jc
09/12/2017
Je le sens dorénavant bien avec l'homme pilier, elliptique, et la femme virevoltante, hyperbolique.
Je vire donc de bord lof pour lof par rapport à mes commentaires initiaux* et modifie en conséquence mes modèles platoniciens: c'est dorénavant la femme qui est aérienne, octaédrique, et l'homme qui est terrien, cubique. (je suis obligé d'abandonner, un peu à regret, la droite pour l'homme, symbolisant la tension -"droit comme un I"-, la lance de Mars à la main, et le cercle familial pour la femme, relâchée, cool ("Dansons la capucine…"). Culture, quand tu nous tiens. Dorénavant et jusqu'à la prochaine saute de vent, la tension masculine est pour moi symbolisée par un ressort comprimé en cercle, prêt à se détendre…
* Cf. "Un homme peut-il être de gauche?", commentaire de l'article "Charles et Jeanne".
jc
09/12/2017
Face aux LGTBQ je me considère comme un escargot hermaphrodite devant des hétéros en train de copuler. Façon de dire que je n'en suis pas. Mais se connaît-on vraiment soi-même?
J'ai en mémoire cette réplique que Samuel Beckett met dans la bouche de l'un de ses personnages: "Le sexe c'est ce qu'on met en dernier." Plus scientifiquement il me semble avoir lu que le sexe des reptiles était déterminé par la température* au moment ad hoc de l'embryogénèse, détermination épigénétique donc.
Prolongeant cette analogie thermique, je vois un "Trans" comme quelqu'un qui, lors de l'embryogénèse, est arrivé au stade de la détermination sexuelle à la température critique tel l'âne de Buridan. Alors qu'une température nettement au-dessus de ce point critique donnera un Mars, un Apollon, et qu'une température nettement en dessous donnera une Vénus, une Aphrodite, un Trans ressemblera au Janus à deux têtes mâle-femelle face-à-face se regardant dans les yeux et s'interrogeant: qui suis-je?
Comment un Trans s'identifiera-t-il à "la lux in tenebris" évoquée dans "Pschychanalyse extrême?" Il va hésiter entre l'attitude mâle, elliptique, en cercles, et l'attitude femelle, hyperbolique, en droites, et finir par couper la poire en deux: il va partir en spirale, en hélice, et revenir de même, après retournement moëbiusien, et former ainsi une double hélice…
Le Trans: un humain "Janus" mal différencié, un humain qui a gardé en lui, vivace, la trace de l'unité primordiale et qui domine les humains différenciés? Un candidat à l'aristocratie H2O?
Thom: "La voie de crête entre les deux gouffres de l'imbécillité d'une part et le délire d'autre part n'est certes ni facile ni sans danger, mais c'est par elle que passe tout progrès futur de l'humanité".
*: Chaud/mâle, froid/femelle si l'on fait confiance aux chinois et à leur yin/yang?
jc
09/12/2017
Comment disposer l'ellipse et l'hyperbole?
Dans un idéal de perfection comment imaginer la parade nuptiale préliminaire à l'acte sexuel? Une danse bien sûr. Et c'est l'homme le pilier et la femme qui vire-volte: je ne serais pas étonné que cette constance du rôle de chacun traverse tous les âges, toutes les sociétés, toutes les civilisations.
Ainsi l'ellipse doit être dans le plan horizontal, l'ellipse limitant l'évolution de l'homme, et l'hyperbole (de mêmes foyers que l'ellipse) doit être dans un plan vertical, où la femme vire-volte, sans limite. (ça change de "nos" plans-Q post-modernes!)
On pourra lire: "La danse comme sémiurgie", Apologie du Logos, René Thom. Extraits:
"Comprendre la danse exige, je crois, de remonter à la source même dem la signification; on peut y trouver la génèse -in statu nascendi- des structures les plus fondamentales du signe; peut-être même pourrait-on fonder sur elle une esthétique."
"L'activité artistique est un prolongement naturel de l'activité du langage."
" L'art consiste à représenter des forces par des formes. (...) C'est ici qu'intervient l'analogie avec le formalisme de la théorie des catastrophes."
jc
08/12/2017
Il s'agit d'un modèle très rudimentaire suggéré par l'analogie thomienne mâle/ellipse vs femelle/hyperbole. L'harmonie est parfaite lorsqu'ellipse et hyperbole ont mêmes foyers F1 et F2: ellipse=la somme des distances aux foyers est constante, hyperbole=la différence des distances aux deux foyers est la même constante. Seule différence: le signe.
Ce modèle recoupe très exactement le Janus homme/femme "les yeux dans les yeux" avec l'analogie foyer/petite flamme au fond des yeux, les neurones miroir en parfaite harmonie, coup de foudre…
Alors que le Janus standard contemple à la fois le passé et l'avenir, le Janus homme/femme se contemple pour l'éternité.
jc
08/12/2017
Quels rapports entre la théosophie, la mécanique quantique, la théorie des super cordes, la théorie des catastrophes, et la différenciation cellulaire?
Depuis le temps que je fréquente assidûment ce site, j'ai repéré qu'il est fréquenté par nombre d'ésotériques: des théosophes, des pythagoriciens, des platoniciens, etc. Philippe Grasset, lui-même, cite souvent Guénon (dans "Le désenchantement de Dieu", il salue avec déférence "une sommité habillée en bohême et souvent chômeur, mais avec ses diplômes de métaphysicien et son œuvre de Guénon connue sur le bout des doigts") et Jean-François Mattéi dont il ne peut ignorer qu'il s'est beaucoup intéressé à Platon et Pythagore.
En cherchant à me documenter sur la toile à propos de l'harmonie des formes, des sons et des couleurs, je suis tombé sur le site des théosophes traditionalistes à la Blavatsky* et j'y ai senti des convergences avec les préoccupations de certains physiciens contemporains. C'est en particulier le cas de John Baez (un cousin de Joan) qui s'intéresse aux propriétés ésotériques des petits nombres entiers (5,8,24, etc.) dans le cadre de la physique théorique moderne (mécanique quantique, théorie des cordes). Il serait peut-être intéressant pour les "ésotériques" de voir comment sont "sacralisés" ces petits nombres par les physiciens, et d'éventuellement rapprocher ces sacralisations des sacralisations traditionnelles: https://www.youtube.com/watch?v=2oPGmxDua2U
Pour la connexion entre la théorie des catastrophes, la théorie des groupes finis -et donc les nombres ésotériques- et les solides de Platon**, on pourra consulter le chapitre 5 -en particulier la fin- de http://www.entretemps.asso.fr/maths/Livre.pdf
Pour terminer, je pressens -très immodestement!- un lien entre la différenciation cellulaire et les nombres entiers sacrés de la tradition ésotérique: cf. mon commentaire " Nombres, Formes et Musiques Sacrés",de l'article: "En quatrième vitesse", sur ce site.
*: http://m-morya.com/la-doctrine-secrete-vol-1/286-couleurs-sons-et-formes
** Cf. aussi ce que dit Grothendieck, ce Pythagore des temps modernes, de l'icosaèdre:
http://rene.guitart.pagesperso-orange.fr/textespreprints/regimes5.pdf
Marco Gifolin
08/12/2017
Il est à noter le film PENTAGON PAPERS prévu pour 2018 avec Tom Hanks, qui traite d'un NYT et d'un WAPO en lutte pour divulger la "verité" sur le Pentagon.
Bande annonce héroïque (snif):
https://www.youtube.com/watch?v=7axd-1oo0jk
Bernard Pâques
08/12/2017
Excellent ! Merci monsieur Bonnal. C'est toujours un plaisir renouvelé que de vous lire. Surtout lorsque vous heurtez la "Sensibilité" (?) des idiots utiles…
jc
08/12/2017
Je me suis amusé à me psychanalyser avec ces joujous psychanalytiques.
1. J'imagine spontanément que le fond d'écran, l'espace-temps, est blanc. Et, par suite,que la chiure de mouche, le stigmè des anciens grecs, est noire.
2. Pour m'identifier au stigmè, au point, je me pense en cercle noir dont je réduis progressivement le rayon, jusqu'à m'identifier au point noir.
Diagnostic: mâle dépressif (car voit le point en trou noir -et en plus en chiure!-, en puits, pas top pour une cosmogonie, plutôt adapté à une cosmagonie!).
Premier évangile selon Saint Jean: "'Et lux in tenebris lucet et tenebrae eam non comprehenderunt"
J'imagine Saint Jean voyant le fond d'écran noir, et la lumière blanche: lumière source.
Le bon truc? Partir de la source (c'est logique!), remonter en un faisceau de cercles de plus en plus grands aboutissant à soi: pensée mâle optimiste.
Mais les cercles ne tiennent pas seuls par l'opération du Saint Esprit. Donc inversion mâle-femelle (contorsion intellectuelle!) souhaitée pour structurer tout ça, puis retour à la source devenue puits, ressourcement par un faisceau de droites convergeant vers la source devenue puits, pour y puiser de nouvelles forces. La boucle est bouclée à la Moëbius.
Je trouve que la symbolique Janus à deux têtes, l'une mâle, l'autre femelle, se regardant droit dans les yeux rend bien compte de la situation.
Je me demande si ce n'est pas une méthode générale utilisable pour examiner tout conflit entre deux actants.
Et je me demande si ce n'est pas dans le vivier LGTBQ que se trouvent ceux ou celles les plus aptes à ce genre de contorsions intellectuelles.
En ce qui concerne les LGTBQ je rappelle ma position: celle d'un escargot hermaphrodite regardant deux hétéros copuler.
jc
08/12/2017
Homme ou femme? Qui suis-je? Pensé-je comme je suis?
Thom: "L'intelligence, c'est la capacité de s'identifier à autre chose, à autrui."
Autrement dit l'acte de penser est l'acte de s'identifier à autre chose, à autrui.
Thom: "Le mâle est elliptique, la femelle est hyperbolique." (détails dans SSM, 2ème ed. pp. 96 et 97)
Une psychanalyste lacanienne: "Lacan est masculin, Thom est féminin." (sans explication)
Cosmogonie: De toute éternité était l'espace-temps, homogène, en fond d'écran. Une tabula rasa. Puis vint une chiure de mouche. Chiure ou oeuf? De mouche ou pas de mouche. Bref: vint donc un point qui déshomogénisa l'écran. Une cellule totipotente d'où sortira le monde?
Je pense alors avec méthode, c'est-à-dire avec la méthode thomienne: j'essaie de m'identifier au point.
Première façon: je me fais de plus en plus petit, de plus en plus en boule, pour finir par m'identifier au point qui devient donc une cellule qui ne peu peut-être pas tout, mais qui peut ce que je peux, ce qui n'est pas rien.
Deuxième façon: je regarde le point et je le ramène doucement à moi, en le grandissant peu à peu, pour finalement l'identifier à moi.
Peut-on dire qu'une façon de penser est masculine et l'autre féminine?
Dans la première façon le point comme la limite d'un faisceau de cercles concentriques de rayons de plus en plus petits? Dans la seconde le point comme l'intersection d'un faisceau de droites qui remontent à l'observateur?
Cercle=ellipse dégénérée. Droite=hyperbole dégénérée.
Première façon: pensée masculine?
Deuxième façon: pensée féminine?
Dualité homme/femme: transformation cercle/droite.
Inversion stéréographique: https://fr.wikipedia.org/wiki/Inversion_%28g%C3%A9om%C3%A9trie%29
Inversion gnomonique: https://fr.wikipedia.org/wiki/Projection_cartographique
jc
07/12/2017
Je veux ici revenir sur le fonctionnement du psychisme animal et du psychisme humain selon Thom (tel que je crois le comprendre) à propos d'un cas qui me semble archétype. En termes modernes cela donne:
Nous, animal ou humain, avons des CD. Sous certaines circonstances, externes ou internes, un certain CD est lu, entraînant l'exécution INCONSCIENTE d'un programme, d'une séquence d'actes (une chréode), la conscience étant informée ultérieurement (effet Libet) de l'exécution de ces actes "réflexe". C'est le cas lors de la vision d'une proie lorsque nous sommes affamés, où nous prenons alors conscience quelques dixièmes de secondes plus tard de cette action réflexe naturelle, action que nous tentons d'inhiber culturellement lorsque les circonstances l'imposent (qui n'a pas commencé à manger avant la maîtresse de maison!).
Bien que n'y connaissant rien (j'y vais au pif mais, j'espère, dans le fil de la pensée thomienne), je suis séduit par l'idée de neurones miroir comme déclencheurs pavloviens de l'exécution d'actes. Déclencheurs d'autant plus puissants et irrépressibles que "profonds". Et la profondeur maximale est, selon moi, atteinte lorsque ce sont les neurones miroir sexuels (liés aux catastrophes thomiennes ombilics?) qui entrent en action: on sait que dans ces conditions, il peut y avoir des coups de foudre INCONSCIENTS et durables (l'état amoureux) sur lesquels la conscience n'a aucune prise (pouvant créer des situations parfois socialement embarrassantes…).
Se déclenche alors une suite incontrôlable d'actes préliminaires (une chréode au sens de Waddington) aboutissant à l'acte sexuel. Ainsi la parade nuptiale de toute beauté de certains oiseaux que je ne peux qualifier autrement que de bouleversante, de quasi-divine*, et que je ne peux en aucune façon imaginer comme conséquence d'une quelconque sélection darwinienne**.
*: Chez nous les chiens, c'est moins divin, c'est "Comment vas-tu, flaire-moi le cul, ça va bien, flaire-moi le mien."
**: PhG: "Le darwinisme me semble ainsi complètement acceptable dans cette place que je lui accorde d’intuition (quoiqu’avec l’une ou l’autre réserve, dont celle-ci que je cite de seconde main et qui me paraît capitale justement pour le cas signalé ici, – d’après Georges Steiner dans Les Logocrates : «Il est intéressant de signaler que Thomas Huxley, vers la fin de sa carrière, en arriva à la conclusion que le darwinisme n’avait offert aucune explication plausible des origines du phénomène du langage»). Par conséquent, je suis (au sens de “suivre”) le darwiniste que vous êtes, mais avec des réserves importantes qui concernent justement le fond de notre débat." ("Le grain de sable divin", Dialogues Baquiast/Grasset)
alain pucciarelli
07/12/2017
Après l'opération Jérusalem, on est en droit de se demander si Trump réputé idiot ne serait pas un Machiavel méconnu. Il aggrave toutes les tendances agressives de la politique US en provoquant à terme l'échec des stratégies impériales menées avec obstination depuis au moins Clinton. Les Israéliens devraient réfléchir à deux fois avant d'accepter un cadeau empoisonné. Voilà une procédure florentine. D'une perversité inouïe. Bannon est-il derrière cette manoeuvre géniale? Si l'objectif est de semer le désordre et de permettre aux Etats Unis de revenir à leur affaires propres, en se lavant les mains des conséquences prévisibles de cette décision, tout en revendiquant leur soutien indéfectible à l'état hébreu, mettant au passage Israël devant ses responsabilités, cela pourrait fort bien réussir. Israël aura Jérusalem, et perdra toute chance de paix. Et de victoire militaire si le grand frère US le laisse tomber pour une raison ou une autre. Finalement, sous-estimer M. Trump est peut-être une erreur gravissime. Les éléments d'une tragédie se mettent en place. M. Trump en aura été le deus ex machina.
jc
07/12/2017
Ce sont des outils virtuels (mais pas virtualistes!), mathématiques bien sûr. Le matheux s'en sert comme le menuisier se sert d'une chignole ou d'un ciseau à bois.
Un matheux "bottom-upper" cherche toujours à dévoiler ce qui est (peut-être) caché: un "bottom-upper" est un découvreur, un apocalypseur.
1. La fibration-ciseau à bois.
Typiquement s'il voit un ensemble B de points, il va se dire: ces points sont peut-être des droites vues de dessus. Alors il va fibrer la base B par un ensemble F appelé fibre (ici une droite verticale), en faisant apparaître ce qu'on appelle un espace fibré, espace plus riche que la base initiale: https://fr.wikipedia.org/wiki/Fibr%C3%A9
Et si ça ne marche pas il va essayer:
2. Le cobordisme-chignole:
La situation typique est la suivante: on voit trois ombres sur le fond de la caverne, sous forme de trois cercles disjoints. Ces ombres sont-elles celles d'un même "objet"? Autrement et plus généralement dit, y a-t-il un lien intelligible entre ces trois cercles. Réponse: oui: ces trois cercles sont les bas des deux jambes et le troisième la ceinture d'un même pantalon: https://fr.wikipedia.org/wiki/Cobordisme
jc
07/12/2017
Le monde se présente à nous localement. Il y a des endroits de l'espace-temps où il ne se passe rien de bien intéressant (et, en général, nos sens ne les perçoivent pas tant ils sont incolores, inodores en sans saveur). Nos sens perçoivent là où il se passe quelque chose, là où il y a changement de forme (au sens généralisé), là où il y a morphogénèse (au sens anglo-saxon du mot), là où il y a singularité.
Le "savant" fait des photos de ces singularités, des cartes locales donc, qui forment un atlas. C'est la phase "présentation" de son travail: de quoi faut-il s'étonner?
La deuxième phase consiste à analyser ces cartes pour tenter de les recoller en un atlas intelligible (et utilisable par les "savants" à venir comme l'établi est utilisable par le menuisier). C'est la phase "représentation".
Pour écrire les lignes qui précèdent je me suis inspiré du "follower"¹ Jean Petit Petitot: http://jeanpetitot.com/ArticlesPDF/Petitot_ThomUrbino.pdf (p.7)
La situation des savants "followers" de Thom est donc celle de prisonniers dans le fond de la caverne de Platon. Ils doivent dans un premier temps interpréter les signes² qui apparaissent sur le mur du fond de cette caverne; et dans un deuxième temps ils doivent tenter de reconstituer l' "objet" qui produit de telles ombres, en tentant de "recoller" les singularités locales. On peut qualifier ces savants cavernicoles de "bottom-uppers". Dans la deuxième phase ils seront aidés par les "top-downers" situés à l'extérieur de la caverne, face à l'éblouissante lumière, c'est-à-dire par les élèves³ de Grothendieck.
La situation actuelle n'est donc pas, au fond, bien différente de celle décrite dans les aventures d' "Oumpah-Pah le peau rouge⁴": voyant les "Pieds plats" tenter de prendre d'assaut leur village par le Sud, les guetteurs se relaient pour envoyer des signaux de fumée. Signaux qui sont interprétés par le "savant" de l'époque, à savoir le sorcier "N'a qu'une dent"⁵, qui donne son verdict: "Troupeau de bisons au grand Nord". Rien de changé sous le soleil contre-civilisationnel, hormis la pédanterie (théorie du signal, Shannon, big data et compagnie). On notera que l'aristocratie française, représentée dans la tribu par le chevalier "Hubert de la Pâte feuilletée", dit "double scalp", avait à l'époque une classe certaine⁶.
1: Thom n'a pas voulu d'élève.
2: Thom cite fréquemment Héraclite: "Le Maître, dont l'oracle est à Delphes, ne dit ni ne cache; il signifie." Ce qu'il traduit: "La nature nous envoie des signes qu'il nous appartient d'interpréter."
3:Grothendieck a eu des élèves.
4. Dans ma jeunesse je ne lisais pas que Lucky Luke.
5. On notera qu'un seul par tribu suffisait.
6. Tout ça de mémoire; du plus de cinquante ans d'âge!
Disciple égaré
07/12/2017
Moi, j'ai plutôt aimé cette tribune de Monsieur Bonnal, et pensais qu'il fallait relire Le Hareng de Bismarck, d'un certain Jean-Luc Mélenchon… J'avais été frappé à l'époque de la virulence de son propos au sujet de nos chers voisins.
jc
07/12/2017
"La société n'existe pas." ("There is no such thing as society.")
C'est sans doute l'une des citations les plus marquantes de Margaret Thatcher. En septembre 1987, dans une interview au magazine Woman's Own, la chef de gouvernement conservatrice explique ainsi: "Nous sommes arrivés à une époque où trop d'enfants et de gens (...) rejettent leurs problèmes sur la société. Et qui est la société? Cela n'existe pas! Il n'y a que des individus, hommes et femmes, et des familles."
Trente ans de privatisations tous azimuths dans le bloc BAO. Je parie pour l'équation Privatisation=Déstructuration, pour le bloc qui débloque. Le président-moussaillon Macron semble avoir fait le pari inverse: en avant toute, vaillant pédalo!
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