Christian Feugnet
31/08/2018
Je rappele qu il avait du gout pour les arts et pas motive du tout pour le pouvoir . C est à cause de sa popularité qu il a été opté . Il adorait monter des spectacles .
Question à qui profite le crime , l incendie de Rome , formidable spectacle l a perdu de meme que sa popularité à laquelle il tenait tant .
Il avait pourtant un alibi en beton ,il etait loin des lieux .
Tout ça a finit par un suicide comme pour Hitler . Trump le suicide de l Americain ?....
Christian Feugnet
31/08/2018
Meconnus , trop derangeants pour nos egos .
Il a existe ,dans le theatre à Paris des tentatives pour inciter le public à participer au spectacle . Hapening en Anglais . Tele realite en post moderne .Il semble que lTrump nous fait du reel tele là.
jc
31/08/2018
Ces deux mots apparaissent dans le e-papier de NB, le premier de façon anodine.
Pour tenter de comprendre ce qu'écrit Guénon dans "Les fissures de la Grande Muraille" j'ai d'abord lu le chapitre précédent "Dissolution" dans lequel il est question de coagulation et de solution*, termes qui renvoient à des interprétations "alchimiques" soit bénéfiques -symboliques- (cristallisation et sublimation) soit maléfiques -diaboliques- (précipitation et entropisation**).
Selon moi nous sommes là au coeur du problème: soit le choix symbolique de la succession "naturelle" des civilisations (la sublimation contenant "en germe" la civilisation à venir), soit le choix diabolique de l'entropisation, de la néantisation, hélas celui de notre contre-civilisation.
Je suis profondément convaincu que ce problème crucial se retrouve en Science très exactement dans la récente querelle Thom-Prigogine, Thom défendant une position déterministe de principe***, contrairement à Prigogine***. Querelle provoquée par Thom, querelle qu'il a voulu violente****.
Aussi je vois dans l'article "Vers un effondrement de civilisation"***** du très prigoginien François Roddier un savoureux côté "Auto-fissuration dans la petite muraille de notre contre-civilisation".
*: qui renvoient au chapitre VI "Solve et coagula" de "La Grande Triade"
**: Entropisation me semble traduire correctement le guénonien "retour final à l'indistinction du chaos"
***: Thom: "En quoi est-il plus scientifique de faire appel au hasard que de faire appel à Dieu?"
****: L'article initiateur de la querelle a pour titre "Halte au hasard, silence au bruit" (Je ne l'ai pas lu)
*****: http://www.dedefensa.org/article/vers-un-effondrement-de-civilisation
Christian Feugnet
30/08/2018
Vu le contexte social aux usa plus le profil social et politique et ses prises de positions outrancieres , il ne peut que dechainer les passions a gauche .
Mais on a pas a ce jour d organisations subversives serieuses . Sauf a droite , a mon avis . Pour moi il s agit plutot la de stimuler lesx evangelistes qui ont aux states une influence electorale consequente . Trump doit les trouver trop mous à son egard .
jc
30/08/2018
L'écriture vomit les tièdes. (en non les faibles!)
jc
30/08/2018
L'écriture vomissant les faibles*, s'il y a guerre civile, les centres organisateurs seront donc, comme toujours, aux extrêmes: Wasp contre Antifa, Yang-Dieu contre Yang-Diable (Soros bien sûr): ça risque effectivement de chauffer vite et fort. La NRA va se régaler.
Une fois qu'ils se seront bien foutu sur la gueule (en espérant que leur guerre intérieure voyage mal à travers l'Atlantique -ce n'est pas gagné, nos cousins germains saxons se réveillent-), ils s'apercevront peut-être qu'ils auraient mieux fait de faire une guerre civile Yang-Yin, le feu contre l'eau (guerre civile que je vois avoir nettement plus de chance de se terminer en paix civile).
*: C'est dans la Bible.
EricRobertMarcel Basillais
30/08/2018
1/ Les USA sont nés vers 1600 (Mayflower) : ils ont donc 2 siècles pas trop modernistes au compteur de leur "culture" pour se rasséréner.
2/ Le thème du 1° amendement menacé est en vogue en effet. Or la CONSTITUTION est la vraie BIBLE des Américains… tout en découle. Donc gare ! Mais fondamentalement, c'est la mort du $, "crucifié" par les Globalistes et l'ensemble de la situation géopolitique et commerciale, qui sera le déclencheur réel.
3/ L'Evangélisme n'est pas un Christianisme, comme le Catholicisme ( traditionnel j'entends) ou l'Orthodoxie (non oeucuménique j'entends), mais je suppose que dans la propagande courante, c'est inaudible : les Evangélistes sont monothéistes (=anti-Trinitaires), comme le Juifs et les Musulmans, et SIONISTES par Religion. Donc Pence est un bon candidat pour les néo-cons et pour l'Etat profond, donc pour les Démocrates aussi, in fine.
Dans cette perspective, il n'y aurait pas guerre civile mais guerre tout court... Je suppose, enfin, j'espère, que TRUMP garde ça dans sa manche pour bientôt. Un signe ? POUTINE a déjà entamé les commentaires anti-Etat-Profond-USA, ce qui ne lui ressemble pas ; d'autant moins que la Russie est constament accusée d'ingérence aux USA…
F. de L.
30/08/2018
La gauche, elle est radicale, ultra, extrême. Le reste, il est… il n'existe pas. Il est. Tout simplement.
Cette façon de désigner le courant populiste, qui faute d'être parvenu à prendre le pouvoir au travers de Trump et Sanders, tente maintenant de prendre le pouvoir au travers de ce qui est désigné par TOUS les commentateurs, pro et anti-système comme des "ultra".
Qu'ont-ils d'ultra ? Ils font exploser des bombes au milieu des mariages ? Ils assassinent les habitants dans leurs jardins parce qu'ils tiennent un téléphone dans leur main ? Ils enferment en prison par millions pour un problème de stationnement ?
Ils sont populistes. Alors ils sont ultras.
Ils veulent une société pacifiée, y compris pour toutes les minorités. Alors ils sont "sociétal-prout".
Convenons-en, ces gens sont noyautés. Soros et d'autres tentent, ont tenté d'utiliser, ont utilisés ces mouvements.
Ceci dit, là où je souhaite en venir, c'est qu'il y a un choix des mots. Et ce choix est loin d'être "antiSystème". Et venant de la part de réseaux qui se disent tels, il y a comme un paradoxe drolatique… si ce n'était pas si triste.
jc
30/08/2018
Pendant que NB nous plonge ou replonge ce jour dans "Le règne de la quantité et les signes des temps", je me plonge dans "La Grande Triade", précisément dans les six premiers chapitres, dont le quatrième "Yin et Yang" (qui me renseigne beaucoup plus que le chapitre XXII de "Le symbolisme de la Croix" sur la façon, pour moi yang -yang-abrahamique?- qu'a Guénon de voir les choses).
Maître pour Maître, je confronte la connaissance* que René Guénon a de ces choses avec la vision*, pour moi yin, d'Alexandre Grothendieck telle qu'elle transparaît dès les premières pages de "La clef des songes ou dialogue avec le bon dieu". C'est ainsi que je différencie ces deux maîtres -vus de mon divan, bien entendu-.
Ce qui m'intéresse c'est de tenter une interprétation "à la yin-yang" de la phrase de Daniel Rops "Dans cette lutte prodigieuse entre la matière rétive et la volonté créatrice" (pour moi, "matière rétive"-yin vs "volonté créatrice-yang", bien sûr).
Sur mon divan un "yang" est pour moi quelqu'un qui verra la "volonté créatrice" descendre du ciel et féconder la "matière rétive" comme un éclair déchire la nuit. Lumière aveuglante qui aura plutôt tendance à occulter les profondeurs des ténèbres plutôt que les éclairer. Alors qu'un "yin" verra l'idée comme une lumière infiniment ténue au plus profond des ténèbres ("Et lux in tenebris lucet…"...). (Le dernier titre du chapitre III de "La clef…" est: "Dieu parle à voix très basse…"**.)
*: "Connaissance" opposé à "Vision", "Connaissance" opposé à "Inconnaissance", "Connaissance" opposé à "Doute", "Connaissance" opposé à "Foi": Cf. "La clef…", note pp.19 et 20.
**: Dans le chapitre III de "La Grande Triade" la terre carrée est placée à l'intérieur du ciel circulaire. Attitude selon moi typiquement "yang". Alors qu'un "yin" placera le cercle -parfois très petit…- à l'intérieur du carré.
EricRobertMarcel Basillais
30/08/2018
Pendant que Bonnal expose la théorie Guénonienne des influences maléfiques non contrebalancées par l'effet du MATERIALISME, le Bourgeois ("Orthodoxe" celui-ci ?) Orlov se lamente sur l'absence d'un EMPIRE peu ruineux et propre à maintenir intacts ...les flux commerciaux…
Puiqu'il: faut rappler les influences supérieures :
"Car il est plus facile à un chameau de passer par le trou d'une aiguille qu'à un riche d'entrer dans le royaume de Dieu". (Luc 18 : 25)
Christian Feugnet
30/08/2018
En fait l'Atlantide n'a pas été imaginée par Platon , avant y avait eu le déluge chez les hébreux qui le tenait eux mémes des Sumériens , et d'autres peuples . Le mythe est trés commun . Il est certain que ce n'est pas la premiére fois que les poles partent en ballade et que par toute puissance des Sages , on attribue celà à nos comportements coupables en civilisation . Bien sur dans tous les cas , faut plaider coupable , parce qu'au moins on aurait du en éviter les pires effets .
Christian Feugnet
30/08/2018
Pour moi non , pas plus que par anatonie comparée de Cuvier on ne puisse déduire , à partir d'un bout d'os , le squelette , la musculature , le mode alimentaire et de locomotion de la béte .
"Deduire" , avec guillemets , parce que la méthode est un drole de raisonnement , c' est une enquéte policiére , qui va du fait au fait , et reconstitue par chronologie . La méthode elle méme évolue , pas bon çà pour les autorités établies ...
Ni Ando
29/08/2018
“Et puis une révolution est effectivement survenue. Pas du tout celle qu’on attendait et même à l’opposé de celle qu’on attendait. On croyait pouvoir la faire. Elle nous a pris par surprise. Nous ne l’avons même pas vue se produire car il s’est agi d’une révolution silencieuse, d’une révolution invisible, d’une révolution sans nom ni visage, sans acteur manifeste pour la porter du type de ceux qu’on avait cru pouvoir identifier dans le passé. Mais une révolution quand même puisqu’elle nous a fait changer de monde sur tous les plans. Cette révolution qui se déclare dans la seconde moitié des années 1970, consécutivement au choc pétrolier de la fin 1973 qui aura joué comme son déclencheur, cette révolution qui se répand par des vagues désormais bien identifiées avec la mondialisation libérale est tout à la fois une révolution industrielle, une révolution technologique, une révolution culturelle, une révolution sociale. Nous en parlons tous les jours. Financiarisation du capitalisme, entrée dans l’ère numérique, individualisation des sociétés, postmodernisme culturel. Ces ingrédients nous sont familiers. Mais c’est une révolution de l’échappée de l’histoire à notre prise, une révolution de l’échappée du cours de l’histoire à la maîtrise réfléchie des acteurs.
Au rebours de ce qu’était la marche antérieure de nos sociétés qui paraissait nous promettre les instruments d’une histoire davantage voulue en conscience et maîtrisée, cette révolution nous a jetés dans une histoire subie à laquelle nous contribuons malgré nous, nous ne pouvons pas ne pas y contribuer, mais dont le cours nous échappe et dont il est vain d’espérer détecter la direction. Aussi bien d’ailleurs que de lui assigner un quelconque aboutissement. Nous avons beau savoir que nous faisons cette histoire, l’expérience que nous en avons au quotidien ne nous laisse plus espérer que nous pourrions savoir ce que nous en faisons. Elle est un produit de notre action qui se soustrait à notre réflexion. En profondeur, elle cesse d’être même d’être vécue comme une Histoire en mesure de relier un passé intelligible avec un avenir plausible. Il ne reste plus qu’un chaos d’interactions obscures, sans passé auquel les relier ni futur identifiable qui pourrait en surgir. C’est de cet effacement, remarquons-le au passage, que naît le règne du présent. S’il n’y a plus ni passé auquel référer les actions au présent ou futur identifiable à partir de ces actions au présent, il ne reste effectivement que le présent. C’est cela le noyau du présentisme contemporain. L’idée d’Histoire comme référent collectif par rapport auquel se situer s’est évanouie. Et je crois qu’il ne faut pas aller chercher ailleurs le secret du brouillage des identités politiques.”
Marcel Gauchet, Qui sont les acteurs de l’histoire ?, conférence au 17e Rendez-vous de l’Histoire, Blois, 10 octobre 2014
https://institut-iliade.com/abecedaire-europeen/lettre-r/
Christian Feugnet
29/08/2018
Suicidaire ? Pas vraiment ..
La fed fait mine d augmenter ses taux mais ne peut pas sinon il y suicide effectivement et bain de sang aux usa .
Déjà .ca devrait etrangler les emergents les jeter dans une crise genre annee 90 . On en a les premisses mais c est tout , la Crise du siecle tarde .
Au lieu de cela on a le franchisement a la hausse du nasdaq et bientot du s and p . (Rien à voir pour autant avec l economie relle us ) .
Pire a partir du cours du bitcoin et d une correlation avec l indice des emergents on a les premier signes de la deroute de Dark Vador .
voir une video sur youtube d une excellente et rare analyse ou cette correlation est mentionnee .
ça s appelle crypchain #71 . ( ne pas se laisser blocquer par le vocabulaire esoterique , c est tres simple .
Lea
29/08/2018
Bonjour, Philippe Grasset
Je cite Orlov, "La première implique la traversée d’un “âge sombre” multiséculaire, comme ce fut le cas en Europe occidentale après l’effondrement de l’Empire romain occidental."
Oulah, on croirait lire du Michelet dans le texte. "L'âge sombre" médiéval, c'était aussi la fin de la colonisation romaine, la lente progression des nations souveraines à travers les réseaux d'alliances de la féodalité, le rayonnement de l'Occident chrétien, la fin de l'esclavage (remplacé par le servage, ce qui n'était pas beaucoup mieux mais déjà nettement moins pire), l'interconnection et les échanges culturels incessants avec l'Orient via les Routes de la soie et des épices, et ne parlons même pas du prestige intellectuel d'ordres monastiques tels que les Cisterciens, de la naissance des universités, du développement exponentiel du commerce maritime avec notamment, à l'époque de son zénith, la Ligue hanséatique qui englobait des villes entières, de la propreté (un bain par jour, une habitude qui s'est perdue à la Renaissance), etc .
Sinon, le retour du "romanisme" à la Renaissance a ramené les charmantes moeurs romaines, dont l'impérialisme et l'esclavage…
Orlov est ingénieur et pas historien, c'est clair. Tenez, au fait, ça me rappelle une expo vue à la Cité des sciences de Paris, "Quoi de neuf au moyen-âge". Je vous donne le lien sur le site, rubrique "Idées reçues sur le moyen-âge". Ça aurait bien aidé Orlov à ne pas rajouter une couche à la désinformation ambiante.
https://www.inrap.fr/magazine/Idees-recues-sur-le-Moyen-Age/Accueil#.W4arlzeYMdW
Guénonement,
Lea
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