Christian Feugnet
03/03/2018
Jeanne d'Arc , de son époque n'était pas Française , trés frontaliére , certes mais pas Française . Par contre en tant que bergére à moutons , trés concernée , au moins symboliquement par le commerce international de la laine . Fortune et puissance des rois de France ( et de l'eglise ), avec leurs foires et cathédrales , intermédiaires entre Flandre et Florence , du pétrole de l'époque . Le contexte en dit plus long que le mythe . Surtout quand la grande affaire de l'époque consistait à contourner la France , par les mers , au profit de l'Angleterre . Mais il a toujours fallu des mythes , emballages , pour masquer la sordidité des enjeux .
Christian Feugnet
03/03/2018
Dejà Jeanne d'Arc , pucelle à cette époque apparemment confite en dévotion , surtout pour une bergére , çà voulait pas dire vierge , mais pas adulte . C'était quoi une bergére , encore maintenant , une pauvre fille , jeune travaillée par son sexe , condamée à garder des troupeaux dans la solitude . Pas follichon . D'où facile proie , pour des princes de passage , cherchant à tirer un coup . Les " pucelles" d'aujoutd'hui , sans dot et gardant les troupeaux sont métis . Mais pas vierge , pas plus qu'autrefois .Au contraire , elles jouent de leur attraction sexuelle , puisque le christianisme n'est plus porteur ,notre Rihanna nationale dont le nom m'échappe , se pose cette question métaphysique : " faut il porter une culotte , et dans le cas contraire , ne pas le faire voir ?" . Alors non Jeanne d'Arc doit rester blanche , sainte et française , puisqu'il est acquit que c'est elle qui a créé la France .
Subotai
03/03/2018
Tiens, tu connais les Tuamotu. :-)
Autrement, bien vu pour la Mathilde.
Alain Vité
03/03/2018
... je n'ai pas l'impression de m'être fait "niquer".
Je suis d'accord avec votre point de vue sur l'erreur de choisir une Jeanne D'arc métisse, ainsi que sur la description de zizanie tous azimuts et des récupérations souvent basses et bêtes par les uns et les autres, bien intentionnés ou non.
En revanche, je ne vois pas d'arnaque ni de nique. "Le bateau coule normalement" et se déglingue à chaque vague un peu plus. Ces événéments ne sont que quelques symptomes d'un naufrage sans espoir de notre pays - pour se limiter à lui et aux 27 autres fous dans leur nef.
Certains peuvent prétendre tenir la barre ou d'autres la leur prêter, celle-ci est en miette, et avec grosse ou petite miette, on ne dirige rien. Tout se détraque et tiraille en tous sens sans aucune direction décelable - l'impression générale est d'aller vers le fonds, mais qui sait… c'est dire comme nous ne savons rien.
Chercher une intention sensée à ce désordre - que ce soit pour la couleur de Jeanne d'Arc, les priotrités de la SNCF ou quelque autre vitale démangeaison de l'instant - n'est que source d'épuisement pour qui s'y adonne.
Plus malheureux encore, croire y trouver une direction intentionnelle, c'est participer à cette danse des fous en imaginant s'y opposer. C'est très - très - difficile d'en sortir, ou même de seulement se rendre compte quand on y est plongé.
On ne s'oppose pas à la marée quand on en est une goutte d'eau. Au mieux et si on peut, on se trouve une petite flaque au calme et on y vit aussi bien qu'on peut avec patience, à une échelle en rapport avec nos capacités de bienveillance et de solidité. Tout autre choix est un risque inconsidéré et chaque jour plus dangereux, d'abord pour la lucidité et le moral ; ensuite et plus tard, pour se préserver soi et ses proches d'une réalite concrète et dure, dont nous n'avons encore pas idée pour la majorité d'entre nous, et qui supposera de se méfier des divers Comité de Salut Public, Je Suis Partout et autres policiers de la liberté conforme et leurs éventuels centres de rééducation et d'extermination.
Je n'ai donc pas l'impression de m'être fait niquer, j'ai fini d'espérer que quelqu'un soit aux commandes, pour le pire ou le meilleur mais avec un bouton "stop" à portée de main. Je crois que cet incident de Jeanne d'Arc n'était qu'une éclaboussure nous indiquant que le bateau a sombré un peu plus.
Ce n'est là que le modeste avis d'un incorrigible optimiste, qu'il n'est pas indispensable, voire pas recommandé, de prendre au sérieux.
Poil aux yeux.
Christian Feugnet
02/03/2018
Diderot ; "je veux qu'il sache que , si j'ai tant d'assurance , c'est parce que j'ai 4 deniers dans ma poche ". C'est pas du Rousseau , ni du Montesquieu çà , pas respectable . On meprise les lumiéres , on a rien compris , Montesquieu on le lit pas , trop gros tomes à se farcir , l'encyclopédie non plus , plus besoin maintenant les robots vont travailler pour nous .
Christian Feugnet
02/03/2018
Trés informatif et documente il va à coté du fond . Il est clair que Poutine fait là un effet d'annonce en vue de sa présidentielle , fondé certes , sinon çà marcherait pas , mais Dc la folle et alii et Poutine lui méme ne sont dupes . L'essentiel du rapport de force n'est pas là .
Il est dans le rapport financiers, des monnaies si l'on veut simplifier .
Les autorités US ont un monopole monétaire mondial , ils peuvent pomper les richesses du monde entier , y compris Russes , pour financer , leur domination . Plus exactement , non pas , les autorités officielles , politiques , constitutionnelles , la déco , quoi , mais les oligarques , dont personne ne parle , et il s'agit pas de Bill Gates et autres amuseurs . . .
Méme Poutine , tyran supréme parait il , ne controle pas dans son pays , la banque centrale , privilége régalien s'il en est . D'ailleurs on ne peut parler de monnaie , au sens propre que si elle est produite par le l'état , donc garantie ,voir le mythe de son inventeur Crésus , c'est lui qui a inventé la monnaie . Poutine a créé , cependant un subsitut , qui lui permet d'étre insolent , le Trésor Russe cumule les réserves , or , dollards , etc ...Et celà grace à des entreprises d'état trés solides , gazprom en particulier , grace au fait que le prix du gaz n'est pas controlé par les oligarchies ce qui les rend malades et haineux .
Ni Ando
02/03/2018
Au-delà du technologisme il y a bien en cours une difficulté structurelle qui oppose la Fédération russe aux Etats-Unis. La première a dépassé, et sous quelques réserves prés dans la sphère sociale, après le marasme des années 90, le niveau de développement atteint dans l’ére soviétique. Ce qui est nouveau, c’est que la Fédération russe ne semble pas avoir l’intention de se contenter de ce résultat. Le fait qu’elle soit désormais le premier énergéticien mondial, qu’elle vise également la première place en tant que puissance exportatrice agricole, qu’elle décide de relancer son secteur aéronautique civil, son secteur des machines-outils, etc.. où qu’elle développe des pôles de compétence de premiers plans (programmation informatique, électronique militaire, nanotechnologie, biotechnologies, etc…) n’est pas simplement le signe d’un accomplissement mais bien plutôt celui d’un processus en cours. La Russie change à la fois vite et lentement en ce moment, mais elle change vraiment.
On retrouve la traditionnelle question que beaucoup de connaisseurs de la Russie se sont longtemps posée et qui porte sur l’écart surprenant constaté entre le niveau de prospérité potentielle que les ressources matérielles et intellectuelles confèrent à ce pays (Sokolov évoquait la « puissance pauvre ») et le relativement faible niveau de développement qu’il a pu atteindre autrefois. A la fois volontaire et intelligent, créatif, le peuple russe montre depuis 1991 qu’il est capable de se remettre en question et d’adopter des stratégies de long terme capables de porter de bons fruits. Poutine n’est que la manifestation de cet effort. Son rôle est de servir un projet collectif et je crois que c’est ainsi qu’il le conçoit. C’est un projet collectif de développement, pacifique, qui n’a rien de dominateur ou d’agressif. Ainsi, il n’est pas impossible que la trajectoire russe actuelle vise à faire coïncider le réalisé avec le potentiel, mettant fin à une longue et désespérante quête de progrés débutée bien avant le bolchévisme. Moscou est déjà la première ville d’Europe, la plus riche et la plus puissante.
Sur un plan pratique, cela signifie que l’accroissement en cours de la « puissance russe » aura forcément pour effet de réduire celle de ses compétiteurs. C’est presque un phénomène mécanique qui a sa propre logique. A l’ouest de l’Europe, compte tenu des liens existants malgré tout entre les pays européens dont la Russie fait partie, on peut concevoir que l’UE fera bon gré mal gré une place grandissante à cette puissance, ne serait-ce parce que la Russie acceptera d’ouvrir ses marchés et de jouer la coopération.
S’agissant des Etats-Unis, le développement russe pose une vraie difficulté. Ce développement multiforme et persistant se veut global et non seulement local comme le démontre le déploiement d'une diplomatie de grande qualité. Le « potentiel russe » est en effet considérable. La remise en question que les élites étasuniennes devraient accepter pour que ce processus continue sur une lancée pacifique est la question du jour. Les nations aussi ont des egos. Celui des Etats-Unis est malheureusement passablement boursouflé.
Christian Feugnet
01/03/2018
Nietshe est un poete il joue sur les mots et par la ,les images qu ils vehiculent .
A son epoque et depuisla fin du moyEn age l eglise n avait
PLUS d autOrite morale et au 19 e meme dieu etait mort.
Plus d oecumenisme urbi et orbi meme laicise en humanisne retour a La barbarie .Chaque communaute contre chaque .
A mon avis c est un appel au depassement de l humanisme , pas pour la barbarie, surtout naZie ,mais a une meilleure sociabilite .
Christophe
28/02/2018
Christian Feugnet
28/02/2018
Mais mieux encore , car là , il s'agit de moutons , le peuple par définition , on en attends pas moins de lui .
Non , de nos élites , classes , cultivées , décideurs , à qui on offrirait sans limite de la monnaie gratis , moins vulgaire que le Nutella .
Or c'est ce qui se passe depuis au moins trente ans !
. ?
EricRobertMarcel Basillais
28/02/2018
De tout ce Chaos crisique émerge des pépites de SurHomme. Ils quittent le Bonheur factice pour rejoindre le Front… parfois des deux côtés du Front… le Système étant ambigü...
Mad Max le chauffeur d'avions
27/02/2018
Monsieur Alexis Toulet, vous vous amusez beaucoup et c'est bien agréable : le SU-57 pourtant ...en parade au-dessus de la Syrie, pour faire oublier son échec en Inde (?), pour épater la galerie, pour le plaisir de « déployer » des prototypes ou appareils de série qui ne marchent pas, ou pour « jouer au supergrand » comme les Etats-Unis sans plus d'effet que de « communication » sont paragraphes cruels pour les humains qui tentent de comprendre quelque chose aux affaires ! Mettez la grosse bête russe sur la même étagère que le F-35 au rayon « défense » du casino, et voilà que vous opérez un petit dérapage de très intrépide nature.
Un article publié dans la revue Aerospace Daily & Defense Report et daté du 20 septembre 2017 ( http://aviationweek.com/defense/will-us-retrofit-older-f-35s-fight-or-buy-new ) avait décrit le mieux le théâtre technico-obsessionnel américain dont le F-35 est le produit emblématique. Il y a été rappelé que cet « avion » n'est en l'état ni un vrai prototype, ni un appareil de série. C'est « autre chose ». Les plus ou moins 270 F-35 déjà livrés soulèvent une question qu'on n'aurait même pas imaginé envisageable (même pour rire) dans un complexe économique et industriel normal : « Que va-t-on en faire ? »
Quand on fabrique des prototypes, on en fait cinq ou six, parfois un peu plus, on les teste, on les casse éventuellement, on les met de côté à la fin et quand le programme est au point, on produit des appareils de série forts différents avec les cascades de modifications imposées par les essais. Le F-35, montagne de technos et de mécaniques fort ésotériques a bénéficié de cette très jolie idée qui consiste à produire les appareils de série en grand nombre tout de suite. Les essais ? On verrait bien plus tard. Malins les gens chez Lockheed Martin : aucun retour en arrière possible, les usines (pardon : les « laboratoires ») tournent à plein régime et l'argent rentre tout de suite.
Et on voit : le produit final après essai des « choses » produites est tellement différent de celui qu'on espérait (pardon : qu'on a lancé au début) que retrofiter les 280 appareils déjà livrés (c'est-à-dire modifier l'original pour qu'il fonctionne normalement) sera finalement plus cher que… de les mettre à la casse et de les refaire en entier.
Hollé !
Du joli travail, très « complexe militaro-industriel » à la Eisenhower puisque la planche à billets tourne à plein régime : 280 « avions » payés, dont un bon nombre par les gentils Européens. 280 à refaire et à repayer (« pas chers, promis ! ») et un produit final qu'on a peine à appeler un système d'armes tant il donne des sueurs froides aux aviateurs (quand ils ne tombent pas tout simplement dans les pommes parce que l'air qu'il respirent dans le cockpit leur empoisonne les poumons).
On s'amuse un peu mais le refrain est connu. Pour parler gentiment à monsieur Alexis Toulet, disons juste que ce refrain américain est connu jusqu'à l'overdose par les collègues russes. Depuis dix ou vingt ans ils voient le théâtre guignol de la techno pieuvre s'emparer avec gloutonnerie de l'ex-excellence aéronautique américaine pour en faire des choses étranges dont ils ont le secret (enfin un vrai secret !) comme le F-35. Le spectacle est très vivant et très hollywoodien, les Russes le connaissent et comme ils veulent faire eux aussi un très bon show, ils se gardent comme de la peste de toute imitation (éviter les copyrights peut-être ?) et font un truc à eux : le SU-57 par exemple. Comme le loup, il ressemble au F-35, il a les yeux du F-35, il a la tête du F-35 ...mais ce n'est pas un F-35 : c'est un avion, un vrai, qui vole un moment en s'appelant « prototype », qu'on essaie un peu et qui finit par voler tout court. Pas trop usine à gaz on espère, mais un bon truc russe, solide, avec de grosses machines dedans - y compris de belles trouvailles high-tech parce que ça marche bien, sans laboratoire de recherche insonorisé, sous atmosphère stérilisée et sans cage de faraday pour le garer le soir.
D'ailleurs monsieur Toulet, sans vouloir vous vexer (on reste amis) : le SU-57 n'est pas fait pour affronter le JSF F-35 ! C'est pour faire des grimaces au F-22. Avion d'appui tactique pour l'un (le F-35 camion à bombes); avion de supériorité aérienne pour les autres (F-22 et SU-57).
Le F-22 donc (le vrai frère de l'air du SU-57) été produit pour un parc annoncé de 750 avions. On a arrêté les frais après 187 appareils, 400% plus chers que prévus, les chaine sont démantelées. Il n'aurait d'ailleurs pas été exportable (avant un F-44 peut-être de 68ème génération). Le SU-57 probablement non plus avant un petit temps. Le F-35 se vend bien, merci, pour une seule raison : ses concepteurs ont obligé les heureux clients à s'engager (et à financer) le programme dès le lancement. Coincés. Sauf les Belges, s'ils arrivent à faire cesser leur jalousie dévorante de ne pas avoir été coincés comme tout le monde au bon moment en se coinçant maintenant, na !
Alors si les Russes déploient des avions de génération hollywoodienne, c'est parce qu'ils savent jouer aux échecs et surtout – surtout – parce qu'ils sont aux antipodes des modèles de développement industriels de la défense américaine ! On fabrique, assez peu cher (pas mal le SU-57 avec un budget de la défense dix fois inférieur au Pentagone), on essaie de pas trop charger en techno inutiles, on teste assez vite, si ça marche pas on laisse tomber et on fait autre chose.
Les « rodomontades » russes ont ceci de particulier qu'elles sont quotidiennement soumises à l'hypothèse du test de vérité (le vrai cette fois) : qu'un général américain veuille démontrer (et ils auront de plus en plus besoin de démontrer) qu'il est le plus fort et qu'il peut faire un carton sur les Russes. Si le SU-57 « ne marche », c'est embêtant. Mais il n'est pas là pour ça (et encore ?) Il communique un peu, il est beau mais surtout pour « les personnes informées (qui) savent bien à quoi s'en tenir » ses prototypes vont (avant les vrais) titiller l'US Air Force là où elle pense régner sans partage : les longueurs d'onde, les signatures, les petites choses dont US Air Force (Air Farce ?) va vite se voir confirmé qu'elle ne les possède plus toute seule – voire qu'il en existe d'encore plus pétillantes… On fait le pari ?
Le SU-57 en Syrie, c'est comme le lièvre et la tortue. Avec le corbeau et le renard en plus. Les personnes informées (qui) savent bien à quoi s'en tenir, cher monsieur Toulet, comprendront : on ne court jamais très vite avec un fromage.
EricRobertMarcel Basillais
26/02/2018
J'ai beaucoup apprécié le chapeau de M. GRASSET. Le texte de M. Magnier étant simplement approprié aux circonstances, quand celui de M. GRASSET voit loin, très loin devant et derrière à la fois…
Sur le caractère inhumain du processus, j'ai toujours quelques réserves quant à un Monisme larvé... Néanmoins, si on met de côté les questions ( toujours importantes pour moi) de formulations, M. GRASSET est sans doute le seul, parmi les Anti-systèmes que je croise sur le Net, qui sent bien le caractère d'impuissance des hommes les plus puissants de la Planète.
Ah ! Comme ils voudraient bien éviter l'escalade ! Ah ! Comme ils voudraient bien avoir le dessus définitivement afin d'imposer, à tant, la désescalade ! Ah ! Comme cela se dérobe à une vitesse frôlant celle de la Lumière ! Ah ! Comme ils en remettent une couche : IA, Robots, Drones, RailGuns, Qbits… jetant du combustible dans le brasier avec la meilleure intention de l'éteindre.
Manoeuvrer les psychologies, contraindre les corps, ils savent faire… mais la Technologie ... qui tient qui ? Effectivement tout cela ressemble à un processus inhumain, du moins dans lequel l'humanité est un simple accessoire, un peu comme l'ouvrier des Temps Modernes ! Exactement comme lui. Des Charlots ! Tous des Charlots ! Spectacle "gratuit" mais attention à la Pyrotechnie ...
Peut-on annuler le Final ? Réponse : Non.
Christian Feugnet
26/02/2018
C'est le "finale" qui m'accroche , j'aurais préféré decisive . La bataille finale , je la situais plutot du coté du Golan .
Peut étre que Trump et les déboires de Netanyahou anticipent là dessus , pour le pentagone , question moral des troupes , exclu d'envisager une défaite .
Celà dit vos débeloppements sont excellents , à l égards des turpitudes du moment . . .
Christian Feugnet
25/02/2018
Vous faites bien de précisez , ce dont vous parliez .
Ceci dit , le full circle est encore une façon facile , à mon sens , d'éviter de penser . C'est mieux que le mauvais infini du progrés linéaire .Comme pour les concepts , çà réduit l'extension mais limite la compréhension .
Il existe encore d'autres façons plus complexes de se représenter , avec plus de compréhension . le vortex , tourbillon crisique , qui lui méme peut étre dans un sens élargi ou rétreci . , combine , cercle et droite mais sans retour pour le cercle , et malgré un écart à chaque tour , ce méme écart peut étre aléatoire .
Il convient de se représenter celà à 4 dimensions , c'est à dire 4 axes orthogonaux ( 3 pour l'espace et un pour le temps ) .
Corrélativement en espace dit des phases , en 4 rapports espace temps , distance , vitesse , accélération , plus ,et c'est là que çà coince accélération de l'accélération . La compréhension spécifique du présent : où allons nous ? . Réponse évidente mais inopérante , vers l'anéantissement , jusqu où ? Puique le Néant , absolu n'existe pas , méme en poussiére nucléaire .
Pour poster un commentaire, vous devez vous identifier