Forum

Je vais remonter , avancer mon toit malgré la canicule .
Hulot , notre nouvel héros , peut étre saint , vu çà naiveté de ministre d' etat , crucifié entre le bien et le mal . Comme tout écolo Malthusien se doit , Cohn Bendit lui c'est entre le foot et la politique . Ce qu'on oublie comme Malthus , en tant qu  urgence sociale coupable , c'est qu'elle est  source comme la misére ou méme les rats meurent , de pestes. Du fait que mémes les puces des rats et les microbes qu'elles transportent sont en misére . Ce qui devrait les faire réflechir , un peu plus , ce qui  n'épargnent pas les riches et les biens pensants , au contraire , puisqu'au coeur des relations sociales . La verité , c'est qu'aprés , comme en temoigne dejà , le decameron , les pauvres se permettent d'étre insolents .

Dans "Solution et entropie.1" j'ai rangé Thom du côté des "signes des temps" (et Prigogine du côté du "règne de la quantité"). Après relecture plus attentive des premiers chapitres de "Le règne de la quantité et les signes des temps", je me demande si Guénon et Thom ne sont pas également du côté du règne de la quantité (alors que dans un survol très rapide j'ai classé le règne de la quantité du côté de la Modernité et les signes des temps du côté de la Tradition).

Dans le chapitre II Guénon distingue "quantité discontinue, qui est proprement le nombre" et "quantité continue, qui est représentée principalement par les grandeurs d'ordre spatial", range saint Thomas d'Aquin plutôt du côté du discontinu et Descartes du côté du continu, et conclut son argumentation par: "En définitive, c'est bien le nombre (...) qui doit être considéré en premier lieu dans le domaine de la quantité. (Ce qui me conforte dans mon choix de ranger Prigogine et Roddier du côté du règne de cette quantité-là, et donc de la Modernité.)

On sait que pour Thom l'opposition discontinu/continu domine non seulement les mathématiques mais encore toute la pensée. Et Guénon et Thom ont les mêmes vues sur le continu. (Pour preuve leur vision commune des paradoxes de Zénon -qui va à l'encontre de celle de la majorité des scientifiques- et la citation suivante de Thom comparée à une note de bas de page de Guénon:
"Où se trouve le monde réel, l'univers concret où nous vivons? La réponse est simple: le monde réel se trouve dans l'abîme qui sépare le véritable continu, celui que nous procure l'intuition immédiate du temps, du faux continu pseudo-numérique que nous fabriquent les logiciens et autres théoriciens des fondations de la mathématique.".)

Dans le chapitre IV Guénon rejette le continu pseudo-numérique spatial cartésien, qu'il qualifie d'espace "homogène" et "vide", et aspire à un espace "qualifié", "espace, non point homogène, mais déterminé et différencié par ses directions". Guénon décrit avec une netteté que je trouve admirable de la part d'un non mathématicien* l'espace "qualifié" qu'il a en vue et à propos duquel il écrit qu'il pourrait "rendre à la géométrie, en grande partie tout au moins, le sens profond qu'elle a perdu". Et il saute aux yeux du matheux** que je suis, que l'espace "qualifié" qu'il décrit n'est autre que l'espace projectif de dimension 3***.

(Au flair**, en géométrie projective ce ne sont pas les distances linéaires qui comptent comme c'est le cas en géométrie euclidienne mais les distances angulaires. En bonne logique on devrait ainsi parler de tricôté -et de tricôté équilatéral- en géométrie euclidienne, réservant le terme de triangle -et de triangle équiangle- à la géométrie projective.)

il ressort de la lecture du chapitre IV que Guénon n'est pas opposé au règne de la quantité continue représentée par l'espace projectif (de dimension 3).

Dans le chapitre I Guénon nous dit que la première des dualités cosmiques traditionnelles est la dualité essence/substance, alias forme/matière, Purusha/Prakriti, etc.  Thom n'est pas de cet avis: pour lui la première dualité cosmique est la dualité discontinu/continu (pour lui c'est l'opposition discret/continu qui domine toute la pensée), ce qui le place du côté du règne de la quantité au sens de Guénon. Thom s'oppose donc à la Tradition en général et à Aristote en particulier, Aristote refusant que la matière soit un prédicat de l'étendue.

Il me semble que les considérations de Guénon concernant l'espace "qualifié" laissent entrevoir la possibilité que ce dernier ait pu être favorablement disposé envers la position thomienne s'il l'avait connue.


*: En mentionnant l'analysis situs au chapitre IV Guénon montre qu'il ne connaissait pas en 1945 sa nouvelle -et toujours actuelle- dénomination de topologie, et qu'il n'était donc pas au courant des travaux pionniers de Hausdorff (1914) et Kuratowski (1922) concernant les espaces topologiques (travaux qui auraient peut-être pu influencer sa position)

**: Troisième couteau, émoussé

***: L'espace projectif de dimension n est classiquement défini comme l'ensemble des directions de droites -non orientées, de là vient la difficulté d'imaginer ces espaces- issues d'un point de l'espace euclidien de dimension n+1 pris pour origine. L'espace projectif de dimension 2 et ses représentations en Cross-Cap ou en surface de Boy est très prisé par Lacan:  https://www.jp-petit.org/nouv_f/lacan_jpp.pdf
 

Supposons que le hasard n'existe pas . Le biologique se rebiffe , bien au delà . Maladies veneriennes et "pestes " ont un rapport étroit avec la société . Culture ou civilisation . Ou encore rapprochements et éloignements , au sens kynestesique . Pour précisez en psy moderne , les défenses du moi , empiriques comme pour Freud qui nous fait une liste à la Prevert ou scientifique ( on en trouve alors 24 , pile poil , logiquement on a fait le tour , c'est complet ) et c'est selon l'axe de la distance . Etonnant :  seduction , cadeau , sont  des défenses : et agressions de faux éloignements . Maladies veneriennes : rapprochements coupables , Pestes , ( çà vient toujours de loin ) c'est l'éloignement qui est coupable . Nous sommes comme des herissons si on se rapproche trop , pour se rechauffer à cause du froid ,( culture )  on se pique , si on s'éloigne , comme civilisés , on a froid .

Parmi les crimes , il y en a un spécial , celui contre soi méme : le suicide .. Le cancer à ce coté étrange , d'étre physiologiquement soi contre soi méme , comme si le biologique ce rebiffait .

Pas seulement celle des enfants . Pourquoi , en effet doit on mourir , malgré tout le bien qu on aurait pu faire ? Le Pire , qui justifie le crime ,  étre comdamné à étre mort-vivant !

En généralisant grace à l'exemplarité de l'évenement .
On a le fondement de l'appareil religieux .. Une religion vient toujours à mon avis remplacer , compenser , un ordre social et culturel désuet , comme le christianisme , l'Empire ; alors qu il  a contribué à sa perte .Deux Pontifes ne pouvaient se croiser sans rire nous dit on . On surcompense par la communication , tel un spectre vient hanter les vivants , se venger de sa mort injuste .

Ce matin j'ai ouvert ce site exactement pour trouver celà . Du coup on comprend là la popularité de Trump en ce que obstentoirement il ne souscrit pas à ce conformisme hypocrite . On y reconnait dans ce conformisme , les ressorts psy religieux où sous pretexte de compromis on se compromet . Vous qualifiez celà de satanique , il y de celà , j'aurais plutot utilisé Antéchrist en ce que celà preserve les apparences du bien , alors que le satanisme , selon moi revendique le Mal , ouvertement .

J'ai oublié de terminer mon commentaire "Pensée magique et pensée délirante" par mon prosélytisme thomien quasi-quotidien. Le voici:

Thom: "La théorie des catastrophes, anti-magie par excellence, pousse à l'extrême le principe de localité: c'est sans doute pourquoi elle n'offre guère de possibilités pratiques nouvelles."

Il me semble que la mécanique quantique, en l'état actuel, fait exactement l'inverse: elle pousse à l'extrême le principe de non localité, ce qui la rend inintelligible pour Thom (et pour moi, cela va sans dire).

Cet article d'Orlov n'est pas, selon moi, un grand cru, loin s'en faut. Je pense qu'un titre tel que "Pensée délirante et Realpotik" aurait été plus adéquat.

(Thom décrit avec précision ce qu'est pour lui la pensée délirante dans SSM (p.319, 2ème ed.), dans une section du dernier chapitre "Pensée et langage", section intitulée "Trois grands types d'activité humaine: l'art, le délire et le jeu".)

Il est clair à mes yeux que Newton et ses "Principia" ont imposé les forces de gravitation et l'action à distance dans notre monde moderne, et donc imposé une science magique. Les cartésiens de l'époque s'y sont opposés, ai-je lu, avant de se résigner.

Il a fallu attendre Einstein et la relativité générale pour séparer nettement la science de la magie à propos de la gravitation. Et la géométrie a joué un rôle essentiel pour opérer la distinction.

Thom: "La géométrie est une magie qui réussit. (...) Et réciproquement (...)" (SSM 2ème ed. p.12).
Thom: "La physique est une magie contrôlée par la géométrie."*.

Guénon, quant à lui, met dans le même sac la science moderne et la magie: "au dernier rang des applications secondaires et contingentes, parmi celles qui sont le plus éloignées des principes, donc qui doivent être regardées comme les plus inférieures de toutes"   (  http://alsimsimah.blogspot.com/2012/09/magie-et-mysticisme-rene-guenon.html  ).

Pensée magique, action magique, pensée délirante, action délirante: la voie est toute tracée pour DC-la folle (qui a déjà fait un bon bout du chemin).

Thom: "[En langage mathématique] c'est la géométrie qui évite le décollage sémantique de l'algèbre." Et Thom pense qu'il en va de même pour le langage naturel (il n'est donc pas, pas du tout, nominaliste). La géométrie est pour Thom un garde-fou sémantique, peut-être même l'ultime garde-fou.

*: Le nominaliste Paul Jorion, qui adore jouer dans la cour des grands, écrit p.192 dans son livre majeur "Comment la Vérité et la réalité furent inventées" (essai-pamphlet anti-platonicien publié chez Gallimard): "Ce n'est pas tellement donc que, comme le dit René Thom, "la physique est une magie contrôlée par la géométrie", mais que "la physique est une religion contrôlée par des noms communs.".
 

Philippe Grasset prend acte de l’effondrement en cours du Système. Même Wall Street avec ses chiffres mirobolants ne peut plus nous y enfermer. Les barreaux posés durant les années 80 sont rouillés. La seule discussion en cours chez les anti-Système est la forme de cet événement.

Trump note, et Grasset avec lui, que « Le niveau de haine et de colère est absolument incroyable de puissance. » Trump a mis le désordre dans le monde des « progressistes ». Ils le haïssent passionnément pour cela et ils provoquent une rage plus discrète mais que je crois volontiers tout aussi intense contre eux. Le résultat sera désastreux pour les USA. Le mystère, pour PhG, est que les USA n’en sont pas du tout conscients.

Nous sommes distraits par l’antiracisme, l’homophobie, l’écriture inclusive, les agressions sexuelles, la transphobie, le LGBTetc… Toutes ces questions nous évitent de nous demander ce qui se passe avec Wall Street, les ressources minières, les professions avec une activité sensée, la disparition des espèces, la pollution, la menace de guerre nucléaire, le pouvoir de l’argent à travers les lobbies, le rôles des banquiers, l’introduction des robots et des intelligences artificielles dans le désastre actuel. Ce ne sont que quelques unes des questions qui se posent à nous et que je peux imaginer. Le niveau d’inconscience nécessaire pour éviter de regarder ces questions dont notre réponse décidera de notre vie ou de notre mort est extraordinaire. Il faut s’effacer l’esprit ou se le faire effacer pour arriver à ne pas voir ces choses. Cette effacement de la conscience doit être parfait. Tout accroc à ce travail exige de tout recommencer très vite.

J’admire bien malgré moi la qualité de cette oeuvre. Ainsi le système financier désastreux qui régule nos sociétés n’a aucune importance quand il est comparé au problème vital, essentiel, existentiel et je ne sais pas quoi encore de l’homophobie dans le monde actuel. C’est une forme d’inconscience provoquée par une puissance extraordinaire et même surhumaine.

Deux figures mythiques rendent compte de cette inconscience. Lucifer était un ange déchu qui s’est aveuglé par son intelligence. Son nom signifie « le porteur de lumière ». Il a été associé à Prométhée plus d’une fois.
La façon dont le déconstructionisme, le post-modernisme, le structuralisme sont passés dans le monde académique des idées me fait croire à une action d’une intelligence de ce calibre. Elles ont été possibles par les Lumières (nom approprié). Le Cartésianisme a rendu les Lumières possibles. Nous avons atteint la théorie du genre et le rejet de la réalité. Je suspecte de nous avoir donné ses lumières dans ces théories.

Le second se nomme Satan et est dit « Le Diviseur ». Il nous fait nous regarder avec, au minimum, méfiance. Il nous fait nous haïr les uns les autres avec toute l’intensité dont il est capable de nous inspirer.
Prenez simplement la notion de Jihad appliquée par l’Etat Islamique. Elle me fait me demander si je peux faire confiance à tout Musulman que je peux croiser. Ce Jihad sépare les Musulmans des non Musulmans et justifie toute haine que les premiers peuvent ressentir face aux seconds sur cette base. Ils connaissent Satan sous le nom de Shaïtan.
Ce diviseur est en action chez tout le monde. Il fait du « bon travail » comme disait un ministre des affaires étrangères bien connu. C’est du si « bon travail » que je crois que quelque chose de plus qu’humain s’occupe d’attiser nos divisions.

Lucifer nous a donné des théories dont l’ombre d’une mise en doute provoque des réactions hystériques chez leurs adeptes. Satan s’est allié avec lui en attisant la haine nous séparant.

Y a pas photo . 1 h exactement apres , celle de Chicago , pas de New York . Chicago c est le paradis de la pensee magique financiere . Les derives . C est pas beau ça . Je fais un autre pari magique . La sec mi sptembre va enteriner la creation d etf sur le bitcoin . Ç a va le propulser to the moon . Dans quinze jours je fais peter le champagne .potion magique .

J ai des news , de google , j 'ai rien demandé , qui m'arrivent . Des études trés serieuses , entr autres ,banque centrale des Pays  Bas ,  çà rigole pas , et d autres qui vont dans le méme sens . 
Le bitcoin aurait pas finit d'éclater sa bulle euphorique . Or çà fait un moment que je soupçonne le contraire . Et çà pourrais aparaitre dans l'heure qui suit , au réveil des Américains .
Qui autre constat ,  boostent le bitcoin , alors qu'avec l'Europe ou plutot l' euro , çà dort .
C'est sur le point de franchir un seuil où l'on repart dans l'euphorie justement . Tout çà c'est beaucoup de pognon , pensée magique ? pas vraiment , je crois ..

Strictement avec Aristophane on est plus dans la Tragedie , les acteurs ne portent plus de masques , ils sont «vrais» . Comme Nicolas Hulot et peut etre , au travers de lui , ce si sympatique  President. 
Pas confondre sympathie et empathie ,si on veut distinguer amis d ennemis .

M; Orlov s'abonne décidément à des papiers pires les uns que les autres. Ses débuts dans la Collapsologie arguant d'expériences soviétiques étaient pertinents. Mais le virage libéral-impérialiste (Lénine…) de sa "ligne" en fait un bon petit soldat "symétrique" de la délirante pensée magique qui tient lieu de fond de commerce aux propagandistes de guerre.

Les entendre de surcroît (c'est systématique, voire obsessionnel ?) expliquer que des miracles ne sont pas scientifiques est assez ... magique.

Quelle bonne âme  en contact avec ce Matérialiste invétéré lui expliquera qu'il existe une démonstration logique de la possibilité de TOUT ce qui est écrit dans le "Credo" magique dont il parle ? Et bien davantage !

Cela dit, je reconnais au moins à M. Orlov,  d'admettre que la Politique, c'est-à-dire la guerre par d'autres moyens, est une forme spéciale ( et spécialement perverse) de RELIGION.

Que ce soit le Capitalisme Calviniste et Puritain, ou Kaballo-Talmudiste Nasi, ou Nazi, Marxiste, Maoïste, Islamique, ou Franc-Mac… sans oublier, bien sûr le Catholicisme Borgia et Bourgeois et j'en passe… une fois qu'on a fait ce constat d'une quasi-universalité du fait religieux désacralisé dans le "monde moderne", que reste-t-il à en conclure ?

Cette conclusion n'effleure pas M. Orlov : son "job" c'est de viser l'OTAN et les forces qui vont avec…. "OK". Mais qu'il se vautre alors comme ses alter ego de "DC -la-folle " dans le délire "copié-pissé" . Car dans le créneau "intello", il se couvre de ridicule et avec une régularité qui force l'hillarité ...

Je dis cela non pour soutenir l'OTAN, qui occupe la France, mon pays… cela se saurait à la longue… mais tout simplement parce que c'est inepte et contre-productif, eu égard aux objectifs propagandistes affichés par le propagandiste lui-même…

C'est dans le texte de NB.

Pour les matheux l'intuitionnisme a un sens précis qui renvoie à l'abandon du principe du tiers exclu (c'est ce qu'on en retient en général) mais, fondamentalement selon moi, au constructivisme, ce qui fait que je classe yang cet intuitionnisme-là*.

En parcourant "Le règne de la quantité et les signes des temps" je me suis aperçu qu'il était question d'intuitionnisme au chapitre XXXIII. Après lecture en diagonale je me suis rapidement rendu compte qu'il ne s'agissait pas du tout de la même chose, Guénon y critiquant (à boulets rouges!) l'intuitionnisme de Bergson (visant sans doute l'évolutionniste -horreur pour Guénon?- de "L'évolution créatrice") et son infra-intuition puisée dans les bas-fonds du psychisme animal.

Les seules lignes que j'ai lues de Bergson concernent les paradoxes de Zénon. Et j'ai nettement préféré les explications** que donne Guénon à ce sujet dans "Les principes du calcul infinitésimal" -de mémoire ...-. Pour cette raison j'ai a priori plus de sympathie pour la position de Guénon que celle de Bergson en ce qui concerne l'intuition.

A priori seulement. Quid en effet, pour un guénonien, des intuitions de Grothendieck -d'origine juive, cf. la remarque finale- (intuitions qu'il va puiser chez "Le Rêveur" -pour lui Dieu, cf. "La clef des songes"-, supra-intuitions yang ou infra-intuitions yin?)?


Remarque finale:

En parcourant le chapitre suivant "Les méfaits de la psychanalyse" je suis tombé sur la note suivante (bas de page 165) qui, à mes yeux éclaire peut-être l'insistance qu'a Nicolas Bonnal -à la foi en Guénon qui semble bien assurée?- à égratigner, non pas tous les Juifs, mais les Juifs détachés de leur tradition?

Guénon: "Une remarque en passant: pourquoi les principaux représentants des tendances nouvelles, comme Einstein en Physique, Bergson en Philosophie, Freud en Psychologie, et bien d'autres de moindre importance, sont-ils à peu près tous d'origine juive, sinon parce qu'il y a là quelque chose qui correspond exactement au côté "maléfique" et dissolvant du nomadisme¹ dévié, lequel prédomine inévitablement chez les Juifs détachés de leur tradition?" (1: Cf. le chapitre XXI "Caïn et Abel")


*: En logique mathématique classique la négation de l'inexistence implique l'existence (principe du tiers exclu): existence en puissance. Ce n'est pas le cas en logique mathématique intuitionniste où l'existence doit être construite: existence en acte.

**: Guénon s'oppose à Leibniz (et de la grande -l'immense?- majorité des mathématiciens). Thom également.