swisswatch
31/01/2007
Je ne suis toujours pas d’accord avec votre opinion que l’Europe “suit” les USA.
Je pense que dans bien des capitales le l’Union les responsables qui s’intéressent à la géopolitique se frottent les mains de plaisir. Les problèmes posés par l’occupation de l’Iraq ne sont qu’une épine dans le pied pour la force militaire US. Si l’Army et les Marines en subissent la peine (disons grosso-modo 30 000 “casualities”) l’aviation et la Navy sont intactes. L’administration US sait qu’elles les a en son entière disposition, les européens aussi le savent.
Que pourrait-il se passer de plus profitable pour les européens que l’implication de ce qui représente le reste de la suprématie militaire US dans un nouveau conflit qui paralyserait l’ensemble des forces US?
Pour appuyer ma thèse, je me réfère au silence, tant des politiques que des médias en Europe concernant ce sujet qui devrait être sur toutes les bouches: “Les USA vont-ils attaquer l’Iran?”
Si les européens se taisent, ce n’est pas à mon avis par suivisve ou couardise mais bien plutôt pour ne rien faire qui empêche l’épine de se transformer en pieu.
Bert
31/01/2007
Bonjour
Une réaction à votre article ci-dessus.
Je m’interroge sur la nature d’une “attaque” contre l’Iran, si l’on retient la possiblité effective d’une telle action.
L’Iran, à tout point de vue, ne correspond pas aux récents précédents en matière d’intervention militaire.
Tout d’abord, contrairement à l’Irak, et même à l’Afghanistan, l’Iran est géographiquement un très grand pays, aux caractéristiques variées: De très longues zones côtières, au nord comme au sud, d’importantes chaînes de montagne, des déserts, de grands centres urbains, tout cela répartis sur une surface extrêmement importante. Militairement, cela rendrait donc ce pays extrêmement difficile à occuper, et permettrait de développer d’importantes stratégies de défense.
L’offensive en Irak reposait sur des routes stratégiques préexistantes, des axes routiers parfaitement adaptés et sur moins de mille kilomètres. Celle contre l’Afghanistan ne concernait que quatre ou cinq centres urbains, et une poignée de points stratégiques.
Militairement, l’Iran est loin de la situation afghane ou irakienne. Dans ces deux cas, force est de constater qu’il n’y avait aucune sérieuse opposition militaire aux interventions extérieures. Ceux que l’on appelait les “talibans” étaient peu nombreux et faiblement armés. Quant à l’armée irakienne, elle était totalement désorganisée, sans armement lourd (mise à part quelques chars et artillerie hors d’âge)et sans aucune volonté de combattre.
Enfin, la population afghane était dans l’ensemble, sinon désireuse de voir des forces étrangères intervenir, du moins indifférentes au combat. En Irak, il y eut carrément une grande part de collaboration, au moins avec le nord, et de neutralité effective au sud. Une situation difficile à imaginer en Iran.
Relativement à ces trois aspects, je m’interroge d’une part sur ce que pourrait être une intervention militaire en Iran, qui concernerait en premier lieu les Etats-Unis, et peut être avec l’active aide d’Israel, voire de certains pays européens, et d’autre part sur les buts poursuivis.
Tout d’abord, il m’apparaît que les USA, avec ou sans coopération, ne pourraient occuper l’Iran, sinon quelques points très ciblés et difficile à défendre. Seule une campagne de bombardement plus ou moins longue me paraît envisageable, avec les conséquences tactiques et stratégiques que l’on connait, notamment quant à l’innefficacité à court et long terme d’offensives uniquement basées sur de telles actions.
Si les buts de guerre concernent uniquement la destruction de la capacité nucléaire de l’Iran, il est peut être envisageable pour les USA et leurs éventuels alliés de réussir, au moins sur le moyen terme, à atteindre leurs objectifs.
Mais tout autre option me paraît difficilement envisageable.
Jean-François Bourdin
31/01/2007
une coquille ?
avant dernier paragraphe, ne faut-il pas lire “Iran” plutôt qu’“Irak” (l’Irak est déjà bien attaqué !).
Cordialement
Jean-François Bourdin
Jean
31/01/2007
En fait je n’ai absolument pas les competences pour juger si un retour au franc serait necessaire, je sait juste que les anglais sont restés a leur monaie d’origine et semblent ne pas trop mal s’en porter (mais est ce comparable avec la france?).
Par contre j’ai l’absolue competence pour savoir que l’on m’a rondement menti sur les conséquences du passage à l’euro, il me suffit pour cela de faire mes courses…
On peu analyser aussi que le rejet de la politique d’élargissement à tout crain n’est pas mal vecu que par les Français, mais apparement par les citoyens des pays “originels” de l’Europe.
On pourrait aussi rire ou pleurer, c’est au choix, des réactions des pontes Européens face à ce sondage: en deux mots “c’est mal”, ce qui reviens à dire que l’important consiste surtout a ne pas demander leurs avis aux premiers concernés, nous les citoyens européens!
sources :http://www.observatoiredeleurope.com/Les-europeens-regrettent-leurs-devises-nationales_a642.html
La vraie question c’est qu’a force de n’ecouter que les lobbies et jamais l’avis des citoyens, de nombreuses personne comme moi qui ont votés oui a Maastritch et non au TCE, vont finir par voter contre leurs convictions pour des politiciens qui garantiront une sortie de cette “chose” Européenne devenue completement incontrolable.
Quel gachis!
Lambrechts Francis
30/01/2007
La France doit montrer la voie et quitter l’euro car c’est prouvé maintenant : l’euro a un impact négatif. En plus on est rassuré par cette enquête du Financial Times : ils ne pensent qu’à votre/notre intérêt !
Quitter l’euro est une économie car l’euro coûte cher alors que le Franc ne coutera ... euh, aura un impact positif !
Ainsi nous pourrons tous profiter de la démonstration et quitter l’euro sur cet impact dont la France sera, en toute justice, la première bénéficiaire.
Devinez ce que feront alors les Anglais ?
Jean
30/01/2007
Un petit sondage Européen pour savoir ce que pense les Européens du passage a l’Euro et du dernier elargissement…
Extraits:
“En France, en Italie et en Espagne, plus des deux-tiers des personnes interrogées ont exprimé le sentiment que la monnaie unique avait eu un “impact négatif” sur leur économie.”
ou encore
“L’enquête révèle aussi que pour la majorité des adultes interrogés, l’immigration a entraîné une baisse des salaires et un quart seulement se dit satisfait de l’adhésion cette année de la Bulgarie et de la Roumanie à l’UE.”
c’est ici:
http://www.lexpress.fr/info/infojour/reuters.asp?id=36254&0732
Greney Eric
30/01/2007
January 30, 2007
Bush Directive Increases Sway on Regulation
By ROBERT PEAR
WASHINGTON, Jan. 29 President Bush has signed a directive that gives the White House much greater control over the rules and policy statements that the government develops to protect public health, safety, the environment, civil rights and privacy.
In an executive order published last week in the Federal Register, Mr. Bush said that each agency must have a regulatory policy office run by a political appointee, to supervise the development of rules and documents providing guidance to regulated industries. The White House will thus have a gatekeeper in each agency to analyze the costs and the benefits of new rules and to make sure the agencies carry out the presidents priorities.
This strengthens the hand of the White House in shaping rules that have, in the past, often been generated by civil servants and scientific experts. It suggests that the administration still has ways to exert its power after the takeover of Congress by the Democrats.
............
J-Ph Immarigeon
29/01/2007
Je vous signale également un excellent article déjà ancien, paru dans l’excellent London Review of Books, numéro du 20 octobre 2005 (Vol. 27 No. 20), sous la plume de l’excellent Anatol Lieven, auteur de “Le nouveau nationalisme américain”, et qui recense là un ouvrage titré “The New American Militarism : How Americans Are Seduced by War” de l’excellent Andrew Bacevich dont vous faites ici état.
Hashem Sherif
29/01/2007
Ce que vous appelez inculpabilité n’est pas spécifique aux Etats-Unis, car ce trait a été hérité de l’Angleterre et sa culture aristocrastique. Dans le livre de l"abbé Raynal, peut-être par la plume de Diderot, nous lisons qu’un des préjugés le plus extravagant de la noblesse est de croire qu"elle ne pouvait jamais être injuste (Histoire philosophique & politique des deux Indes, la Découverte, 2001, p. 187).
Je crois que le malentendu provient du fait que les gens persistent à mettre les pays anglo-saxons dans le camp de la démocratie. Or le Royaume-Uni reste un pays aristocratique et, comme l’a très bien expliqué Gore Vidal, les Etats-Unis constituent une république et non pas une démocratie, ce mot n’étant pas même cité dans la constitution.
Lambrechts Francis
28/01/2007
je pondèrerais autrement le raisonnement, ou complèterait d’autres éléments
geo
28/01/2007
L’IFAS (Institut Français d’Analyse Stratégique) , Sur l’Iran.
Les questions soulevées par la multiplication des attentats perpétrés dans la province iranienne du Khouzistan à majorité arabe
samedi 27 janvier 2007, par David Rigoulet-Roze
Le supposé problème « ethnique » constitué par le Khouzistan iranien : La région du sud-ouest de lIran, la province du Khouzistan est majoritairement peuplée dArabophones (généralement estimés à environ deux millions de personnes - soit près de 3 % des quelque 69 millions de la population totale - voire beaucoup plus selon dautres estimations) et, de ce fait, parfois qualifiée d « Arabistan ». Il sagit dune région stratégique parce quelle se trouve recéler la majeure partie du pétrole iranien (la région fournit effectivement 80 % de la production iranienne). Pour le pouvoir central prévaut généralement lidée selon laquelle les Iraniens arabophones seraient des séparatistes déclarés, voire constitueraient une « cinquième colonne » potentielle. Quand Saddam Hussein a attaqué lIran le 22 septembre 1980, il comptait évidemment sur la sympathie de ces Iraniens arabophones vivant dans cet « Arabistan » dont il se prétendait le « libérateur ». Mais contrairement à ce quavait pensé le dictateur irakien, lécrasante majorité des Arabes iraniens du Khouzistan, essentiellement dobédience chiite, avaient défendu leur pays aussi vigoureusement que leurs frères persans notamment parce quils rejetaient lidéologie du panarabisme annexée par le « baathisme » irakien. Or, depuis 2004, un regain dagitation touche la province et on ne peut exclure que cela soit aujourdhui en relation indirecte avec la situation prévalant en Irak.
Une province en effervescence depuis le printemps 2005
En avril 2005, des émeutes au Khouzistan devaient selon les sources officielles causer la mort dune vingtaine de personnes et dune centaine de blessés dans des affrontements qui avaient duré une semaine dans plusieurs villes du Khouzistan. Les troubles sétaient produits dans le prolongement de la publication dun document qui fut dabord présenté comme officiel mais ensuite dénoncé par les autorités comme un « faux ». Ce document aurait concerné la politique supposée de Téhéran accusée de chercher à modifier en profondeur la composition ethnique de la population du Khouzistan au profit des Persans délibérément privilégiés en termes demploi, et donc au détriment des Arabes. Il avait évidemment attisé la colère des Arabophones dans la mesure où il laissait supposer lexistence dun plan pour « iraniser » et/ou «désarabiser » la province. LIran na pas hésité à accuser les Britanniques dêtre derrière ces événements. Selon Téhéran, le gouvernement britannique aurait notamment permis à la mouvance séparatiste arabe du Khouzistan douvrir une représentation à Londres en liaison avec les services secrets britanniques qui lui fournirait une aide en termes de logistique et dencadrement avec laval tacite de la CIA. Mansour Ahmad al-Ahwazi, le Président du Front démocratique populaire dAhwaz (Popular Democratic Front for the Ahwazi Arab People/Jabhah al-Dimuqratiyah al-Shabiyah lil-Shab al-Arabi al-Ahwazi), qui milite pour un Khouzistan indépendant, aurait ainsi rencontré, Jack Straw, le ministre britannique des Affaires étrangères. Quant au numéro 2 du Front du Khouzistan, Said Taher Naamahad, il aurait secrètement été reçu à la Maison Blanche le 23 avril 2005 [1].
La multiplication des attentats au Khouzistan depuis lété 2005 :
Une série dattentats à la bombe, imputés la guérilla arabe du Khouzistan avait en effet eu lieu peu avant les élections présidentielles iraniennes du 17 juin 2005. Le bilan devait finalement sélever à au moins huit morts et 35 blessés. Le Front démocratique populaire dAhwaz avait depuis Londres immédiatement démenti toute responsabilité dans ces attentats et accusé le régime de Téhéran de les avoir organisé pour discréditer les revendications indépendantistes des Arabophones. Se démarquant délibérément du Front démocratique populaire dAhwaz, un mouvement de lutte armée des Arabes dAhvaz avait revendiqué le 16 juin suivant dans une vidéo mise en ligne sur un site internet la série dattentats à la bombe perpétrés à Ahwaz. Le groupe, qui se fait appeler « Mouvement de lutte arabe pour la libération dAhvaz », avait affirmé que lun des attentats, montré dans la bande vidéo, avait été mené par « la Brigade du martyr Moheddine Al-Nasser », du nom dun membre du groupe, exécuté le 6 juin 1964 dans la ville dAhwaz. Le 3 septembre 2005, trois bombes détruisaient des oléoducs reliant Ahwaz à la raffinerie dAbadan - la principale raffinerie iranienne dotée dune capacité de 450.000 b/j et représentant 30 % de la capacité totale de raffinage de lIran -, et provoquait une interruption de lapprovisionnement de pétrole à partir de cinq puits. Les autorités avaient dans un premier temps évoqué une «explosion accidentelle suspecte » avant de reconnaître un acte de sabotage. Le 16 octobre 2005, Le pipeline du Khouzistan à Maroun avait encore été lobjet dune explosion stoppant une nouvelle fois lécoulement dun des principaux oléoducs iraniens.
Des actes de sabotage imputés par Téhéran à une « cinquième colonne », voire à une « main étrangère » :
Khamenei avait déclaré le 3 septembre 2005 au cours dune rencontre avec les membres importants du régime, quil avait des doutes quant à lexistence des personnes musulmanes qui puissent les yeux fermés contre le monde entier poser des bombes dans les bus et métros sans liberté de pensée : « De telles personnes nexistent pas dans ma religion et il ne peut sagir que dagents des Etats-Unis, du Royaume Uni ou dIsraël. ». Fait très rare, le « Guide » devait faire un déplacement au Khouzistan, en mars 2006, au cours duquel il prononça un vibrant discours en langue arabe pour louer le patriotisme iranien de la population arabe locale. Ce discours enflammé intervenait après la recrudescence des attentats depuis le début de lannée 2006 au Khouzistan. Le 24 janvier 2006, deux attentats à la bombe avaient en effet une nouvelle fois ébranlé la ville dAhwaz où le président Mahmoud Ahmadinejad devait se rendre, avant que sa visite ne soit au dernier moment annulée officiellement « pour mauvais temps ». Le nouveau président Ahmadinejad avait immédiatement ordonné aux ministères des Ministère des Renseignements et de la Sécurité (VEVAK) de lancer une enquête sur « le rôle de mains étrangères » dans les attentats dont le bilan définitif devait sélever à huit morts et 46 blessés. « Des agents de renseignement des Etats-Unis, de Grande-Bretagne et dIsraël tentent de déstabiliser lIran suivant un plan coordonné, et lincident dAhwaz en fait partie », avait déclaré le ministre de lIntérieur Mostafa Pour-Mohammadi, renouvelant de précédentes accusations similaires [2]. La Grande-Bretagne avait vigoureusement démenti ces accusations. Alors quune bombe sonore avait de nouveau explosé le 19 février à Ahwaz, cette fois sans faire de victimes, le chef de la diplomatie iranienne Manouchehr Mottaki avait affirmé dans la soirée que les services de sécurité iraniens disposaient de documents prouvant « lintervention et la coopération des commandants militaires britanniques dans le sud de lIrak pour créer linsécurité en Iran ».
Lhypothèse parfois évoquée dun « jeu khouzistanais » anglo-saxon sur fond de crise nucléaire avec lIran :
Une partie de loléoduc qui relie la ville dAbadan à Ahwaz a pris feu le 19 mars dernier et les services dextinction dincendies ont dû uvrer presque neuf heures avant de pouvoir léteindre. Ce type daccident est peut-être à rapprocher dun autre incendie dorigine non identifiée qui avait partiellement détruit, le 19 février précédant, la raffinerie de Téhéran, malgré lexistence dun système anti-incendie. Selon les autorités, cet incendie aurait été dû à une fuite dans des colonnes de fractionnement. Mais il pourrait également avoir une origine criminelle. Lobjectif des saboteurs consisterait peut-être à hypothéquer la production dessence en Iran. En cas de sanctions votées par le Conseil de Sécurité de lONU, cela serait particulièrement problématique pour lapprovisionnement du pays qui importe au moins 40 % de son essence. Cela le deviendrait plus encore pour Téhéran si larmée iranienne devait affronter une opération militaire américaine denvergure. La clé de la situation géopolitique résiderait précisément dans le sud-ouest de lIran, au Khouzistan, principale province pétrolière du pays, et donc « Talon dAchille » de lIran du fait de sa population certes majoritairement chiite sur le plan confessionnel, mais ethniquement arabe, une province qui peut être à bien des égards considérée comme un « Koweït intérieur ». Daucuns ont été amenés à parler dun « jeu khouzistanais » qui consisterait pour les forces anglo-saxonnes présentes en Irak à apporter un soutien aux indépendantistes arabophones pour transformer, à terme, le Khouzistan en un protectorat autonome dArabistan ou dAhwaz afin de prendre le contrôle de la zone pétrolière susceptible de devenir, à terme, une hypothétique république démocratique dAhwaz.
Notes
[1] Cf. DEBKA-Net-Weekly 204, the Khuzestan Fronts No. 2 leader Said Taher Naamahad paid a secret visit to the White House, May 6, 2005.
[2] Cf. Zoltan Grossman, « Khuzestan : The First Front in the War on Iran ? », Evergreen State College in Olympia, Washington, 7 novembre 2005.
Taoo Paipai
27/01/2007
Qu’il est beau cet avion, qu’il est beau. Et qu’est ce qu’il nous propose!
Pour étoffer cette “fuite en avant technologique de plus en plus déconnéctée de la réalité”, voici un lien sur lequel se trouve une vidéo assez intéressante, produite je pense, par le constructeur de l’avion. Le titre: ” F-35 JSF Sensor System”...
http://www.youtube.com/watch?v=u8IlCRX2eMY
Belle pub. Reste à voir si on s’est pas fait arnaquer quant à ses capacités.
PS: est il possible de contacter directement par e-mail la rédaction de dedefensa?
PHR
27/01/2007
Adieu Luther, Calvin. Vous vous êtes tant trompés. Et vous en avez tant trompés. exit la pseudo-Réforme. “L’Eglise a connu trois hérésies : l’arianisme, le mahométisme et le luthéranisme” (Lacordaire). Exit leluthéranisme. Pourquoi ? Parce que “hors de l’Eglise, pas de salut” (Saint Cyprien, IVème siècle).
Lambrechts Francis
26/01/2007
Le prospectiviste français, Pierre Gonod, donne son point de vue sur le travail d’anticipation de LEAP
LEAP a prévu une “Crise Systémique Globale”, son calendrier et ses étapes. C’est une prise de position dont je ne connais pas d’exemple actuel dans le microcosme de la prospective. Attitude courageuse qui tranche avec la pusillanimité de la profession. Depuis longtemps la prospective française, notamment, a renoncé à l’anticipation globale. Pourquoi ? Sans doute en raison de la complexité croissante du monde et d’une pensée simpliste incapable de la saisir. Peut-être aussi la prégnance du politiquement correct à l’époque de la mondialisation qui conduit à l’impossibilité d’envisager des ruptures radicales. C’est le mérite du LEAP d’avoir franchi ce pas…
Bernard Gröll
26/01/2007
Fai ce que voudras parce que gens liberes , bien nés,bien eduqués et vivant en compagnie honnete ont par nature un instinct et aiguillon qui toujours les pousse à fait vertueux et retire de vice.
OK donc pour reduire nos pollutions à notre main
Quant au climat, un peu moins de suffisance. Le Soleil et le vent font ce qu’ils veulent
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