Christian Feugnet
17/08/2018
Y en a beaucoup qui pour eviter de regarder la vie en face , se cultivent dans le romantisme . C est pas la marche reelle du monde .
Pourquoi les Grecs seraient ils aller embrasser les Russes sur la bouche , pas par moeurs grecques mais pour avoir protection pour avoir leur independance . Pb des Turcs actuellement .
Christian Feugnet
17/08/2018
Pourquoi europe et us se sont acharnes sur la grece ? Parce dans la mer egee enormes reserves de petrole et de gaz largement suffisantes pour la dette . Mais alors les grecs seraient aller embrasser les Russes sur la bouche . Meme chose pour la Turquie ...et la Syrie .sauf que pour les Turcs faut pomper en biais .
Christian Feugnet
17/08/2018
En fait c etait la solution pour la vie .
Christian Feugnet
17/08/2018
Avant la monnaie , la valeur , la reproduction de l'espéce ( avec un plus nécessaire pour compenser les aléas négatifs des conditions par essence contraires ) . Aprés la civilisation , deuxiéme couche sur celle de la culture .
Au final s'y développent les dépenses en futilités , guerres et luxe lubrique .
Menace pour l'éspéce et plus particuliérement pour les femmes .
La derniére héritiére de l'Empire Romain , voulait épouser Attila .
Christian Feugnet
17/08/2018
and come back no more , no more , no more !
Hit the road Jack !
( mais jack s'accroche ....)
jc
16/08/2018
A propos de la Turquie (et des autres "émergents" en difficulté financière): voilà ce qui arrive à une contre-civilisation dans laquelle l'argent est devenu une fin et non plus un moyen.
A ce propos je vois l'effondrement du viaduc génois comme un symptôme tout-à-fait symbolique de l'effondrement contre-civilisationnel en cours. Ce que montre cette catastrophe*, selon moi, c'est que le dogme de la supériorité de l'efficacité de l'organisation actuelle du bloc occidental est à reconsidérer de toute urgence.
La finalité d'une entreprise (ici auto-routière) est d'assurer une fonction (ici la bonne circulation des véhicules); ce n'est pas de "gagner de l'argent". C'est la fonction qui est l'être premier, l'organisation lui étant subordonnée. C'est la fonction qui crée l'organe et non l'inverse**.
*: Selon moi la catastrophe du JSF, pour l'instant seulement virtuelle, va dans le même sens et s'explique par les mêmes raisons.
**: http://www.ina.fr/video/CPC7606652202 (39'45)
EricRobertMarcel Basillais
16/08/2018
INCENDIE le 25 septembre 2018 ?
1/ Qui tient la torche ?
2/ THE ECONOMIST (1988) a prévu la nouvelle monnaie PHENIX pour 2018…donc…
3/ AL AQSA est mûre pour l'incendie et la reconstruction du III° TEMPLE- TABERNACLE : les ventres creux et les poches vides, qui s'en souciera ? Surtout, c'est Sukkot, la fête des tabernacles où on monte à Jérusalem, au TEMPLE.
4/ Evidemment, rien de tel pour achever le MEGA - KRACH et le 10° anniversaire du précédent, rue du Mur (Wall St).
CONCLUSION : si j'étais SATANISTE et / ou LUCIFERIEN, c'est cette date symbolique que j'aurais choisie.
Mais je suis CHRETIEN : c'est le 50 ° anniversaire de la mort de Padre Pio.
jc
16/08/2018
La théorie thomienne des catastrophes élémentaires est une théorie des conflits entre quatre actants au plus. Les conflits les plus structurellement stables sont naturellement les plus simples: ce sont les conflits à deux actants, régis, selon la théorie thomienne, par la catastrophe "fronce".
Lisant assidûment Dedefensa depuis un certain temps maintenant, j'y vois la situation politique des nations occidentales se décanter au fil du temps, les conflits multipolaires évoluant, lentement encore il y a -disons- cinq ans puis de plus en plus rapidement -accélération de l'Histoire-, vers la situation conflictuelle la plus simple, la bataille rangée dans laquelle il n'y a plus que deux actants clairement identifiés: une "droîte" souverainiste opposée à une "gôche" globaliste. (avec un bonne chance de victoire pour la "droite" puisque c'est cette "gôche" sociétale-progressiste qui
L'humain est un "animal politique", un "zoon politikon", disait Aristote. La "gôche" actuelle, curieux mélange de globalistes ultra-libéraux et ultra-individualistes* et d'internationalistes socialo-communistes progressistes-sociétaux* (la gauche traditionnelle) régnant en alternance depuis maintenant plusieurs décennies, il me semble que la "droîte" (curieux mélange de ?) ait quelque chance de succès dans l'affrontement qui s'annonce.
Perso je suis pour un conflit à la fois plus simple -parce que plus clair- et plus élaboré, un conflit à quatre actants (conflit régi par la catastrophe "sexuelle"** de double fronce -en anglais double cusp-?), les femmes d'un côté (face à elles-mêmes dans leur conflit droite-gauche), les hommes de l'autre (face à eux-mêmes dans le même conflit), chaque genre visant chacun de son côté la synthèse (qui fait quoi?) avec le genre opposé (je vois en moyenne -mais chacun voit midi à sa porte-, les femmes (XX) plutôt conservatrices et socialistes et les hommes (XY) plutôt progressistes et individualistes)***.
*: Margaret Thatcher: "There is no such thing as society." L'humain est un "animal politique", un "zoon politikon", disait Aristote.
** selon Thom
*** Ce paragraphe peut être lu comme un commentaire de l'article de Nicolas Bonnal de ce jour: "Balzac et la rébellion des femmes".
jc
16/08/2018
PhG ne manque pas une occasion pour souligner qu'il n'aime pas l'histoire concoctée en Sorbonne. Et il lui oppose l'Histoire.
C'est pour moi dans la conclusion du tome II de "La Grâce de l'Histoire" que PhG concentre le mieux sa conception du Temps -qui n'est pas le temps concocté par les physiciens modernes -c'est-à-dire néo-classiques, et donc sa conception de l'Histoire. Temps suprahumain?
Il suffit de lire les parties II ("De l'âme poétique à la nostalgie") et III ("J'écris ton nom, Eternité") pour s'en faire une idée: les citations qu'il y fait de Fabrice Hadjadj et de Julius Evola (ce dernier au dernier chapitre), ainsi que les allusions aux façons de Maistre et Baudelaire de penser ce Temps indiquent la direction dans laquelle il développe sa conception de l'Histoire et du Temps.
Alain Connes dit ceci dans "Un passé qui bouge encore" ( https://www.youtube.com/watch?v=xngQofEG7ng ):
"Notre système philosophique est complètement non quantique, complètement classique. C'est-à-dire que nous, dans notre système de pensée, nous essayons toujours de reconstruire un passé qui soit cohérent. C'est-à-dire que nous essayons toujours, en fait, de réécrire une histoire qui soit logique, qui soit cohérente. Ce que dit le quantique c'est beaucoup plus subtil que ça: il dit que c'est quand nous poserons les questions au passé que le passé existera." (2'50)
Christian Feugnet
16/08/2018
J'apprécie ce qui devrait aller de soi . C'est symptomatique quand méme qu'il faille le dire ...
Christian Feugnet
16/08/2018
Face à la déconsidération populaire , à mon avis , se munir d'une auréole de Trumpisme pour les uns ou d'ultra gauchisme sociétal pour les autres est élémentaire et ne change rien sur le fond . Aucune mesure politique radicale sur le fond n'est au programme , ni méme envisagée . Ce qui serait selon moi , une vraie surprise .
Le glissement s'opére en faveur d'un globalisme nuancé assorti d'intériorimes accentués et c'est tout . Notion de Systéme et anti Systéme , globalisme de bon aloi si je puis dire , exclues .
Christian Feugnet
15/08/2018
Quand méme c'est pas une raison suffisante pour faire des confusions basiques . Des convictions politiques profondes , c'est une stratégie . Et une stratégie courte , de la tactique On est pas obligé de reprendre la narrative du systéme selon laquelle , Trump serait forcemment , par nature incompétent et sans stratégie , incohérent .
Le sénat par contre , trés cohérent , c'est toujours le business qui verse les commissions , donc çà va persister dans la néoconnerie et la rupture avec le peuple . Quelle surprise attendre ? Sauf dans le vocabulaire et la com , le vent , autant en emporte ...
jc
15/08/2018
[Remarque préliminaire
En relisant aujourd'hui le chapitre XXIII "Le temps changé en espace" de "Le règne de la quantité et les signes des temps" avec la conférence d'Alain Connes en tête, il m'apparaît une profonde similitude de vue entre Guénon et ... Thom, précisément entre le chapitre précité de RG et l'article "Structure et fonction en biologie aristotélicienne" de RT, similitude que je n'avais pas perçue lors de mes précédentes lectures.
Ainsi "Le temps dévorateur finit par se dévorer lui-même" de Guénon renvoie à "Le prédateur affamé est sa propre proie" que Thom associe à la catastrophe "fronce" et prend comme base pour ses modèles de l'embryologie animale.
Ainsi le centre dont parle Guénon renvoie au centre organisateur de la catastrophe "fronce", catastrophe qui se déploie en forme de tourbillon à partir de son centre organisateur pour ensuite se contracter en retournant à ce centre.
(Mais il me semble que la similitude s'arrête là, le temps -céleste- se transmuant en espace -terrestre- (et réciproquement) au cours d'un cycle complet pour RG alors que le cycle considéré par RT reste temporel, le temps aïon se transformant -"par implosion", écrit Thom- en temps chronos (et réciproquement -cette fois "par explosion").) ]
Temps rectiligne? Temps cyclique? Temps continu? Temps discret?
Pour RG le temps est "loin d'être homogène" et "rectiligne", "il est au contraire qualifié d'une façon différente par la manifestation à laquelle il appartient".
L'intérêt fondamental de l'approche d'Alain Connes me semble être qu'elle unifie toutes ces formes de temps (et bien d'autres). (Si elle s'impose elle pourrait réinterroger les "cyclistes", les partisans de l'éternel retour -RG?- .)
Techniquement l'espace de Hilbert peut être ainsi vu:
comme l'espace des fonctions de carré sommable définies sur la droite réelle (temps continu et rectiligne);
comme l'espace des fonctions périodiques de période 1, disons, de carré sommable (temps continu et cyclique);
comme l'espace des fonctions de carré sommable définies sur l'ensemble des entiers naturels (temps discret et rectiligne).
Le chapitre (très pythagoricien*) "La musique des formes" (de 34'40 à 40') traite de la transition entre ces différentes visions du temps (et de l'espace…).
* Pythagore a été, ai-je lu, le premier à théoriser la musique.
alain pucciarelli
15/08/2018
On a l'impression que des deux côtés de l'Atlantique, les mêmes logiques sont à l'oeuvre, à savoir une crispation des mondialistes (influence "clintonnienne") et une incapacité apparente de leurs adversaires à faire valoir d'autres valeurs, d'autres thèmes, une vision différente. Voir à propos de l'UE. Un "Trump français ou allemand" ne pourrait sans doute pas plus gouverner que M. Trump. L'américanisme, ses stratégies et ses impasses se sont imposés à nos "élites", et il est vrai que la tragédie US est à maints égards la nôtre, cette dernière étant à venir. A ce titre, pour reprendre un titre malheureux du Monde de M. Colombani, "nous sommes tous américains". Hélas.
D. M.
14/08/2018
Il me semble que William S. Lind n'a pas compris le fond du problème, ni la motivation qui pourrait en faire, disons, le scoop du moment.
Ce qui rend complètement explosive la possibilité d'une campagne de communication autour d'un sujet de ce type est bien sûr que son objet serait de dire, en faisant beaucoup de bruit autour de ce rien, ou de cet "incident-rien", si l'on préfère, de manière massive au public "vous voyez, nous défendons les droits"; "nous sommes même devenus des champions dans la défense des droits"; "nous sommes devenus le pays qui est le champion olympique de la défense des droits", etc. Vous le voyez, vous le constatez, vous l'admirez, vous le buvez, vous vous y noyez; nous ne laissons pas passer la moindre occasion, fût-elle infime, d'être vent debout pour défendre vos droits.
Et tout cela en s'appuyant sur des cas où le droit défendu est évidemment soit complètement ridicule (en France on a eu le débat sur le droit des poules en batterie à disposer de trois mètres carré, le droit des animaux du cirque, etc.), soit il concerne des gens qui sont si minoritaires que presque personne n'est concerné; et que même les gens en question ne s'intéressent pas à la chose qui leur "communicationnellement" accordée.
Le problème est que derrière cette défense inflexible et jusqu'au-boutiste du droit-jusque-dans-le-détail, le droit lui, je veux dire le vrai droit, est en train de s'effondrer.
En 2018, en France (comme dans le cas des USA), tous les grands principes de la Constitution sont violés.
L'état de droit est anéanti ou en voie de désagrégation dans tous les pays du bloc américano-occidental.
On pourrait même considérer que l'on est dans une sorte de système orwellien, où le slogan serait plus spécifiquement ici, du coup, du genre: "La défense du droit c'est l'anéantissement du droit", par référence au fameux 1984 d'Orwell où les slogans étaient "La guerre c'est la paix", "La liberté c'est l'esclavage", etc.
...Alors, cela vaut bien la peau d'un Marine, non?
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