Laurent Demaret
01/08/2012
Dit la chanson.
Mais qu’en est il de Bandar ?
Le prince Bandar Bin Sultan http://fr.wikipedia.org/wiki/Bandar_ben_Sultan_ben_Abdelaziz_Al_Saoud n’est (n’était ?) pas n’importe qui !
Sa mort avait été annoncée, dans une brève, le dimanche 22 juillet, via le bandeau défilant de PressTV mais sur le site internet ce n’était plus que son député qui était mort. Ce sont les seuls à avoir rapporté cet attentat (en anglais, à destination des occidentaux).
Puis thierry Meyssan du réseau Voltaire, le 30 juillet, qui désignait l’attentat comme une réponse de la Syrie à l’ Arabie Saoudite suite à celui de Damas du 16 juillet, et le prince comme étant mort.
Mais ces sources ne sont pas MainStream, le moins qu’on en puisse dire. Radio France, par exemple, annonçait le 23 qu’il était nommé à la tête des services de renseignements du royaume ! C’était encore tout ce qu’il y avait savoir le weekend du 28-29.
Or aujourd’hui 1er Août c’est Debbka Files qui s’y met, et pour eux, bien sûr, l’ Iran est derrière.
On attend donc la réaction officielle des saoudiens
http://edition.presstv.ir/detail/252166.html
http://www.voltairenet.org/Riyad-ne-confirme-ni-n-infirme-la
http://www.debka.com/article/22225/Saudi-silence-on-intelligence-chief-Bandars-fate-denotes-panic
jean-jacques hector
31/07/2012
Pourquoi la destruction de l’avion turc est-elle un acte stratégique génial, même si involontairement génial ?
Parce quil il s’agit, pour la première fois, de l’intrusion du réel dans la narrative imaginaire du bloc BAO, et concernant directement celui-ci, un avion otanesque.
“Le réel, c’est quand on se cogne.” disait Lacan.
Voilà, c’est fait, le tournant est là.
Pascal B.
31/07/2012
La vieille ville d’Alep, classée au patrimoine mondial, menacée Portfolio
Alors que la bataille opposant les rebelles syriens aux forces gouvernementales fait rage, l’Unesco tente d’inciter à la protection du site.
michel BESCOND
31/07/2012
Merci pour cette brillante analyse, que ne démentirait certes pas celui qui, il y a cinquante ans, formulait la même idée: “l’ impérialisme américain est un tigre en papier”.
pierre vaudan
31/07/2012
LOCCIDENT, SEUL DANS SA BULLE
31/07/2012
Je dois avouer que je reste quand à moi fasciné par lampleur de la désinformation propagée par le Bloc occidental dans les crises syrienne ou iranienne. Et plus généralement par la persistance de cet étonnant besoin quil a de toujours vouloir recouvrir du vernis de la vertu ses manigances les plus évidentes, voire même sa barbarie la plus outrancière. Cest un phénomène fascinant par ce quil signifie de rupture totale avec ce réel que partage le reste du monde.
De lAmérique latine à lAsie en passant par lAfrique et les Indes, un rejet quasi unanime de lenfumage atlantiste témoigne désormais dun changement de paradigme à la portée vertigineuse : les mensonges de lOccident ne trompent désormais plus que les Occidentaux eux-mêmes. Sa narrative droit-de-lhommiste a fait long feu.
Nous sommes les derniers, les seuls à y croire encore.
Quils sagissent de lIrak, de lAfghanistan, de la Libye ou de la Syrie et peut-être bientôt de lIran, les casus belli bidons avancés par les Occidentaux pour justifier leurs juteuses ratonnades sont désormais partout identifiés comme tels.
Dans lattente dun funeste destin
Il faut prendre le temps de se pénétrer de cette idée pour bien mesurer les conséquences potentiellement dévastatrices quelle renferme : Personne, absolument plus personne in the rest of the world, ne croit plus à la rhétorique vertueuse de lOccident ni à la justesse de ses causes. Le magistère moral sur lequel le Bloc atlantiste prétend fonder son action nexiste tout simplement plus que dans la tête des Occidentaux. Cela peut paraître banal de le dire, mais à bien y penser, cest tout à fait extraordinaire et, pour tout dire, révolutionnaire.
Cela signifie quaujourdhui sur la scène internationale, chacun se contente découter les ténors du Bloc occidental plus ou moins poliment, par simple respect pour leur fabuleuse puissance mortifère, mais comme on écoute poliment un roi fou, c’est-à-dire tout en complotant éventuellement pour le déposer ou, plus sagement, en priant pour que saccomplisse le plus rapidement possible le funeste destin que la divine Providence leur a toujours réservé.
Et comment pourrait-il en être autrement ? Car partout dans le rest of the world, on a de la mémoire et le sens de lhistoire.
Le lourd passif de la vertu
En 1991, le Bloc occidental et quelques pays clients attaquaient lIrak après avoir piégé Saddam Hussein. Le dictateur a toutefois été laissé en place pour permettre le pillage «légalisé» des ressources du pays. Durant lembargo qui suivit, un million dirakiens furent tués par les bombes de papiers de lONU, pour moitié des enfants, un prix «qui en valait la peine» selon le bon mot de la secrétaire dEtat US de lépoque, Madeleine Albright.
Et, en effet, au-delà des bénéfices stratégiques que représentait la prise de contrôle de ce territoire à lombre des ruines encore fumantes de lex-URSS, lopération aura été la plus lucrative de cette fin de siècle pour les marchands darmes (notamment grâce aux ventes réalisées dans les pays du Golfe) et de pétrole occidentaux. Durant dix ans, les tankers américains notamment ont en effet accosté en Irak, faisant le plein gratuitement après avoir débranché le compteur des raffineries.
Puis ce fut lattaque et linvasion de lAfghanistan, avec le prétexte foireux dune riposte aux attentats du 11 Septembre. Le bénéfice attendu était là encore liés aux ressources, et à la nécessité de reprendre le terrain abandonné par les soviétiques en Asie centrale. Dix ans de guerre, des dizaines de milliers de morts, peut-être des centaines, qui sait, et un pays dévasté, avec limminence dun retour au pouvoir des talibans.
Puis ce fut la fable des armes de destruction massive irakiennes pour justifier la monstrueuse estocade portée contre ce pays, avec un million de morts supplémentaires.
Puis ce fut la Libye et ses dizaines de milliers de morts avec pour résultat la dévastation, la ruine, les guerres de clan. Mais aussi des contrats de reconstructions mirobolants bien sûr, et un nouveau pouvoir totalement soumis, endetté pour mille ans, si tant est que le pays évite la somalisation.
Victoire !
Illich à la rescousse
En son temps Yvan Illich a développé un concept qui pourrait servir de base de réflexion pour expliquer cette fantastique inversion des valeurs portées à lorigine par les lumières de lOccident.
Il sagit du concept de contre-productivité qui veut que lorsqu’elles atteignent un seuil critique en situation de monopole, les grandes institutions de nos sociétés modernes industrielles produisent une situation où, pour le plus grand nombre, tout bascule vers son contraire : le système de santé produit des malades ; celui de l’éducation des ignorants ; celui de la communication davantage d’isolement; celui de la sécurité toujours plus dinsécurité; etc
(Un concept que la situation socio-économique de plus en plus désastreuse que vivent les peuples occidentaux tend dailleurs à valider).
LOccident a peut-être atteint ce seuil critique justement, dans cette situation de monopole, dhyper-puissance où il se trouve. Et dès lors sa lumière passée ne peut plus aujourdhui que produire des ténèbres.
Si tel est le cas, cet étonnant besoin de recouvrir du vernis de la vertu les manigances les plus évidentes, la barbarie la plus outrancière devient plus que compréhensible : elle devient vitale.
Car sinon comment vivre avec tout ce sang sur les mains, comment faire ripaille au milieu de toute cette douleur, comment prospérer à lombre de toutes ces ruines.
Il vaut en effet mieux que lOccident continue à secourir et à aider les Syriens, les Iraniens, lAfrique, le monde.
Seul, dans sa bulle.
Au moins jusquà ce que la divine Providence se manifeste.
pierre
31/07/2012
En vous lisant, cher Philippe, j’ai ressenti une vague de plaisir monter en mois jusqu’au rire, irrépressible, à mon bureau (gêne rétrospective).
je suis heureux pour vous, pour nous, pour la chose.
Espoir.
bien à vous,
à vous tous,
à nous
jean-jacques hector
31/07/2012
Ce que je vois, personnellement c’est la trouille de l’OTAN de se coltiner avec la défense anti-aérienne installée en Syrie par les russes, le coup de semonce stratégiquement génial contre l’intrusion de l’avion turc de l’OTAN a fait réfléchir.
Et ça me paraît très simple. Dés lors que l’OTAN ne maîtrise pas le ciel, c’est à dire hors des artéfacts technologiques, sa puissance militaire est nulle.
Je pense que beaucoup de pays menacés de prés ou de loin par l’empire l’auront compris et que le tournant est là.
Quant au narratif des médias-pravda occidentaux sur la Syrie et à son décalage avec le lectorat , il n’y a qu’à lire les commentaires des internautes, sur le figaro ou libération, c’est éloquent.
A mon avis ces journaux devraient changer de ligne éditoriale rapidement sinon les lecteurs changeront de journal…
Pascal B.
31/07/2012
Ne pouvant se permettre d’aller en guerre à visage découvert pour des raisons d’impopularité grandissime, les puissances BAO orchestrent des dispositifs de substitution qu’elles parent des vertus droitdel’hommistes d’un peuple d’un peuple insurgé, réclamant à cor et à cri son émancipation, sa libération du joug de la tyrannie exercée par la dictature qui l’asservit. Mais derrière cette mise en scène, comme cela ne cesse d’être répété sur ce site, tt est faux puisque relevant de la narrative.
Que pèseraient les pauvres Syriens insurgés avec pour principale arme leur bravoure et leur haine du régime face à une armée d’un Etat comme la Syrie s’ils n’étaient totalement portés à bout de bras financièrement et militairement par d’autres acteurs qui envoient les millions de dollars, les mercenaires et les armes, sans parler de l’encadrement et du commandement opérationnel direct sur le terrain ?
Des combattants bien plus chevronnés et aguéris qu’eux savent qq chose de la difficulté que cela représente de mener une lutte armée pour faire triompher une cause politique aussi noble soit-elle !
Lotfi Meskini
31/07/2012
Bien que le régime syrien est étiqueté antisystème, néanmoins, son action anti système a été toujours stérile, voir dans certains cas fleureter avec le système, cest un antisystème qui arrange le système, il a des lignes rouges qui ne les dépasse pas, en effet, et par exemple, les frontières avec le Golan occupé par israel sont les frontières les plus sures depuis 73, plus sures même que les frontières égyptiennes ou jordaniennes, sans parler de la participation à la première guerre du golfe, par lenvoi de troupes combattre à coté des américains, ou bien les efforts employés pour sécuriser la frontière irakienne lors de loccupation américaine de ce pays, même la relation avec le Hezbolah, elle a été toujours en synergie avec les saoudiens dans le but de contenir ce mouvement, les relations avec les saouds ne se sont dégradés que dernièrement.
Une chute du régime syrien ou la pérennisation du conflit comme semble le suggérer les événements, est nuisible au système pour la simple raison cest que sa faiblesse va être mise à nue à cause de son incapacité dintervenir directement, et que des forces régionales vont prendre le relais, en effet on apprend aujourdhui que lIran a mis en garde les turques contre une intervention en syrie, ces derniers (les turques) craignent que les Kurdes utilisent ce pays comme base arrière. donc on revient au cours « naturel » de lhistoire à savoir le duel turko-perse dans cette région et ceci est un des symptômes de la baisse dinfluence de loccident..
Plusieurs partisans antisystème, considèrent que la rébellion syrienne est montée par loccident, en se basant sur de vrais informations concernant le financement, lappui médiatique et politique dopposants syriens… Voir même lenvoi de mercenaires, en réalité loccident ne contrôle que la parti émergeante de liceberg, le gros de la rébellion est hors de contrôle et est antisystème par définition.
Doù la crise syrienne bien quelle devrait être, raisonnablement une crise dimportance moyenne, comme il a été mentionné dans cet article, mais par lenchevêtrement des intervenants et des événements, qui fuient à tout contrôle et prévision , fait que cette crise risque de constituer une pierre angulaire dans la chute du système, tant espérée..
Christian
31/07/2012
URSS 1985-1991; USA 2007-2012
Petite méditation à partir du texte « Aux USA, attente et besoin dun événement extraordinaire » (haines, prévision de mesures coercitives etc ), et de souvenirs denfance à digérer
- 1985 : la direction du parti communiste réalise, sur la base des rapports des services secrets et autres, quil faut faire des réformes sinon lURSS continuera son lent effondrement (économique, alimentaire, stratégique, forte activité des dissidents, mouvement Solidnarnosk) ; elle nomme un jeune secrétaire, Gorbatchev, lequel lance aussitôt un programme de réforme osé : réforme économique (perestroïka) et liberté de parole (glasnost)
- 2009 : lestablishment américaniste, sur la base denquêtes statistiques de satisfaction du consomateur-électeur, sent quil faut proposer une figure du changement (mécontentement populaire suite à la crise des subprime de 2007, aux saisies immobilières, au sauvetage par lEtat des grands banques après le crash de Wall Street en 2008) et fait élire un jeune président démocrate et dynamique, Barack Obama, lequel se dépêche aussitôt
de poursuivre le programme de sauvetage en faveur des grandes banques aux dépens des finances publiques (américaines et européennes), ainsi les politiques extérieures en faveur des divers intérêts privés de toujours
- 1986, catastrophe de la centrale nucléaire de Tchernobyl, mobilisation de lesprit de corps et de sacrifice (pas toujours volontaire, mais effort collectif pour un but commun - éviter le pire de lexplosion et de la fusion, confiner le efficacement le cur en fusion dans un sarcophage - il y eut, et il faut encore les en remercier !!)
- 1989, trois ans après larrivée de Gorbatchev au poste de secrétaire général, des milliers de gens franchissent le rideau de fer, pacifiquement, sans que larmée (pourtant dotée de tous les moyens nécessaires pour ce faire) ne sy oppose, retrouvant ainsi une liberté de mouvement extérieure
- 2012, trois ans après larrivée dObama à la présidence des USA, la colère et la tension (« haineuse ») sont à leur comble. Puisque les gens sont encore trop libres (« liberté de mouvement extérieur, absence de liberté dans la tête », disait Soljenitsyne pour caractériser les personnes aux USA, là où les personnes en URSS souffrait du contraire « absence de liberté de mouvement extérieur, liberté dans les têtes »), lestablishment (qui se hait lui-même) prépare des mesures de coercition de cette liberté extérieure
Bah, on verra bien la suite
Constatons juste, pour linstant, des dynamiques différentes entre ces deux entités du Moderne (ces deux entités qui se constituèrent avec toutes les caractéristiques du Moderne : nihilisme, perte du mouvement humain, déchaînement aveugle de la puissance physique, technologique, financière - de la matière) que furent lURSS et les USA :
- La plus jeune (74 ans au moment de sa mort, de 1917 à 1991), arrivé au stade de la crise, eut la volonté et la lucidité de se réformer et, à défaut, sut seffondrer. (Ce qui suivit est une autre histoire, avec les interférences majeures des Chicago Boys, du NED, des services spéciaux de lOuest etc., etc.)
- La plus ancienne (237 ans pour linstant, de 1776 jusquà linstant présent), arrivé au stade de la Crise, neut aucune volonté de se réformer, et se trouva au contraire plus prisonnière que jamais de ses schémas modernistes (disons : de la dynamique de déstructuration, qui sest trouvée complètement libérée de tout freins). Cest effectivement la situation, inédite, de blocage « civilisationnel » (« contre-civilisationnel ») que décrit Tonybee (*), mené à son extrémité insoutenable
(Une extrémité insoutenable est ce que lon appelle une crise, une crise non pas au sens banal, mais au sens profond de ce terme : il faut choisir entre soit couler, soit se décider à vivre cest-à-dire à opérer un véritable changement (changement évidemment intérieur, qui concerne dabord les buts et les motivations les moyens extérieurs et pratiques suivront - « lintendance suivra »). Les individus connaissent cela.)
ZC
30/07/2012
Erdogan sait-il le matin, quand il se rase, ce qu’il a fait la veille?
N’étant pas versée en haute stratégie et me contentant de suivre l’actualité au fil du jour, je reste dubitative quant à ce nouveau rebondissement de la “marche turque” dont la musique couine de plus en plus.
Si l’on tente, toutefois, de chercher de la cohérence et, que l’on veuille bien prêter quelque lucidité à l’ homme qui semble très fatigué par l’usure du pouvoir, ne pourrait - on penser que cette demande de la Turquie d’adhérer à l’OCS s’apparente à l’entrée de la Grande Bretagne au sein de la défunte CEE devenue ce que nous savons.
Cette entrée de la Grande Bretagne que De Gaulle redoutait n’avait d’autre finalité que de pervertir les buts premiers de cette communauté pour en faire un espace de libre -échange , l’Angleterre y faisant son marché en ne prenant que ce qui l’intéresse, plaidant et obtenant l’ouverture la plus large et en contribuant à faire de cette Union une BABEL ou plus personne ne s’y retrouve.
N’est-ce pas le rôle que voudrait jouer la Turquie en adhérant à l’OCS?
Il m’est difficile de penser que le rôle que la Turquie joue sur le dossier syrien soit secondaire dans ses préoccupations eu égard à ce que je lis de son implication dans cette affaire.
jean-jacques hector
30/07/2012
Aucun mystère dans tout ça, dés lors qu’on regarde du point de vue de Babel.
La babelisation, déréliction du sens dans la psyché-système mondialisée est ici aussi à l’oeuvre.
Inconnaissance et babelisation, deux faces de la même médaille.
GEO
30/07/2012
“En faisant cette rapide analyse (psychologique) de McFaul, cest le sapiens-Système que nous décrivons, lhomme qui ne sappartient plus, qui a complètement cédé à la proximité du Mal (déchaînement de la Matière). Il ny a aucune raison de dénoncer dans son chef de noirs desseins cachées et des entreprises comploteuses dissimulées, dautant plus quil est amplement prouvé quil ne dissimule rien, quil ne cache rien, quil ne complote pas dune façon dissimulée puisque tout est, chez lui, à ciel ouvert.”
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C’est dans ce contexte que les interprétations complotistes scandalisent, moins par leur agressivité que par ce qu’elles semblent ringardes à ceux qui travaillent dans une telle transparence.
Christian Merlinki
30/07/2012
Croyez-vous réellement à ce que vous dites?
Dans l’affirmative, vous êtes, dès lors, d’une pitoyable crédulité. Redécouvrez vos cours d’histoire!
Dans la négative, vous appartenez totalement au Système et par conviction, déduction…
Jean-Paul Baquiast
28/07/2012
Il est surprenant de lire des articles (notamment dans Le Monde récemment) expliquant que la crise américaine s’éloigne grâce à l’exploitation de réserves présentées comme considérables de gaz et pétrole de schiste - lesquels, évidemment, accroitront le réchauffement - mais ceci, nul n’en parle.
Qu’en pensez vous? S’agira-t-il d’une vrais bouée de sauvetage - ou plus simplement d’articles destinés à “vendre” l’exploration et l’exploitation aux gouvernements européens, à Hollande en particulier?
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