Ilker
18/12/2007
Une émission intéressante sur France Culture, présentée par Alain Finkielkraut, avec Jean-François Mattéi et Marc Crépon, sur la question de l’identité européenne :
http://www.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/repliques/fiche.php?diffusion_id=56520
JPCD
18/12/2007
Il y a quelques jours, trois “géopoliticiens” français, François Heisbourg, Frédéic Encel et Bruno Tertrais,ont parfaitement illustré votre thèse sur l’obstination gauloise vis-à-vis de l’Iran à l’occasion d’un débat chez l’excellent Frédéric Taddeï sur France3. En face d’eux, Roland Dumas, Marc-Edouard Nabe et une journaliste iranienne défendaient des positions anti-guerres diverses…
Un débat intéressant qu’on peut revoir là:
http://ce-soir-ou-jamais.france3.fr/article.php?id_article=377&id_rubrique=171
miquet
17/12/2007
How the Anglo-American elite shares its ‘values’
By John Pilger ZNET December 16, 2007
When Prime Minister Gordon Brown spoke recently about his government’s devotion to the United States, “founded on the values we share”, he was echoing his Foreign Office minister Kim Howells, who was preparing to welcome the Saudi dictator to Britain with effusions of “shared values”. The meaning was the same in both cases. The values shared are those of rapacious power and wealth, with democracy and human rights irrelevant, as the bloodbath in Iraq and the suffering of the Palestinians attest, to name only two examples.
The “values we share” are celebrated by a shadowy organisation that has just held its annual conference. This is the British-American Project for the Successor Generation (BAP), set up in 1985 with money from a Philadelphia trust with a long history of supporting right-wing causes. Although the BAP does not publicly acknowledge this origin, the source of its inspiration was a call by President Reagan in 1983 for “successor generations” on both sides of the Atlantic to “work together in the future on defence and security matters”. He made numerous references to “shared values”. Attending this ceremony in the White House Situation Room were the ideologues Rupert Murdoch and the late James Goldsmith.
As Reagan made clear, the need for the BAP arose from Washington’s anxiety about the growing opposition in Britain to nuclear weapons, especially the stationing of cruise missiles in Europe. “A special concern,” he said, “will be the successor generations, as these younger people are the ones who will have to work together in the future on defence and security issues.” A new, preferably young elite - journalists, academics, economists, “civil society” and liberal community leaders of one sort or another - would offset the growing “anti-Americanism”.
The aims of this latter-day network, according to David Willetts, the former director of studies at Britain’s right-wing Centre for Policy Studies, now a member of the Tory shadow cabinet, are simply to “help reinforce Anglo-American links, especially if some members already do or will occupy positions of influence”. A former British ambassador to Washington, Sir John Kerr, was more direct. In a speech to BAP members, he said the organisation’s “powerful combination of eminent Fellows and close Atlantic links threatened to put the embassy out of a job”. An American BAP organiser describes the BAP network as committed to “grooming leaders” while promoting “the leading global role that [the US and Britain] continue to play”.
The BAP’s British “alumni” are drawn largely from new Labour and its court. No fewer than four BAP “fellows” and one advisory board member became ministers in the first Blair government. The new Labour names include Peter Mandelson, George Robertson, Baroness Symons, Jonathan Powell (Blair’s chief of staff), Baroness Scotland, Douglas Alexander, Geoff Mulgan, Matthew Taylor and David Miliband. Some are Fabian Society members and describe themselves as being “on the left”. Trevor Phillips, chair of the Equality and Human Rights Commission, is another member. They object to whispers of “a conspiracy”. The mutuality of class or aspiration is merely assured, unspoken, and the warm embrace of power flattering and often productive.
BAP conferences are held alternately in the US and Britain. This year’s was in Newcastle, with the theme “Faith and Justice”. On the US board is Diana Negroponte, the wife of John Negroponte, Bush’s former national security chief notorious for his associations with death-squad politics in central America. He follows another leading neocon, Paul Wolfowitz, architect of the invasion of Iraq and discredited head of the World Bank. Since 1985, BAP “alumni” and “fellows” have been brought together courtesy of Coca-Cola, Monsanto, Saatchi & Saatchi, Philip Morris and British Airways, among other multinationals. Nick Butler, formerly a top dog at BP, has been a leading light.
For many, the conferences have the revivalist pleasures honed by American PR techniques, with management games, personal presentations, and a closing jolly revue to lighten the serious business. The 2002 conference report noted: “Many BAP alumni are directly involved with US and UK military and defence establishments.”
The BAP rarely gets publicity, which may have something to do with the high proportion of journalists who are alumni. Prominent BAP journalists are David Lipsey, Yasmin Alibhai-Brown and assorted Murdochites. The BBC is well represented. On the popular Today programme, James Naughtie, whose broadcasting has long reflected his own transatlantic interests, has been an alumnus since 1989. Today’s newest voice, Evan Davis, formerly the BBC’s zealous economics editor, is a member. And at the top of the BAP website home page is a photograph of the famous BBC broadcaster Jeremy Paxman and his endorsement. “A marvellous way of meeting a varied cross-section of transatlantic friends,” says he.
http://www.zmag.org/sustainers/content/2007-12/16pilger.cfm
Armand
17/12/2007
6.x M$ levés seulement sur les 10 souhaités. Mais pour un “petit” ce n’est pas mal
J.P. Baquiast
16/12/2007
Pour mettre un peu d’humour dans tout cela, voyez cette présentation de l’Iranian Intelligence Estimate of America,
http://www.pan-europe.org/article.php?article_id=345&rubrique_id=
Pierre M. Boriliens
16/12/2007
Faux et usage de faux au plus haut niveau ! Et l’on s’étonne que l’Europe telle que les mêmes nous la proposent puisse susciter quelques réticences au sein de la population, lorsque toutefois on prend encore le risque de lui demander son avis !
CdC
16/12/2007
n’était pas perceptible à première vue.
En revanche, le coût et la fiabilité du matériel, avec l’assurance de pouvoir avoir des pièces de rechange rendent le choix des Hellènes tout à fait rationel.
Plus personne ne parle de l’OMC et de la nécessaire concurrence non faussée.
Question naïve:
En cas de velléité de sanction des USA, la Grèce ne peut-elle pas opposer qu’acheter plus cher et de moins bonne qualité revient à faire des subventions déguisées aux industries étasuniennes de l’armement?
Brice
16/12/2007
oh charmante fille…caline avec tous le monde, pourquoi tu l’es pas avec moi?!
Pragmatique, activiste,...la politique sarkozienne prêche l’ouverture avec tlm (avec une petite pensée à Kadhafi) mais pas avec l’Iran. Je me demande si un lobby israélite n’est pas derrière tout cela? une intervention telle menée aux USA concernant l’élaboration des NIE 2003 et 2005…qu’est_ce qu’en pense nos amis français?
nn
14/12/2007
Et si le coup était qu’il n’y a pas de coup ?
Un truc aussi curieux peut s’expliquer de bien des façons. Friedman un jour, Adler un autre, Sarko un troisième (y-a-t-il un Palestinien dans l’avion ?) y vont de leurs commentaires.
Dedefensa nous propose des aperçus dignes d’un Antiphon d’Athènes mâtiné de Cavada. Bon, très bien, rigolo et tout et tout.
Une hypothèse relayée par l’excellent
http://www.voltairenet.org/article153678.html
apporte une autre source de réflexion :
“Le rapport est prêt depuis six mois mais ladministration a interdit sa publication et les fuites organisées. Elle a mis à profit cette période pour ré-agencer ses cartes en prévision dune nouvelle étape au Moyen-Orient.”
Prof un jour, prof toujours
14/12/2007
Titre : “La NIE 2077 vient de loin”
En effet, puisqu’elle vient de 2077 !
CD
14/12/2007
Je partage le point de vue soi-disant satisfait de
“de defensa”.
Les basses politiques anglo-saxonnes qui ont commencé par soutenir une guerre Irak-Iran, puis
financé à coups de milliards de dollars le développement des mouvements politico-religieux d’Afghanistan , dans le but de stopper l’URSS et de l’affaiblir au maximum, ont créé le mouvement taliban. Les Anglo-Saxons ont soutenu les premiers pas de Bin Laden en politique internationale et sont responsables d’AlQuaida. Ils ne sont plus habilités à arrêter le Golem qu’ils ont créé.
Ce qui est maintenant intolérable, c’est la politique terroriste opérant, non pas à coup de kamikazes, mais bien avec de lourds tapis de bombes à fragmentation, soumettant les populations à des bombardements aveugles et ravageurs.
L’OTAN en assez fait. Le nouveau dirigeant anglais
nous apparaît de plus en plus lucide.Que l’Europe tire une leçon des monstrueux échecs subis en Asie par les USA, depuis presque quarante ans.
Bravo pour les prises de position courageuses de la rédaction de cette revue électronique.
Bonne chance et , surtout, continuez.
Stéphane
14/12/2007
En dehors des questions éthiques, force est de constaté que le Hamas a réussi ces dernières années à mettre en uvre une politique de harcèlement des israéliens aussi improvisée quefficace, en particulier grâce à ses roquettes Qassam.
Produit 100% bricolé maison, dont lorigine est attribuée à un jeune militant, désespéré des conditions matériels de son groupe, qui construisit les premières à partir de tubes en carton.
Cest aujourdhui le sujet politique le plus brûlant en Israël. La puissante armée israélienne ne peut pas protéger Sderot contre ces armes de fortune.
Aujourdhui, une petite information, tout aussi insignifiante que celle du lancement de la première roquette Qassam : un char lourd merkava semble avoir vu son blindage percé lors dune incursion à Gaza
http://www.almanar.com.lb/NewsSite/NewsDetails.aspx?id=31222&language=en
Armand
13/12/2007
Ce dimanche 16 a lieu un appel de fonds en souvenir de la révolte anti-impôts en du 16/12/1793
Au bénéfice de la campagne de Ron PAUL. L’objectif est de 10 M$, ils en sont à 3 M$ (“déjà” ou “seulement” ?)
Dominique Larchey-Wendling
13/12/2007
@ nn,
“Israël, puissance nucléaire illégale”
Israël n’est pas signataire du TNP donc je ne crois pas qu’on puisse parler d’illégalité dans son cas.
Par contre, tous ceux qui collaborent avec Israël sur le nucléaire civil sont dans l’illégalité puisque c’est une contrainte du TNP. Ceux qui le signent s’engagent à ne commercer dans le domaine nucléaire qu’avec d’autres signataires du TNP.
Je crois que la reconnaissance par Israël de la possession de l’arme nucléaire poserait aussi des problèmes légaux aux USA et d’autres pays qui commercent avec Israël dans d’autres domaines, en particuliers ceux de l’armement conventionnel.
Israël est une puissance nucléaire hypocrite et cachée. Si elle avouait sa puissance nucléaire militaire, cela rendrait sans doute de nombreux commerces avec elle illégaux ...
Ozymandias
13/12/2007
Cela fait un moment que je vous lie, avec agaçement le plus souvent mais là je trouve que vous depassez toute les limites.
Il n’y a rien de “virtualiste” dans cette triste affaire qu’est l’Afghanistan et j’ai franchement du mal à vous suivre.
Je ne vois rien de réjouissant dans le constat que la situation dans le pays n’est pas satisfaisante du tout et est très inquiétante.
Nous sommes intervenus en Afghanistan pour mettre fin à une situation qui était devenu intolerable.On ne pouvait pas accepter qu’Al-Qaida continue d’operer depuis son sanctuaire afghan après sa demonstration de force.
Par conséquant, je ne vois absolument rien de positif à l’idée de retourner à la case départ.C’est au contraire quelque chose d’absolument désastreux.En tout cas, la nouvelle ne justifie certainement pas le ton satisfait de l’article.
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