Prof un jour, prof toujours
14/12/2007
Titre : “La NIE 2077 vient de loin”
En effet, puisqu’elle vient de 2077 !
CD
14/12/2007
Je partage le point de vue soi-disant satisfait de
“de defensa”.
Les basses politiques anglo-saxonnes qui ont commencé par soutenir une guerre Irak-Iran, puis
financé à coups de milliards de dollars le développement des mouvements politico-religieux d’Afghanistan , dans le but de stopper l’URSS et de l’affaiblir au maximum, ont créé le mouvement taliban. Les Anglo-Saxons ont soutenu les premiers pas de Bin Laden en politique internationale et sont responsables d’AlQuaida. Ils ne sont plus habilités à arrêter le Golem qu’ils ont créé.
Ce qui est maintenant intolérable, c’est la politique terroriste opérant, non pas à coup de kamikazes, mais bien avec de lourds tapis de bombes à fragmentation, soumettant les populations à des bombardements aveugles et ravageurs.
L’OTAN en assez fait. Le nouveau dirigeant anglais
nous apparaît de plus en plus lucide.Que l’Europe tire une leçon des monstrueux échecs subis en Asie par les USA, depuis presque quarante ans.
Bravo pour les prises de position courageuses de la rédaction de cette revue électronique.
Bonne chance et , surtout, continuez.
Stéphane
14/12/2007
En dehors des questions éthiques, force est de constaté que le Hamas a réussi ces dernières années à mettre en uvre une politique de harcèlement des israéliens aussi improvisée quefficace, en particulier grâce à ses roquettes Qassam.
Produit 100% bricolé maison, dont lorigine est attribuée à un jeune militant, désespéré des conditions matériels de son groupe, qui construisit les premières à partir de tubes en carton.
Cest aujourdhui le sujet politique le plus brûlant en Israël. La puissante armée israélienne ne peut pas protéger Sderot contre ces armes de fortune.
Aujourdhui, une petite information, tout aussi insignifiante que celle du lancement de la première roquette Qassam : un char lourd merkava semble avoir vu son blindage percé lors dune incursion à Gaza
http://www.almanar.com.lb/NewsSite/NewsDetails.aspx?id=31222&language=en
Armand
13/12/2007
Ce dimanche 16 a lieu un appel de fonds en souvenir de la révolte anti-impôts en du 16/12/1793
Au bénéfice de la campagne de Ron PAUL. L’objectif est de 10 M$, ils en sont à 3 M$ (“déjà” ou “seulement” ?)
Dominique Larchey-Wendling
13/12/2007
@ nn,
“Israël, puissance nucléaire illégale”
Israël n’est pas signataire du TNP donc je ne crois pas qu’on puisse parler d’illégalité dans son cas.
Par contre, tous ceux qui collaborent avec Israël sur le nucléaire civil sont dans l’illégalité puisque c’est une contrainte du TNP. Ceux qui le signent s’engagent à ne commercer dans le domaine nucléaire qu’avec d’autres signataires du TNP.
Je crois que la reconnaissance par Israël de la possession de l’arme nucléaire poserait aussi des problèmes légaux aux USA et d’autres pays qui commercent avec Israël dans d’autres domaines, en particuliers ceux de l’armement conventionnel.
Israël est une puissance nucléaire hypocrite et cachée. Si elle avouait sa puissance nucléaire militaire, cela rendrait sans doute de nombreux commerces avec elle illégaux ...
Ozymandias
13/12/2007
Cela fait un moment que je vous lie, avec agaçement le plus souvent mais là je trouve que vous depassez toute les limites.
Il n’y a rien de “virtualiste” dans cette triste affaire qu’est l’Afghanistan et j’ai franchement du mal à vous suivre.
Je ne vois rien de réjouissant dans le constat que la situation dans le pays n’est pas satisfaisante du tout et est très inquiétante.
Nous sommes intervenus en Afghanistan pour mettre fin à une situation qui était devenu intolerable.On ne pouvait pas accepter qu’Al-Qaida continue d’operer depuis son sanctuaire afghan après sa demonstration de force.
Par conséquant, je ne vois absolument rien de positif à l’idée de retourner à la case départ.C’est au contraire quelque chose d’absolument désastreux.En tout cas, la nouvelle ne justifie certainement pas le ton satisfait de l’article.
damien
12/12/2007
Très intéressant, mais quid de la politique anglo-saxonne au Kosovo, qui n’est guère expliqué. Peut-elle rentré dans cette hypothèse de retrait?
Roland
12/12/2007
« Ce qui nest pas plus mal après tout quun vol normal dAmerican Airlines un 11 septembre de l\‘année 2001 »
Quel parallèle étrange ! Comme lavait écrit un précédent lecteur « vous nous taquinez ». Vous commencez à effleurer certaines choses, au milieu du reste qui na quun rapport lointain, puis vous retournez aussitôt sur le cur de votre article. Vous tâtez le terrain ? Ce sont des messages subliminaux ? Ou le système que vous décriez tant est diablement fort et vous oblige, même vous, à ce genre de subterfuge ?
Les trois à la fois
Oserez-vous franchir le Rubicon ?
nn
12/12/2007
Et les derniers commentaires de votre ami le bouffon apatride ?
PARIS (AFP) Le président Nicolas Sarkozy estime que “le danger d’une guerre existe” avec l’Iran, faisant valoir qu’Israël pourrait juger sa sécurité “vraiment menacée” par le programme nucléaire de Téhéran, dans un entretien à paraître jeudi dans le Nouvel observateur.
Mentionner le Mossad, c’est bien ; dire et redire l’évidence, c’est-à-dire que le premier acteur de ces inquiétants soubressauts est Israël, puissance nucléaire illégale, ce serait mieux.
Francis
11/12/2007
9 déc 2007 Keith Olbermann : Bush, menteur pathologique ou suprême imbécile ? http://contreinfo.info/article.php3?id_article=1490
Le rapport des agences de renseignement US apporte un démenti massif à ceux - de part et d’autre de l’Atlantique - qui tentaient de préparer les opinions à un scénario à l’irakienne dont la nouvelle cible serait l’Iran… Pourquoi certains dirigeants occidentaux, au premier rang desquels le président Bush, ont-ils continué à agiter une menace qui s’avère inexistante ?
... était-ce, Monsieur, pour effrayer les américains ?
... Aujourd’hui, comme ce remarquable dernier méfait historique en date le prouve, il est évident que Dick Cheney est le ventriloque de ce président, ou tout au moins le croit-il… M. Cheney a usurpé vos pouvoirs présidentiels, vous a mis à l’écart du circuit des informations, et vous a entraîné vers un style de présidence sans précédent, où les faits sont optionnels, ou les services de renseignements valent moins que l’intuition, et où le commis fait tourner la boutique.
Le problème, Monsieur, c’est que le commis vous vole et vole le pays.
... Nous pourrions peut-être considérer ce président comme hors-jeu, voir en lui une marionnette ou un idiot.
Mais l’étude de la transformation de son vocabulaire sur l’Iran prouve que même s’il n’y excelle pas, il est lui-même un manipulateur, abusant machiavéliquement de la crédulité de ceux qui l’écoutent.
Le vocabulaire utilisé par Bush a été analysé par Dan Froomkin sur le site web du Washington Post.
C’est stupéfiant.
... Vous avez continué à hurler des menaces au téléphone pendant près de quatre mois après que le gars à l’autre bout du fil avait raccroché.
Vous êtes, M. Bush, un fieffé menteur.
Et plus encore, vous nous avez appris que John Bolton et Norman Podhoretz et les éditorialistes du Wall Street Journal sont aussi de fieffés menteurs…
Et au lieu de partager ces bonnes nouvelles avec le peuple, dont vous avez de toute évidence oublié que vous le représentez, vous avez uniquement subtilement adapté votre façon de terroriser ce peuple, pour couvrir légalement vos arrières.
miquet
11/12/2007
White House press secretary admits she didn’t know what Cuban Missile Crisis was
John Byrne
Raw Story
Tuesday December 11, 2007
History has a way of repeating itself.
White House press secretary Dana Perino has been front and center of the White House’s push to continue to label Iran a rogue state for its pursuit of uranium enrichment technology.
This comes against the backdrop of a new intelligence estimate positing that the Islamic state abandoned its nuclear weapons in 2003.
Turns out she doesn’t know quite so much about nuclear weapons as she supposes. And we’re not talking about Iran.
Appearing on National Public Radio’s quiz show, “Wait, Wait ... Don’t Tell Me,” this weekend, Perino admitted a story she’d previously only shared in private: When a reporter asked her a question during a White House briefing in which he referred to the Cuban Missile Crisis—she didn’t know what it was.
“I was panicked a bit because I really don’t know about . . . the Cuban Missile Crisis,” said Perino, who at 35 was born about a decade after the 1962 U.S.-Soviet nuclear showdown. “It had to do with Cuba and missiles, I’m pretty sure.”
The exchange was first noted in the Washington Post.
“I came home and I asked my husband,” she said on air. “I said, ‘Wasn’t that like the Bay of Pigs thing?’ And he said, ‘Oh, Dana.’ “
Perino was referring to the White House briefing held on October 26, when a reporter asked her, “Do you want to address the remarks by President Putin, who said the United States setting up a missile defense shield in Eastern Europe was like the Soviet Union putting missiles in Cuba, setting up a Cuban missile crisis?”
“Well, I think that the historical comparison is not—does not exactly work,” Perino had responded.
Dominique Larchey-Wendling
11/12/2007
http://www.solidariteetprogres.org/spip/sp_article.php3?id_article=3372
En complément de votre propre analyse sur le complot contre Roosevelt.
Armand
11/12/2007
Un texte de Richard Armitage ; la liste de tout ce qu’il fallait faire et ne pas faire et qu’on n’a pas fait et fait.
http://www.atimes.com/atimes/South_Asia/IL12Df01.html
une élection et hop ! on redevient un empire, mais modeste.
Dominique Larchey-Wendling
11/12/2007
Un texte excellent d’Uri Avnery : “How They Stole the Bomb From Us”
Pierre M. Boriliens
10/12/2007
Brillante analyse et sans doute très proche de la réalité ! Cependant, au risque de tomber un peu dans le même travers, vous oubliez une facette déterminante de ces événements : les liens avec l’économie. Car nous sommes aussi et peut-être surtout en présence d’un système, - nommons-le « capitalisme », peu importent ici les nuances -, dont la logique est d’abord sa propre survie qui passe par une croissance perpétuelle, de par sa nature-même. Et les acteurs de ce système font quasi-mécaniquement tout leur possible pour alimenter cette dynamique, puisque leur propre survie en tant qu’acteurs (position sociale, pouvoir…) en dépend directement.
A l’appui, on peut remarquer les liens très directs et très étroits des Bush et de leurs proches, comme Cheney (Halliburton) ou Rice (Chevron) et sans doute bien d’autres, avec l’industrie pétrolière, l’une des bases vitales de l’industrie tout court (transport, agro-alimentaire, chimie, etc.). Il n’est donc pas étonnant d’une part que leur « politique » soit d’abord orientée par l’intérêt de ces groupes (garantir la sécurité et la pérennité de l’approvisionnement en matière première, le pétrole, au moindre coût pour les groupes eux-mêmes) et d’autre part qu’ils utilisent pour parvenir à leur fins les méthodes qu’ils utilisaient déjà lorsqu’ils étaient à leur tête. Celles de la publicité dont l’objet a toujours été la création, la diffusion et l’entretien d’une vision d’un monde idéal résumée par l’expression « american way of life ». C’est bien entendu sur ce terrain que l’on va construire « la menace » que l’on s’emploiera à « conjurer » (en envahissant l’Iran, peu importe la réalité de son programme nucléaire).
Petit texte qui montre qu’il n’y a en fait rien de neuf à l’Ouest :
« Si nous comprenons les mécanismes et les mobiles propres au fonctionnement de l’esprit de groupe, il devient possible de contrôler et d’embrigader les masses selon notre volonté et sans qu’elles en prennent conscience. La manipulation consciente et intelligente des habitudes et des opinions organisées des masses est un élément important dans une société démocratique. Ce mécanisme invisible de la société constitue un gouvernement invisible qui est le véritable pouvoir dirigeant de notre pays. Ce sont les minorités intelligentes qui se doivent de faire un usage systématique et continu de la propagande. »
Edward Bernays, Propaganda, New York (1928)
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