Pascal
21/05/2007
“Nous ne sommes plus en campagne, nous sommes dans le vif du grand sujet.”
Et bien si ! Il ne vous aura pas échappé que nous sommes entrés en campagne législative…
On ne sera fixés sur la politique de Sarkozy qu’au lendemain du second tour !
Pour l’heure, il s’agit de séduire et rassurer. Encore et toujours.
Hashem Sherif
21/05/2007
Je vous signale à propos de votre article sur les doutes des Etats-Unis le numéro de juin 2007 de Harper’s qui contient un dossier sur les réparations à faire dans les domaines suivant: l’ordre constitutionnel, la justice, les administrations, la protection de l’environnement, la recherche scientifique, l’économie, la vie intellectuelle, les services secrets, les forces armées, la diplomatie et l’état moral de la Nation.
Enfin, je ne comprends pas comment votre allusion sibylline à la fin de l’article concernant la France qui se porte mal pourrait se rapporter au sujet en question
Lambrechts Francis
21/05/2007
Faut-il croire tous ceux qui s’expriment sur le climat ?
http://www.manicore.com/documentation/serre/ouvrages/calembredaines.html
Périodiquement, des personnes signent des articles ou des livres, généralement virulents, exposant que toute cette affaire de réchauffement n’est qu’une chimère de scientifiques et que le plus urgent est de ne pas prêter attention à toutes ces mises en garde. Ils ajoutent souvent que de lutter contre le changement climatique va “coûter très cher” et donc que nous devrions nous dépêcher de nous occuper d’autre chose.
Jean-Marc Jancovici vous propose ici quelques commentaires sur quelques unes de ces publications.
Jean-Marc Jancovici est un ingénieur polytechnicien français, expert climatique et consultant auprès de divers organismes publics ou privés. Il est connu pour son travail de vulgarisation et de sensibilisation sur le changement climatique, l’effet de serre, et la crise énergétique. (Wikipedia)
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The Guardian Sept.19, 2006 The denial industry. George Monbiot
For years, a network of fake citizens’ groups and bogus scientific bodies has been claiming that science of global warming is inconclusive. They set back action on climate change by a decade. But who funded them? Exxon’s involvement is well known, but not the strange role of Big Tobacco. In the first of three extracts from his new book, George Monbiot tells a bizarre and shocking new story
ExxonMobil is the world’s most profitable corporation. Its sales now amount to more than $1bn a day. It makes most of this money from oil, and has more to lose than any other company from efforts to tackle climate change. To safeguard its profits, ExxonMobil needs to sow doubt about whether serious action needs to be taken on climate change. But there are difficulties: it must confront a scientific consensus as strong as that which maintains that smoking causes lung cancer or that HIV causes Aids. So what’s its strategy?
The website http://www.Exxonsecrets.org, using data found in the company’s official documents, lists 124 organisations that have taken money from the company or work closely with those that have. These organisations take a consistent line on climate change: that the science is contradictory, the scientists are split, environmentalists are charlatans, liars or lunatics, and if governments took action to prevent global warming, they would be endangering the global economy for no good reason. The findings these organisations dislike are labelled “junk science”. The findings they welcome are labelled “sound science”.
Among the organisations that have been funded by Exxon are such well-known websites and lobby groups as TechCentralStation, the Cato Institute and the Heritage Foundation. Some of those on the list have names that make them look like grassroots citizens’ organisations or academic bodies: the Centre for the Study of Carbon Dioxide and Global Change, for example. One or two of them, such as the Congress of Racial Equality, are citizens’ organisations or academic bodies, but the line they take on climate change is very much like that of the other sponsored groups. While all these groups are based in America, their publications are read and cited, and their staff are interviewed and quoted, all over the world.
By funding a large number of organisations, Exxon helps to create the impression that doubt about climate change is widespread. For those who do not understand that scientific findings cannot be trusted if they have not appeared in peer-reviewed journals, the names of these institutes help to suggest that serious researchers are challenging the consensus…
Antoine
20/05/2007
lutgen pierre
20/05/2007
J’aime votre site pour sa lucidité, c’est un plaisir d’y trouver tous les jours des informations qui sortent des ornières. Mais pourquoi avez-vous pour le climat une position tellement conservatrice. Ne vous rendez-vous pas compte que la Convention de Kyoto est la plus grande arnaque de tous les temps. Un canular gigantesque. Ressaissiez-vous!
J’ai écrit récemment plusieurs articles sur le sujet, mais ils sont en allemand.
Certains se trouvent dans la section francaise de http://www.mitosyfraudes.org.
Un grand-ducal qui vous veut du bien.
yonis berthel
19/05/2007
A mon avis le choix de Kouchner est un geste pour “réparer” la froidure chiraquienne vis-à-vis la politique étrangère étazunienne. Le French Doctor est bien vu en ces temps-ci par Wachington et Tel-Aviv. N’oublions pas qu’il fait déjà partie de quelques Think thanks américains favorables à la politique belliqueuse US (voir Bellaciao et oulala).
Antoine
18/05/2007
La nomination de Bernard Kouchner comme ministre des affaires étrangères, l’homme des USA (guerre contre la Serbie, soutient la guerre d’agression contre l’Irak) nous informe que la France est désormais dans l’axe JUDEO-SAXON:
USA-UK-ISRAEL + ...FRANCE.
Je m’étonne que DE DEFENSA ne relève pas ce basculement de la France dans l’orbite tant critiqué !
Déjà que le Charles de Gaulle bombarde l’Aghanistan en compagnie de l’USS Stennis…
Stéphane
18/05/2007
Hubert Védrine : en tant qu’“homme de gauche, je n’étais demandeur de rien”, entrer dans un gouvernement de droite lui “aurait posé un sérieux problème politique de principe”.
“Le président de la République n’appartient pas à ma famille politique mais j’estime depuis longtemps que les questions de politique étrangère doivent être abordées de façon non partisane, chaque fois que cela est possible”, explique Hubert Védrine.
http://tf1.lci.fr/infos/elections-2007/0,,3449541,00-hollande-kouchner-est-plus-membre-.html
Védrine suggère que la politique extérieure de Sarkozy est “partisane”?
Stéphane
17/05/2007
http://fr.rian.ru/world/20070515/65501862.html
Le passage sur le bouclier anti missile en dit long…
Luc
17/05/2007
Vous avez entièrement raison en ce qui concerne l’ampleur du concept de la résistance à la globalisation (sa vastitude).
C’est vrai également en ce qui concerne l’acceptation du mot vastitude par les joueurs de Sccrabble depuis 1999, semble-t-il.
Le mot “préciosité” que vous utilisez pour en défendre l’usage me paraît vraiment trop flatteur.
christo
17/05/2007
des faits, des processus, mais aussi des mots et des conduites semblent liés par “l’intentionnalité” de résistance qu’ils manifestent. Dire cela c’est reconnaître que comme les hommes, le Monde manifeste une intentionnalité. Cette intuition et la croyance dans la validité de cette intuition vaut bien la croyance moderne, dont l’intuition initiale est réduite aujourd’hui à l’état de spectre qui hante plus qu’il n’habite notre vision.
Vastitude ou ampleur de la G4G ? En bon disciple d’Abellio, l’ampleur couplée à l’intensité me semble plus juste. On peut ainsi rendre compte de son développement dans le vaste monde, de sa dissémination (mode d’ampleur sur un axe horizontal) et de sa force, de sa montée en puissance, de son impact toujours plus fort dans ses nouvelles manifestations (mode d’intensité)
Bruno Hanzen
17/05/2007
Un détail, certes futile, m’a frappé en regardant les images de l’investiture de Sarko: Il n’y a plus beaucoup de chefs d’état (ou de premiers ministres, ou autres…) qui se déplacent en voiture découverte.
Encore un exemple de différence française? Cela peut en dire long sur le rapport entre le Président et les Français, malgré les tentatives d’émeutes et les manifestations qui ont suivi l’élection.
Patrice
16/05/2007
J’attire votre attention sur deux articles parfaitement en phase avec la ligne éditoriale de dedefensa.org:
Le premier sur la pression exercée par l’Amiral William Fallon afin d’arrêter la spirale des menaces envers l’Iran: “Commander’s veto sank Gulf buildup”
http://www.atimes.com/atimes/Middle_East/IE17Ak03.html
Le deuxième sur l’analyse du “virtualisme” américain, que l’auteur ne voit pas cesser par toutes les idées en présence (y compris l’alternance politique—comme le relève aussi P. Grasset—) mais par un sursaut du peuple américain. “The case for imperial liquidation” de Chalmers Johnson (auteur de Nemesis: The Last Days of the American Republic)
http://www.atimes.com/atimes/Middle_East/IE17Ak04.html
COMAGUER
16/05/2007
Bonjour,
Juste une observation pour rire et sans nulle acrimonie :
Avec “VASTITUDE” vous faites dans le néologisme SEGOLENIEN. Nostalgie ? Hommage “posthume” ?
On peut s’en passer ! “AMPLEUR” va trés bien!
Erem
16/05/2007
“La seule alternative à cette politique nihiliste est lhypothèse historique classique que les quelques nations européennes intéressées, avec une diplomatie sérieuse et des intérêts communs, prennent à nouveau en main le destin de leurs relations avec la Russie”.”
Tout à fait d’accord ! lez réalités géographiques, économiques et autres, plaident pour une telle évolution.
Cette évolution est aussi celle prévue ou plus exactement ‘pronostiquée’ par Emanuel Todd dans son remarquable livre ” Après l’Empire ” en tout cas vue comme une nécessité pour un nouvel équilibre
Nicolas, Angela et quelques autres : Au travail !
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