jc
16/08/2018
La théorie thomienne des catastrophes élémentaires est une théorie des conflits entre quatre actants au plus. Les conflits les plus structurellement stables sont naturellement les plus simples: ce sont les conflits à deux actants, régis, selon la théorie thomienne, par la catastrophe "fronce".
Lisant assidûment Dedefensa depuis un certain temps maintenant, j'y vois la situation politique des nations occidentales se décanter au fil du temps, les conflits multipolaires évoluant, lentement encore il y a -disons- cinq ans puis de plus en plus rapidement -accélération de l'Histoire-, vers la situation conflictuelle la plus simple, la bataille rangée dans laquelle il n'y a plus que deux actants clairement identifiés: une "droîte" souverainiste opposée à une "gôche" globaliste. (avec un bonne chance de victoire pour la "droite" puisque c'est cette "gôche" sociétale-progressiste qui
L'humain est un "animal politique", un "zoon politikon", disait Aristote. La "gôche" actuelle, curieux mélange de globalistes ultra-libéraux et ultra-individualistes* et d'internationalistes socialo-communistes progressistes-sociétaux* (la gauche traditionnelle) régnant en alternance depuis maintenant plusieurs décennies, il me semble que la "droîte" (curieux mélange de ?) ait quelque chance de succès dans l'affrontement qui s'annonce.
Perso je suis pour un conflit à la fois plus simple -parce que plus clair- et plus élaboré, un conflit à quatre actants (conflit régi par la catastrophe "sexuelle"** de double fronce -en anglais double cusp-?), les femmes d'un côté (face à elles-mêmes dans leur conflit droite-gauche), les hommes de l'autre (face à eux-mêmes dans le même conflit), chaque genre visant chacun de son côté la synthèse (qui fait quoi?) avec le genre opposé (je vois en moyenne -mais chacun voit midi à sa porte-, les femmes (XX) plutôt conservatrices et socialistes et les hommes (XY) plutôt progressistes et individualistes)***.
*: Margaret Thatcher: "There is no such thing as society." L'humain est un "animal politique", un "zoon politikon", disait Aristote.
** selon Thom
*** Ce paragraphe peut être lu comme un commentaire de l'article de Nicolas Bonnal de ce jour: "Balzac et la rébellion des femmes".
jc
16/08/2018
PhG ne manque pas une occasion pour souligner qu'il n'aime pas l'histoire concoctée en Sorbonne. Et il lui oppose l'Histoire.
C'est pour moi dans la conclusion du tome II de "La Grâce de l'Histoire" que PhG concentre le mieux sa conception du Temps -qui n'est pas le temps concocté par les physiciens modernes -c'est-à-dire néo-classiques, et donc sa conception de l'Histoire. Temps suprahumain?
Il suffit de lire les parties II ("De l'âme poétique à la nostalgie") et III ("J'écris ton nom, Eternité") pour s'en faire une idée: les citations qu'il y fait de Fabrice Hadjadj et de Julius Evola (ce dernier au dernier chapitre), ainsi que les allusions aux façons de Maistre et Baudelaire de penser ce Temps indiquent la direction dans laquelle il développe sa conception de l'Histoire et du Temps.
Alain Connes dit ceci dans "Un passé qui bouge encore" ( https://www.youtube.com/watch?v=xngQofEG7ng ):
"Notre système philosophique est complètement non quantique, complètement classique. C'est-à-dire que nous, dans notre système de pensée, nous essayons toujours de reconstruire un passé qui soit cohérent. C'est-à-dire que nous essayons toujours, en fait, de réécrire une histoire qui soit logique, qui soit cohérente. Ce que dit le quantique c'est beaucoup plus subtil que ça: il dit que c'est quand nous poserons les questions au passé que le passé existera." (2'50)
Christian Feugnet
16/08/2018
J'apprécie ce qui devrait aller de soi . C'est symptomatique quand méme qu'il faille le dire ...
Christian Feugnet
16/08/2018
Face à la déconsidération populaire , à mon avis , se munir d'une auréole de Trumpisme pour les uns ou d'ultra gauchisme sociétal pour les autres est élémentaire et ne change rien sur le fond . Aucune mesure politique radicale sur le fond n'est au programme , ni méme envisagée . Ce qui serait selon moi , une vraie surprise .
Le glissement s'opére en faveur d'un globalisme nuancé assorti d'intériorimes accentués et c'est tout . Notion de Systéme et anti Systéme , globalisme de bon aloi si je puis dire , exclues .
Christian Feugnet
15/08/2018
Quand méme c'est pas une raison suffisante pour faire des confusions basiques . Des convictions politiques profondes , c'est une stratégie . Et une stratégie courte , de la tactique On est pas obligé de reprendre la narrative du systéme selon laquelle , Trump serait forcemment , par nature incompétent et sans stratégie , incohérent .
Le sénat par contre , trés cohérent , c'est toujours le business qui verse les commissions , donc çà va persister dans la néoconnerie et la rupture avec le peuple . Quelle surprise attendre ? Sauf dans le vocabulaire et la com , le vent , autant en emporte ...
jc
15/08/2018
[Remarque préliminaire
En relisant aujourd'hui le chapitre XXIII "Le temps changé en espace" de "Le règne de la quantité et les signes des temps" avec la conférence d'Alain Connes en tête, il m'apparaît une profonde similitude de vue entre Guénon et ... Thom, précisément entre le chapitre précité de RG et l'article "Structure et fonction en biologie aristotélicienne" de RT, similitude que je n'avais pas perçue lors de mes précédentes lectures.
Ainsi "Le temps dévorateur finit par se dévorer lui-même" de Guénon renvoie à "Le prédateur affamé est sa propre proie" que Thom associe à la catastrophe "fronce" et prend comme base pour ses modèles de l'embryologie animale.
Ainsi le centre dont parle Guénon renvoie au centre organisateur de la catastrophe "fronce", catastrophe qui se déploie en forme de tourbillon à partir de son centre organisateur pour ensuite se contracter en retournant à ce centre.
(Mais il me semble que la similitude s'arrête là, le temps -céleste- se transmuant en espace -terrestre- (et réciproquement) au cours d'un cycle complet pour RG alors que le cycle considéré par RT reste temporel, le temps aïon se transformant -"par implosion", écrit Thom- en temps chronos (et réciproquement -cette fois "par explosion").) ]
Temps rectiligne? Temps cyclique? Temps continu? Temps discret?
Pour RG le temps est "loin d'être homogène" et "rectiligne", "il est au contraire qualifié d'une façon différente par la manifestation à laquelle il appartient".
L'intérêt fondamental de l'approche d'Alain Connes me semble être qu'elle unifie toutes ces formes de temps (et bien d'autres). (Si elle s'impose elle pourrait réinterroger les "cyclistes", les partisans de l'éternel retour -RG?- .)
Techniquement l'espace de Hilbert peut être ainsi vu:
comme l'espace des fonctions de carré sommable définies sur la droite réelle (temps continu et rectiligne);
comme l'espace des fonctions périodiques de période 1, disons, de carré sommable (temps continu et cyclique);
comme l'espace des fonctions de carré sommable définies sur l'ensemble des entiers naturels (temps discret et rectiligne).
Le chapitre (très pythagoricien*) "La musique des formes" (de 34'40 à 40') traite de la transition entre ces différentes visions du temps (et de l'espace…).
* Pythagore a été, ai-je lu, le premier à théoriser la musique.
alain pucciarelli
15/08/2018
On a l'impression que des deux côtés de l'Atlantique, les mêmes logiques sont à l'oeuvre, à savoir une crispation des mondialistes (influence "clintonnienne") et une incapacité apparente de leurs adversaires à faire valoir d'autres valeurs, d'autres thèmes, une vision différente. Voir à propos de l'UE. Un "Trump français ou allemand" ne pourrait sans doute pas plus gouverner que M. Trump. L'américanisme, ses stratégies et ses impasses se sont imposés à nos "élites", et il est vrai que la tragédie US est à maints égards la nôtre, cette dernière étant à venir. A ce titre, pour reprendre un titre malheureux du Monde de M. Colombani, "nous sommes tous américains". Hélas.
D. M.
14/08/2018
Il me semble que William S. Lind n'a pas compris le fond du problème, ni la motivation qui pourrait en faire, disons, le scoop du moment.
Ce qui rend complètement explosive la possibilité d'une campagne de communication autour d'un sujet de ce type est bien sûr que son objet serait de dire, en faisant beaucoup de bruit autour de ce rien, ou de cet "incident-rien", si l'on préfère, de manière massive au public "vous voyez, nous défendons les droits"; "nous sommes même devenus des champions dans la défense des droits"; "nous sommes devenus le pays qui est le champion olympique de la défense des droits", etc. Vous le voyez, vous le constatez, vous l'admirez, vous le buvez, vous vous y noyez; nous ne laissons pas passer la moindre occasion, fût-elle infime, d'être vent debout pour défendre vos droits.
Et tout cela en s'appuyant sur des cas où le droit défendu est évidemment soit complètement ridicule (en France on a eu le débat sur le droit des poules en batterie à disposer de trois mètres carré, le droit des animaux du cirque, etc.), soit il concerne des gens qui sont si minoritaires que presque personne n'est concerné; et que même les gens en question ne s'intéressent pas à la chose qui leur "communicationnellement" accordée.
Le problème est que derrière cette défense inflexible et jusqu'au-boutiste du droit-jusque-dans-le-détail, le droit lui, je veux dire le vrai droit, est en train de s'effondrer.
En 2018, en France (comme dans le cas des USA), tous les grands principes de la Constitution sont violés.
L'état de droit est anéanti ou en voie de désagrégation dans tous les pays du bloc américano-occidental.
On pourrait même considérer que l'on est dans une sorte de système orwellien, où le slogan serait plus spécifiquement ici, du coup, du genre: "La défense du droit c'est l'anéantissement du droit", par référence au fameux 1984 d'Orwell où les slogans étaient "La guerre c'est la paix", "La liberté c'est l'esclavage", etc.
...Alors, cela vaut bien la peau d'un Marine, non?
EricRobertMarcel Basillais
14/08/2018
Certes, la Russie possède quelques années d'avance en termes mùilis… mais les USA sont la'rbre qui cache la forêt mondialiste : ceux-ci envisagent depuis 1988 la fin du $ ( et donc de l'euro) au profit du Phénix (The Economist).
Par ailleurs, même au prix de la destrction des USA le projet reste la mise à genous des résistants et l'instauration à la place d'Al Aqsa, dès que possible (25 septembre 2018 ?) du 3° Temple, manifestant l'eschatologie juive et en tous cas israélienne.
Enfin, l'aspect sataniste des moyens employés ( kabbale) ne laisse aucun doute sur le niveau de viciosité des attaques financières… pendant qu'on parle du cerveau malade de TRUMP, on passe sous silence ceux de la City de Londres ou de Wall Street ou de Bâle… etc
EricRobertMarcel Basillais
14/08/2018
D'accord avec Bendjelloun sur l'effet DOMINO.
Les mondialistes rêvent depuis 1988 ( Cf. THE ECONOMIST )d'un Phénix en 2018 : c'est le moment où jamais…
Ensuite, des considérations plus court termes entrent en jeu : mais elles s'inscrivent dans un projet ultra-long terme : cependant c'est au détriment du $...et bien sûr de l'Euro.
Fondamentalement, il s'agit d'une martingale visant l'unification monétaire mondiale, d'une part, et la mise à genoux des résistants.
Je note que le banque centrale turque reste à la BRI de Bâle…
jc
14/08/2018
Le problème du temps hante PhG. Pour preuve les 189 articles qui apparaissent lorsqu'on lance le moteur de recherche de Dedefensa sur le temps ("accélération du temps et contraction de l'espace" revenant très fréquemment dans ses articles).
PhG distingue le temps de l'éternité du temps de l'éternel présent, le "big now": " "big now" si vide de substance, si complètement abandonné au rien, où le présent est si totalement débilité et décomposé jusqu'à ne plus avoir qu'une pauvre peau parcheminée sur des os en voie de décomposition (...)" (Conclusion du tome II de "La Grâce de l'Histoire", p.433). distinction qui renvoie à l'opposition temps continu/temps discret.
Je viens de tomber sur une conférence du mathématicien français médaillé Fields Alain Connes intitulée "Le quantique, les mathématiques et le temps" qui devrait intéresser les guénoniens: https://www.youtube.com/watch?v=tLdQqsWPAKI
Voici quelques éventuels points d'entrée dans la conférence à leur attention.
Pour les mathématiciens et les physiciens théoriciens standard, le réflexe pavlovien est de se représenter le temps comme une succession d'instants, chaque instant discret (chaque "big now") étant repéré par un nombre réel, le temps lui-même étant représenté par la droite réelle (continue). Les paradoxes de Zénon, Guénon en parle, sont liés à la distinction entre ces deux représentations.
La distinction discret/continu est centrale en mathématique (et pas que):
Thom: "Pour moi, l'aporie fondamentale de la mathématique est bien dans l'opposition discret-continu. Et cette aporie domine en même temps toute la pensée.
Grothendieck: "Le thème du topos […] est ce «lit », ou cette « rivière profonde », où viennent s'épouser la géométrie et l'algèbre, la topologie et l'arithmétique, la logique mathématique et la théorie des catégories, le monde du continu et celui des structures « discontinues » ou « discrètes » [...]. Il est ce que j'ai conçu de plus vaste, pour saisir avec finesse, par un même langage riche en résonances géométriques, une « essence » commune à des situations les plus éloignées les unes des autres, provenant de telle région ou de telle autre du vaste univers des choses mathématiques."
Thom (qui n'appréciait guère les travaux de Grothendieck et de Connes -il a rétropédalé à la toute fin de sa vie):
"Aucun homme sensé ne peut nier qu'il fait la différence entre le passé qui est fixé, alors que le futur est plastique. On peut agir sur lui. Cette différence est fondamentale et elle n'est pas exprimable mathématiquement. Cela est tout-à-fait étrange. C'est cela qui m'amena à reconnaître le libre-arbitre humain."
Les travaux de Connes dissipant le sentiment d'étrangeté thomien?
Quelques passagzes marquants:
5': "La vraie variabilité ce n'est pas le passage du temps, la vraie variabilité c'est l'aléa* du quantique."
10': "Il n'est pas possible qu'une variable continue commute avec une variable discrète."
31'21: "l'aléa du quantique est le tic-tac de l'horloge divine"**
32'10: "On veut tout écrire en fonction du temps, on veut écrire une histoire."
(A partir de 35'40: Problème de Kac qui renvoie à Baudelaire récemment cité par NB:
"Comme de longs échos qui de loin se confondent
Dans une ténébreuse et profonde unité,
Vaste comme la nuit et comme la clarté,
Les parfums, les couleurs et les sons se répondent. »)
46'30: "Passer du non commutatif au commutatif c'est perdre le sens"*** (superbe analogie avec les anagrammes pour illustrer le propos)
1h03: "L'important ce sont les concepts", "je mets au défi l'intelligence artificielle de créer des concepts."
Note technique: la droite usuelle, dite euclidienne, de dimension 1, se plonge naturellement dans le plan usuel, également euclidien, de dimension 2, plan qui se plonge dans l'espace usuel de dimension 3. On peut imaginer l'espace usuel plongé dans un espace de dimension 4, et ainsi de suite (c'est de plus en plus difficile à imaginer). L'espace de Hilbert (réel) est le plus simple des espaces euclidiens de dimension infinie. Il a la propriété cruciale pour Connes d'avoir des représentations discrètes et des représentations continues (9'20).
*: Je suis étonné du choix de ce terme par un mathématicien réputé hyper-platonicien et hyper-déterministe.
**: H comme Horloge mais aussi comme (espace de) Hilbert.
***: On conçoit aisément l'énorme perte d'information obtenue en écrasant (on fait forcément de la bouillie!) le temps quantique de dimension infinie considéré par Connes sur le temps classique de dimension 1 (écrasement qui se lit sur l'équation de Schrödinger dans laquelle le temps est le temps classique de dimension 1 et dans l'interprétation aléatoire de la fonction d'onde qui y est faite?).
Christian Feugnet
14/08/2018
Pour formuler ç a en termes occidentaux encore obligatoires et en usage . Voilà un «emergent» endete en dollars qui en prend plein la gueule avec la remonte du dollar . Comme c est la regle . On mors a l amecon de taux bas et apres on finit dans le filet de la dette . Derniere lecon pour les Turcs avant de remettre une couche de terre sur Ata Turk et son reve occidental .
les occidentaux .les satisfaits ni voient que routine .C est surtout grave pour eux .
Didier Favre
14/08/2018
Je rejoins l’auteur sur l’idée que les USA se voient porteurs de la « bonne » vision du monde qui ne peut que leur assurer la supériorité, le succès et le bonheur et qui justifie toutes (absolument toutes) leurs actions à leurs yeux.
Ce qui me fascine dans cette idée est qu’elle est en congruence totale avec le politiquement correct. Je vois ces gens comme disposant d’une théorie généreuse qui doit assurer le bonheur de tous quelle que soit l’opinion de ces « tous » sur la théorie.
Ses défenseurs sont incapables de tout sentiment de culpabilité puisqu’ils sont antiracistes, LGBT, anti-anti-sémites et j’en passe. Leurs actions ne peuvent donc qu’être positives.
Ses défenseurs sont également incapables d’admettre tout échec. Ils ne peuvent pas échouer ou alors quelqu’un triche ou abuse de sa position dominante pour les bloquer. Ils ne peuvent qu’être vainqueurs ou injustement opprimés.
Je vois cette vision d’un USA militaire qui ne peut qu’être supérieur à tous les autres comme la raison de la placidité des politiciens pour les raisons que l’auteur donne. Cette supériorité morale a son apex dans le politiquement correct. Le résultat est un désarroi de tous les conservateurs face à cette idée. Ils ne peuvent pas se défendre contre elle. Elle est nouvelle, donc juste et doit assurer une nouvelle victoire des USA.
Le résultat est le F35 qui ne peut pas voler comme souhaité malgré le fait qu’il a été construit aux USA par les USA. Le résultat est un Pentagone qui ne peut pas être maîtrisé car il faudrait réguler un produit des USA par les USA. Le résultat est un échec de toutes les guerres un peu sérieuses depuis le Vietnam.
Je rejoins Jordan Peterson quand il considère que le monde est à moitié chaos et à moitié ordre. Les USA sont à 100 % dans l’ordre et ne peuvent pas ou plus imaginer que le chaos existe. Ils lui ont laissé le champ libre pour agir. Plus il agit et plus les USA se raidissent dans leur attitude anti-chaos. Je pense que l’auteur est d’accord avec moi puisqu’il décrit les USA comme faisant partie du Système (avec une majuscule).
Je me dis que cela nous annonce de bien tristes jours. Les USA vont se raidir de plus en plus et les élites associées feront de même. Admettre ne pas tout contrôler est intolérable pour ces gens. Ce serait la fin de leur légitimité face à moi et surtout face à eux-mêmes.
Je vois ce monde mûr pour une idée du monde acceptant l’échec comme une chose naturelle.
Christian Feugnet
13/08/2018
Reste que ça fasse le tour du complexe ça va etre long .
c est pas grave on est pas presse .
Christian Feugnet
13/08/2018
Alors j'en fais un autre , encore plus bas , par rapport aux salons et questions hautes convenues .
Un gosse , gréve la faim , est venu me proposer 10 ballots de paille , sachant que j'aime çà , je vais pas développer pourquoi , et d'aillieurs il s'en fout et vous aussi . s il me propose un bon prix , je vais faire affaire . c'est en dehors du fisc , du controle bancaire , vous réalisez ? Non , bien sur que non .
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