Bertrand Arnould
27/05/2009
Si je comprend bien, ce qu’ambitionnent les Américains auprès des Chinois c’est une “special relationship”!! pas étonnant, qu’ils soient nuls en histoire, avec une aussi mauvaise mémoire, doublée d’une incapacité pathologique a se decentrer
Francis Lambert
27/05/2009
Résumé partiel et traduit rapidemment d’un article de  Richard J. Maybury :
http://fofoa.blogspot.com/2009/05/what-obama-does-not-know.html 
Le Chaostan est notre monde. 
Je vais essayer d’expliquer trois choses que le gouvernement et la presse d’opinion semblent ne pas comprendre.
Mais d’abord comment le président des USA peut-il ignorer quelque chose d’important ?
Un politicien gagnant est un expert pour gagner des élections. 
C’est ainsi qu’il a le job. Il doit être meilleur acteur que les autres. Parfois je rêve de changer la constitution. Tous les six mois si un Président n’est pas bon on demande à Hollywood d’en envoyer un autre. 
Expert d’élection le Président élu ne sait pas ce qu’il faut rechercher quand il constitue son cabinet. Rien que trois semaines après son élection il a engagé une deuxième équipe d’économistes. Pendant la campagne Obama lui même a dit qu’il était très faible en économie. 
Quand je vous aurai expliqué les trois choses suivantes vous en saurez plus qu’Obama et la presse.
La première c’est que l’économie n’est pas une machine.
A écouter les politiques et la presse on apprend que l’économie ralentit, qu’il faut redémarrer, faire un réglage etc.
Mais l’économie n’est pas une machine. C’est un éco système fait d’êtres vivants - les gens. 
L’économie n’est pas un cours de math réduit à des graphiques et des equations mais c’est l’étude de la vie, de la pensée et des émotions humaines. Et spécialement des émotions. Ce qui est développé plus loin.
L’économie n’est pas une branche du génie mécanique, c’est une branche de la biologie - car nous sommes des organismes biologiques.
L’économie est une écologie, l’écologie humaine, et c’est de loin l’écologie la plus complexe sur terre.
Pensez-y. Non seulement nos corps et nos cerveaux sont infiniment complexes mais aussi nos pensées et sentiments, nos interactions,  décisions, connaissances, expériences etc. Le tout est si complexe que personne ne le comprendra jamais. 
Pourtant, depuis longtemps, politiciens et buraucrates manipulent l’écologie humaine, ils jouent à Dieu.
Une grande pression politique veut augmenter la régulation financière. 
Il y a déjà des dizaines de milliers de lois que personne ne comprend, et tout cela a crashé. Ainsi toujours plus de lois serait la solution ? Si quelqu’un vous élit Dieu et vous donne le pouvoir de réguler la forêt tropicale, ou un récif corallien, que feriez-vous d’abord ? Comment règleriez vous ce récif coralien de manière à le calmer ? Si l’on donne aux économistes fédéraux le controle de la forêt amazonienne ... ils ne penseront jamais à la laisser simplement être elle-même. La première chose qu’ils feraient c’est une Réserve Fédérale Amazonienne, puis ils débattraient des formules pour augmenter ou diminuer le débit d’eau. Un siècle après l’amazone serait un désert de sable.
La chose la plus complexe jamais découverte est le cerveau humain, et l’économie - cette écologie humaine - est constituée de 6,8 milliards de ces cerveaux. 
Alors, est-ce qu’Obama comprend que l’économie est une écologie ?
Ecoutons juste sa terminologie. L’économie a des “problèmes structurels”. Elle est bloquée. Déséquilibrée. Poussive. Gelée. Bouchée.
Ce type se prend pour un plombier.
La deuxième chose qu’ils ne semblent pas comprendre c’est les modèles économiques.
Tous les ingénieurs utilisent la physique Newtonienne. Voitures, trains, avions, gratte-ciels (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gratte-ciel#cite_note-0) ... la physique Newtonienne s’est prouvée exacte des millions de fois. Aucun ingénieur ni architecte ne penserait une seconde utiliser autre chose.
Les étudiants en économie sont aussi conduit à penser qu’il n’y a qu’un modèle économique. Mais il y a cinq modèles principaux : Keyneysien, monétariste, socialiste, fasciste et Autrichien. Et il n’y a pas de consensus sur celui qui est correct. En attendant, chaque analyse financière, chaque recommendation d’investissement, commence avec ce choix d’un modèle économique. J’aimerais que toute l’industrie de la finance, y compris chaque article ou livre, dévoile à coté du nom de l’auteur, le modèle économique qu’il utilise.
Quand j’étais au collège, nous n’avons jamais su quel modèle nous était appris. Dans un cours un professeur était monétariste, un autre socialiste, un autre Keyneysian, et jamais ils ne le révélaient. Ainsi la plupart de nous ignorait même qu’il y eut plusieurs modèles. Ainsi nous sortons du collège en pleine confusion. 
J’utilise le modèle autrichien, celui qui est le plus proche des pères fondateurs de l’Amérique. C’est le seul qui regarde l’économie comme une écologie et pas une machine. 
Quant à Obama il ne connait pas ou est à peine conscient des différents modèles, et il ne sait pas en quoi ils diffèrent.
Le résultat pour la Maison Blanche c’est la confusion. 
La troisième chose qu’ils ne semblent pas comprendre c’est la vélocité et la demande monétaire.
Jim powell a signalé que les millions de gens qui travaillent encore ont reçus une énorme hausse de revenus parce que les prix des maisons, voitures, réfrigérateurs et autres marchandises ont énormément baissés. Leur pouvoir d’achat a augmenté d’autant. Et c’est la meilleure augmentation de revenus car il n’y a pas à travailler plus et ce n’est même pas taxé. Quel énorme cadeau. Pourquoi les gens ne dansent-ils pas dans les rues ?
Parce qu’ils ont peur de l’avenir et donc peur de dépenser. Et cela nous amène à ce que les économistes appellent la vélocité monétaire. Je pense que cette vélocité est devenue le moteur principal de la crise mondiale, voici donc une explication rapide. 
La monnaie répond à la loi de l’offre et de la demande comme tout le reste.
Si les gens ne veulent plus de la Livre Sterling - sa valeur chute. Il faudra plus de Livres Sterling pour les marchandises et services, les prix monteront même s’il n’y a pas de changement dans la quantité de Livres. 
La vélocité par ailleurs c’est la vitesse à laquelle l’argent change de main. Quand la demande d’argent monte, l’échange de monnaie ralentit, c’est à dire  la vélocité baisse. Quand la demande d’argent baisse, la vélocité monte. 
Le point important c’est que la vélocité et l’augmentation de la masse monétaire ont le même effet. Une augmentation de vélocité de 10% a le même résultat qu’une augmentation de 10% de la quantité d’argent (la masse monétaire).
Le point problématique c’est que la vélocité comme la demande d’argent peuvent se retourner en un instant. Si les gens ont confiance dans la monnaie et qu’ils percoivent une menace soudaine pour leur avenir ... la demande d’argent s’envole.
C’est exactement ce qui est arrivé l’année passée. La quantité de dollars n’a certainement pas baissé, mais quand le prix des maisons s’est effondré, les gens ont eu si peur qu’ils ont conservé leurs dollars. En quelques jours la demande d’argent a explosé, les gens ne dépensaient plus et gardaient leurs dollars, ce qui a eu l’effet immédiat d’une déflation, une baisse de la masse monétaire.
Si vous ne dépensez pas votre argent c’est comme si vous le retiriez de l’économie. C’est l’équivalent d’une déflation brutale de 10%, voire 20% ou plus.
C’est aussi ce qui est arrivé lors de la Grande Dépression. La FED était inflatoire. En 1932 la quantité d’argent était de $20 billions, en 1940 de $38 billions. Mais la peur était si grande que la vélocité chutait plus vite que l’accroissement de la masse monétaire. Et c’est pourquoi Franklin Roosevelt a déclaré à son discours inaugural “La seule chose que nous avons à craindre c’est la peur elle-même”. Les gens avaient peur de dépenser leur argent, comme aujourd’hui la vélocité baissait ce qui a le même effet qu’une déflation car si vous ne dépensez pas votre argent c’est comme s’il n’avait pas cours. 
Le point principal est que tout cela est provoqué par les émotions. La peur.
Vous comprenez maintenant pourquoi il est si important de ne pas comprendre l’économie comme une machine mais une écologie. Les machines n’ont pas de sentiment de peur, de joie ni d’optimisme.
Et alors comment les politiciens et les buraucrates qui jouent à Dieu vont ils un jour “régler” nos émotions ?
Ok. Résumons donc ces trois choses que les politiciens comme la presse comprennent peu ou prou :
1. l’économie n’est pas une machine, c’est une écologie faite d’organismes biologiques incroyablement complexes, c’est à dire des gens. 
2. Modèle économique. Il n’y a pas qu’un seul modèle économique alors qu’il n’y a qu’une seule physique Newtonienne. Obama ne réalise probablement pas que ses conseillers lui donnent des avis contradictoires car basés sur différents modèles économiques.
3. Vélocité : la vitesse à laquelle l’argent s’échange dépend des émotions. 
Il vous reste à lire vous même sur le site ce que l’auteur vous recommande pour vos millions.
Exocet
27/05/2009
Etrange  cocotte minute générique  à rebours  que cet  imbroglio globalisant  du  JSF ( ou la Saga d’une arnaque virtuellement  géniale   des relationships  débridées) .La légéreté pathologique   des contributeurs irradiés  de par leur  conformisme ambiant  étant quasi  autant  coupable que comptable ,  des vibrations dépréssives qui   se diffusent  sans obstacles apparents depuis le pont d’envol de leurs narrations libératrices ... With  JSF this   injunction  of  trickeries  , concepteurs et contributeurs  irradiés     dans le  saint des saints  de la duperie  bureaucratique,la machine remonte le temps ,comme l’inceste  remonte  le cours d’eau  jusqu’à en  érienter la création. Les légitimités  copulantes se mettent en plus à désobéir aux coups de pub sur le mode du fantastique .. That’s inmates  grub’s up !
http://www.theatrum-belli.com/archive/2008/07/03/histoire-d-avions-entre-les-2-rives-de-l-atlantique-f-35.html#more
Dedef
27/05/2009
Sur ce sujet un tres interessant article de Der Spiegel.
“SPIEGEL INTERVIEW WITH MOHAMED ELBARADEI”   05/18/2009
http://www.spiegel.de/international/world/0,1518,625600,00.html
A noter qu’ElBaradei dit trés clairement que l’Iran a fait 2 fois des propositions d’arrét à un niveau excluant la fabrication de bombes, et que les US les ont rejetées. L’objectif US n’a jamais été de trouver un accord. Rien de bien nouveau, mais jamais dit clairement dans un journal MSM.
Le journaliste de Der Spiegel essaye de faire dire à ElBaradei “ce qui va bien” pour Israel et autres Neo-cons, ElBaradei finit par s’énerver et on a droit à ceci:
(extraits partiels)
“ElBaradei: The world has ignored our warnings. Take the case of Iraq, for example. Even though we had no evidence of weapons of mass destruction, they were used as justification for the war—the most dangerous moment of my tenure. 
And the dialogue with Tehran was tied to preconditions that were unacceptable to the Iranians.
SPIEGEL: It was because of assessments like these that you were accused of being naïve, especially by the administration of former US President George W. Bush.
ElBaradei: That’s unfair. And we have consistently pressed the Iranians to respond to unanswered questions about their nuclear program. The world has the IAEA to thank for almost everything it knows about Iran’s nuclear progress.
SPIEGEL: Information coming from the exiled opposition led to the discovery of the uranium enrichment plant in Natanz.
ElBaradei: Unlike some nations, we do not have our own satellites for aerial photographs. Sometime they give us something because it suits their geopolitical goals, and sometimes they withhold things.
SPIEGEL: The Bush administration was so suspicious of you that US intelligence agencies tapped your phones.
ElBaradei: That didn’t bother me so much because I never had anything to hide. On the contrary, it gave me a shot in the arm because I knew that I was doing the right thing.
SPIEGEL: Would you have thought the Bush administration was capable of that sort of a wiretapping campaign?
ElBaradei: It didn’t really surprise me. 
What can you expect from an administration that—in a mixture of ignorance and arrogance—passed over countless diplomatic opportunities to conduct a dialogue with Tehran? 
The entire Middle East was turned into a complete mess. “
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“ElBaradei: It is true that the Iranians have given us false information in the past and have not declared facilities and materials that they were required to declare. This led to a trust deficit. However, it was the Americans’ mistake to insist on the suspension of all forms of uranium enrichment as a precondition for talks. This should have come at the end of negotiations. As a result, Washington stayed away from the negotiating table
SPIEGEL: and the Iranians continued to develop their technology and played for time by conducting half-hearted nuclear talks with the Europeans.
ElBaradei: The Americans thought they could threaten Iran with a big stick and force it to back down. But the arrogance of treating a country like Iran like a donkey led to a hardening of positions. But there were two times when we were close to a solution, brokered by countries I cannot identify.
SPIEGEL: You are referring to the secret plans of the Russians and the Swiss
ElBaradei: 
I can’t comment on that. 
Under one of these proposals, Iran would stop when it reached a scale of 31 uranium enrichment centrifuges. That’s enough for research purposes, but not nearly enough for bomb production. In any case, they already have the know-how. What worries me is when a country reaches an industrial capacity that could enable it to turn this knowledge into weapons production. 
The United States immediately rejected the proposal because it believed that Iran should not have a single centrifuge. 
Later, in 2005, when the Iranians were already much further along, there was a plan drawn up by a European country that called for limiting the number of centrifuges to 360.”
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“SPIEGEL: At what price do we have to negotiate?
ElBaradei: They want to be treated as equals, and they want security guarantees for their country. For them, complete control over nuclear technology is a means to achieve these goals. But I am not certain what that really says about their willingness to compromise.
SPIEGEL: The Israelis would not get involved with such vague hopes.”
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“ElBaradei: It would be completely insane to attack Iran. It would transform the region into one big fireball, and the Iranians would begin immediately with a project to build the bomb—and, in doing so, they could be sure to have the support of the entire Islamic world.”
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“US administration has referred to Israel as a nuclear power and is demanding that the Israelis declare their nuclear weapons. Is this the right approach?
ElBaradei: Yes. We have to stop applying different standards in the Middle East. It is this duplicity that is constantly criticized in the Arab world. The goal should be to turn the Middle East into a nuclear-weapons-free zone.
SPIEGEL: Do you seriously believe that Israel will give up its nuclear weapons?”
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“SPIEGEL: The Israelis accuse you of partisanship because you have sharply criticized the government in Jerusalem for the bombing attack on a Syrian military facility in September 2007.
ElBaradei: What the Israelis did was a violation of international law. If the Israelis and the Americans had information about an illegal nuclear facility, they should have notified us immediately. The fact is that I only learned about it long after the strike was completed. And when everything was over, we were supposed to head out and search for evidence in the rubble—a virtually impossible task.
SPIEGEL: But your inspectors did travel to Syria, and they did find suspicious evidence.
ElBaradei: Yes, traces of uranium. Where they came from is unclear. There are still questions. Syria is not giving us the transparency we require.”
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           NB: En clair, ElBaradei envisage que ces traces d’uranium ont été déposées par les avions israéliens…
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“ElBaradei: You cannot please anyone in this position, and perhaps one shouldn’t try in the first place. Many in the Arab world treated me as an agent of the West; and, in the West, I was considered overly sympathetic toward Muslims. But I have no reason to complain. This work is important, and I have actually achieved quite a bit.”
Francis Lambert
27/05/2009
Crapaud Rouge
26/05/2009
“(...) problème que linformation pose aux armées démocratiques et vertueuses qui sont les nôtres” : et pour cause ! Sans asymétrie de l’information, aucune domination n’est possible. Le principe consiste à empêcher autant que possible la diffusion d’informations gênantes, celles qui sont susceptibles d’induire des coûts, (pollutions, maladies du travail,...), et favoriser aux maximum la diffusion d’informations “gratifiantes”, celles qui permettent de justifier tout ce qu’on veut justifier.
Exocet
26/05/2009
It’s not a political fault lubrified by stimulation of the machine gun , that’s wrong or right about the the laundering of money funds?...That’s an énigmatic investigation manufactured by prosécutions as tests tubes babies turning back in a fuckin’ jungle fiction..
Do you feel nervous,obviously?
Everything makes sens in the reverse.
Dedef
26/05/2009
Je viens de lire l’Interview ( référencé ci-dessous ) avec Laure Delcour, directrice de recherches à l’Institut des relations internationales et stratégiques (Paris), à l’occasion du sommet Russie-UE de Khabarovsk les 21-22 mai. 
C’est en effet assez gratiné. dans le genre ““le monde est comme je dis qu’il est, point final” .
Pour appliquer la règle ” ce qui est à moi est à moi, ce qui est à toi est négociable” il faut être vraiment le plus fort. 
En attendant les Russes et les Chinois ont lancé la construction du gazoduc vers lEst.
Madame  Laure Delcour et nous mème pourrions bien pleurer de froid dans quelques années, et prier trés poliment les Russes de se rapprocher de nous, sans que nous y mettions  de conditions particulières.
René M
26/05/2009
Je commence par vous citer :
Dans  Mission accomplie: bordel à lEst :
“Ces pays agissent toujours de la même façon, avec les pressions et le soutien des divers réseaux hérités du désordre de lépoque Bush”
Et à la fin du même :
“On vous disait donc que lEurope institutionnelle vit avec GW Bush toujours à la présidence. Désordre pour désordre, cela lui allait comme un gant.” 
Dans  Ralph Peters, ou la solution finale du problème de linformation :
“et lon sait quaujourdhui, Cheney est considéré comme lun des penseurs les plus avisés à Washington. “
Dans  le retour de Chesney :
“Quelle explication donner de cette faute dObama? Sans aucun doute, il sagit dune façon générale de sa répudiation de tout ce qui pourrait ressembler à un acte de rupture du type  American Gorbatchev, ce qui implique par conséquent son acceptation des règles et normes du système “
Dans ces citations extraites de 3 de vos récents billets Je vois surtout que : tant que  le Grand Mensonge 9/11 d’intoxication de l’opinion, de mise en condition de l’Amérique ainsi que du camp occidental en général sera debout alors les forces qui ont produit cette grande Intox seront toujours plus ou moins INFLUENTES et agissantes .
C’est pour ne pas avoir lancé quelque chose contre cette imposture ( par exemple : Enfin une véritable enquête ) qu’Obama se retrouve aujourd’hui dans cette posture et que Chesney semble ou “est” encore puissant .
Faites tomber ” Le Mensonge ” et c’en est fini aussitôt de ces sinistres clowns se faisant passer pour des patriotes alors qu’ils sont des fossoyeurs de la Démocratie.
Par conséquent toute attitude médiatico- journalistique, de silence conformiste ou pire de dénigrement des chercheurs anti-version officielle ou des demandes des familles de victimes, toute ” ambiguité complaisante” par une attitude non claire sur cette grave question ”  en vérité la question du siècle”  est assimilable à un “Silence Coupable” c’est à dire une “COMPLICITÉ” une aide à la continuation de l’influence des réseaux de l’époque Bush, des désordres qui en découlent et de tout ce qui va avec, et du fait que les pensées et idées de Chesney se balladent encore dans Washington
Je rejoins donc aussi D.L-W dans son commentaire de votre article “Ralph Peter ou la solution finale” ...
Quand à Obama
La question de plus en plus d’actualité se pose  : Marionnette propulsé d’un clan ET/OU  dans et pro-Système ? Ou homme possible du Destin souhaitant changer les choses mais confronté aux difficultés et ne parvenant pas  vraiment à  “rompre” ?.
Ilker de Paris
25/05/2009
Un article intéressant du “monde diplomatique” sur la “Faillite de la science du management”
Francis Lambert
25/05/2009
Meanwhile, the International Herald Tribune says that Latvia is being crushed under a huge government deficit. Formerly middle-class citizens are out of food, says the paper. Further down on the socio-economic ladder are scenes of Dickensian misery.
What provoked this horror, according the IHT, is a current budget deficit equal to 12% of GDP.
Wait! The US budget deficit is 13% of GDP. Sooner or later, that deficit will crush Americans too
Enjoy your Memorial Day,
Bill Bonner
http://dailyreckoning.com/the-dollar-dike-gives-way/
Ilker de Paris
25/05/2009
Une très intéressante et malheureusement rare émission de radio sur un thème d’une actualité pourtant brulante : les “nouveaux bien-pensants” (ou comment le Mal peut venir de la non-pensée) avec Philippe Sollers interviewé par Alain Finkielkraut : http://www.philippesollers.fr/media/son/sollers_bien_pensants.mp3
Ilker de Paris
25/05/2009
Si les “Peters” se plaignent des journalistes, pourtant fort accommodants avec la politique extrémiste de l’administration Bush (c’est vrai que vers la fin, les néocons précipitant dangereusement les Etats-unis vers une espèce de suicide, il y a eu un réflexe de survie et par conséquent un rejet de Bush et de ce qu’il représente), on se demande quels types de médias les néocons veulent ? Serviles ou contrôlés par l’Etat au point de rapporter mot pour mot ce que pense Peters peut-être ?
Ils (les néocons) devraient alors faire une guerre contre eux-mêmes au nom de la défense de la liberté et des droits de l’homme, la boucle de la folie serait ainsi bouclée. Non, vraiment, les médias “libres” occidentaux sont (ont été ?) très accommodants avec Bush et les néo-conservateurs, au risque même de perdre tout leur crédit.
Dominique Larchey-Wendling
25/05/2009
c’est de constater que des gens qu’en définitive vous traitez de nazis (“la solution finale”), vous ne les croyez pas capable d’avoir orchestré 9/11 ... enfin il me semble que c’est votre point de vue jusqu’à nouvel ordre ;-)
Ne comprenez-vous pas que la légitimité politique de Cheney (ou plutôt la crainte qu’il inspire) est entièrement fondée sur le succès de l’opération d’intoxication appelée 11 septembre.
Francis Lambert
25/05/2009
The US dollar is not Russias basic reserve currency anymore.
The euro-based share of reserve assets of Russias Central Bank increased to the level of 47.5 percent as of January 1, 2009 and exceeded the investments in dollar assets, which made up 41.5 percent, The Vedomosti newspaper wrote.
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