marc gébelin
12/10/2012
Pardon mais vous ne savez pas LIRE.
Quel est le noyau du texte ? Le voile musulman ? Non, la citation de Baudelaire : « les nuages qui passent là-bas, les merveilleux nuages ». Quest-ce qui fait que les humains ne voient plus lesdits nuages ? Pour une large part, le téléphone portable et la technologie qui tourne autour de la communication.
Quest-ce cest qui fait que les humains sy accrochent comme la moule au rocher à cette pseudo communication ? Cest quils nont plus rien dautre, quil ne leur reste que la vacuité de lécran vide, de leur moi dévasté, la fausse Blanche neige.
Quest-ce qui fera que les humains ressortiront de cette maladie un jour ? Que dautres humains, ceux qui trouvent les nuages plus beaux que les écrans plats leur viennent en aide, et ce gentiment, car sinon ils senfonceraient plus encore.
Le reste : les escarpins du petit futé qui se veut à une “mode” que dautres ont inventée pour lui et qui est gêné lui-même dans l’exiguïté dun compartiment par ces chaussures démesurées, le petit malin qui na pas dautre choix que de jouer au « cadre dynamique », la mère câblée et énervée qui bouscule son môme, le crétin de banlieue qui fait hurler son téléphone dans le bus avec un regard provocateur idiot, etc
cest lenviron, ce sont les meubles du texte qui essayent de rendre la pièce vivante, les fleurs (parfois fânées) du jardin qui font quon est touché par le jardin, ce nest pas une thèse qui écrite là, une thèse sur les « petits bourgeois » (vous êtes vous senti visé par la veste cintrée ?) ou sur « les musulmanes » qui seraient meilleures que les autres. Ce nest pas de la sociologie à la Fassin ou de la philo à la Michel Serre qui veut nous faire pleurer avec sa « petite poucette », cest un flash de vie qui fait que, brusquement, le monde apparait dans toute son horreur sous une lumière crue alors quil nous est présenté comme un petit paradis de progrès et de joie.
Le doigt montrait la lune et vous avez concentré votre regard sur le doigt. Remettez-vous à la poésie, lisez Baudelaire.
Francis Lambert
12/10/2012
dans la durée.
René M
11/10/2012
Assistant récemment à une manifestation culturelle qui mêlait merveilleusement des textes et des parties musicales au piano, j’ai découvert, par la lecture qui fut faite de l’un de ses poèmes intitulé LE PROGRAMME EN QUELQUES SIÈCLES , le poète libertaire anarchiste, Armand Robin
Armand Robin, polyglotte, comprenant plus de 20 langues, homme de radio il s’était investi corps et âme, à l’écoute permanente de toutes les radios du monde y compris celles de la France et du cheminement de l’information via les médias.
Il a vécu dans la recherche de la vérité dans le monde des médias et de l’information reliée à la politique, notamment dans un livre intitulé “La Fausse Parole” dénonçant la propagande et la manipulation des masses via l’information déformée ou simplement orientée.
Ce poème m’a semblé étonnamment en résonance quelque part avec les textes de Philippe Grasset, en particulier dans l’avant dernière stance dont je reprends un partie comme titre de ce commentaire,
jugez en plutôt !
“LE PROGRAMME EN QUELQUES SIÈCLES”
On supprimera la Foi
Au nom de la Lumière,
Puis on supprimera la lumière.
On supprimera l’Âme
Au nom de la Raison,
Puis on supprimera la raison.
On supprimera la Charité
Au nom de la Justice
Puis on supprimera la justice.
On supprimera l’Amour
Au nom de la Fraternité,
Puis on supprimera la fraternité.
On supprimera l’Esprit de Vérité
Au nom de l’Esprit critique,
Puis on supprimera l’esprit critique.
On supprimera le Sens du Mot
Au nom du sens des mots,
Puis on supprimera le sens des mots
On supprimera le Sublime
Au nom de l’Art,
Puis on supprimera l’art.
On supprimera les Écrits
Au nom des Commentaires,
Puis on supprimera les commentaires.
On supprimera le Saint
Au nom du Génie,
Puis on supprimera le génie.
On supprimera le Prophète
Au nom du poète,
Puis on supprimera le poète.
On supprimera les Hommes du Feu
Au nom des Éclairés
Puis on supprimera les éclairés.
On supprimera l’Esprit,
Au nom de la Matière,
Puis on supprimera la matière.
AU NOM DE RIEN ON SUPPRIMERA L’HOMME ;
ON SUPPRIMERA LE NOM DE L’HOMME ;
IL N’Y AURA PLUS DE NOM ;
NOUS Y SOMMES.
Armand Robin Les Poèmes Indésirables
Laurent Demaret
11/10/2012
Du moins il me semble, que rien ne prouve que le voile ne puisse dissimuler, en plus du visage, les satanées oreillettes.
Car la musique profane est pourchassée par les milices de la “prohibition du vice” et la “promotion de la vertu” en Iran comme par celles du ” Comité pour la promotion de la vertu et la prévention du vice ” en Saoudie ..
D’où l’intérêt qu’il peut y avoir à cacher ses écouteurs parfois ..
Par contre pour qui a la foi l’image est pêché (http://fr.wikipedia.org/wiki/Iconoclasme)
« Tu ne te feras point dimage taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre.
Exode 20:4-6 2
Ce commandement semble effectivement avoir été quelque peu malmené, au moins depuis l’avénement de la publicité !
Ribinn
11/10/2012
L’article de AW&ST est intéressant en lui-même ainsi que dans les commentaires qui lui sont attachés : à une exception près, les commentaires vont dans le sens de l’article, à savoir “trouver une autre solution”.
La question qui se pose aussitôt est de savoir s’il s’agit bien d’une rupture dans l’opinion US ?
Ceci dit, ne pensez vous pas que les premières fissures dans le programme viendront de l’US Navy ? Le F35C semble être encore plus mal né que le A puisqu’il ne devrait même pas franchir le mur du son en poste combustion (plus de traînée que le déjà ventripotent F35A).
Comme les F18 E/F sont également poussifs en supériorité aérienne (mauvaise aérodynamique), pourquoi l’équipe Rafale n’envisageraient elle pas de proposer une version “NG - US Navy” produite sous licence aux US ?
Ce serait “l’arroseur arrosé” !
David Cayla
11/10/2012
Etonnant article qui parvient le tour de force, en partant d’une dénonciation de l’invasion des smartphones dans l’espace public, à se muer en une plaidoirie pour le voile.
La boîte à musique tenue près de leur sexe ? C’est là que votre regard se porte quand vous regardez des femmes ? Et vous vous étonnez qu’en faisant perpétuellement mine d’attendre impatiemment un message de la plus haute importance, elles vous invitent ainsi explicitement à ne surtout pas les déranger ?
Et quand vous voyez un homme conduire ses enfants à l’école, cela traduit forcément le fait que sa compagne les lui aurait abandonnés ? Il ne vous vient pas un instant à l’esprit qu’ils puissent procéder par roulement ? Que l’école se trouve sur le chemin du père pour aller au travail, mais pas celui de la mère ?
Et aussi, de qui parlez-vous au juste quand vous lâchez ces mots, veste cintrée, escarpins pointus, bourru (sans doute vouliez-vous dire renfrognées ?), se trémoussant sur leur siège TGV ? J’ai comme l’impression que vous parlez de ces hommes et de ces femmes, surtout des femmes, cadres de haut rang ou hauts fonctionnaires faisant la navette entre Paris et Londres ou Bruxelles.
Vous réussissez ainsi le tour de force d’assimiler une toute petite partie de la population - ces nomades modernes perpétuellement en mouvement ou en attente de leur prochain train ou de leur prochain avion - à l’ensemble des personnes qui vivent et travaillent dans notre société d’aujourd’hui. Quel rapport entre ces femmes cadres toujours pressées, apprêtées, mais agressives et distantes, et ces hommes qui viennent chercher leurs enfants en Mégane ou Picasso ?
Quel rapport encore entre ces hommes qui s’accaparent l’entièreté de l’espace public en parlant bien fort dans leur microphone à un interlocuteur distant dont ils reçoivent les réponses dans leur oreillette, et ces femmes qui privatisent les quelques centimètres carrés d’espace qu’elles occupent, bien plus efficacement qu’en étant occupées à lire un livre de poche ?
En quoi finalement le fait de dénier la possibilité de les aborder à des inconnus qu’elles ne reverront jamais - leurs chemins ne font que se croiser - et n’auront vraisemblablement aucune envie de revoir témoignerait-il d’un narcissisme paroxystique, suscitant le chagrin et la pitié... de la part de ces mêmes inconnus qu’on devinerait plutôt frustrés et blessés dans leur propre narcissisme , eux qui ne comprennent pas qu’on puisse refuser de s’ouvrir à eux, eux qui s’attachent alors à séduire les enfants pour culpabiliser leurs mères ?
C’était mieux avant ? Quand elles ne pouvaient pas vraiment faire autrement que d’accepter votre intromission dans leur intimité, affichant un sourire de circonstance, forcées qu’elles étaient de supporter votre compagnie, sachant par avance comment tournerait la discussion, répétition d’une autre discussion avec un autre homme qui lui aussi croyait déjà faire preuve d’originalité quand il ne faisait qu’enfoncer des lieux communs ? Et si elles ne veulent vraiment pas de votre présence alors qu’elles sont seules, qu’elles portent donc le voile ?
Michel DELARCHE
10/10/2012
ce qui se passe avec le JSF et bien d’autres projets pharaonico-technologiques me rappelle le désastre que furent les fameux abattoirs de La Villette qui devaient être les plus modernes d’Europe voire du Monde Civilisé. mais après quelques milliards (de francs de l’époque) dépensés, il fallut bien se rendre à l’évidence: parmi d’autres bijoux technologiques, le complexe système automatisé d’acheminement des carcasses était désespérément peu fiable et l’on a donc fini, après bien des péripéties, par transformer tout ça en musée des Sciences (Ô ironie de l’Histoire…)
Dans le même genre mégalo-technologique piteusement tombé dans les poubelles, on pourrait évoquer l’hilarante saga des ordinateurs japonais de “5ème génération” financés à fonds perdus par le MITI japonais, machines merveilleuses qui devaient nous apporter l’Intelligence Artificielle sur un plateau d’argent à l’horizon 1990, et dont plus personne ne se souvient aujourd’hui (parmi les dégâts collatéraux chez nous de cette bouffée d’activisme technocratique, il y eut le lancement du délirant “Centre Mondial de l’Informatique” par l’ineffable JJSS… tout ceci ne nous rajeunit pas).
Bref, comme le disait cyniquement un éminent représentant du complexe militaro-industriel, dans ce genre de projet, le plus difficile est toujours de dépenser le premier milliard, mais après, cela se fait tout seul…
GEO
10/10/2012
EADS-BAE: la trahison à l’horizon
5 octobre 2012
http://www.hajnalka-vincze.com/Publications/185
Pour y voir plus clair dans cette affaire dite « extrêmement complexe » que serait la fusion proposée entre EADS et BAE Systems, il faut avant tout rectifier au moins deux contrevérités omniprésentes dans lécrasante majorité des dépêches dagences, sans parler des commentaires divers et variés.
Première « erreur » : à en croire la présentation trompeuse
à laquelle on a droit dès les premiers ébruitements, le mariage des deux sociétés aéronautiques et de défense résulterait en un géant européen, capable de tenir tête à la
concurrence internationale, notamment celle des grandes firmes américaines. Faux. Lun des premiers soucis des mariés eux-mêmes serait justement de réfuter toute étiquette «européenne », et leurs noces signifieraient, en effet, une étape décisive dans le transfert sous le giron du Pentagone de lindustrie darmement européenne.
Deuxième « erreur » :
les exigences prétendument déraisonnables des gouvernements, en particulier celles de la France, risqueraient de torpiller une lumineuse idée qui, selon ses initiateurs, « makes perfect business sense ». Doublement faux. Primo : vouloir maintenir, voire maximiser
linfluence des Etats dans des compagnies éminemment stratégiques nest pas un luxe, encore moins un caprice, mais un devoir envers les contribuables-citoyens.
Secundo : aux yeux des instigateurs industriels du projet, il sagit avant tout dun dessein idéologique (à forte implication politico-stratégique), à tel point que pour le mener à bien ils sont parfois prêts à ignorer même leur sacro-sainte « logique des affaires ».
Si le projet aboutit, on assistera à une perpétuelle fuite en avant dans une dynamique du perdant-perdant. Avec, dun côté, des gouvernements qui auront accepté de voir dilués leurs derniers semblants dinfluence dans cette industrie essentielle de souveraineté et, de lautre, les financiers-industriels qui attendraient avec la patience candide des fidèles croyants qu’un jour le sésame du marché de défense US souvre à eux véritablement.
Pour y parvenir BAE-EADS naurait de cesse de faire pression sur les Européens pour accepter toujours plus de concessions (en termes de pratiques commerciales « loyales » vis-à-vis de lAmérique, aussi bien que dalignement politico-diplomatique), en jurant chaque fois que le dernier renoncement en date sera, enfin, celui qui fera disparaître tous les obstacles.
Outre les divers chantages et pressions, les Etats, eux, découvriraient chaque jour davantage ce que signifie dabdiquer des responsabilités régaliennes au profit dun secteur privé complètement américanisé, pour ce qui est du bilan commercial du pays, de son statut international, ou tout simplement de sa position de négociation, partie en fumée.
Inversement, un éventuel échec du « deal du siècle » ne ferait que ralentir la même évolution. A moins que lintense médiatisation de laffaire ne mène, par miracle, à un sursaut daction découlant de la prise de conscience des enjeux et de notre lamentable situation.
Notamment du constat que si lon a frôlé le suicide géopolitique, cest parce que, avec EADS telle quelle existe aujourdhui, on avait déjà fait le pas de trop au-dessus du
précipice.
Un papier actualisé sous le titre de “Léchec de la fusion BAE-EADS : que reste-t-il après
une trahison ? Lintention
” sera publié prochainement.
Michel DELARCHE
10/10/2012
la fusion a capoté pour une mesquine affaire d’emplois militaro-industriels en Allemagne (chassez le national par la porte, il revient par la fenêtre.
Ce n’est probablement que partie remise (car cette course aux méga-fusion n’est qu’une métaphore du rêve de La Fin de l’Histoire), et cela se fera dans une meilleure configuration pour EADS: d’ici à 5 ans, la dégringolade des marchés militaires anglo-ricains va permettre d’organiser l’absorption de BAE (si les Américains n’ont pas mis la patte dessus entre temps…) sur une base plus raisonnable: disons 20% max du total pour la perfide Albion…
jean pierre SIMON
10/10/2012
Jean-Paul Baquiast
09/10/2012
Le suicide de l’industrie aéropatiale européenne
Supposons sans prendre de grands risques que nul, dans les cabinets ministériels français concernés, ne lira cette chronique de Défensa http://www.dedefensa.org/article-notes_sur_une_fusion-entropisation_09_10_2012.html.
Dommage. L’auteur y cite des commentateurs américains bien informés qui s’étonnent de voir les gouvernements européens bénir la fusion envisagée entre EADS, qui se portait plutôt bien et la monstrueuse et corrompue BAE. On peut s’interroger en effet sur les motifs profonds qui poussent les Européens à s’engager ainsi dans cette voie suicidaire.
Le gouvernement français pour sa part restera donc silencieux face à un abandon menant à la disparition de l’industrie aérospatiale nationale. Que fait alors au gouvernement l’ancien PDG français de EADS Louis Gallois? Avalera-t-il son chapeau?
Quant aux gens de gauche (à part le seul Mélanchon, soupçonné de ce fait des pires compromissions), ils ne savent que tirer à vue sur Dassault, le seul et vaillant survivant d’une industrie jadis florissante.
Jean Paul Baquiast
Arrou Mia
08/10/2012
Nous sommes toujours dans la bande dessinée pour enfants (pas ceux d’aujourd’hui qui sont initiés aux jeux par manettes et guerre virtuelle électronique), ceux d’hier, de la génération de Netan Yahud qui croient qu’une bombe nucléaire c’est rond avec une mèche au bout qui grésille et frétille à l’allumage.
Cette génération a vu ses enfants jouer à la voiture téléguidée et s’en sont vite lassés.
De la voiture au petit avion téléguidé, c’est une affaire de G, non?
Fastoche comme technologie.
Sans rire, le système absorbe et recycle tout au profit de sa perpétuation, l’antisystème également. L’inventeur du logarithme est un savant musulman ouzbek né en 783 mort en 850 à Bagdad.
Depuis, les Iraniens avaient lu l’histoire de Tintin au Congo.
Le drone est une routine de logarithmes.
Jean-Paul Baquiast
08/10/2012
Sans être expert, je pense que l’étanchéité d’un barrage est un mythe. Il oblige dans le cas dIsraël à conjuguer en quelques minutes les identifications radar et électroniques, les prises de décisions politiques en réponse et finalement, les mesures défensives (en l’espèce une mise en oeuvre de la chasse).
Avant que tout ceci n’intervienne, comme le disent fort bien les articles cités, l’agent d’intrusion a le temps de recueillir et transmettre beaucoup d’informations stratégiques - surtout si comme il le semble dans l’exemple, celles-ci sont, curieusement, facilement accessibles.
Mais Israël pourrait-il survivre dans un bunker étanche?
Obar Desailes
08/10/2012
La foule, dont vous faites partie cette fois si l’on considère la qualité de vos sources, ne peut connaître les conditions de ce raid ni même s’il a jamais existé.
Faire des hypothèses, certes, à la condition d’en faire plus de deux et ne pas s’agiter comme une mouche prise entre la vitre et le rideau d’une fenêtre.
Les Israéliens ou les Etatsuniens peuvent par exemple et parmi une masse d’autres possibilités avoir lancé ce test avant leurs prochaines manoeuvres conjointes ou bien encore avoir laissé faire une opération extérieure en fournissant à l’intrus des informations préformatées.
En tout état de cause, pourquoi ébaucher des conclusions sur les capacités iraniennes alors que l’on ne sait fichtrement rien sur ce fait divers virtuel ?
Lotfi Meskini
07/10/2012
Selon un opposant saoudien crédible, Saad Al fakih, installé à Londres (pas darrières pensés), qui a des antennes auprès de la famille royale, il a confirmé, quand la rumeur de la mort de Bandar est apparue, que ce dernier nétait pas mort et quil soufre dune dépression profonde avec des dorsalgies presque invalidantes.
Quand à la prise en main par le roi Abdallah (surnommé le faucon d’Arabie), du renseignement il faut avoir présent à lesprit les points suivants :
Les capacités intellectuelles de ce roi sont médiocres : niveau dinstruction 3eme année primaire, il est incapable de lire correctement un discours rédigé, avec des fautes de prononciation élémentaires, incapacité de formuler une phrase compréhensible. Ses discours sont la risée de ses opposants. Pour les arabophones, ses discours, disponibles sur youtube, sont un régal.
Sa première occupation est, les soins corporels pour rester en forme (86 ans) avec des voyages fréquents au Maroc.
Actuellement et devant les luttes intestines entre les différentes factions de la famille royale, cest à son conseiller Ettouijri que le roi a légué les mannes du pouvoir, ce dernier bien entendu a ses contacts US. Certains même prévoient quen cas de révolte contre les Saouds ce dernier pourrait être présenté comme le sauveur. Mais avec les performances actuelles du système, tant étayés sur ce site, quen sera-t-il de ce plan, en cas de chute du régime… tant attendue ?
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