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Le néo-Kriegsspiel ou la disparition de l\'ennemi

Article lié : Le F-22 “Raptor” est-il un fer à repasser abracadabrantesque ?

CHIBOLET Léon

  01/12/2006

Vous terminez votre article sur le nouvel intercepteur US F-22 Raptor par une remarque à propos de laquelle je voudrais revenir. Vous dites en effet à propos des développements hypersophistiqués et très lourds de l\‘appareil \“Dans tous les cas, il s?agit d?une hypothèse intéressante, qui soulève une fois de plus le problème radical de l?avancement technologique. Celui-ci conduit de plus en plus les systèmes dans un monde automatisé complètement virtualiste. La perte de contact du réel peut devenir radicale.\”
Il me semble que la question centrale de cet article est précisément celle-là: qu\‘en est-il de l\’évolution des objets techniques? Pourquoi y aurait-il forcément un progrès dans ces évolutions? Et vers quel horizon?

Cette question est au c?ur de mes séminaires sur les techniques contemporaines et je la présente à partir de ce constat : jamais un empire, celui des USA, aspirant à une vocation \“universelle\”, n\‘a subi une défaite multiforme aussi rapide. En trois ans, les USA se sont
1. militairement « plantés » en Irak,

2. ils sont bloqués dans un piège multimachoire qui ne leur permet pas de quitter le terrain, même en \“cut and run\”, c.à.d. en déroute.

3. les USA ne peuvent utiliser leurs armes de destructions massives (ATM): le champ de bataille est trop près de leurs alliés (Damas-Jérusalem, 2 heures de route, Amman est à côté). Si d?aventure, des retombées d\‘uranium appauvri (ou enrichi) aterrissaient à Tel-Aviv, quelle panique. Ayant commencé la guerre irakienne par des mensonges concernant d\‘hypothétiques ATM, voilà que les USA rêvant d\‘utiliser leurs ATM bien réels, ne le peuvent pas facilement. Comme disait Charles de Gaulle \“Quels cons!\”

Avoir réussi aussi magistralement à se mettre dans ce piège incroyable me semble directement lié à des approches stratégiques de type \“onaniste\”, c\‘est à dire, fondées sur des simulations par ordinateurs. On voit bien des salles entières du Pentagone peuplés de crétins devant leurs ordinateurs puissants,participant tous au néo-Kriegsspiel. On voit bien le type de réductionnisme à l\‘oeuvre grâce au nouveau type de virtualisme informatisé, virtualisme au sein duquel l?ensemble des réactions de l\‘adversaire peuvent être intégré en tant que paramètres, peuvent être aussi prévus ainsi que les ripostes les mieux adaptées. Voyez, Messieurs le scénario 1, ou scénario 2, ou le 3,ou le 4
mais non, le 256ème est encore meilleur.

Tout cela, bien concocté, présenté avec de bons \“powerpoints\” (la présentation pour débile faite par des débiles) aux responsables généraux puis sans doute à G.W.Bush, ne pouvait qu\‘entraîner l\‘adhésion enthousiaste. L\‘ennemi est déjà \“anéanti\”. Mais voilà; il suffit de lire \“l\‘art de la guerre\” de Sun Tzu (environ 500 ans avant notre ère) pour apprendre que l\‘adversaire est d\‘abord opaque, que l\‘on ne peut en aucune manière se mettre à sa place par imagination. Ce qui est vraiment autre ne saurait être réduit par des représentations, des fictions. Dans le chapitre 4 ,\“Disposition\”, Sun Tzu dit:
\“Il s\‘ensuit que les hommes versés dans l\‘art de la guerre peuvent se rendre invincible eux-même, mais ne sauraient provoquer la vulnérabilité de l\‘adversaire\”.
\”(commentaire de Mei Yao Ch\‘en)\”: je peux faire ce qui dépend de moi, mais ce qui dépend de l\‘ennemi n\‘est jamais assuré\”.

Par ailleurs, l\‘un des thèmes récurrents de l?art de la guerre de Sun Tzu concerne l\‘arrogance: il entraîne toujours des catastrophe militaire. C\‘est cette arrogance que l\‘on retrouve si profondément ancré dans tous les secteurs des élites américaines au pouvoir, démocrates et républicains, main dans la main.

En un mot,il me paraît évident, qu\‘il faut aussi lire dans les défaites actuelles des USA la conséquence de ce narcissisme du \“Wargame informatisé\” selon lequel l?adversaire est réduit à des paramètres sans que jamais ne soit conçu la pointe essentielle de la stratégie, l?imprévu, l?improbable. C\‘est précisément cela qui fait retour.

Léon Chibolet, le 30/11/2006

Le néo-Kriegsspiel ou la disparition de l'ennemi

Article lié :

CHIBOLET Léon

  01/12/2006

Le néo-Kriegsspiel ou la disparition de l’ennemi

Vous terminez votre article sur le nouvel intercepteur US F-22 Raptor par une remarque à propos de laquelle je voudrais revenir. Vous dites en effet à propos des développements hypersophistiqués et très lourds de l’appareil “Dans tous les cas, il s’agit d’une hypothèse intéressante, qui soulève une fois de plus le problème radical de l’avancement technologique. Celui-ci conduit de plus en plus les systèmes dans un monde automatisé complètement virtualiste. La perte de contact du réel peut devenir radicale.”
Il me semble que la question centrale de cet article est précisément celle-là: qu’en est-il de l’évolution des objets techniques? Pourquoi y aurait-il forcément un progrès dans ces évolutions? Et vers quel horizon?

Cette question est au cœur de mes séminaires sur les techniques contemporaines et je la présente à partir de ce constat : jamais un empire, celui des USA, aspirant à une vocation “universelle”, n’a subi une défaite multiforme aussi rapide. En trois ans, les USA se sont
1. militairement « plantés » en Irak,
2. ils sont bloqués dans un piège multimachoire qui ne leur permet pas de quitter le terrain, même en “cut and run”, c.à.d. en déroute.
3. les USA ne peuvent utiliser leurs armes de destructions massives (ATM): le champ de bataille est trop près de leurs alliés (Damas-Jérusalem, 2 heures de route, Amman est à côté). Si d’aventure, des retombées d’uranium appauvri (ou enrichi) aterrissaient à Tel-Aviv, quelle panique. Ayant commencé la guerre irakienne par des mensonges concernant d’hypothétiques ATM, voilà que les USA rêvant d’utiliser leurs ATM bien réels, ne le peuvent pas facilement. Comme disait Charles de Gaulle “Quels cons!”

Avoir réussi aussi magistralement à se mettre dans ce piège incroyable me semble directement lié à des approches stratégiques de type “onaniste”, c’est à dire, fondées sur des simulations par ordinateurs. On voit bien des salles entières du Pentagone peuplés de crétins devant leurs ordinateurs puissants,participant tous au néo-Kriegsspiel. On voit bien le type de réductionnisme à l’oeuvre grâce au nouveau type de virtualisme informatisé, virtualisme au sein duquel l’ensemble des réactions de l’adversaire peuvent être intégré en tant que paramètres, peuvent être aussi prévus ainsi que les ripostes les mieux adaptées. Voyez, Messieurs le scénario 1, ou scénario 2, ou le 3,ou le 4…mais non, le 256ème est encore meilleur.

Tout cela, bien concocté, présenté avec de bons “powerpoints” (la présentation pour débile faite par des débiles) aux responsables généraux puis sans doute à G.W.Bush, ne pouvait qu’entraîner l’adhésion enthousiaste. L’ennemi est déjà “anéanti”. Mais voilà; il suffit de lire “l’art de la guerre” de Sun Tzu (environ 500 ans avant notre ère) pour apprendre que l’adversaire est d’abord opaque, que l’on ne peut en aucune manière se mettre à sa place par imagination. Ce qui est vraiment autre ne saurait être réduit par des représentations, des fictions. Dans le chapitre 4 ,“Disposition”, Sun Tzu dit:
“Il s’ensuit que les hommes versés dans l’art de la guerre peuvent se rendre invincible eux-même, mais ne sauraient provoquer la vulnérabilité de l’adversaire”.
“(commentaire de Mei Yao Ch’en)”: je peux faire ce qui dépend de moi, mais ce qui dépend de l’ennemi n’est jamais assuré”.

Par ailleurs, l’un des thèmes récurrents de l’art de la guerre de Sun Tzu concerne l’arrogance: il entraîne toujours des catastrophe militaire. C’est cette arrogance que l’on retrouve si profondément ancré dans tous les secteurs des élites américaines au pouvoir, démocrates et républicains, main dans la main.

En un mot,il me paraît évident, qu’il faut aussi lire dans les défaites actuelles des USA la conséquence de ce narcissisme du “Wargame informatisé” selon lequel l’adversaire est réduit à des paramètres sans que jamais ne soit conçu la pointe essentielle de la stratégie, l’imprévu, l’improbable. C’est précisément cela qui fait retour.

Léon Chibolet, le 30/11/2006

La Lune a échappé à un bombardement nucléaire !

Article lié :

Lambrechts Francis

  30/11/2006

Le Dr Leonard Reifel exerçait comme physicien pour le compte de l’Armour Research Foundation de Chicago, laquelle fait aujourd’hui partie de l’Illinois Institute of Technology, au service notamment de l’armée de l’air américaine à l’époque de la guerre froide. Agé de 78 ans, il confirme certains faits jusqu’ici considérés comme des rumeurs.

... Le chercheur et son équipe se sont alors vu confier la mission de réaliser une charge nucléaire suffisamment compacte pour être lancée vers la Lune et y exploser, mais dont la puissance aurait rendu l’explosion aisément visible à l’œil nu depuis la Terre. Elle devait produire un cratère lunaire ainsi qu’un nuage de poussière qui, suite à l’absence d’atmosphère, se serait répandu très rapidement dans toutes les directions au lieu de former l’habituel nuage en forme de champignon.

... Finalement, les fonctionnaires de l’armée de l’air ont réalisé que les risques de l’opération l’emportaient sur les avantages, notamment en cas d’échec au lancement ou de retombée du missile sur une zone habitée, et ont abandonné l’idée. Mais l’argument décisif fut qu’il n’était absolument pas souhaitable, d’un point de vue scientifique, de ruiner l’environnement naturel primitif de la Lune.

par Jean Etienne, http://www.futura-sciences.com/news-lune-echappe-bombardement-nucleaire_10037.php

Relation Blair - Bush

Article lié :

Greney Eric

  30/11/2006

Bush: Blair…qui?...quoi?

‘London’s bridge is falling down’

Tom Baldwin in Washington and Philip Webster, Political Editor

In a devastating verdict on Tony Blair’s decision to back war in Iraq and his “totally one-sided” relationship with President Bush, a US State Department official has said that Britain’s role as a bridge between America and Europe is now “disappearing before our eyes”.

Kendall Myers, a senior State Department analyst, disclosed that for all Britain’s attempts to influence US policy in recent years, “we typically ignore them and take no notice — it’s a sad business”.

He added that he felt “a little ashamed” at Mr Bush’s treatment of the Prime Minister, who had invested so much of his political capital in standing shoulder to shoulder with America after 9/11.

Speaking at an academic forum in Washington on Tuesday night, he answered a question from The Times, saying: “It was a done deal from the beginning, it was a onesided relationship that was entered into with open eyes . . . there was nothing. There was no payback, no sense of reciprocity.”

His remarks brought calls from British politicians last night for the special relationship to be rethought, but also attracted scathing criticism from one close supporter of the Prime Minister.

Dr Myers had hard words for his own Administration’s record in the Iraq war: “It’s a bad time, let’s face it. We have not only failed to do what we wanted to do in Iraq but we have greatly strained our relationship with [Britain].”

Dr Myers, a specialist in British politics, predicted that the tight bond between Mr Bush and Mr Blair would not be replicated in the future. “What I think and fear is that Britain will draw back from the US without moving closer to Europe. In that sense London’s bridge is falling down.”

The extraordinarily frank remarks will be seen as further evidence of the long-standing unease felt within some parts of the State Department over the direction of White House policy. They may also be an indication of the weakness of President Bush as he struggles to stop Iraq sliding into civil war and faces a Democrat-dominated Congress elected this month.

Sir Menzies Campbell, the Liberal Democrat leader, said: “These remarks reflect a real sense of distaste among thinking Americans for Mr Blair’s apparent slavish support for President Bush . . . The special relationship needs to be rebalanced, rethought and renewed.”

But Denis MacShane, Labour MP for Rotherham and a former Foreign Office minister, who supported the Iraq war, said: “After the Republican defeat in the midterm election, every little rat who feasted during the Bush years is now leaving the ship. I would respect this gentleman, who I have never heard of, if he had had the guts to make any of these points two or five years ago.”

Last night Dr Myers, who is thought to have attended the discussions over the infamous Downing Street memo in 2002 before the Iraq war, was disowned by the State Department. Terry Davidson, a spokesman, said: “The US-UK relationship is indeed a special one. The US and the UK work together, along with our allies in Europe and across the world, on every issue imaginable. The views expressed by Mr Myers do not represent the views of the US Government. He was speaking as an academic, not as a representative of the State Department.”

Privately, US officials are furious about the comments made by a man not even involved in the policymaking process, which can only rock relations at a time of high-wire tension in international diplomacy. Dr Myers himself was said to be considering early retirement.

He said on Tuesday that Mr Blair had been left “ruined for all time” by the Iraq war and that if he had “only read a book” on the last British invasion of Iraq in the 1920s, “he might have hesitated”.

http://www.timesonline.co.uk/article/0,,2-2478925,00.html

Article lié :

colinas

  29/11/2006

Bonjour,
J’apprécie énormément votre site qui m’apprend beaucoup. Deux reproches : a) : souvent l’article s’il est long, cesse de défiler sur mon écran et je ne peux lire la suite te j ereste sur ma faim. Pourquoi?
b) : Trop souvent vos citations, en anglais, sont, pour moi, illisibles vu mon niveau déplorable en anglais. Suis-je le seul dans ce cas? Ne peut-on pas résumer en français au moins l’essentiel de la citation en anglais?

Retour aux sources de l'OTAN

Article lié : Puisque l’OTAN ne sert plus à rien, pourquoi ne servirait-elle pas à l’essentiel ressuscité ?

Thierry DELFORGE

  29/11/2006

En Europe, l’OTAN est un instrument de guerre civile. Une bonne part de ses activités contre-révolutionnaires, anti-subversives et anti-sociales s’est renforcée, qu’il s’agisse de réseaux de type “stay-behind”, de lobbying, de relations publiques, de renseignement ou du contrôle de toutes les activités civiles, de recherche et de contrôle de l’activité économique.
Les nouveaux axes de communication et de transport de l’énergie sont à finalité militaire.
La coopération policière avec la Turquie, un pilier de l’alliance, connait un bond qualitatif et quantitatif.
Sous l’égide de l’OTAN, l’industrie d’armement européen connaît défaites sur défaites.
La tentative de coloniser l’“Est”, sous couvert de réformes libérales, après quelques succès, devient désormais une classique lutte pourles zones d’influence, sous tous ses aspects. Cet échec partiel, en Ukraine, en Biélorussie, en Asie centrale, devient une classique confrontation militaire.

Article lié : Flahaut avant Riga : les pieds dans le plat

Thierry DELFORGE

  29/11/2006

L’idée d’une résistance aux injonctions étatsuniennede la part de Flahaut surprend. Le ministre de la Défense soigne ses relations publiques et l’image d’une ABL “humanitaire”. Il faut craindre qu’à Riga, Flahaut n’ait pas exactement tenu la même position que dans le “Vif-l’Ewpress”. En promettant des drones pour l’Afghanistan et les servants qui vont avec, par exemple. Ce qui pourrait aussi constituer un élément du Plan Marshmal wallon.
D’autre part, on est surpris du désintérêt des deux chambres pour les questions de “défense”.
Un courrier du CRISP avait confirmé ce fait, établissant que la grande majorité des interventions en commissions de la Défense étaient le fait du VB, qui se pose en défenseur syndicaliste des militaires. Effet pervers du “cordon ombilical” que le fait de l’absence de débat en séances plénières ?
On a, en tout cas, un parlement croupion pour tout ce qui concerne nos “obligations” vis-à-vis de l’OTAN. L’adhésion de principe à l’OTAN est une caractéristique de tous les partis dits “démocratiques. En témoigne aussi le pieux silence, lors des débats “citoyens sur le projet de TCE, sur le chapitre de la “défense européenne”. Lequel chapitre fait de cette défense un appendice de l’OTAN (cfr. le dernier article de ce chapitre).

Missile M51

Article lié : Blix, le virtualisme anglo-saxon et la crise iranienne

Baquiast

  28/11/2006

Faut-il faire à la France qui développe la filière des missiles de nouvelle génération M51 le même reproche que fait Blix aux Anglais. On peut penser que, sauf à renoncer à la “dissuasion nucléaire”, la France doive en moderniser les vecteurs

le fond du problème ...

Article lié :

Convalescent

  28/11/2006

RIA Novosti: Le sénateur républicain Richard Lugar, président du comité sénatorial des affaires étrangères, a déclaré que le bloc militaire de l’OTAN devait se tenir prêt à réagir à une “attaque” et à un chantage avec utilisation de l’énergie en tant qu’arme de la part de pays comme la Russie ou l’Iran.

suite sur http://fr.rian.ru/world/20061128/56105992.html

comparaison

Article lié : Le F-22 “Raptor” est-il un fer à repasser abracadabrantesque ?

stephane

  28/11/2006

Je trouve la critique “technique” du F22 un peu facile et légèrement malhonnète (par l’auteur de l’article s’entends, que vous vous en fassiez l’écho relève de votre travail de journaliste engagé que j’aprécie grandement). Par contre niveau cout, la critique est recevable.

Pourquoi je dis au niveau technique ?
Eh bien comparons avec un autre avion de la classe du raptor qui a fait ses preuves depuis des années, le Su-35 :

Su-35: longueur-> 22 m
F-22: longueur-> 18,20 m

Su-35: envergure-> 15 m
F-22: envergure-> 13,56 m

Su-35: masse a vide-> 18 400 kg
F-22: masse a vide-> 14 061 kg

Avec ses trois points de comparaison, on remarquera que le F-22 est moins “lourd”
que le Su-35, et pour enfoncer le clou,
si on compare la puissance disponible
des 2 réacteurs:

Su-35: puissance-> 2x 13700 kgp en PC
F-22: puissance-> 2x 15 800 kgp

Intrinsèquement l’agilité du F22 est supérieure.

Je voulais juste cadrer les choses de façon plus
claire tout de même. L’article me paraissant un peu limite, comme si ça devenait un sport international de dénigrer ce que produit (avec beaucoup de mal il est vrai) l’industrie US.

C’est important de comparer les choses parfois, je pense.

La Procura apre un'inchiesta, 30 sotto accusa

Article lié :

LaProcura

  28/11/2006

http://italo-pronto.blogspot.com/
http://italo-pronto.blogspot.com/>La Procura apre un’inchiesta, 30 sotto accusa.
http://italo-pronto.blogspot.com/>IL PRECEDENTE — Anche allora la procura della Capitale aprì un’inchiesta, stesse ipotesi di reato di adesso ma per il momento nessun risultato. Era stata l’associazione vittime del terrorismo a presentare una denuncia. E lo aveva fatto a carico dei due parlamentari del Comunisti italiani Oliviero Diliberto e Marco Rizzo, tra gli organizzatori del corteo, volendo far valere una sorta di responsabilità oggettiva per gli slogan urlati dai manifestanti. Ma la procura aprì un fascicolo contro ignoti.
http://italo-pronto.blogspot.com

WMD

Article lié : Blix, le virtualisme anglo-saxon et la crise iranienne

Joseph Bodart

  28/11/2006

Dans ces prises de position envers les WMD, il y a toujours un acteur caché, c’est Israël. (On pourrait arranger l’affaire en considérant ce dernier comme le 51e état de l’Union.)
A ce sujet, voir le compte rendu d’une conversation avec un Dr ZEEV MAOZ au CENTER FOR PROLIFERATION STUDIES (CNS) sur la faisabilité d’une zone dénucléarisée au Moyen Orient et la relative inutilité des armes nucléaires.
http://cns.miis.edu/pubs/reports/mideast_nwfz.htm

Pauvre Poutine...

Article lié : L’ombre bienvenue du KGB

EF76

  27/11/2006

Pauvre Poutine, victime des services secrets occidentaux. Mouais… Dedefensa a bien du mal à dissimuler ses positions partisanes viv-à-vis d’un des plus grand criminel de guerre des temps contemporains. Je ne suis pas sûr que ceux qui veulent le discréditer aient intérêt à le faire en éliminant un des plus actif de ses opposant. Idem pour Anna Politovskaia.
  C’est une chose de démonter les rouages du système impérialiste anglo-saxon, c’en est une autre de défendre les méthodes du Kremlin. Sauf à y avoir un intérêt.

Ce n'est pas un lapsus

Article lié : Les Anglais raffolent de l’idée d’une présidente française

Radisson

  27/11/2006

Il s’agit juste de bien comprendre de quoi il s’agit.

Lorsque le journaliste écrit : “the most powerful executive post in Europe”, dans le contexte ici donné, cela signifie qu’il s’agit du poste dont le titulaire a le plus de pouvoir, dans sa fonction exécutive, sur son propre pays.

Autrement dit, il n’y a pas, parmi les autres pays européens, un poste qui confère autant de pouvoir à son titulaire que celui qu’exerce le Président sur la France.

Votre "Nos choix" du jour

Article lié :

Fred., de L.

  27/11/2006

C’est en Equateur et non en Colombie… qu’une élection vient d’avoir lieu. Ca serait triste que cette information ne soit pas retrouvée dans votre moteur de recherche à cause d’une erreur d’innattention de votre part ;-)