :

Ismaël

  28/09/2006

Quelques commentaires sur le rapport entre modernes et antimodernes

C’est un sujet qui m’intéresse, et je vous écris à ce propos, mais avant tout pour vous remercier de votre travail utile.

Voici quelques-unes de mes remarques : je ne crois pas qu’il faille déplorer une ère à laquelle les brillants esprits qui ont su illustrer la modernité  feraient défaut. A mon avis, notre histoire est faite ainsi que la plupart des histrions qui font l’esprit de notre temps ne paraissent plus qu’un pâle reflet quand les générations futures se penchent sur eux : la « crise » a toujours été permanente, même à l’époque de Bergson.

Vous opposez modernes et antimodernes : c’est être vraiment moderne que de dénoncer la modernité, et les vrais modernes en ont toujours fait ainsi (Baudelaire par exemple, il y a un livre qui s’intitule Philosophie par gros temps, de Vincent Descombes, où il montre que cette ambiguïté est fondamentale, et que même dans la fameuse querelle des anciens et des modernes, les « modernes » n’étaient pas toujours ceux qu’on croit).

Etre moderne, plus qu’un label comme « bio », c’est ne pas hurler avec les loups. Par contre, anti-moderne, cela me semble un peu trop proche de Bonald et de Maistre, dont la pensée est loin d’être négligeable et inintéressante, mais dont la compréhension du caractère irrémédiable de certains changements m’a toujours frappé. Mais c’est juste une question de vocable.

Postmoderne, c’est un terme fourre-tout. Vous mettez là-dedans toute cette « fausse » modernité, doublée de ce monde virtualiste et technologiste et américaniste (et d’une certaine façon, de cette crise, de cette américanisme, chacun de nous en est l’épicentre aussi bien que « l’Empire »). Pourtant, il me semble que c’est justement au nom du progrès et de l’efficacité du système que la bureaucratie du Pentagone agit comme elle le fait, ou les néo-conservateurs… (d’ailleurs, on parle bien d’une sorte de politique « wilsonienne » des néo-conservateurs, avec des « valeurs » modernes, puisque vous n’avez pas non plus la candeur de mettre leur appel à des “valeurs” sous la seule hypocrisie) : un retour aux valeurs, et un peu de la modernité véritable dans cette affirmation même (c’est pour cela aussi que le « néo-conservatisme », par ses échecs et ses excès, a un côté fascinant à observer).

Post-moderne, j’avais l’impression que c’était plutôt cette attitude qui consiste à critiquer ces doctrines soit-disant modernes de l’optimisme béat, du consensus forcené et du progrès nécessaire. En termes stratégiques, c’est bien le manque de pragmatisme, le manque de compréhension de ces courants souterrains qui unissent et divisent les peuples, la mystérieuse économie des ces forces silencieuses qui ont leur raison que la Raison, qui est un système idéologique forgé par la loi d’airain de la force, ignore.

Je citerais Michel Foucault, catalogué souvent comme post-moderne (quoi que cela veuille dire) :
« Je me demande si on ne peut pas envisager la modernité plutôt comme une attitude que comme une période de l’histoire. Par attitude, je veux dire un mode de relation à l’égard de l’actualité; un choix volontaire qui est fait par certains; enfin, une manière de penser et de sentir, une manière aussi d’agir et de se conduire qui, tout à la fois, marque une appartenance et se présente comme une tâche. »

Le château de cartes que vous percez à jour, c’est celui de cette fallacieuse modernité, qu’opère l’inertie. Il en fut pour dire en leur temps, « le fascisme est un humanisme ».

La médiocrité que vous observez, c’est celle que fabriquent les contraintes de la visibilité : pour être lu, entendu, compris, il faut être d’une certaine platitude. Un livre, un slogan, si l’on veut que cela marche. Pourtant, aujourd’hui même, beaucoup travaillent, dans des directions différentes, contre cette mystérieuse et impalpable machine qui nous enveloppe.

Bravo, et cordialement,

Ismaël

De Buonaparte et des Bourbons

Article lié : Newsweek et la “psychologie américaine”

PHR

  28/09/2006

Certes, ce n’était pas un livre dont Chateaubriand était le plus fier. Et pourtant. On y trouve, je m’en souviens - une analyse remarquable et méritant d’être relue de la perversion du langage imposée par les Terroristes de la “Révolution”.

Allez : les voici ces quelques lignes pour donner envie à d’autrs d’y aler voir en entier :

“Alors commencèrent les grandes saturnales de la royauté : les crimes, l’oppression, l’esclavage marchèrent d’un pas égal avec la folie. Toute liberté expire, tout sentiment honorable, toute pensée généreuse, deviennent des conspirations contre l’Etat. Si on parle de vertu, on est suspect ; louer une belle action, c’est une injure faite au prince. Les mots changent d’acception : un peuple qui combat pour ses souverains légitimes est un peuple rebelle ; un traître est un sujet fidèle ; la France entière devient l’empire du mensonge : journaux, pamphlets, discours, prose et vers, tout déguise la vérité. S’il a fait de la pluie, on assure qu’il a fait du soleil ; si le tyran s’est promené au milieu du peuple muet, il s’est avancé, dit-on, au milieu des acclamations de la foule. Le but unique, c’est le prince : la morale consiste à se dévouer à ses caprices, le devoir à le louer. Il faut surtout se récrier d’admiration lorsqu’il a fait une faute ou commis un crime. Les gens de lettres sont forcés par des menaces à célébrer le despote. Ils composaient, ils capitulaient sur le degré de la louange : heureux quand, au prix de quelques lieux communs sur la gloire des armes, ils avaient acheté le droit de pousser quelques soupirs, de dénoncer quelques crimes, de rappeler quelques vérités proscrites ! Aucun livre ne pouvait paraître sans être marqué de l’éloge de Buonaparte, comme du timbre de l’esclavage ; dans les nouvelles éditions des anciens auteurs, la censure faisait retrancher tous les passages contre les conquérants, la servitude et la tyrannie, comme le Directoire avait eu dessein de faire corriger dans les mêmes auteurs tout ce qui parlait de la monarchie et des rois. Les almanachs étaient examinés avec soin ; et la conscription forma un article de foi dans le catéchisme. Dans les arts, même servitude : Buonaparte empoisonne les pestiférés de Jaffa ; on fait un tableau qui le représente touchant, par excès de courage et d’humanité, ces mêmes pestiférés. Ce n’était pas ainsi que saint Louis guérissait les malades qu’une confiance touchante et religieuse présentait à ses mains royales. Au reste, ne parlez point d’opinion publique : la maxime est que le souverain doit en disposer chaque matin. Il y avait à la police perfectionnée par Buonaparte un comité chargé de donner la direction aux esprits, et à la tête de ce comité un directeur de l’opinion publique. L’imposture et le silence étaient les deux grands moyens employés pour tenir le peuple dans l’erreur. Si vos enfants meurent sur le champ de bataille, croyez-vous qu’on fasse assez de cas de vous pour vous dire ce qu’ils sont devenus ? On vous taira les événements les plus importants à la patrie, à l’Europe, au monde entier. Les ennemis sont à Meaux : vous ne l’apprenez que par la fuite des gens de la campagne ; on vous enveloppe de ténèbres ; on se joue de vos inquiétudes ; on rit de vos douleurs ; on méprise ce que vous pouvez sentir et penser. Vous voulez élever la voix, un espion vous dénonce, un gendarme vous arrête, une commission militaire vous juge : on vous casse la tête, et on vous oublie (...) les empires : en abusant de tous les moyens, en tuant les âmes encore plus que les corps, il amène tôt ou tard la dissolution et la conquête. Il n’y a point d’exemple d’une nation libre qui ait péri par une guerre entre les citoyens ; et toujours un Etat courbé sous ses propres orages s’est relevé plus florissant.”

Plus ? On le trouve sur le réseau électronique, à l’adresse suivante :
http://fr.wikisource.org/wiki/De_Buonaparte_et_des_Bourbons

France

Article lié : Newsweek et la “psychologie américaine”

PHR

  28/09/2006

Croyez-vous la France si aveugle que cela sur le délire américaniste ?
La France, ce n’est pas Pierre Lellouche. Il y a 69,99999 millions d’autres Français.
Pourrait-on émettre l’hypothèse que la bonne frome de jacques Chirac en cette rentrée 2006 vient de son bon été : il a réussi à imposer “son” cessez-le-feu aux Etats-Unis. Faire reculer les Etats-Unis, par le droit seulement, il n’y a que la France qui sait le faire. Et qui le fait. Les autres pays adorent détester la France, mais ils ont bien contents qu’elle le fasse.

Une charade ou une comedie ∫

Article lié : Inéluctabilité et impossibilité de l’attaque US contre l’Iran

MHB

  28/09/2006

Si on accepte ne serait ce que pour entamer la discussion que cette guerre annoncee avec tant de herauts et de fracas n est qu une comedie qui se deroule suivant le cadre des operettes a la Franz Lehar - ou a la limite une charade - i; est evident que la question posee par l Iran (a travers ce jeu de poker menteur introduit dans la region par Saddam Hussein dans les negociations diplomatiques) est uniquement une question de parite nucleaire.
Il est d ailleurs interessant de noter que l Iran ne reconnait pas l arme nucleaire pakistanaise comme ; equibalent de celle d Israel, ne serait ce qu a cause des doutes profonds que le regime de Teheran a sur la perennite du general-voyageur qui est alle s expliquer sur ses hesitations a Washington avec le president Karzai.

Alors, si on admet que c est au minimum une charade on est oblige de conclure que la pierre d achoppement n est autre que l Iran et que le reglement de la situation a la frontiere afghano-pakistanaise passe par une intervention iranienne qui jouerait le role d une FINUL d un nouveau genre puisqu il faut bien admettre que son intervention par milice interposee regle - brutalement - la situation en Iraq.
D ailleurs il suffit d avoir ecoute les commentaires du president iranien recemment sur le grand service rendu par les Etats-unis pour l avoir debarasse de Saddam pour en deduire qu il etait pret mainteant a s occuper d une autre situation conflictuelle.
Et on peut dire que la situation a la frontiere afghano-pakistanaise a besoin d une intervention exterieure (autre que celle representee par les puissances occidentales qui se sont precedemment frottees a ces afghans qui naissent avec 0 a la bouche - un fusil en guise de sucette.

Et puis peut etre meme que ces revoltes “epidermiques” ne sont non pas pour des raisons religieuses mais peut etre uniquement que pour des questions de peau - surtoit chez les afghans qui se sont mesure precedemment aux abglais et ensuite cent ans apres aux russes et les ont evince tous les deux.

La question reste entiere: une charade ou une comedie ?
Mais certainement pas une raison pour entretenir un climat de guerre permanent contre un soi-disant ennemi elusif, fasciste et qui sait pertinemment qu il n a pas besoin de menaces car il sait que derriere lui il n y a que l Age de Pierres.

Le seul qui a vraiment compris ce qui se passait c est ce “brave” general pakistanais - [resident d occasion d un pays ingouvernable dans la situation actuelle et qui le sous-entend dans son livre - qui vaut bien celui d un autre grand acteur, general lui aussi et qui a disparu prematurement (il s appelait Lebed et avait tres bien compres les Techtchenes - ses anciennes troupes d elite) - et qui ne tient pas a finir dans un accident d helicoptere.

Au fond ce n est ni une charade, ni une comedie, mais plutot une tragi-comedie.

... et nous sommes tous de bons spectateurs - surtout ce soir - ou tout le monde se regale a suivre sur CNN le crepage de chignons entre Karzai et Musharaf avec entre les deux GWB II qui preferait reprendre le conte pour enfants qu il lisait le 9 septembre dans cette petite ecole de Floride.

Ainsi va le Monde: “e finita la Comedia ?”

En prévision : financement encore plus difficile du Pentagone !

Article lié : La machine rechigne en attendant le pire

Lambrechts Francis

  27/09/2006

( NB : le budget est prospectif, de nombreux investissements sont à long terme, des prévisions de ressources prudentes sont donc inévitables pour les planificateurs, la situation déjà tendue et déficitaire ne s’améliorera pas, les choix s’annoncent : “JSF in peril”, ravitailleurs… cela aura des impacts sur la défense et l’industrie de l’UE ! )

La Chronique Agora 2006-09-27 ( http://www.la-chronique-agora.com/lca.php?id=937 )

Bill Bonner : ... pour la première fois en 90 ans, les Etats-Unis paient plus à leurs créditeurs étrangers qu’ils ne reçoivent de leurs investisseurs étrangers. Selon le Wall Street Journal, ce phénomène pourrait présager d’une chute du niveau de vie américain.

Dr Kurt Richebächer : UNE RECESSION EST EN ROUTE : ... et un marché baissier des prix des actifs sont inévitables pour l’économie américaine. De récentes données économiques ne laissent aucun doute sur le fait que les deux sont en route.

... l’économie américaine dans son ensemble ressent déjà les effets du ralentissement de l’immobilier. ... Réfléchissez au fait que ce sont les dépenses de construction qui ont l’effet multiplicateur le plus élevé au sein de l’économie américaine, générant des emplois et des dépenses supplémentaires. Le commerce de détail et les constructions résidentielles représentent à eux deux 75% du PIB US. ... Aux Etats-Unis, seuls 5% environ des maisons existantes s’échangent chaque année. Les 95% restants se contentent de rester là, tandis que leur valeur théorique grimpe régulièrement. Les Américains appellent cela de la création de richesse. Moi pas. Cette richesse peut disparaître tout aussi facilement qu’elle est apparue. En fait, elle est déjà en train de s’évanouir. ... - En réalité, le propriétaire immobilier ne gagne qu’une chose : un nantissement plus élevé pour des emprunts plus élevés. L’utilisation imprudente des facilités d’emprunt—proportionnellement plus grandes—est la caractéristique centrale de toutes les économies de bulle. C’est ce qui s’est produit à la fin des années 20 aux Etats-Unis, et à la fin des années 80 au Japon… et c’est ce qui est en train de se produire aux Etats-Unis depuis quelques années.

France

Article lié :

PHR

  27/09/2006

Du Mexique à la Hongrie, on voit bien ce qui se passe.
Je pense que l’”évènement” important qui va basculer le système vers sa dissoultion, définitive sera - car c’est le point central du système inter-national - les élections présidenteielles en France, en 2007.
Pour l’instant, les médias grossissent un duel Sarkozy-Roayl. Qui aura peut-être lieu. Et peut-être pas. C’est très puvert. Une seule chsoe est sûre : Dieu s’y retrouve, Lui.

EADS

Article lié : La “finlandisation” de l’Europe, ce n’était pas si mauvais…

PHR

  27/09/2006

Et c’est aussi pour cela que l’entrée des Russes dans le capital d’EADS est un peu ... disons.  délicat.
Je vous fais une déclaration de pprte-parole.

“Oui, nous avons appris l’entrée au capital d’EADS d’investisseurs russes. Je n’ai pas de commentaire à faire sur la question. Il s’agit du jeu normal dans une économie de marché”.

Deux Empires

Article lié : La “finlandisation” de l’Europe, ce n’était pas si mauvais…

PHR

  27/09/2006

Bien sûr !
Jean6opaul II dans Centesimus annus, - 1991, rappelons-le - avait (déjà) renvoyé dos-à-dos le marxisme-léninisme qui venait de s’effondrer et le néo-capitalisme.
Que l’Esprit Saint soit avec nous !

SLATE : How Bush's new TORTURE BILL eviscerates the promise of Nuremberg, by D.Luban

Article lié :

Lambrechts Francis

  27/09/2006

... But the fact is, virtually every word of the proposed bill is a capitulation, including “and” and “the.” And yesterday’s draft is even worse than last week’s. It unexpectedly broadens the already broad definition of “unlawful enemy combatant” to include those who fight against the United States as well as those who give them “material support”—a legal term of art that appears to include anyone who has ever provided lodging or given a cell phone to a Taliban foot soldier out of sympathy with his cause. Now, not only the foot soldier but also his mom can be detained indefinitely at Guantanamo.

... What does the bill do to Nuremberg? ... That means the customary international law of war is henceforth expelled from U.S. war-crime law -  ironic, to say the least, because it was the U.S. Army’s Lieber Code that formed the basis for the Law of Armed Conflict and that launched the entire worldwide enterprise of codifying genuinely international humanitarian law.

... That means goodbye, International Committee of the Red Cross ... goodbye, jurisprudence of the Yugoslav tribunal, which the United States was instrumental in forming. ...

And also goodbye, Nuremberg. ... If the opening chapters of Telford Taylor’s superb “The Anatomy of the Nuremberg Trials” make one thing crystal clear, it’s the burning desire of the United States to create international law using those trials. Great Britain initially opposed the Nuremberg trials and urged simply shooting top Nazis, out of fear they would use the trials for propaganda. Stalin favored conducting trials, but only to establish punishments, not guilt. Like Great Britain, he thought punishing the top Nazis should be a political, and not a legal, decision. The trials happened as they did only because the United States insisted on them for purposes of establishing future law—a task that summary justice at executive say-so could never have done. ... the status of the Nuremberg principles as international law was not established until 1950, when the U.N. General Assembly proclaimed seven Nuremberg Principles to be international law. The American agenda had finally prevailed. ... ( http://www.slate.com/id/2150396 )

Evangelical Right : Bush's Own Church Has Called For The Withdrawal Of Troops From Iraq

Article lié :

Lambrechts Francis

  27/09/2006

United Methodist Church leaders helped launch a week of protest and civil disobedience against the war in Iraq by signing a declaration of peace in the capital, urging President Bush to pull US troops out of the country.

... More than 500 groups, almost half of them faith organizations, are involved in the declaration of peace effort, which recently retired Bishop Susan Morrison said includes “acts of moral witness to seek a new course for our country.” ... (
http://www.evangelicalright.com/2006/09/bushs_own_church_has_called_fo_1.html )

Iran et armageddon: vers le vrai désordre mondial

Article lié : Inéluctabilité et impossibilité de l’attaque US contre l’Iran

yodalf

  27/09/2006

Depuis 6 ans la droite protestante fanatique US attend la précipitation de l’Apocalypse, par des guerres dans la région de la Terre sainte… Ahmedinejab aussi, lui, attend le retour accéléré du Mahdi. Cette convergence pourrait trouver sa concrétisation en effet si Washington suit les faucons néo-cons.
Il faut dire qu’à force de déclarer l’axe du mal ennemi à détruire,sans détruire ni construire rien, la crédibilité des USA s’approche progressivement de celle de l’ONU… Il va bien falloir qu’ils avouent que leurs moyens sont insuffisants, ou bien qu’ils tentent la démonstration qu’ils peuvent réussir. Ayant défini eux-mèmes le défi, il ne peuvent plus l’abandonner.
L’impuissance confirmée de l’U.E. ne vient pas améliorer la situation.
Il ne reste comme lieu intermédiaire que le Conseil de Sécurité. Que se paserait-il si la Russie et la Chine mettaientleur véto ? Ils casseraient l’ONU ?
En fait la crise iranienne est capable, mieux que l’Irak, d’ouvrir une crise mondiale, et de consolider la réalité du désordre mondial.
En ce sens… on pourrait avoir une sorte d’apocalypse, mais peut être sans le Mahdi ni le Messie! - ce qui aurait au moins l’avantage de nous débarrasser des ces fanatiques, evidemment sous la condition qu’il n’y ait aucun docteur Folamour, et que nous soyons encore là pour reconstruire…

Le business de la guerre et la politique de l'économie locale∫

Article lié :

Stéphane

  26/09/2006

Defense industry daily:

The USA’s High Mobility Multipurpose Wheeled Vehicle (HMMWV) remains the main source of mobility for US land forces. Despite vastly accelerated wear cause by the extra weight of up-armoring the vehicles, and the steady movement of US allies to more survivable options designed for the non-linear battlefield, the size of the existing fleet and continued large procurements mean that the “Humvee” (or “Hummer”) is expected to remain in that leading role for some time to come. A large associated manufacturing base in crucial political states doesn’t hurt, either.

La dernière phrase se passe de commentaires.

Oui

Article lié : La France et la brèche ouverte par Sarko-l’inconscient

PHR

  26/09/2006

Les facteurs “religieux” sont beaucoup plus importants qu’on ne le croit.
Nous autres, Français, nous raisonnons en catholiques - même les anti-cléricaux. Faut-il dire d’ailleurs surtout les anti-cléricaux ? Comprenne qui veut. Au minimu, disons les anti-cléricalistes.
Les Russes en orthodoxes.
Et les Anglo-saxons, majoritairement, en protestants.
D’où, une seule question : quelle vision du monde, donc, in fine, quelle anthropologie, pour utiliser un gros mot, est juste, donc susceptible de conduire à la paix et à la justice réelles ?
Dux manières de répondre : 1 regarder les fruits ou/et mystiquement. La première est facile : un cessez-le-feu arraché aux Etats-Unis cet été vs. une guerre civile ethnico-religieuse en Mésopotamie.
Après la question est : que veut la population de France ? Même élu, Sarkozy ne pourra faire ce qu’il veut. Le peuple de France est très très politisé (on connait ses grèves, manifestations,e tc.). Ce serait donc Sarkozy contre la France.

En réalité, il y a un point intéressant chez Sarkozy. C’est un fils d’immigré. Ce qui veut dire - fors le cas des écrivains ou militaires ayant versé leur sang, religieux , etc. - qu’il n’a pas cette perception du pays qu’a un enfant qui a grandi dans les campagnes de France. Car le monde n’est pas dirigé par les idées, comme il le voudrait (ainsi que les Etats-Unis), mais par des personnes.

"Back to the stone age"

Article lié : Que cherche Musharraf ?

Larchey Dominique

  26/09/2006

Je me permets de rappeler que le général Ahmad est
celui qui a tranféré 100000$ à M. Atta ... tout
ça sent la manipulation à plein nez. Ce dessous,
l’analyse de M. Ruppert sur cette question :

http://www.fromthewilderness.com/members/092506_pakistani_payoffs.shtml

L’objectif n’est-il pas de disculper le Pakistan
à bon compte ?