Analyse, c'est un sujet développé plus en profondeur. Ce sont aussi des articles publiés par nous dans d'autres supports. Ce sont enfin des contributeurs extérieurs que nous accueillons sur notre site, y compris des contributeurs en anglais.
• Le 15 octobre 2011 a vu une journée mondiale de protestation des “indignés”, à partir du mouvement Occupy Wall Street, lui-même inspiré par le “printemps arabe” et les “indignés” européens. • Il y a donc eu processus de globalisation, mais la réalité montre que la chose est bien moins simple. • Nous développons une analyse qui nous conduit à trois grands enseignements de cette journée (15 octobre 2011).
Une tentative d'interprétation à la fois psychologique (psychologie malade, appelant l'intervention de la psychanalyse) et métaphysique de l'événement du 11 septembre 2001. Nous vivons tous sous l'empire de cet événement et de ses conséquences, bien entendu dégagé des contingences politiques et autres. Il s'agit de proposer une interprétation métaphysique de la dynamique de la Chute, qui est la seule explication possible de notre temps.
Autre signe de l'indiscutable succès du mouvement Occupy Wall Street (OWS), l'apparition de diverses thèses et explications de complots pour expliquer la montée de ce mouvement et décrire des tentatives de manipulations. Pour apprécier ce phénomène, si courant à notre époque, l'aide de Blaise Pascal n'est pas inutile.
Autour de 9/11, récemment commémoré dans sa dixième années, s'affrontent partisans de la thèse officielle et partisans des thèses “complotistes”. Notre thèse, à nous, est qu'il faut se garder de trancher car la vertu antiSystème de 9/11 est que, si aucune version ne parvient à être érigée en vérité, le doute continue à envelopper et à caractériser l'événement, et ce même doute rejaillit sur le Système... C'est ce que nous nommons la vertu d'inconnaissance.
Le numéro du 10 septembre 2011 de dde.crisis a comme sujet “la dissolution du monde”. Le traitement de ce sujet concerne un mouvement puissant et systématique de fragmentation qui affecte la constitution formelle du monde, qui est en action depuis 2008-2009 et qui constitue la phase terminale de la crise du Système.
• A partir de l'emploi inconsidéré par les Français du terme “mondialisation”, alors qu'il faut dire “globalisation”, – une réflexion sur la question de la “globalisation” et les propositions de “déglobalisation” (plutôt que “démondialisation”). • Sur ces dernières, aucune chance parce que la globalisation c'est le Système, ou une partie du Système, et il est hors de question de modifier le Système, la situation se résumant à l'alternative entre sa dictature et son effondrement.
A côté de l'analyse ontologique qu'on peut faire du comportement du Pentagone (voir le 8 août 2011), il existe une situation immédiate et extrêmement pressante après l'accord sur la dette entre la Maison-Blanche et le Congrès. Cette situation engendre une panique considérable, par la force et la brutalité potentielles de son action sur le Pentagone.
Washington agité d'un bouillonnement infernal et plongé dans un chaos incontrôlable. Cela, à trois jours de la date-guillotine du 2 août (la dette), qui a surtout valeur de pression psychologique paroxystique. Quelques éléments d'illustration d'un climat qui n'a plus rien de la rationalité qu'affectionne le Système et qui serait peut-être secrètement teinté de la tentation d'une envolée révolutionnaire.
A partir de l'exemple de la “liquidation” de ben Laden et de DSK, notre numéro du 10 juin 2011 de dde.crisis développe une réflexion sur les desseins et le destin du Système. L'accent est mis sur son inéluctable finalité d'autodestruction suicidaire (sous l'action de sa tendance déstructurante irrésistible).
Le numéro daté du 10 mai 2011 de dde.crisis est cette fois consacré à un personnage. Celui que nous nommons, par référence à une citation de Joseph de Maistre, le “scélérat-Président” n’est bien entendu autre que le président français Nicolas Sarkozy, dit Sarko également.
Dans le numéro daté du 10 avril 2011 de dde.crisis, une chronique d'interprétation de la crise nucléaire de Fukushima dans le contexte de la crise terminale du Système.
Le numéro du 10 mars 2011 de dde.crisis consacre sa rubrique centrale (dedefensa) au phénomène d’enchaînement de crises, ou “chaîne crisique”, qui s’est manifesté dans le monde arabo-musulman depuis le 19 décembre 2010.
Au moment du cinquantenaire du discours d'Eisenhower sur le complexe militaro-industriel, nous analysons le développement de ce système, des points de vue ontologique et “spirituel”, dans le numéro du 10 février 2011 de notre Lettre d’Analyse dde.crisis.
Dans le numéro du 10 janvier 2011 de notre Lettre d’Analyse dde.crisis, le sujet que nous abordons est celui des “systèmes antiSystème”. Synthèse de notre analyse générale.
Comme nous procédons désormais de façon régulière, voici une note analytique du numéro du 10 décembre 2010 de dde.crisis, consacrée au concept de virtualisme. Particulièrement actuel avec l'affaire Cablegate
Nous faisons une note analytique du numéro du 10 novembre 2010 de dde.crisis, avec comme sujet central la crise psychologique terminale de l'Amérique à l'heure des élections mid-term.
Avec le numéro du 10 octobre 2010 de dde.crisis, dont nous faisons une note analytique, nous abordons la question de la “crise eschatologique” du monde (crise de l'environnement, etc.). Cette crise condamne sans appel le système de notre civilisation.
Synthèse de la rubrique de defensa de notre Lettre d'Analyse dde.crisis du 10 septembre 2010. Pour enchaîner sur “la crise de la raison humaine”, notre recherche sur la définition du mal, figurant au coeur du système qui nous emprisonne dans une “contre-civilisation”.
Synthèse du contenu de la rubrique dedefensa de notre Lettre d'Analyse dde.crisis 10 juillet 2010, dernier numéro de la première année de parution. La “crise de la raison humaine” est au coeur de notre crise de civilisation.
Synthèse du contenu de la rubrique dedefensa de notre Lettre d'Analyse dde.crisis du 10 juin 2010. Il s'agit de la crise du “pouvoir politique”, de sa quasi-disparition en tant qu'acteur majeur de la vie publique.