Michel Filippi
21/10/2012
J’ai été touché en vous llisant, intimement. Et cela m’a rappelé Stefan Zweig. Est-ce l’analyse qui fait prendre conscience d’un monde qui peut s’écrouler ou le fait de le vire cet écroulement dans son âme, dans son existence—ou de l’avoir vécu déjà une première fois—qui (nous) rend plus sensible aux écroulements à venir?
L’analyse est-elle suffisante pour faire de nous de bons observateurs crédibles ou faut-il en être déjà passé par là et plus d’une fois pour être cet observateur? Karl Kraus aussi est rappelé. Vous le rappelez me semble-t-il.
Je pense aussi que dans l’écroulement des mondes, à l’instant où nous le percevons, nous percevons aussi le ou les mondes en devenir que ces mondes portent en eux et sur la trajectoire desquels nous sommes déjà pris. Or si le monde s’écourle n’allons-nous pas être comme des morts-vivants physiquement pris dans le monde qui vient—ou dans l’écroulement—et, existentiellement pris dans un ou des mondes non-advenus. Et là je ne fais que reprendre Pasternak.
Voilà mon commentaire n’est pas politique mais philosophique.
Cordialement
Bleik
21/10/2012
Bonjour,
je pense qu’il serait instructif pour les visiteurs de defensa.org d’avoir un aperçu des charges que nécessite la maintenance de votre site (sans rentrer dans trop de détails évidemment).
Cela pourrait aussi avoir comme effet de “motiver” d’éventuels donateurs.
Cordialement,
olivier taurisson
20/10/2012
A lire pour partage d’informations l’article de COMMENT EXPLIQUER LE COMPORTEMENT SUICIDAIRE DU MONDE DE LA FINANCE ?, par Nadj Popi
20 octobre 2012 sur le blog de Paul Jorion
René M
20/10/2012
La lucidité est la blessure la plus rapprochée du soleil (René Char)
Il est vrai que le genre d’idées qui semble animer Philippe Grasset dans ce billet me traverse aussi l’esprit avec insistance depuis quelques années, et à vrai dire depuis mon enfance même où, témoin de la seconde guerre mondiale avec déjà son cortège de Déchaînements et de déstructuration, et en même temps imprégné de la première( G. mondiale) par les récits des tranchées fait par mon père et par mes oncles, ou leurs amis de tragédie, cette génération en effet ne pouvait faire autrement qu’exprimer sa stupeur de ces années dès que l’occasion s’en présentait, c’était LA chose de leur vie et les repas de famille leur en donnait des occasions…. !
Attention ! C’est du lourd là , dans cette chronique du 19 courant.
Si vous lisez :
“Ils vivent cette époque tragique, pour eux-mêmes parce quil le faut, également pour le reste, pour ceux qui les ont précédés et qui nont pas pu savoir, pour ceux qui les accompagnent comme des ombres et refusent de savoir ; ils vivent pour eux-mêmes et pour tous à la fois, individuellement et collectivement, le temps de la Fin des Temps. “
“Comme ceci que nous sommes tous touchés, frappés, secoués par cet ouragan immense de lHistoire qui hurle sa fureur sacrée, qui se déchaîne, qui mugit parce que lHistoire est entrée dans sa résolution finale, de sopposer, et de vaincre, dune façon ou lautre, la Matière déchaînée qui menace de nous emporter. “
“Nous allons donc voir des choses extraordinaires, si nous avons la présence desprit douvrir les yeux “
Alors le titre du récent film d’A. Raisnais me trotte en tête. “VOUS N’AVEZ ENCORE RIEN VU ! ”
Et en attendant puisque l’objet du billet c’est la situation des donations mensuelles à Dedefensa même si le rapprochement est jugé grotesque par l’auteur dans son post scriptum, je me fais le raisonnement suivant : Je viens de me désabonner de Médiapart après des mois de fidélité, suite à déception, Médiapart ne me semblant plus mériter ma participation .
Par ailleurs d’anciens billets de la chronique dite “du 19 courant ” ou d’autres textes nous ayant permis d’avoir une petite idée de l’importance numérique du lectorat de ce site (dedefensa), je vais donc verser les sommes qui allait avant à Médiapart à Dedefensa par exemple en versements trimestriels. Pour peu que d’autres agissent de même pour leurs propres raisons qui peuvent êtres diverses, ou d’une manière qui y ressemble. Les petits ruisseaux etc…
Ceci étant dit, je viens de lire Marc Gébelin qui m’a précédé en réagissant à ce billet de Ph. G, si je le suis dans les débuts de son commentaire ce n’est plus le cas dans le dernier tiers environ de son développement.
Léon Chibolet
20/10/2012
Selon Fabius, (celui qui souhaite la mort d’Assad), “il faut que les pilotes syriens volent plus haut” avouant ainsi, par pure forfanterie (c’est le genre) que la France envoie des armes antiaériennes aux miliciens qataris, saoudiens, Lybiens ...alors que lui-mêmel annonçait officiellement la fin de ces livraisons.
Je souhaite de tout coeur que vos analyses se révèlent juste et
qu’Erdogan et Cie engagent leur pays dans une route plus droite. Ce serait alors une petite lueur d’espoir liée à l’abandon progressif des pervers européens et U.S.
Je pense quant à moi que l’une des réponses des pseudos- musulmans de la péninsule arabique face à des changements aussi profonds de la Turquie, consiste à allumer les feux de la discorde au Liban. Ainsi en est-il des propos du petit Hariri en soutien de la France et ses alliés européens
Arrou Mia
20/10/2012
ces Turcs?
Ils répètent les erreurs d’hubris déjà commises par Saddam Houssein quand il est allé ferrailler avec la Révolution iranienne pour le compte de ceux qui l’ont soutenu.
Mais le système turc n’est pas monocéphale et a quelque chance de rectifier ses positions en faisant une pirouette et quart. Car vraiment les alliés de l’OTAN ne suivent pas, ni pour l’avion détruit, ni pour les bombinettes..
La chute des échanges commerciaux avec la Syrie plus le problème kurde aggravé par la rétorsion irakienne de Maliki, tout ça, c’est en effet trop
marc gébelin
20/10/2012
Il me semble aussi que les événements catastrophiques du monde sont intimement liés à la vie affective de plusieurs, que sans doute beaucoup de ceux qui lisent -comme ceux qui réagissent à ce qui sécrit-, vivent aussi leur « 11 septembre à eux». Cela explique lacuité grandissante de ce qui est communiqué ici sur Dedefensa, de ce qui est compris, de ce qui est senti de plus en plus par des milliers voire des centaines de milliers dentre nous. Un destin catastrophique des nations sans que ceux particuliers des hommes en soit affecté, serait impensable pour le Ciel, ce Ciel qui plonge au cur intime de chacun. La tragédie nest plus seulement sur la scène mais dans la salle et les spectateurs sentent déjà que non seulement la tragédie leur parle mais quelle leur demande de se lever de leurs sièges, non pour applaudir mais pour venir sur la scène se mêler aux acteurs, non plus attendre leur salut ou leur révérence et le leur rendre, mais venir prêter main forte à ceux qui se sont escrimés à vivre un personnage qui nétait pas le leur et qui bientôt, pour des raisons professionnelles, en changeront. Le nombre des professionnels va croitre et le nombre damateurs va diminuer. Il va se produire un grand chamboulement et personne ne pourra se mettre à labri ni au parterre, ni à lorchestre, ni au balcon et moins encore dans les loges. Les simples desprit qui jouent par exemple des « pièces » où un crucifix immergé dans de lurine sert dobjet scénique, dautres qui veulent marier tout le monde à tout le monde pour satisfaire au « concept dégalité », libéraliser « ladoption pour tous » et répandre dans le monde la procréation médicale assistée également pour tous, vont devoir se remettre au « classique », redorer le blason du concubinat, recueillir les enfants perdus déjà nés et vider les frigos de ftus pour laisser la place aux cadavres que les champs de bataille vont fournir. On sent partout que la « liberté dexpression » va faire des ravages là où on ne les croit plus possibles et produire chaque jour un peu plus des réactions que nos élites auront du mal à anticiper. Que ceux qui nont pas encore eu leur 11 septembre sy préparent.
Philippe Grasset
19/10/2012
A Dominique Muselet (et à nos lecteurs)
Vous avez parfaitement raison, il s’agit de l’Iran… Correction faite, avec nos excuses.
PhG
dominique Muselet
19/10/2012
Est-ce qu’il n’y a pas une faute de frappe dans la phrase suivante? est-ce que ça n’est pas plutôt “victoire psychologique pour le hezbollah et l’Iran” (au lieu d’Israel)? : Fishman observe justement que lincursion de Ayoub constitue de toutes les façons, quels que soient ses résultats opérationnels, une importante victoire psychologique pour le Hezbollah et Israël, à cause de son aspect de haute technologie du véhicule et des paramètres de la mission. L’opération met lIran et Hezbollah sur un même pied quIsraël à cet égard.
Olivier
19/10/2012
Merci Monsieur Grasset pour cette réflexion
Cela me rappelle une expérience que j´avais eu. Lors de mes études, j´ai travaillé comme chauffeur. Et la société, pour laquelle je travaillais, avait été contractée pour fournir un service d´une quinzaine de voitures avec chauffeurs lors de la visite de Madeleine Albright (alors chef de la diplomatie US) à Alain Juppé (alors maire de Bordeaux et ex-chef de la diplomatie française).
Je me souviens que toutes les voitures devaient être sur le tarmac de l´aéroport de Bordeaux, moteurs allumés, chauffeurs en position. Quand Air force one a atterri, les nombreux binômes de gardes-du-corps descendent les escaliers, se positionnent autour de l´avion, les militaires ont fait rentrer tout le monde dans les voitures en 2 secondes. Nous sommes partis sur l´autoroute en file indienne et à toute vitesse
les motards de la police bloquaient tout le monde qui voulait entrer sur l´autoroute
puis dans les rues de Bordeaux. Je me souviens de ces images (et bien plus encore) et de ma réflexion. Je me demandais si Hollywood copiait la réalité ou bien le contraire si la réalité devait copier Hollywood pour être crédible
.
P.S. : Le quatre étoiles que je ramenais au tarmac était plutôt joyeux après avoir bu plusieurs verres
Alain Vité
18/10/2012
Vous m’avez convaincu d’aller voir le film.
M’envoyer dans une salle de cinéma pour voir un héros de chez DC Comics, c’est quelque chose : ils sont trop sérieux. Quand je lis Superman ou Batman, je me retiens de péter tellement ils ont les rides du front serrées (c’est un phénomène curieux tout de même, que LEURS rides du front ME serrent les fesses. Ils ont vraiment de sacrés pouvoirs) Au cinéma, en plus, ils m’ont toujours fait bailler.
Je n’aime que les héros Marvel (et puis aussi Astérix, mais c’est parce que c’est lui le plus fort) Quand j’étais petit, je lisais Strange, et que ce soit avec Spiderman, Hulk ou n’importe qui d’autre, je pouvais faire ce que je voulais, ils étaient sympas.
Alors apparemment, vous aussi, Dedefensa, vous avez des pouvoirs. Il est comment, votre supercostume ?
Corinne FALCONE D'ASTI
18/10/2012
F-35: Newest Fighter Much More Than Just ‘Stealthy Plane’
October 17, 2012
The U.S. Air Force issued the following stories:
The engines roared overhead as an F-35A fell into formation. Although this is a basic maneuver for the test pilots, the possibilities for combat environments created by these elite aircraft working together are anything but mundane.
The F-35, which features three variants to be used by the Air Force, Marine Corps and Navy, is a single-seat aircraft capable of stealthy operations, equipped with an enhanced computer technology system. The Marine Corps B variant is also capable of performing short takeoffs and vertical-landings while maintaining the conventional operations of other airplanes.
The F-35 Lightning II Joint Strike Fighter program started in 1997. The program includes plans to replace the Air Force’s aging F-16 Fighting Falcon and A-10 Thunderbolt II, the Marine Corps’ short takeoff, vertical landing AV-8B Harrier and dogfighting and air-to-ground attacking F/A-18 Hornet and the Navy’s stock of legacy Hornets.
“The F-35 is a fifth-generation fighter; but it’s more than just a stealthy airplane,” said Marine Corps Col. Art Tomassetti, a pilot who has been with the JSF program since 1998. “It goes beyond stealth and low observable capability. It brings together everything that today’s computer and digital age can bring to how the airplane flies and how it’s maintained.”
The F-35 is an ideal combination of stealth, sensor fusion and a robust digital flight control system making it, not only easy for a pilot to fly, but easy to identify and engage targets in the battlespace. Along with ease of flight, the F-35 also allows pilots greater situational awareness.
“When you look at the F-35, you can’t look at it as a single airplane against another single airplane,” Tomassetti said. “You have to look at a group of F-35s working together, then you really get to take advantage of what the F-35 brings to the battle space. The ability of the airplanes to use a variety of sensors to gather information and share the information they gather between planes is truly incredible.”
With the F-35, pilots can access information about possible targets and threats from supporting F-35 aircraft via data links, which allows them to see more and identify more of what is happening in the battle space, Tomassetti said.
Currently, the military is only training seasoned pilots on the new airplane at Eglin Air Force Base.
When new pilots are allowed into the program, they will find themselves in a unique training environment along with enlisted aircraft maintainers and mechanics from all three branches of service and also coalition partners from several foreign nations.
These service members will learn how to operate and maintain the F-35 through a digital training environment. This kinetic learning system allows the learning to occur through touching and doing, rather than seeing and hearing.
“The fact that we’re starting with the same airframe, same formations, same weapons capabilities, I think that already puts us at a better starting point when we show up to a combat theater together,” said Lt. Col. Lee Kloos, squadron commander for the 58th Fighter Squadron, of the integration of forces with the F-35.
Kloos, who has more 2,100 hours flying the F-16, said having the Air Force, Marine Corps and Navy field the same airframe allows a common frame of reference for pilots regardless of service.
The aircraft is also a joy to fly, Kloos said. Despite the advanced technology and complexity of the aircraft, it’s a very easy aircraft to fly, and basic pilot actions remain the same as in any fighter aircraft.
“Pull back on the stick and the trees get smaller, push forward and the trees get bigger,” Kloos said. It is a stable and well-balanced plane designed for today’s generation who grew up playing video games, he said.
Comparatively speaking, the F-35 has a clean cockpit. Instead of a multitude of switches inherent of many aircraft, the F-35 has two touch screens with interfaces similar to a tablet computer.
For the maintainers, things are a little tougher.
“I was working on the F-15 C and D models,” said Staff Sgt. Matthew Reed, F-35 A maintainer. “The F-35 is a completely different aircraft. The technology is challenging at times.”
Since the F-35 is still in operational testing, the maintainers and pilots work through all the bugs together. On a continuous basis, personnel are testing the aircraft in new maneuvers and capabilities. Once these are monitored and assessed, the pilots are cleared to perform them in their daily flight operations.
“Today our training consists of the basics of takeoff, landing, navigation and basic formation as we wait for the flight clearance to expand and allow us to train specific mission sets,” Tomassetti said.
Air Force maintainers, the first service members to work on the F-35, use the maintenance side of the computer to do preventative diagnostics and pinpoint possible problems.
With the pilots and maintainers working together, the Air Force and Marine Corps have flown hundreds of training sorties since their first flight in 2011. They continue to fly daily to bring the F-35 A, the Air Force’s conventional landing and take-off variant, F-35 B, the Marine Corps’ STOVL variant, and F-35 C, the Navy’s carrier-based variant, closer to combat operations.
by Marine Corps Cpl. Daniel Wetzel
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marc gébelin
17/10/2012
Je trouve Philippe Grasset bien optimiste dans sa certitude et bien vague dans son « appel » (ou sa confiance) au Ciel à la dernière ligne de son texte.
De quel Ciel sagit-il ? Des forces diaboliques dominant les hommes de 89 dont parlait Joseph De Maistre ? Des processus historiques qui font lhistoire sans que les hommes nen puissent mais, comme laffirmait Marx ? Des dieux qui visitaient les Grecs sur leurs champs de bataille pour brouiller leurs cartes ? Des Furies et autres Érinyes ? Des Archanges, des Exousiai de langéologie patristique ? du Ciel des taoïstes ? ou tout bonnement, tout simplement, de notre cher Ahriman (Satan de son nom latin) antagoniste de son copain Lucifer ? Lucifer aiguisant les crises, les rivalités, les orgueils (médias, journalistes, professeurs, coachs, économistes) avec une jouissance non dissimulée, et Satan faisant mourir avec un grand rire sarcastique les idiots qui ont cru aux boniments des victimes du premier ?
Il y a chez P.G une eschatologie assumée (du moins à ,ce qu’il me semble) mais qui reste du domaine de labstraction et, en même temps, comme une invite à nous faire toucher du doigt les réalités spirituelles concrètes. Cest un peu comme Baudelaire nosant pas nous dire tout de go quil croyait au Diable mais qui nous raconta que le diable lui avait parlé et lui avait confié que sa ruse suprême consistait à faire croire aux incrédules quil nexistait pas.
Si donc les dieux sont à luvre, ce qui nest pas impossible, sont-ce des dieux buveurs de sang ou des dieux damour ? Sommes-nous sûrs, si nous navons pas dautres choix que de leur laisser la bride sur le cou, quils vaudront mieux que les hommes quils inspirent ? Ça a dû être la question que se posait de Maistre qui parlait de la Révolution Française comme de luvre du diable. On en a fait un prophète et il est du plus grand chic de le mentionner dans les pronostics car le “catholicisme papiste” na jamais cessé dêtre à la mode chez les penseurs français. Moins connu fut Louis Claude de Saint Martin qui lui aussi, presque à la même époque, commit des prophéties auxquelles on se rapporte moins mais qui nen sont pas moins profondes et très actuelles.
Oui, les forces du Mal sont à luvre dans notre monde occidental, notre BAO, elles émergent de partout, de tous les continents, de toutes les têtes mais savons-nous ce quil faudrait faire pour les convertir en Bien selon ladage ésotérique bien que connu que le Mal est un Bien qui nest pas à sa place ? De notre place, que pouvons nous faire ? Lire Dedefensa ne suffit pas. Je pense quil faudra demain ou après demain, penser à sortir de la paille les fusils, la mitraille. Mais je peux me tromper. En tout cas ceux den face naurons pas de scrupule à le faire, de ça vous pouvez être sûrs « mes frères » !... Ils sy préparent déjà.
Pourquoi croyez-vous que Lucifer-Satan a inspiré labolition du service militaire dans presque tous nos beaux pays doccident ?
Koui
17/10/2012
L effondrement du systeme est Favorise par le ciel! Ce sont des termes typiques du yi king. La poutre faitière ploie. La sperstructure est trop lourde et détachée de sa base affaiblie. Elle menace donc de s écrouler.
Jean-Paul Baquiast
17/10/2012
Ne craignez vous pas que, même si le risque de guerre mondiale parait très faible, les forces conservatrices et ultraconservatrices, ne mettent en place une militarisation générale des sociétés, afin d’écraser dans l’oeuf (et dans le sang) les tentatives de révolte des peuples? Ceci notamment en Europe.
Un article que vous avez cité précédemment, concernant le réarmement préventif de la conservatrice (et si pacifique) Suisse en dit long
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