Forum

Pour poster un commentaire, vous devez vous identifier

Un soutien populaire

Article lié : Obama et l’urgence des temps

Stephane Eybert

  28/10/2008

Il faudrait un Chavez a la presidence des USA.

La Chine continuerait a etre un partenaire commercial.

La Russie serait tout sourire.

L’Europe n’aurait rien contre.

Le rest of the world serait soulage.

Le peuple americain serait moins fatigue.

Ah oui! J’oubliais… L’oligarchie anglo americaine… Elle serait choquee. A quoi ca tient le monde.

Le FT qui vous approuve ...presque

Article lié : Taillé pour la France

Dedef

  28/10/2008

http://www.eurointelligence.com/article.581+M50f82be30cf.0.html

Sarkozy’s coup d’etat  
By: Wolfgang Münchau 28.10.2008

Largely unnoticed, there was an attempted coup d’état of sorts in Europe last week. Nicolas Sarkozy, the French president, let it be known that he wants to remain in his role of “president of Europe” for another year. No, he will not prevent the Czechs and the Swedes from assuming the European Union’s rotating six-month presidency during 2009. But since the two countries are not members of the eurozone, Mr Sarkozy wants to remain the de facto president of the eurozone until the end of 2009 when Spain, a eurozone country, takes over from Sweden.

President of what? It would be too easy to dismiss this as yet another example of Mr Sarkozy’s hyperactive grandstanding – and, believe me, I am sorely tempted. But we should not dismiss it as a mere stunt because events are moving in his favour. Germany was never keen on what the French call gouvernement économique , which is what this is all about. But I am no longer so sure whether the immovable obstacle of Angela Merkel, the German chancellor, will be able to withstand the irresistible force of Mr Sarkozy for much longer. I can think of six reasons why Mr Sarkozy might prevail in the end.

First, last week’s stock market rout may serve as a reminder, if any was needed, that the financial crisis is not yet over, and that the transatlantic economy is in the middle of a long and painful recession. The new US administration and the newly elected Congress will almost certainly endorse a substantive stimulus plan early next year, which will put Europe under pressure to do the same. This will probably require another eurozone summit to draw up the ground rules for national implementation.

Second, the failure to provide money market insurance as part of the recent rescue packages will need to be fixed. After the last agreement, money market interest rates did come down initially, including the all-important three-month euro interbank offered rate, to which many European mortgages are linked. It fell a notch below 5 per cent last week. But so far the money market rates have fallen by less than the 0.5 percentage point cut in the European Central Bank’s benchmark repurchase rate. This means that the tensions have not eased at all.

Third, I would expect the existing bank recapitalisation schemes to be in need of revision and a eurozone-level agreement might well be necessary to do that. In Germany, for example, the only banks that have so far applied are publicly-owned banks. The trouble with the German scheme is that it sets the wrong incentives because it is voluntary, and imposes a strict salary cap of €500,000 ($632,000, £397,000) a year. Bank executives therefore have an incentive to reduce credit for companies and consumers rather than crawl to the government for help. The scheme will therefore fail in its main goal – to recapitalise the banking sector. The need for an effective eurozone-wide scheme is as apparent today as it was three weeks ago.

The fourth reason is the failure of the eurogroup to provide leadership during this crisis. The eurogroup is an informal group of the eurozone’s finance ministers in which governments discuss issues of mutual concern. But it has been largely absent during this crisis. I understand the latest meetings were unusually bitter and hostile. But you would expect the eurozone’s only political co-ordinating group to make some positive contribution in a crisis of such scale. Mr Sarkozy is right in pointing out that the finance ministers could never have mobilised €1,800bn for a bank rescue package. In other words, the eurogroup may be necessary but not sufficient.

Reason number five is that Germany is fast losing allies in its fundamentalist opposition to economic governance beyond the stability and growth pact. The Spanish and the Italians favour it, and even the Dutch have been proposing a eurozone-wide action plan. Now that the crisis has hit eastern Europe, I would expect Austria, Slovenia and Slovakia to demand solidarity from within the eurozone too.

The sixth reason is continued uncertainty over the Lisbon treaty. The treaty would establish a permanent presidency of the European Council, which could deal with crises beyond a six-month horizon. Many shudder to think of what would have happened if the europhobic Czech government had been in the EU’s driving seat during the present half-year. For as long as the treaty is unratified, EU leaders have no choice but to go outside it in dealing with crises.

Will Mr Sarkozy succeed? Ms Merkel will probably continue to boycott any French efforts in this direction for a while. German officials have developed a habit of reacting negatively in anticipation of what the French might propose. But Mr Sarkozy has been pushing Ms Merkel into a corner. I doubt she will be able to say nein forever without making positive contributions of her own.

For now, Mr Sarkozy will remain president of France alone. But if, or rather when, the crisis deteriorates, his coup d’état may well succeed.

et encore le Pakistan

Article lié : Une transition dans tous ses états

Dedef

  28/10/2008

Pas la peine de chercher oùle test pourrait être provoqué, les évènements y pourvoiront trés bien. Le Liban serait bien aussi, et si les russes veulent s’amuser l’ Afghanistan pourrait aisément devenir sportif: les camions vers Kaboul pourraient avoir des problémes…

Ci joint pour le Pakistan, mais d’autres sont en vue.
http://www.gestionsuisse.com/HorsSujet.asp?id=109

Le Pakistan vu autrement 26/10/2008

Le Pakistan ne sait plus vers qui se tourner dans la conjoncture mondiale de crise du crédit doublée de chaos politique national. Ce n’est certes pas la première fois que ce pays se retrouve acculé à cette extrémité mais la menace et la pression des Djihadistes - qui s’engouffrent dans cette brèche de crise économique et financière - se font de plus en plus intenses et c’est afin de lui éviter la faillite pure et simple que la Banque Mondiale prévoit de secourir le pays avec 1.4 milliards de dollars.

Le Pakistan, qui est un pays dont la survie ne dépend pratiquement que de capitaux étrangers, est endetté à hauteur de 57% de son P.I.B. et entretient un déficit budgétaire de l’ordre de 7.5% de ce P.I.B. L’économie du pays est tournée à 53% vers les services, à 26% vers l’industrie et à 21% vers l’agriculture mais les branches industrielles et agricoles ont été sévèrement affectées ces derniers mois par les pénuries d’approvisionnement ainsi que par les inondations fréquentes. Les réserves monétaires, qui s’élèvent à 8.3 milliards de dollars, suffisent à peine à régler les importations du pays pendant deux mois et le balance commerciale accuse un déficit de 9.4% du P.I.B.

Plus grave encore : les factures des importations énergétiques et des importations alimentaires ont respectivement flambé de 56% et de 46% en 2008 pendant que l’influx net de capitaux étrangers en direction du Pakistan déclinait de 22% pour se stabiliser à 8.3 milliards de dollars…

C’est très simple : le gouvernement Pakistanais a immédiatement besoin de 3 milliards de dollars indispensables pour honorer ses divers engagements et dettes si la faillite veut lui être épargnée. Faute de quoi la guerre civile totale embrasera le pays et verra du coup la mainmise sur l’ensemble du pays des Djihadistes qui se tiennent aux aguets des deux côtés de la frontière Pakistano-Afghane!

————————————————————————————————————

Voir aussi:
http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/content/article/2008/10/22/AR2008102203708.html

Pakistan Will Give Arms to Tribal Militias

De l'URSS aux USA

Article lié : Une transition dans tous ses états

Christian Steiner

  28/10/2008

Vous nous décrivez, depuis deux ou trois semaines, une situation où l’intérieur du système américaniste (et notamment les militaires, peut être plus lucides, pragmatiques ou cru dans leur façon de s’exprimer) commence à prendre conscience de l’ampleur des problèmes auquel le système est confronté et de la fragilité soudaine de ce dernier face à ces problèmes.

Et vous avez d’autre part cités dans plusieurs de vos articles précédents la conscience qu’avaient eu la direction soviétique à la fin des années 70 /débuts des années 80, des problèmes auquel le système soviétiques était confronté, qui avait abouti à la conclusion des réformes nécessaires, laquelle avait mené Gorbatchev au pouvoir avec mission de sauver la chose.

Comme je n’avais que 13 ans en 1980 et que je n’ai aucune formation d’historien, je me permets de vous demander quels étaient alors les sentiments des gens au pouvoir en URSS, quels dangers étaient-ils alors perçu (outre la peur d’une agression russe lors de la “great soviet scare” de c.1982-3), qu’est-ce qui a motivé la volonté de réforme de la direction soviétique (l’état économique intérieur ? les pénuries alimentaires récurrentes ? la dégradation des conditions de vie du peuple ? les problèmes spécifiques de leur CMI ? la conscience du retard pris dans certains domaines militaires par rapport aux USA ?). Bref, en quoi y aurait-il des parallèles et des différences avec la situation des USA actuellement ? (outre l’organisation centralisée et la psychologie des uns, qui les rendait plus aptes à affronter des difficultés, et l’organisation décentralisée des autres et une certaine angoisse psychologique des autres qui les rend a priori, mais sait-on jamais, moins aptes à supporter pareille perspective de remise en cause ; et pourtant, ne s’y achemine-t-on pas aussi vers une nécessité de réforme radicale, c-à-d- de révolution ?)

En vous remerciant pour la qualité de votre travail et votre volonté de proposer envers et contre tout un journalisme si précieusement “contextualisé” et mis en perspective.

C. Steiner

(PS : pour les donations, ça suivra, mais j’ai des problèmes récurrents avec Paypal, que je n’utilise que rarement. Je ne sais pas si cela est le cas avec d’autres lecteurs ?)

Les syriens boivent du petit lait

Article lié : Copié-collé: les réactions française et russe face à l’attaque US en Syrie

Stéphane Reposo

  28/10/2008

Il faut aller voir le site de l’agence de presse officielle syrienne SANA.

http://www.sana.sy/index_fra.html

Les titres des communiqués :
L’Espagne et la France expriment leur inquiétude de l’agression de Boukamal

Afflux de condamnations de l’acte terroriste contre des civils au Boukamal

La Russie exprime son inquiétude vis-à-vis de l’agression américaine contre la localité de Boukamal

La Ligue arabe condamne vivement l’agression américaine contre le Boukamal

Condamnation de large envergure de l’agression américaine contre la région de Boukamal

Le Quai d’Orsay affirme l’attachement de la France au principe du respect de la souveraineté des pays

Les journaux russes dénoncent l’agression américaine contre Boukmal

...

La Syrie : le test ?

Article lié : La crise d’une civilisation parasitaire

Père Iclès

  28/10/2008

Merci à Bertrand Arnould pour sa réponse. C’est effectivement à quelque chose dans le genre que je pensais.

Maintenant et à quelques jours des élections présidentielles US et alors même que le Pentagone reconnaît entrer dans une période de turbulences, on enregistre cette agression contre la Syrie (il faut appeler un chat un chat) qui vient sans doute préparer le terrain pour le futur “test” d’Obama made in USA et non dans le reste du monde comme le prétendait Joe Biden.

La chose en soi est un test voire un défi à l’ONU puisque Obama est le chouchou de l’ONU et que cette attaque est une violation tout à fait dans la tradition néoconservatrice des règles de cette organisation.

La France à défaut de l'Union.

Article lié : Taillé pour la France

Ni ANDO

  28/10/2008

Un article interessant de Fédor Loukianov “Accord Russie-UE: un “Helsinki-2” serait le bienvenu” qui met en avant une dificulté de nature “ontologique” dans les tentatives de rapprochements entre la Fédération de Russie et l’Union Européenne.

“Le modèle qui fut mis à la base de l’APC en vigueur prévoyait “l’européisation” de la Russie, en fait, un rapprochement unilatéral de la Russie des schémas européens, au moyen de l’adoption progressive des normes et des règles de l’UE. Cet objectif était tout à fait net et partagé par les deux parties dans la première moitié des années 1990, mais pour différentes raisons, il n’est plus d’actualité. Dans le contexte d’une Russie renforcée, l’idée “d’harmoniser les législations” ne fonctionne plus, alors que Bruxelles ne reconnaît aucun autre format de relations avec ses proches voisins et partenaires”.

Cette difficulté est peut être temporaire, mais elle explique que l’évolution future des rapports Russie/club UE se fait et fera davantage dans le cadre de rapports bilatéraux (Allemagne et France en particulier) que dans celui de l’institution UE.

http://fr.rian.ru/analysis/20081027/117976055.html

Crise plus psycho que meteo

Article lié : La dynamique de la crise et de l'Histoire déchaînée

Stephane Eybert

  27/10/2008

Précision

Article lié : Complications sans nombre au milieu des ruines en désordre

Bertrand Arnould

  27/10/2008

Je ne suis pas très fort en communication; le lien de l’article cité dans mon post précédent est:
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=10674

Pour le Père Iclès

Article lié : Complications sans nombre au milieu des ruines en désordre

Bertrand Arnould

  27/10/2008

Jetez donc un oeil a cet article :Un piège pour la Russie : les néolibéraux étasuniens et les fascistes ukrainiens derrière l’opération « Table rase »
- par Vadim Stolz, Comaguer - 2008-10-24
sur le site : http://www.mondialisation.ca
dans la colonne actualité.
Il y a là la réponse a une partie des questions que vous posez

Obama a-t-il le choix ?

Article lié : Un président de guerre?

Bilbo

  27/10/2008

Une large part du mode de vie américain tient en la force du dollar. Actuellement le dollar résiste assez bien grâce à trois choses :
- c’est la monnaie de la plus puissante armée du monde.
- c’est la monnaie de compte des matières premières et notamment du pétrole.
- c’est la première composante des réserves de devises étrangères.
On peut éventuellement y ajouter le soutien dû au yuan manifestement sous-évalué mais dont les variations face au dollar sont très encadrées.
Sur les second et troisième points, Obama n’aura aucune prise. Le second point a même une date butoir : en 2011 émergera la nouvelle monnaie commune de 5 pays du Golfe. Cette nouvelle monnaie impactera fortement sur le troisième point.
Dès lors il ne reste plus à Obama que le premier point pour permettre aux USA de continuer à emprunter le plus lontemps possible dans leur propre monnaie.
L’armée ruine le pays, mais sans elle le dollar s’effondrerait et la désindustrialisation massive qu’a subie le pays depuis près de 30 ans aurait des conséquences catastrophiques.
Obama a-t-il donc le choix ?

Ne pas vendre les plumes de l'aigle...

Article lié : Le monstre au cœur du système, qui dévore l’intérieur de nous-mêmes

Père Iclès

  26/10/2008

Est-ce que derrière l’Amérique de Bush qui répète ses erreurs sans en tirer de leçon il y en a une autre plus tordue, plus secrète, moins lisible qui serait à l’oeuvre, de façon efficace, dans l’ombre de la première dont elle a prévu, voire organisé le déclin ?

D’où venait l’idée de diffuser les photos d’Abou Ghraib ? Qui est derrière tous les couacs de la politique étrangère US depuis 2001 ( exemple, les missiles “égarés” de Barksdale) ? Qui met des bâtons dans les roues du système US ?

On pourra me retorquer que le système est assez idiot pour s’en mettre lui-même, virtualisme oblige, mais ça ne me satisferait pas… La crise bancaire, je veux bien qu’elle soit le résultat d’une gabegie basée sur la soif de profit et le chacun pour soi, il n’empêche qu’elle ne pouvait pas ne pas être prévue, donc attendue. Qui en a accepté la survenue et qui compte en profiter ? Qui en sortira plus puissant et qui sera affaibli ?

Il serait intéressant de comprendre les buts d’un Soros en Georgie (mais pas seulement), ceux d’un Brzezinski dans l’élection US sans les faire passer pour des vieillards séniles attachés de façon nostalgique à un passé impérial à jamais révolu et impuissants à changer la course d’un système sur lequel ils n’auraient aucune prise.

La situation ne me semble pas aussi limpide qu’il y paraît à première vue.

Quid de l'avenir d'Israel sans USA forts ?

Article lié : Alerte rouge à propos du “coming crash” du Pentagone

Alain Vité

  26/10/2008

Ca a peu de rapport avec le sujet de l’article, mais la question me revient régulièrement à l’esprit et donc je la pose quand même.

Au fur et à mesure du déclin de la puissance US, leur protection d’Israel sera fragilisée.

Nombre de Musulmans, islamistes ou non et avec ou sans leur nation, ont de profonds griefs contre Israel, que ce soit de longue tradition antisémite, par écoeurement devant le sort des Palestiniens ou autre.

Du reste, humilier les Palestiniens affaiblis avec une telle constance au bord de l’inhumanité, relève pour moi de l’inconscience (gardons les considérations morales de charité ou autre pour la sphère privée) : de nombreux Musulmans du monde entier, pas seulement ceux des voisins d’Israël qui sont souvent déjà hostiles, n’attendent que l’occasion de venger les Palestiniens, de porter atteinte à ce petit frère des USA, d’attaquer le Sionisme, tout ça à la fois ou autre. Sans parler d’éventuels ennemis non musulmans.

A quoi s’ajoute l’affaiblissement politique d’Israël, qui s’il dure ne fera qu’inciter leurs ennemis à des interventions plus dures et plus tôt.

Qu’Israël possède la bombe atomique est une protection précieuse, mais n’empêchera pas les troubles et les attaques sous des formes diverses et inventives, de la part d’adversaires d’autant plus déterminés que les USA seront moins en mesure d’intervenir.

Surtout qu’à tort ou à raison, cet affaiblissement US apparaît aux yeux des islamistes comme l’éclatant succès de leur stratégie, et “une invitation à reproduire l’exploit”.

Ca n’augure rien de bon pour cette région du monde, déjà bien troublée, et où les intérêts internationaux sont nombreux et complexes.

Et donc je me demande comment vous voyez ça, Ô Grand Sachem à la vue perçante.

Lorsque j’étais adolescent, ma mère se demandait si Israël n’avait pas “secrètement envie de se faire écraser, à force de tout faire pour que ça leur arrive un jour”, ce qui me semble relever d’un freudisme approximatif, mais révéle néanmoins le de longue date le malaise de l’attitude israëlienne.

En regardant le monde plutôt avec les outils que vous exposez au fil de vos articles, je soupçonne en fait la politique palestinienne d’Israël d’être analogue à la politique militariste des US, un moyen de pallier des faiblesses structurelles de la société et de la politique (je ne connais la structure ni de la politique ni de la société israëlienne)

Ce qui m’éveille des questions subsidiaires : est-ce le prévisible travers électoraliste (peut-être même plutôt clientéliste) de démocraties qui ont pris de la puissance trop vite et suite à des faits de guerre ? celui des “peuples élus” ? la dérive normale d’un pays pollué par l’américanisme à force d’être soutenu par lui ? un cumul de tout ça ? rien de tout ça ?

J’aimerais beaucoup que vous puissiez donner des éléments de réponse, tant sur la possible évolution de la région autour d’Israël que sur les éventuels convergences de causes ou de système entre les dérives israëliennes et celles US.

Si vous ne le faites pas, je bouderai -au moins par principe, et puis ça fait longtemps que ça ne m’est pas arrivé- mais quoi qu’il en soit je vous remercie pour l’éclairage incomparable que vous apportez sur le monde.

Nous sommes un de ces jours où ma situation financière dramatique (la crise n’a rien à y voir même si elle n’enjolive pas les perspectives) m’encombre, j’aimerais participer à votre dedefensathon avec mieux que des mots…

Dichotomie des automatismes .(du nationalisme de la 5iéme colonne et celui des droits civils..)

Article lié : La dynamique de la crise et de l'Histoire déchaînée

Exocet

  26/10/2008

On oublie trop la différence entre un homme et le son de sa voix sur l’écran et la vie réelle*. http://fr.rian.ru/analysis/20081024/117934107.html Retouche du réel avec du réel* ( la social fabrique et son éthno centrisme inferno….) http://fr.rian.ru/analysis/20081022/117886921.html

A 100% d'accord avec notre cher PG

Article lié : La dynamique de la crise et de l'Histoire déchaînée

Jean-Paul Baquiast

  25/10/2008

Je partage à 100% les diagnostics de DDE sur le rôle actuel de la France, celui de Jouyet et, par dessus le tout, celui de Sarkozy. Dans le désert actuel, c’est décidément l’homme de la situation. Pourvu que cela dure.
Si vous me permettez de me citer voyez http://www.europesolidaire.eu/article.php?article_id=158&r_id=