Stéphane
18/01/2007
elles permettent de discerner, de manière encore plus patente, labsence de vision des adversaires de la « doctrine Bush ».
Peut être parce que la « doctrine Bush » nest que la lacceptation totale de la logique américaniste, auquel cas, la dénoncer revient pour ses adversaire à dénoncer le système dans lequel ils évoluent et dont ils sont le produit.
Rutily
18/01/2007
C’est fantastique la vitesse à laquelle on passe de beyond the Hegemony à beyond the broken egg.
http://www.pbs.org/newshour/bb/white_house/jan-june07/bush_01-16.html
berthier
18/01/2007
pearl harbour in the gulf of iran
Part of the us fleetthere may well be a baite ala Pearl harbour to inflate a nationalist anti-iran support in the usa after the destruction by iran of some aging us-vessels.
And of course, to fuel some more credits in reinforcing the us navy.
The problem is now that the US citizen wants to get out of the middle east expensive butchery asap, is well aware of the trend toward attacking iran (polls) and of the Cheney-syndrome getting out of congress’s hands.
The south+exxon+lockmart+israeli’s lobby is losing its clout vs the newyork-californian different lobbies.
All that may well ends up in gamble both sides and in (vice-) president not finishing his-their mandate -s
Wall Street is loosing patience
Antoine
18/01/2007
Beaucoup d’annonces du Pentagone dans cet article, qui donne le change. Ce doit être une attaque SURPRISE, hélabas !
Il y aura encore d’autres manoeuvres de diversion.
Ne négligeons pas la force de frappe des bombardiers stratégiques US: les B1 (“up to 24 GBU-31 JDAM GPS guided bombs”) , B2 (“can cover the entire world with just one refueling”), ...
Ni celles des missiles “Tomahawk” tirés par la marine. Peu d’infos sur leur nombre et disponibilité.
Ne pas négliger non plus l’attaque selon moi initiale de 100 F-16i Israéliens, qui auront sans doute droit cette fois au code “Friend or Foe”, contrairement à ce qui s’est passé pendant la guerre du Golfe. Il pourraient passer au dessus de la Jordanie sans problèmes…voir la carte de la dernière visite de Condi au Moyen-Orient.
Une fois Israël frappé par des missiles Iraniens “Shabab-3” (militairement dérisoires sans charge nucléaire), Bush aura tout le soutient qu’il veut. Le Congrès le suppliera d’attaquer l’Iran.
Et maintenant, chuuut !
Mohamed Salem
17/01/2007
L\‘argument que les séoudiens voudront intervenir en Irak pour \“protéger\” les Sunnites ne tient pas car qui sont ces sunnites qui sont en guerre avec les chiites en Irak? C\‘est essentiellement la minorité sunnite arabe qui dirigeait l\‘Irak pendant le règne de Saddam hussein et qui serait loin d\‘oublier le rôle funeste des séoudiens dasn les deux dernières guerres américaines contre l\‘Irak. Il ya également les éléments sunnites salafistes (Zarkawi et ses héritiers) dont les collègues idéologiques se battent contre le régieme séoudien. N\‘oublions que les Kurdes irakiens sunnites ne sont pas inquiétés par les chiites irakiens. Dans les faits il s\‘agit en irak d\‘une guerre tribale dont les protagonistes sont les perdants et les gagnants depuis la chutte de Saddam Hussein. Le clivage cHiite/sunnite dont on parle fait partie de la politique américaine de trrorisme d\‘Etat contre les monarchies du Golf qu\‘elle protégeait naguère de Saddam et aujourd\‘hui de l\‘Iran.
gitek
17/01/2007
A mon humble avis, le fait que les Etats-uniens essaye d’impliquer les saoudiens dans la guerre en irak n’est pas innocent!
Cela rentre dans leur strategie d’elargir le conflit, et par la même de provoquer une guerre entre sunnite et chiite dans toute la région.
Car apres tout si eux sont incapables d’attaquer l’iran alors pourquoi pas laisser les pays du golfe s’en occuper et de là faire d’une pierre deux coups a savoir neutraliser et semé le chaos au moyen-orient.
Tout benef pour l’axe americano-sioniste!
Qu’en pensez-vous?
jack le malouin
17/01/2007
bravo
tres bien ecrit avec beaucoup de recul
encore bravo
je me rappelle d’un article de jacques attali sur le declint de l’empire americain
pas les memes raisons mais les memes resultats
jack le malouin
Jund alain
17/01/2007
Votre site est très intéressant et bien documenté. De plus votre connaissance de la langue, vous permet d’accéder à la source de l’information. Je lis régulièrement.
Toutefois, concernant les USA, votre analyse est partiale et partielle.
Au lieu de chercher des informations pour justifier votre position, vous dévriez creuser les causes.
Un long séjour (s) aux US, une approche interne vous aurait amené à d’autres vues.
En effet, pour bien comprendre, il convient:
*de posséder les notions de “implicite -Europe- et explicite -USA6” dplus généralement de relire les livres de Baudry. (Amazone)
*de bien comprendre qu’il s’agit d’une guerre de religion, menée par la nouvelle race élue.
Vrai ou faux, cela les mène à une approche du monde, et nous à une autre.
alain jund
CMLFdA
17/01/2007
Issue Brief: The Slow Death of American Air Power
(Source: The Lexington Institute; issued Jan. 16, 2007)
By Loren B. Thompson, Ph.D.
Now that America has an Islamo-centric security posture, any danger that doesn’t fit within the counter-fundamentalist framework tends to be ignored. That’s sort of ironic, since the biggest military threats to democracy in the last century came from atheists.
Five years into the “global war on terror,” the evidence suggests that Islamic radicals are real good at blowing each other up, but not so good at projecting power abroad. As long as western nations maintain halfway decent domestic security arrangements, the fundamentalists seem to be hobbled in repeating their one major success of 9-11. Given that fact—five years and counting without a second big terrorist attack in America—maybe we ought to be paying more attention to the kinds of state-based challenges that roiled the world so much in the past. But we aren’t.
No one gives much thought to Russia’s vast nuclear arsenal, which could still obliterate America in a few hours, even though that nation is reverting to authoritarian rule.
Nobody seems to care about China’s buildup of naval forces, its development of long-range missiles, or its new fighter.
And nothing decisive has been done to prevent North Korea’s march towards an indigenous nuclear arsenal.
Each of these countries wields far more destructive power than the handful of nuts scattered across Arabia that we call Al Qaeda. But because Al Qaeda is a current irritant and other concerns seem less pressing, the capacity of U.S. forces to cope with state-based challenges is all
owed to atrophy.
The decay is most pronounced in the U.S. Air Force, the service that would have to take the lead in coping with urgent threats posed by Russia, China and other industrialized countries. After 20 years of neglect, the Air Force’s fleet of combat aircraft is older than the Navy’s fleet of warships.
During his four-year stint as defense secretary, Dick Cheney killed the service’s cold-war fighter programs, terminated the next-generation B-2 bomber at a mere 20 planes, slashed the future C-17 cargo plane program, and decimated every other facet of U.S. air power. Clinton’s defense secretaries added back some planes that Cheney had cut, but delayed and decreased the next-generation F-22 fighter that was the centerpiece of plans for future air dominance. Then Donald Rumsfeld launched the entire department on a leap-ahead trajectory to military transformation that ignored air power for another six years.
The end result is that the Air Force now flies 45-year-old aerial refueling tankers using a plane retired by commercial airlines a quarter-century ago; its F-22 fighter program has been cut 75% even though the aging fighters it would replace are so old they operate under flight restriction; its production lines for C-130 and C-17 transport planes are scheduled for closure despite lack of adequate airlift; and the service has canceled its planned family of aircraft for replacing cold-war radar and reconnaissance planes.
The only bright spot on the horizon is the tri-service F-35 Joint Strike Fighter, but Navy efforts to slash funding for JSF suggest the Air Force can’t even count on that program coming to fruition.
Air Force pilots have a favorite story they tell that captures the meltdown of American air power over the past 20 years. Brigadier General David Deptula was flying his F-15 over northern Iraq in 1999 when cockpit gauges went haywire and the fuel reading plummeted to zero. It turned out insulation on the plane’s wiring had rotted away with age, shorting out the electrical system. The punch-line of the story was that Gen. Deptula was flying the same F-15 he had flown 20 years earlier as a young captain.
But most of the people who tell the story don’t know it has a new punch-line: Gen. Deptula’s son, a first lieutenant, is now flying the same plane in the Pacific—nearly 30 years after it was built.
Maybe it’s time the Air Force finally gets some new planes, before a real threat comes along.
geo
17/01/2007
Metula news , site relevant d’une droite israelienne placée en soutien à bush n’exclut rien sur l’Iran et pointe le besoin de résultats d’ici 2008
Bush réaffirme sa doctrine pour 2007
Par Guy Millière © Metula News Agency
Les esprits de gauche, sur toute la planète, et en Europe en particulier, ont voulu voir dans les nouvelles qui leur parvenaient de Washington à la fin de lannée 2006 des signes prometteurs de ce quils souhaitent depuis des années : la mort de la doctrine Bush, une déroute américaine, le retour des Etats-Unis à une politique dapaisement devant les dictatures et lislamisme. Le retour aussi aux pressions anti-israéliennes. La défaite des républicains aux élections de novembre leur a donné entière satisfaction. La démission de Donald Rumsfeld, puis la publication du rapport Baker ont été accueillies par eux dans ce qui ressemblait fort à un début dallégresse. Il nen est pas moins clair aujourdhui que leurs espoirs étaient grandement anticipés.
Ils avaient oublié quelques détails, qui ne sont pas mineurs : George Bush est toujours à la Maison Blanche ; il reste le « commandant en chef » et celui qui décide en matière de politique étrangère ; il nest pas, et de loin, dépourvu de convictions ; et, surtout, il pense que nous sommes dans une guerre planétaire (Norman Podhoretz parle de 4ème Guerre Mondiale) contre un nouveau totalitarisme, et que cette guerre doit être menée jusquau bout. Bush, en fait, la dit demblée, cette guerre sera longue et elle prendra de multiples formes. Il na pas eu besoin dajouter quil y aurait des moments difficiles, des revers, des phases de lassitude, des changements de stratégie. Seuls ceux qui ne font rien peuvent penser quils sont infaillibles.
La bataille dAfghanistan a été un premier acte et, si elle a chassé les Talibans du pouvoir et éliminé lessentiel des bases arrières dal Qaida, il est clair quelle nest toujours pas pleinement gagnée. La bataille dIrak a été un second acte et, même si un certain nombre dobjectifs cruciaux ont été atteints, elle non plus nest pas entièrement gagnée. Dautres fronts sont, en parallèle, restés ouverts : la guerre arabo-islamique contre Israël, les menées islamistes au Soudan et en Somalie, lactivité terroriste de divers réseaux, ailleurs dans le monde, mais aussi, le front, crucial, constitué par les « opinions publiques » occidentales. Israël na, à lévidence, pas gagné son affrontement avec le Hezbollah pendant lété 2006, des massacres de masse se poursuivent au Soudan, les islamistes somaliens viennent de subir un revers, divers attentats ont été déjoués en Grande-Bretagne et au Canada, mais le pire reste possible.
Les « opinions publiques », surtout, ont cédé et, en bonne partie, succombé sous les coups intensifs de la propagande ennemie. Le reflux est massif en Europe, mais il est vrai que de nombreux signes montraient depuis longtemps que les Européens en leur majorité, et par la voix de la quasi totalité de leurs dirigeants, avaient renoncé et choisi la résignation. Le reflux est moins net aux Etats-Unis et ceci pour des raisons différentes de celles qui ont joué en Europe : les Américains nont pas renoncé, ils ne sont aucunement prêts à la soumission, ils ont un sentiment frustrant dinefficacité. Cest dans ce contexte mental quil faut lire ce qui vient de se passer.
Premier temps : les républicains, et avec eux ladministration Bush, sont sanctionnés. Les républicains paient pour des raisons autres que la guerre, où se mêlent scandales, dépenses excessives et affaires de corruption. Ladministration Bush paie, elle, pour avoir « maintenu le cap » malgré un manque de résultats probants. Bush lui-même paie sa fidélité aux hommes quil a choisis et sa volonté découter les chefs militaires en place.
Deuxième temps : le rapport Baker est publié. Et Bush tire du rapport Baker tout le parti quil peut en tirer. Les « sages », les « réalistes » tant attendus et tant promus comme des « sauveurs » se contentent de dire des platitudes, laissent apparaître leurs préjugés anti-israéliens et font des propositions si peu « réalistes » quelles sont vite tournées en ridicule. Mieux : elles permettent de discerner, de manière encore plus patente, labsence de vision des adversaires de la « doctrine Bush ».
Le troisième temps : celui de loffensive renouvelée et dun changement tactique à même de prendre à contre pied ennemis et adversaires politiques, tout en reconnaissant les erreurs passées, est enclenché. En fait, loffensive commence dès le remplacement de Donald Rumsfeld par Robert Gates, quon aurait tort de voir comme un strict « réaliste ». Il sest poursuivi avec les nominations du général David Petraeus en remplacement du général George William Casey, coupable davoir pensé au « retrait » davantage quà loffensive, de John Negroponte comme adjoint de Condoleeza Rice, de Zalmay Khalilzad (juste rentré dIrak) aux Nations Unies, et de lamiral William Fallon, en remplacement du général John Abizaid, pour superviser lensemble des opérations dans la région. Il se poursuit avec les frappes contre les islamistes en Somalie, qui soulignent la nature et létendue du conflit. Le discours prononcé par George Walker Bush le 10 janvier a mis en marche le processus, avec lenvoi de 20 000 hommes supplémentaires, des objectifs reprécisés, des dates butoirs, des moyens supplémentaires, des avertissements adressés aux régimes iranien et syrien.
Les démocrates vont protester et le font déjà. Certains dentre eux vont tenter une contre-offensive. Ils ne tenteront toutefois pas de couper les fonds nécessaires dont Bush a besoin, de peur de paraître trop ouvertement défaitistes. Ils sont, dans lensemble, trop divisés pour parvenir à leur fin et, en dehors de leurs haines, de leurs aversions pour la politique de Bush, ils nont pas de propositions cohérentes et crédibles à opposer. Ceux qui sefforcent de modeler lopinion publique vont, eux, persifler, critiquer, mais ils seront dans lincapacité doffrir une alternative positive et se contenteront ainsi de récriminer comme ils le font depuis longtemps. Les Européens resteront imprégnés de lesprit de ces récriminations, sans, fort heureusement, avoir voix au chapitre. Les Américains, eux, jugeront sur résultats. John Mc Cain, principal candidat républicain à la succession de Bush en 2008, a engagé pleinement sa crédibilité, tout comme Rudy Giuliani et Mitt Romney. Joe Lieberman, sénateur démocrate réélu contre son propre parti, a engagé la sienne lui aussi. Tout dépendra du résultat.
La bataille dIrak est plus que jamais la bataille décisive, celle que ladministration Bush doit gagner. La gagner pleinement aura des conséquences pour le futur de toute la région, où, malgré les provocations auxquelles il se livre, le pouvoir dAhmadinejad est moins solide quil ne semble, et où la création dun « arc shiite » radical, allant de Beyrouth à Téhéran, en passant par Damas et Bagdad sera empêchée, fut-ce au prix de frappes en territoire iranien. Si la nomination dun amiral à la tête des opérations nétait pas un signal suffisant, deux porte-avions américains ont rejoint le Golfe persique. Comme la dit un commentateur américain, Bush réaffirme sa stratégie de guerre contre lislamo-terrorisme. Il passe de la fermeté à davantage de fermeté encore. Parce quil sait que cest nécessaire, parce quil nest pas un homme politique, mais appartient à la catégorie très rare des hommes dEtat qui font lHistoire.
Israël, par rapport à tout cela, est dans lexpectative. Des dirigeants, qui, il faut bien le reconnaître, ne sont pas les plus brillants quIsraël ait eus dans son histoire, gouvernent au jour le jour, partagés entre les apparences de fermeté et les tentations dapaisement. Les factions palestiniennes se déchirent et vont vraisemblablement continuer à le faire : elles sont composées, à divers degrés, de gens qui savent tuer mais ne savent ni faire la paix ni construire une société viable. Le Liban reste lotage du Hezbollah et de ses parrains syriens. LEgypte attend de voir comment la situation tournera en Irak, tout en continuant à laisser lantisémitisme envahir ses médias.
Il sera possible dy voir plus clair lorsque nous nous rapprocherons de lannée 2008. Alors, espérons-le, ladministration Bush aura remporté des victoires décisives, non seulement en Irak, mais aussi face à lIran et à la Syrie, et lhorizon commencera à se dégager. Nul ne peut et ne doit douter que cest ce que veut Bush. Ou alors une non victoire signifiera la victoire de lIran et de ses alliés, et il sera, alors, temps dêtre vraiment pessimiste. Pour le moment, les jeux ne sont pas faits. Ils sont même très loin dêtre faits, nen déplaise aux esprits de gauche, aux chiraquiens et autres partisans du pire. Plus que jamais, nen déplaise aux mêmes personnages, Bush est lhomme qui se tient entre la liberté et tous ceux qui veulent la destruction de celle-ci. Plus que jamais, il se tient droit et mérite le plus profond respect.
A de nombreuses reprises nous avons vu quIsraël na jamais eu de meilleur ami à la Maison Blanche et aujourdhui, plus que jamais. Bush est lami dIsraël parce quil comprend la différence entre la démocratie et lobscurantisme. Il est lami de tous les hommes libres, épris de dignité. Que ceux qui peuvent dire quils ont eu le poids du monde sur leurs épaules dans une ère aussi cruciale pour le futur de la liberté et quils se sont montrés plus lucides et plus déterminés que lui savancent et lui jettent la pierre.
Antoine
16/01/2007
Les Israéliens disposent maintenant de quelques 100 F-16 i “Soufa” opérationnels qui peuvent couvrir tout le territoire Iranien et y “traiter” des installations nucléaires. http://www.airforce-technology.com/projects/f-16i/
La réponse prévisible de l’Iran sera de tirer quelques missiles balistiques à charge classique,
avec une précision approximative et un effet “classique”. Mais Tel-Aviv serait vraisemblablement touché.
Pour “sauver” leur allié indéfectible, aussi bien les démocrates que les républicains, le congrès, le sénat, cautionneront une intervention des é.u.a; une intervention américaine (déjà planifiée) pourra intervenir avec toute sa puissance aérienne et maritime déjà dans le Golfe; Le commandement de tout le théâtre d’opérations est déjà sous le commandement de l’Amiral Fallon.
Les missiles “Patriot” seron bien sûr de la partie…
Israël n’acceptera jamais que l’Iran dispose, ou pourrait disposer d’ armes nucléaires. Quelles qu’en soient les conséquences.
La seule question, c’est quand.
vladimir
16/01/2007
La fuite en avant de ladministration Bush,sapparente a celle dHitler,qui en 1944 misait sur ses nouvelles armes pour gagner une guerre que tous savaient deja perdue.Ces reves fous sont entretenus par le complexe militaro industriel mondial au service des USA, qui se targue de pouvoir developper une nouvelle strategie militaire basée sur les nouvelles nano technologies au service de la reconquete des villes comme de lusage intensif des bombes nucleaires miniatures tres precises .LIran,LIrak et peut etre tout le proche orient sont alors percus aussi comme le champ dexperimentation de ces armes. Dans cette ultime panoplie macabre,Il faut mentionner le dernier manuel du Pentagone,livre de chevet de Bush,dont un des inspirateurs est le general Petraeus et qui est analysé dans larticle :
Baghdad 2025,The Pentagon Solution to a Planet of Slums
By Nick Turse
http://www.tomdispatch.com/index.mhtml?pid=155031
Ursulon
16/01/2007
Extrait de la lettre “check-list” du 16/01/07 du journal “Le Monde” (réservée aux abonnés)
Une chronique nécrologique du néoconservatisme
En quelques mois, un nouveau consensus s’est constitué à travers la presse internationale, notamment anglo-saxonne : la stratégie américaine en Irak est une pure catastrophe. Le Financial Times se penche sur ce qu’il annonce comme la mort de l’idéologie néoconservatrice, issue de la droite chrétienne américaine. Gideon Rachman, une des meilleures plumes du quotidien économique londonien, juge : “Les néoconservateurs sont accusés de nombreuses erreurs : impérialisme, léninisme, trotskisme (école de New York), militarisme. Leur vrai problème, pour certains, c’est que nombre d’entre eux sont juifs - c’est là un thème populaire et alarmant, à en juger par mes e-mails. Mais le problème ne réside pas dans le fait que tant de néoconservateurs sont juifs. Le problème c’est que beaucoup sont journalistes.” Le succès du néoconservatisme aurait été d’abord celui d’une phraséologie peaufinée et entretenue par d’habiles lettrés, décrypte Gideon Rachman, qui conclut : “La débâcle actuelle en Irak, c’est ce qu’on obtient quand on veut fonder une politique étrangère sur des éditoriaux. Vous trouvez cette conclusion simplificatrice et exagérée ? Sans doute, mais c’est ça le journalisme.”
Jean-Jacques Cécile
15/01/2007
Cela apporte de l’eau à mon moulin : la privatisation du renseignement est le thème central de l’ouvrage que j’ai publié en 2005 chez Ellipses sous le titre “Espionnage business”.
alphonse
14/01/2007
http://www.french.xinhuanet.com/french/2007-01/14/content_374763.htm
étonnant cette information reprise par xinhuanet
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