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Cécilia Greta et Jacky

Article lié : Quelques mots sur “Super-Cécilia”

Nike-John

  28/07/2007

Super-Cécilia n’est peut-être pas votre « tasse de thé » mais visiblement vous êtes tombé sous le charme de “Greta S”, ce que, du reste, vous reconnaissez. Ce n’est pas en dénonçant le “grand cirque médiatique” à son encontre que pour autant vous vous en excluez dans la mesure où, négligeant le “fond” quant aux motifs et enjeux politiques des apparitions et disparitions théâtralisées (puisque filmées sur commande) de la “Divine”, vous vous en tenez à leurs formes, c’est-à-dire précisément aux effets de leur mise en scène. Ainsi, et comme toujours s’agissant des femmes fatales starisées, deux camps s’affrontent : les détracteurs obscurantistes et les idolâtres envoûtés.  De là à penser que vous faites partie de ces “irresponsables” que vous fustigez, il y a un pas que je ne franchirai pas. Le débat reste donc ouvert en ce qui concerne le statut et missions institutionnels de la 1st Lady (on ne sait plus s’il faut dire 1ère Dame de France en ces temps d’américanophilie sarkozienne qui, paraît-il, rêve de Jacky K.)

get your war on

Article lié : Effectivement, “Hollywood goes to war

bituur esztreym

  27/07/2007

rien à voir avec Hollywood, ça n’est pas la même “catégorie”, pour utiliser un terme sportif, mais il y a dans le domaine artistique, culturel, nombre de choses à relever aussi, engagées depuis plus longtemps. vous avez relevé dernièrement une des émissions de jon stewart.

il y a aussi un cartoonist extraordinaire de drôlerie grinçante, ironie, conscience à la fois acérée et usant de l’absurde : David Rees. sa série “Get your war on” (publiée aussi en volume, traduction française : “Putain, c’est la guerre !”) commencée en octobre 2001, est un monument du genre : http://www.mnftiu.cc/mnftiu.cc/war66.html

Collecte de Fond ... III

Article lié :

Alexandre

  27/07/2007

Juste une remarque supplémentaire à l’aimable équipe de Dedefansa : vous lancez la campagne de donation en plein mois de juillet ... donc en pleines vacances ... il dois surement y avoir un certain nombre de lecteurs en vadrouille de ci de là et sans doute faut-il s’armer d’un peu de patience ! :)

De plus, pour une campagne de donation de ce type j’aurais tendance à donner un délai, à bien définir sur quelle période ces dons s’appliquent (pour 6 mois, pour un an). La visibilité du don s’en trouve améliorée et permet de cadrer les choses pour le donateur.
De plus, cela permet aussi aux donateurs de faire plusieurs petits dons dans l’année, plutôt qu’un gros d’un seul coup (ce serais un peu mon cas).

De plus, cette notion de délai évite “l’impatience”
de vos messages qui est je trouve un peu déplacée. Il me paraît utopique d’imaginer qu’une telle campagne puisse porter entièrement ses fruits en moins d’un mois.

Bien à vous,

A.G.

Un rapport britannique critique les services secrets américains

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ursulon

  27/07/2007

Un rapport britannique critique les services secrets américains
LEMONDE.FR avec Reuters, 26.07.07

Lien : http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3210,36-939228@51-919940,0.html
Le Parlement britannique a publié, mercredi 25 juillet, un rapport mettant en cause l’attitude des services secrets américains envers leurs homologues britanniques depuis le 11-Septembre. Le rapport évoque l’arrestation, en novembre 2002, de deux activistes en Gambie par les services américains et leur transfert à Guantanamo. Le MI5, service de renseignement intérieur britannique, leur avait signalé la présence de ces activistes en leur demandant expressément de ne pas les arrêter. Les protestations de Londres auprès de l’ambassade américaine en Gambie, du département d’Etat et du Conseil national de sécurité, n’auraient pas été prises en compte.

Le comité de renseignement et de sécurité, à l’origine de ce rapport, explique que “cette affaire montre un manque de considération de la part des Etats-Unis pour les préoccupations britanniques”. Il précise que cette attitude pourrait avoir"de sérieuses implications pour les relations de travail entre les services de renseignement et les agences de sécurité américaines et britanniques puisque le Royaume-Uni a désormais des dilemmes éthiques à travailler avec son plus proche allié” .

Le rapport critique, par ailleurs, les services britanniques, accusés d’avoir mis du temps à prendre conscience des implications des agissements américains et à apprécier le risque de tortures engendré par l’existence de prisons secrètes.

Ce rapport constitue une rare et sévère critique des Etats-Unis de la part de leur plus proche allié dans la “guerre contre le terrorisme”. Toutefois, le comité de renseignement et de sécurité affirme que le partage de renseignements entre Washington et Londres doit se poursuivre, les agences britanniques étant désormais pourvues de chartes réduisant le risque d’actions “menant par inadvertance à des transferts secrets, des tortures, ou des traitements cruels, inhumains ou dégradants”.

Article lié : L’irrémédiable fragilité du système

chris

  27/07/2007

Bon, globalement je vous capte ! Mais notre résistance est si grande en France que l’on a du mal à lire l’anglais !
Je ne vous apprend rien - oui ! on résiste comme on peut - disons que la France et les Français ont plusieurs cordes à leur arc - oui c’est parfois un peu idiot ! Tout ça pour vous dire Please ! :

TRADUISEZ LES PASSAGES DE VOS ARTICLES ECRITS EN ANGLAIS SI VOUS VOULEZ QUE L’ON SE COMPRENNE PARFAITEMENT AU DELA DE NOS SYMPATHIES IDEOLOGIQUES !

Bien sur, vous pourrez toujours supposer le Français indécrottable de ne pas savoir encore parler la langue de l’adversaire (et vous aurez raison !) mais vu l’urgence de la lutte considérez notre génie ailleurs et aidez nous !

TRADUISEZ les articles ! nous gagnerons en efficacité ! Thanks a lot !

Version officielle

Article lié : La tragédie de la CIA, c’est la tragédie de l’américanisme

Erem (rené M )

  27/07/2007

La version officielle
Y croire ?
Un peu ,beaucoup ,passionément, ou… pas du tout ?

Ou peut-être encore faire comme si on y croyait, ou encore,presque entre les lignes, laisser entendre que l’on se pose des questions mais qu’on réserve son jugement ou qu’on a pas encore fait sa religion sur la question ?

Et tout cela peut-être en fin de compte pour mieux démontrer le délire virtualiste du système américaniste.

Et statistiqueemnt sur ce site au fil des jours mention répétée du 9/11
Personne ne peut nier evidemment que cet événement inaugural d’une époque est absolument “capital”

Quelque soit l’interprétation qu’on en fait !

Washington pourrait forcer la main à Londres dans l'affaire des commissions de BAE Systems

Article lié :

Balajo

  26/07/2007

Jacqui Smith, la nouvelle ministre britannique de l’intérieur a reçu mi-juillet une missive du ministère américain de la justice qui a de quoi faire trembler la classe politique et financière. Il s’agit d’une demande d’entraide judiciaire internationale portant sur les prétendues commissions secrètes versées par le groupe britannique de défense BAE Systems à la famille royale saoudienne.

Les enquêteurs américains s’intéressent à deux paiements, chacun d’un million de livres (près d’1,5 million d’euros), ayant transité par des banques américaines. Le premier a été adressé au prince Bandar Ben Sultan, ancien ambassadeur à Washington, aujourd’hui conseiller à la sécurité nationale du royaume wahabite ; le second à des intermédiaires saoudiens liés à la famille régnante.

Mme Smith est confrontée à un dilemme. Collaborer avec les Etats-Unis, c’est rouvrir l’enquête sur les pots-de-vin de BAE dans le cadre du contrat de ventes d’armes Al-Yamamah, signé en 1985 et renouvelé par la suite. Or, en décembre 2006, à la suite de menaces de Riyad d’interrompre la coopération antiterroriste, le premier ministre d’alors, Tony Blair, avait invoqué “l’intérêt national” pour arrêter l’investigation de trois ans menée par le Bureau des fraudes graves, le Serious Fraud Office.

Une approbation de la part de Mme Smith pourrait entraîner des représailles saoudiennes sur les contrats conclus mais non signés d’achat d’équipements à BAE sur lesquels lorgnent les rivaux, notamment Français. En fonctions depuis le 29 juin, elle est d’autant plus ennuyée que les syndicats de l’ingénierie, influents au sein du Labour, soutiennent BAE au nom de la préservation de l’emploi.

INQUIÉTUDE À LA CITY

Responsable de la sécurité et de la lutte contre le terrorisme, elle doit tenir compte de l’hostilité de Sir Richard Mottram, président du comité interministériel du renseignement, l’un des principaux architectes du contrat Al-Yamamah. En 1992, cet ex-directeur général du ministère de la défense s’était opposé avec succès à la publication d’une enquête critique du National Audit Office, équivalent britannique de la Cour des comptes, sur le “contrat du siècle”.

Mais Mme Smith n’est guère en mesure de refuser la requête américaine. Elle mettrait alors en péril l’échange de renseignements avec l’administration Bush. Par ailleurs, les intérêts commerciaux de BAE sur le marché américain, où l’entreprise réalise plus de la moitié de ses profits, pourraient en souffrir.

Le nouveau premier ministre, Gordon Brown veut jouer la transparence. Ex-ministre des finances, il est conscient du préjudice causé à l’image du Royaume-Uni par les critiques adressées à Londres par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et par l’organisation non gouvernementale anticorruption Transparency International.

BAE conteste les versements présumés dépassant 1,2 milliard de livres (1,8 milliard d’euros). “En niant l’évidence, l’entreprise creuse sa tombe. Les faits remontent à plus de vingt ans. Les dirigeants devraient faire leurmea culpa” : un analyste de la City voit derrière cette rigidité l’effet de la culture militaire qui domine la hiérarchie du groupe.

L’attitude des fonds de pension inquiète la City. La Local Authority Pension Fund, représentant les caisses de retraites des fonctionnaires municipaux (70 milliards de livres), a écrit aux compagnies d’armement dans lesquelles elle est actionnaire, pour s’enquérir de leur attitude envers la corruption. Les 75 institutionnels municipaux ont investi 311 millions de livres dans BAE, titre considéré comme un placement de père de famille alliant rendement et patriotisme.

Face à ce scandale qui n’en finit pas, le syndicat Unison, numéro un de la fonction publique, vient de réclamer la fin des investissements des fonds de pension de ses adhérents dans le secteur militaire.

Marc Roche
LE MONDE Article paru dans l’édition du 27.07.07.

Version officielle

Article lié : La tragédie de la CIA, c’est la tragédie de l’américanisme

Noums

  26/07/2007

Je suis vraiment surpris de vous voir adopter dans cet article la théorie de ceux - de moins en moins nombreux - qui soutiennent la version officielle de l’administration Bush, selon laquelle elle n’avait pas connaissance de l’attaque. De mon point de vue, vous alimentez la propagande.
Cordialement,
Noums.

Les Britanniques jusqu’au bout…

Article lié : L’irrémédiable fragilité du système

Armand

  26/07/2007

Pour rejoindre un autre fil sur le pic (de la production) du pétrole et le cas anglais, cet article “du jour” sur ToD :

  http://europe.theoildrum.com/node/2790

avec ce graphique pour résumer la situation énergétique des Grands-Bretons :

http://www.theoildrum.com/files/UK_energy_balance.png

Si l’on y rajoute leur bulle immobilière, la Livre ne va pas rester très longtemps aussi haute.

Le Titanic US sombre et le porte-avion GB qui s’y était attaché tente de détacher ses haussières.

La suite du spectacle va être passionnante à suivre ...

Collecte de Fond ... II

Article lié :

Jean

  26/07/2007

Vous devriez également laissé une adresse mail ou l’on pourrait vous écrire.

Cela ferait moins froid qu’un accusé réception de PayPal et cela nous permettrais en retour, de nous assuré que notre virement vous est bien parvenus…

cordialement

Jean

Collecte de fonds

Article lié :

Ursulon

  25/07/2007

Le problème se pose chaque pour moi chaque année…
Sur le site, vous indiquez :

“3). Vous pouvez nous expédier un chèque au siège d’exploitation de la société, à la SPRL Euredit, 22 rue du Centenaire, 4624 ROMSÉE, Belgique.”

Cette façon de faire est-elle utilisable en dehors de la Belgique ? En clair, puis-je vous adresser un chèque bancaire français ?

Bonne collecte, et tous mes encouragements pour votre travail indispensable et unique !

Johnan Galtung

Article lié : Chute et circonstances à suivre de la chute — “What Comes After The U.S. Empire?” de Johan Galtung

Schnetzler

  24/07/2007

Aussi intéressant qu’il soit (et il l’est), sur un point, l’article de Johnan Galtung est désespérant, car les critiques de la politique US, aussi lucides et modérés soient-ils, n’ont hélas guère mieux à proposer en matière de stratégie dans un monde réel. Aux affirmations de l’auteur, nous nous contenterons d’opposer les nôtres : en particulier, il faut complètement abandonner l’Afghanistan et l’Irak, dès maintenant, et en payer le prix, car une défaite dans le futur n’en sera encore que plus coûteuse.
L’inévitabilité de la défaite (même sous la direction “idéale” de l’ONU, de l’Europe ou de n’importe quel autre machin) se déduit de deux facteurs politiques.
1)  Dans une récente interview relative au Darfour, BHL affirmait que, sans le moindre doute, un embargo ferait plier le Soudan en quelques semaines, puis déclarait qu’il se montrait l’adversaire résolu d’une guerre. Ainsi, après que l’échec d’un embargo de plusieurs années contre l’Irak ait démontré sa totale inefficacité, BHL est sûr et certain de l’efficacité des embargos ! Le propos n’est même pas relevé par le journaliste. Surtout et c’est là le point important, IL EST HORS DE QUESTION DE FAIRE LA GUERRE.
C’est bien là le drame de notre civilisation. On n’a pas le moindre scrupule à envoyer à la mort des centaines de milliers de femmes et d’enfants, parce qu’ils resteront des victimes anonymes, mais on se refuse à faire la guerre à des tyrans, c’est-à-dire à donner un visage aux ENNEMIS (quel mot infâmant) que l’on tue. A la limite, on accepte de bombarder des ponts et des usines, nécessaires à la vie quotidienne des populations, mais tuer nominativement des dirigeants, ça c’est un crime. Autrement dit, on se refuse à endosser la responsabilité d’actes répressifs. Dans ces conditions, même avec les meilleures intentions du monde (purement théoriques), je ne vois pas comment gagner en Irak, en Afghanistan ou ailleurs.
2) Sans tomber dans le manichéisme imbécile, Johnan Galtung fait quand même preuve d’une naïveté déconcertante. Si on éliminait les Etats-Unis d’un coup de baguette magique, le monde ne connaîtrait pas la paix pour autant. Il resterait (par ordre alphabétique) : Ahmadinejad, Ben Laden, Bill Gates, Kadhafi, Mugabe, Poutine, Shinzo Abe, etc., etc., etc.
Dans le monde réel,l’intelligence et le courage consistent à reconnaître la défaite, battre en retraite et accepter d’en supporter les conséquences. A l’opposé, les malheurs de l’humanité viennent aussi des idéalistes incapables d’assumer leurs faiblesses et poursuivant des chimères.(Battre en retraite, c’est ce que Bush ne fera pas, car, de même que Galtung, c’est un idéaliste désireux de sauver le monde.)

La guerre, ciment de la société américaine∫

Article lié : L’extase de la guerre, ou le journalisme-“Extasy”

Stéphane

  24/07/2007

L’idée a été survolée ici et chez JP Immarigeon…

Quoi d’autre ?

Dans ce pays peuplé par l’immigration, on construit un mur à la frontière mexicaine pour empêcher les « aliens » d’entrer. On use de cotas ethniques comme paravent médiatique à la réalité du racisme organique de la société – de son establishment WASP – Le melting-pot a du plomb dans l’aile. Aucun dénominateur commun à chercher de ce coté.

L’histoire ? Ca ne fera plaisir ni aux noirs, ni aux hispaniques, de remuer la courte histoire américaine, qui réclame des trésors de mauvaise foi pour être exprimée dans des termes pas trop réprobateurs.

Culture ? L’esprit pionnier conduisant la horde des obèses ? Ou la culture de masse au marketing savamment calculé ? Culture universelle, donc forcement sans saveur ni couleur, au goût artificiel et générique… produit d’exportation par excellence, symptôme du stade terminal de la substitution du peuple par la masse. « Corporate Culture », « Global Culture », vendue au poids et fabriquée à la chaîne…

Reste la religion, et ses dégoulinures. La certitude d’être l’exception bienfaisante. D’accomplir au-delà de l’histoire, d’être l’instrument du plan divin. Les pères pèlerins, référence ultime de la vertu américaine, fondaient le nouvel Israël. De ces fanatiques religieux, les USA ont hérité leur caractère le plus visible. Déterminisme, donc manichéisme forcené, donc « inculpabilité », aveuglement a force d’illumination.
Cependant, pour prétendre au statut d’exception, il faut bien se placer dans un tout. Comme je l’expliquais il y a bien longtemps à un britannique qualifiant de « stupid » l’absence de genre neutre en français, « No, Mickey, it’s not a female television, as their is no male television ».
Bref, le géocentrisme, psychocentrisme, philocentrisme (l’autisme en fait) US vie de son antagonisme d’avec les restes du monde et prend comme devise la citation de Moltke « la guerre est d’institution sainte ». La guerre est la diversion permanente de la réalité, le véhicule de la substance toxique que l’Amérique s’injecte pour entretenir l’intuition messianique qu’elle a d’elle-même.

Comment ne pas jouir lorsqu’elle éclate ?
Cette guerre juste, bonne, d’autant plus juste et bonne que les impies s’y sont opposés, ces froggies, lâches, pédants et efféminés, ces krauts, portant la malédiction de leurs pères pour la fin des temps…
Cette prodigieuse démonstration de la maîtrise des attributs divins :
Omniscience des drones, des satellites, omnipotence des armes de précision, invincibilité des chars, parfait alignement des légions innombrables. Vision hallucinée de la totale maîtrise de la puissance, nul n’est invisible à l’œil qui voit tout, nul n’est à l’abri du feu venu du ciel, instrument de la justice qui frappe partout. Paroxysme de la schizophrénie messianique, du triomphe, non plus de la volonté, mais de la foi, que dis-je, La Foi !
Vengeance divine, exercée, comme il se doit, pendant la fête des pourim !
Chapitre vivant de la sainte bible, que GW Bush consacrera par cette citation : « j’ai vaincu Babylone ». Destruction des idoles : on met à terre les statues ! Sodome est en flammes.

On se dit alors, plein d’assurance sereine, tel ce pasteur allemand en juillet 1940, « désormais c’est certain, Dieu est avec nous ».

Article lié : Ron Paul devient le candidat de l’“Amérique en colère”

Armand

  24/07/2007

A lire ce très bon article, il joue la partition de Bayrou ... passera-t-il le 1er tour (républicain) ?

L. Thompson, la voix des democrates qui gagneront les lelections de 2008.....

Article lié :

CMLFdA

  24/07/2007

Op-Ed: Iraq: The Consequences of Retreat
 
(Source: The Lexington Institute; issued July 24, 2007)

 
By Loren B. Thompson, Ph.D.  
 

Something happens to countries when they become empires (real or metaphorical). Over time their ruling elites grow so affluent and insular that they lose discipline, and abandon the habits that made them great. They rationalize away evidence of internal decay, and ignore external threats in pursuit of their factional desires. And then one day, they discover they are empires no more.  
 

Americans began hearing about this danger long before anyone ever called their nation an empire. The first volume of Edward Gibbon’s The History of the Decline and Fall of the Roman Empire was published in 1776, and 200 years later another Brit, Alistair Cooke, warned at the conclusion of the acclaimed PBS documentary America that the race was on in his beloved republic between decadence and dynamism. During the intervening years, each generation produced observers who thought they detected the beginning of the end for American civilization.  
 

They were all wrong, but the current generation has produced something novel in our history that makes fear of decline more plausible: America has begun losing wars on a regular basis. In the 1970s it was run out of Indochina by Vietcong guerrillas. In the 1980s it withdrew from Lebanon after a terrorist attack. In the 1990s it fled Somalia rather than fight local warlords. And now it is preparing to retreat from Iraq. Even as we laud the fading heroes of World War Two as “the greatest generation,” we are establishing a pattern of defeat against lesser enemies that signals a profound loss of political will.  
 

Everybody knows that the Iraq conflict could have been avoided if our leaders better understood the history and current conditions in the region. But the same might have been said of every conflict in our history, including the Civil War. If only Lincoln and the Republicans had understood how highly the South valued its slaves! Think of how many lives could have been saved!  
 

If this generation of Americans is to act responsibly, it cannot walk away from what it has wrought in Iraq, nor can it ignore the character of the adversary that so bedevils it there. To quote an editorial in the July 8 New York Times, “Americans must be clear that Iraq, and the region around it, could be even bloodier and more chaotic after Americans leave. There could be reprisals against those who worked with American forces, further ethnic cleansing, even genocide. Potentially destabilizing refugee flows could hit Jordan and Syria. Iran and Turkey could be tempted to make power grabs. Perhaps most important, the invasion has created a new stronghold from which terrorist activity could proliferate.”  
 

Aside from the minor detail that most of the world’s oil is located in the same region, the Times seemed to capture the consequences of an American retreat quite well. But then, in a heroic non-sequitur, it called for the immediate withdrawal of U.S. forces from Iraq. Such “reasoning” isn’t just typical of the McClellan-esque mindset currently prevailing in the Democratic Party, it mirrors the emotionalism that got us into Iraq in the first place.  
 

Whether we like it or not, we are now responsible for Iraq. We must see the mission there through to a successful outcome, or accept history’s verdict that the children of America’s greatest generation were the moral equivalent of Gibbon’s later emperors.