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Expérience suédoise...

Article lié : L’impensé de la théorie du genre

Jack v.

  28/04/2013

Article lié : L’impensé de la théorie du genre

marc gébelin

  27/04/2013

merci à Stéphane Eybert pour cette référence. J’ai entendu monsieur Gori pour la première fois vendredi sur la 2 et je l’ai trouvé très fin et très humain se situant bien au delà des références politico-économiques à courte vue de la plupart des autres participants. Son texte complète la bonne impression que je gardais en mémoire. Encore merci.

René Guénon et le diable

Article lié : L’impensé de la théorie du genre

David Cayla

  27/04/2013

Si le diable peut être bon théologien quand il y trouve avantage, il peut aussi, et « à fortiori », être moraliste, ce qui ne demande point tant d’intelligence ; on pourrait même admettre, avec quelque apparence de raison, que c’est là un déguisement qu’il prend pour mieux tromper les hommes et leur faire accepter des doctrines fausses. En suite, ces choses « consolantes » et « moralisantes » sont précisément, à nos yeux, de l’ordre le plus inférieur, et il faut être aveuglé par certains préjugés pour les trouver « élevées » et « sublimes » ; mettre la morale au-dessus de tout, comme le font les protestants et les spirites, c’est encore renverser l’ordre normal des choses ; cela même est donc « diabolique », ce qui ne veut pas dire que tous ceux qui pensent ainsi soient pour cela en communication effective avec le diable.

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Je pense que de toute évidence, Marc Gébelin doit être un petit peu fatigué aujourd’hui, pour avoir préféré le terrain de la morale à la théologie, ôtant ainsi son déguisement. Que voulez-vous, c’est fatiguant de dévoyer son intelligence pour se faire bon théologien dans le seul but de tromper son auditoire.

Sur la question du mariage pour tous, je trouve très personnellement que c’est là une ânerie. C’est une ânerie de prétendre être des couples “comme les autres” quand cela saute aux yeux que deux pères ensemble auront du mal à procréer. Néanmoins, on pourrait faire l’effort de se demander pourquoi certains ont demandé à bénéficier d’un “droit au mariage, comme tout le monde”.

Ce que je pense à cet égard, c’est que les homosexuels qui ont demandé à bénéficier de ce “droit” entendent surtout se démarquer de la réalité du milieu “gay”. Je me demande même si certains de ces couples revendiqués ne vivent pas autre chose que des relations platoniques, parce que, oui, merci à toute la finesse de Marc Gébelin a su faire preuve pour nous en faire part, les relations charnelles homosexuelles ne sont pas forcément très ragoûtantes.

Seulement voilà, les jeunes homosexuels sont souvent soumis à un certain ostracisme au sein de leur milieu familial, ce qui les conduit à vivre dans des situations de grande précarité. Dès lors, ils sont souvent tenus à certains accommodements, qui reviennent en substance à accepter de vivre sous la coupe d’un vieux mâle avide de chair fraîche qui leur imposera d’en passer par tous ses désirs en échange du couvert et du gîte.

Et qu’on ne s’y trompe pas, cette homosexualité-là qu’on peut qualifier de pédérastie et qui ne revient à rien d’autre finalement qu’exercer sa domination sans frein sur de jeunes hommes qu’on entend ainsi flétrir, de jeunes hommes dont on entend prendre l’innocence de la jeunesse pour leur apprendre la réalité du monde, plutôt le quotidien glauque de vieux pervers, elle est très répandue dans les pays les plus viscéralement hostiles à l’homosexualité.

L’homosexualité affichée, en fin de compte, ce sont des personnes certes du même sexe, mais surtout du même âge, de la même condition, qui vivent ensemble parce que c’est leur choix, et cela saute aux yeux de tous. La pédérastie institutionnalisée, y compris et surtout dans des pays où les femmes sont cloîtrées chez elles et interdites de vie publique, ne saurait tolérer cette homosexualité affichée, parce que ces jeunes hommes, ces Narcisses, se refusent ainsi au désir des vieux mâles qui ont tant à leur apprendre.

J’ajouterais enfin que la pédérastie est rarement questionnée lorsque l’on croise un jeune homme accompagné par un “oncle” pour autant, évidemment, que certains gestes soient réservés à l’intimité des chambres (et encore…). Deux jeunes hommes plutôt efféminés qui marcheraient de concert pourraient bien n’avoir aucune relation charnelle qu’on ne les soupçonnerait pas moins ouvertement d’être homosexuels, pour les punir de s’être refusés aux avances des vieux mâles.

Article lié : Symbolique du triomphe du “complotisme”

Gilles Gomel

  26/04/2013

Veuillez m’excuser pour ma réaction trop hâtive.

Un livre

Article lié : L’impensé de la théorie du genre

Stephane Eybert

  26/04/2013

Article lié : Symbolique du triomphe du “complotisme”

Gilles Gomel

  26/04/2013

Je suis vraiment sidéré que vous m’ayez censuré !

that's all folks... the end

Article lié : Symbolique du triomphe du “complotisme”

jean-jacques hector

  26/04/2013

Le stade où le système ne rendait plus de comptes est désormais dépassé, aujourd’hui il ne sait même plus rendre des contes…
Tex Avery, reviens !

Un complot complotiste ?

Article lié : Symbolique du triomphe du “complotisme”

Jack v.

  26/04/2013

Sean Collier aurait été tué “pour son arme”.

Dans un pays où les armes pullulent, paraît-il, et au lieu de disparaître dans la nature, les deux frères se seraient donc senti obligés d’attirer l’attention sur eux en s’attaquant à un policier du campus pour obtenir une arme de poing alors que l’attentat était accompli et qu’ils n’avaient plus qu’à essayer de se faire oublier.

D’ailleurs, la façon dont le plus jeune des deux suspects choisit de s’habiller le jour de l’attentat me fait penser qu’il a plutôt l’air de vouloir qu’on le repère facilement.

Au moment de son arrestation, il s’avère qu’il n’était pas armé... Ce qui ne l’empêche pas de se tirer une balle dans la bouche et de perdre l’usage de la parole alors qu’une simple grenade lacrymogène lancée à l’intérieur du bateau qui lui servait de refuge l’aurait sans doute mis hors de combat.

( Remarquer ce qui ressemble à des traces de balles sur le flanc du bateau.  )

Il y a effectivement quelque chose de malhabile et d’hésitant dans la façon dont toute cette affaire est présentée dans les média. Tout se passe comme si les autorités, y compris au FBI,  voulaient discréditer l’organisation des services de sécurité.

Article lié : Symbolique du triomphe du “complotisme”

Gilles Gomel

  26/04/2013

Je pense que vous avez mal lu l’article de l’“Independent”.
Vous commencez par citer les premières lignes de l’article en soulignant quelques mots (“even the Guardian”) et en omettant les mots qui suivent (’s own comment section) lesquels ont évidemment toute leur importance. Ce n’est pas le Guardian lui-même qui fait partie, aux yeux de la journaliste, des propagateurs des informations alimentant les thèses complotistes, mais les lecteurs qui ont posté des commentaires.
Quant au propos de l’article, il vise bien à tourner la démarche “complotiste” en ridicule. Chaque paragraphe se termine par une remarque sarcastique ou finalement par le renvoi à une photo lui-même ironique, puisque le sac du jeune homme n’y apparaît guère.
Et les guillemets dont est affublé le mot “officiel”, ils sont là pour singer la rhétorique des “complotistes”.

Théorie du drone

Article lié : Notes sur le déchaînement de la Matière à Boston

Ouaille

  25/04/2013

Puisqu’on parle déchainement de la matière, je vous signale un livre potentiellement intéressant sorti très récemment

Théorie du drone
http://lafabrique.fr/catalogue.php?idArt=763

« Oh, la belle cible ! J’essaierais de passer par l’arrière pour la mettre en plein dans le mille. » Ce n’est pas un sniper qui parle depuis un toit d’immeuble, c’est un personnage confortablement installé à la base de Creech, dans le Nevada. Il pilote un drone qui s’apprête à lancer un missile Hellfire sur un groupe suspect en Afghanistan. Avec le drone armé, entre la gâchette sur laquelle on a le doigt et le canon d’où va sortir le projectile, ce sont des milliers de kilomètres qui s’intercalent. Cette mise à distance fait éclater la notion même de guerre : qu’est-ce qu’un combattant sans combat ? où est le champ de bataille ? et peut-on vraiment parler de guerre quand le risque n’est pas réciproque, quand des groupes humains entiers sont réduits à l’état de cibles potentielles – en attendant de devenir légitimes ? Dans la guerre à distance, peu importe que ce soient des machines qui tuent des êtres humains : l’essentiel est qu’elles les tuent humainement. Ce livre montre la gravité des questions éthiques, psychologiques, juridiques, que pose cette nouvelle merveille de la technologie militaire.

Agrégé de philosophie, Grégoire Chamayou est chercheur au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) Cerphi ENS Lyon.

Article lié : Washington et le fantôme de Chavez

dominique

  24/04/2013

L’article est sur Alterinfo avec les parties en Anglais traduites: http://www.alterinfo.net/Washington-et-le-fantome-de-Chavez_a89572.html

En parlant de chaos...

Article lié : L'étrange chaos des sanctions contre l’Iran

Jack v.

  24/04/2013

Voilà un nouveau type d’attaques auquel les analystes politiques vont devoir trouver un nom.

Une fausse info diffusée sur Twitter  a provoqué une amorce de krach qui a entraîné 134 milliards de dollars de pertes en seulement 4 minutes avant d’être démentie.

Le responsable de la diffusion de cette annonce serait un groupe de supporters de Bachar El Assad, the Syrian Electronic Army, qui a lancé une nouvelle selon laquelle deux bombes ont explosé à la maison Blanche, blessant Obama.

La raison pour laquelle le marché a réagi aussi violemment et si vite à cette nouvelle est que les robots traders qui scrutent l’info en permanence étaient programmés pour vendre au plus vite dans l’hypothèse d’un tel évènements.

Voilà qui va donner des idées à certains !

Origines de l'idéologie Américaine ?

Article lié : Notes sur le déchaînement de la Matière à Boston

René M

  24/04/2013

@ Thierry de RAVINEL
Suite à votre commentaire : Expériences Anciennes et Nouvelles ,  ( citation)  : (....) “Je pense qu’il faudrait remonter à la réforme (....) “

Cliquez donc sur la rubrique LA GRÂCE de l’HISTOIRE
Vous y trouverez il me semble un développement sur le sujet que vous évoquez .  De même vous trouveriez dans de nombreuses chronique du site cette piste de réflexion très ancienne pour ne pas dire fondatrice chez Philippe Grasset. C’est même un leitmotiv.
Le site réclame je crois une longue fréquentation pour bien le découvrir
Cordialement
Un lecteur de Dedefensa

Réponse à ZC.

Article lié : Un attentat en quête de coupables…

Jack v.

  24/04/2013

Merci ZC. Mais vos remarques sont, à mon sens, judicieuses. Vous dites :
« Et nous que sommes nous devenus? où est notre degré d’empathie à l’égard des victimes des guerres pilotées par le “SYSTEME”; notre ambassade qui explose à Tripoli a une importance moindre que le circus maximus bostonien. Que penser de ceux qui “souffrent ” moins de la violence qu’ils subissent que de celle infligée à leur Maitres.
Qui a dit que nous sommes tous américains?
Qu’est-ce qu’une affirmation pareille a de signifiant? Aujourd’hui nous devons nous rendre à une seule évidence: le conscient et l’inconscient européen a tout cédé à l’impérium américain. De la part de la puissance US, il n’y a que du positif à une telle rédition civilisationnelle, mais l’Europe qu’en restera-t-il lorsque l’effondrement de la puissance US sera réalité.»

Tout en prétendant construire une Europe indépendante, les élites européennes ont joué la carte d’une sujétion aux US,  par veulerie, par paresse et parce que leur mode de recrutement suppose un caractère moutonnier. Elles ont, de mille et une façons, affaibli les nations européennes et l’Europe elle-même, pour les rendre plus digestes pour l’Empire. Elles tentent maintenant insidieusement de nous imposer Washington comme centre de nos préoccupations personnelles dans le cadre d’une vision supranationale qui ne se manifeste pour l’instant de façon ouverte qu’à travers son influence sur la manière dont les média établissent une hiérarchie dans les informations. Il s’agit par exemple de nous faire admettre le principe US selon lequel un mort US vaut plus qu’un autre pour nous préparer à accepter l’autorité de Washington sur nos propres vies.

On pouvait déjà percevoir cette évolution dans le domaine du commerce des logiciels, par exemple, où il est courant de trouver des notices signalant que tout litige concernant le produit relève de telle ou telle entité US, ce qui est en contradiction flagrante avec les principes de la souveraineté nationale dans le monde entier.

On pourrait discuter du silence des élites européennes sur de la façon dont les US conçoivent les pratiques en matière d’extradition, voire de kidnapping de citoyens étrangers, d’exécutions extra judiciaires, sur la façon dont le gouvernement US a sciemment et plus d’une fois trompé l’ONU, c’est à dire, en principe, nous tous. Le soutien sans faille des instances européennes à la politique US malgré ses frasques relève de l’adoration inconditionnelle et aveugle. Dans le meilleur des cas, ce soutien est ne peut se comprendre qu’à partir du moment où on admet le fait qu’on ne peut pas dire non aux US parce qu’ils ont une puissance économique et militaire qu’on ne peut pas questionner.

De ce point de vue, l’œuvre libératrice des «termites», voués à saper les structures de l’Empire pour rendre leurs souverainetés à leurs pays,  un travail consistant par exemple, à relever et rendre publique toutes les failles, notamment technologiques du Système, comme le fait Dedefensa.org, par exemple en traitant du thème des déboires technologiques du JSF, est très précieux.

Il me semble que plus l’image des US, définis comme le parangon en matière de réussite économique et technologique aux yeux du public et aussi des élites, est ternie, plus ces dernières seront amenées à douter de leurs choix d’alliance et à trouver d’autres voies de progrès en matière d’organisation politique.

Toutefois, il faut agir vite, miner sans relâche, car l’Empire en désagrégation, engagé dans une course contre la montre a déjà amorcé la zombification de nos pays, qui sont en voie d’être transformés en satrapies dirigées par des satrapes formatés chez Goldman-Sachs.

Expérences anciennes et nouvelles...

Article lié : Notes sur le déchaînement de la Matière à Boston

Thierry de RAVINEL

  24/04/2013

Ce qui apparait en filigrame (mais restons prudent bien entendu), c’est la nième apparition du méchant monstre créé par des démiurges maladroits pour servir la “liberté”, mais ayant malencontreusement ayant échappé au controle de ses créateurs.
Si l’on se souvient que Oussama Ben Landen avait lui même été “utilisé” par les services américains contre les russes en Afghanistan (sans remonter à la longue liste allant de Ho Chi Minh à Kabila, en passant par M Kagame), la répétition des mêmes erreurs et de leurs conséquences désatreuses invite à la reflexion.
Les américains ne sont certes pas idiots et naifs au point d’ignorer volontairement toutes les leçons de l’histoire.  S’il le font, c’‘est qu’ils y sont conduits (pour ne pas dire forcés) par une culture profondement et lourdement marquée par une idéologie très structurante, dont on a sans doute pas assez analysé jusqu’ici l’origine, les contours, et surtout les effets .(je ne vais pas entreprendre de le faire je n’en ai ni les compétences ni la place :)).
Puisque c’est de l’idéologie ultra libérale dont il s’agit, elle a au moins deux effets majeurs : évacuer totalement l’histoire de l’analyse, et simplifier à outrance le réel en construisant des catégories totalement inadéquates pour l’appréhender avec réalisme.
Je pense qu’il faudrait remonter à la réforme ( en particulier au puritanisme) pour analyser en toute rigueur le phénomène.
Je ne vais pas m’atteler à cette tâche redoutable, mais je voudrais tout de même en souligner la réalité et surtout les conséquences sur des individus qui pour certains ont l’avenir de notre monde entre les mains…
Comme pour les communistes russes en leur temps, le remède viendra d’abord d’une prise de conscience par les américains eux même de cette emprise et de ses effets… Souhaitons qu’un penseur éclairé les affranchisse. Il y a urgence…