Philippe Mader
28/05/2003
Si Woody Allen aurait lu les propos dans les forum des sites juives de France ou des histoires d’animosité et de violence contre les juifs en France d’aujourd’hui( et je ne parle pas seulement d’un anti-Israel et prop palestinien sans cesse dans les media.  Je parle d’histoires d’antisemitisme pur. Il y a dans ces propos, un désespoir troublant, surtout 50 ans apres Vichy.
 Woody Allen avait tort de se rendre a Cannes ...si seulement il aurait été mis proprement au courrant de cette situation dégradante.
ki
27/05/2003
L’Europe de la défense se donne les moyens de son autonomie
PARIS, 27 mai (AFP) - La relance d’Ariane 5, le déblocage du programme de navigation par satellites Galileo et le lancement de l’avion de transport militaire A400M confirment au même moment, en dépit d’une conjoncture économique difficile, la volonté d’autonomie de l’Europe en matière de défense.
Ces trois projets industriels d’envergure doivent donner à l’Europe de la défense une autonomie accrue, sinon lui assurer son émancipation, après tant de critiques sur le retard pris dans ce domaine par rapport aux Etats-Unis.
(...)
“L’industrie spatiale ne peut pas vivre sans argent public. C’est une réalité que les Américains ont bien comprise. Grâce au soutien de l’administration, nos deux concurrents Boeing et Lockheed Martin ont un avantage concurrentiel d’environ 30 %”, a expliqué mardi à Libération le directeur général d’Arianespace Jean-Yves Le Gall.
“Alors que l’Europe vient tout juste de lancer Galileo, l’administration américaine dépense, elle, 15 milliards de dollars par an dans le spatial militaire”, a-t-il ajouté.
“L’Europe n’est pas homogène et achète seize fois plus de matériels (de défense) aux Américains que les Américains n’en achètent en Europe”, a déploré Philippe Camus, président du géant européen de l’aéronautique EADS, en plaidant pour “garder une relation transatlantique en matière de défense”.
Mais M. Le Gall a laissé percer son inquiétude concernant le rachat prévisible par le fonds d’investissement américain Carlyle du motoriste italien FiatAvio, actionnaire d’Arianespace.
“Il ne faut pas se voiler la face, nous sommes dans un contexte de guerre économique avec les Etats-Unis, a-t-il déclaré. Dans cette perspective, l’arrivée de Carlyle dans le capital d’Arianespace peut devenir une question légitime pour un homme politique européen”.
M.Bultelle
27/05/2003
toujours sur le meme blog:
BUSH OFFICIAL: IRAQI “INTELLECTUAL CAPACITY” JUSTIFIED WAR
The Bush Administration is backtracking—hard—from their pre-war claims that Iraq had stockpiles of biological and chemical arms.
It doesn’t matter whether or not Iraq actually had any of the toxins in their possession, Undersecretary of State for Arms Control and International Security Affairs John Bolton said today. What counts is that Iraq had the “intellectual capacity” to build these uncoventional weapons.
As Global Security Newswire notes, this directly contradicts statements made by the president during the build-up to war.
In his March 17 televised address, Bush said, “Intelligence gathered by this and other governments leaves no doubt that the Iraq regime continues to possess and conceal some of the most lethal weapons ever devised.”
lien : http://www.nti.org/d_newswire/issues/newswires/2003_5_23.html#1
conclusion: il suffit d’avoir parmi ses resortissants quelques docteurs en biochimie obtenus dans des bonnes universites occidentales, et vous etes une cible potentielle.
la prochaine etape sera sans doute d’empecher les resortissants de certains pays de faire de la recherche aux USA avec pour consequence ineluctable une forte baisse de la qualite de la recherche et a moyen terme erosion de leur avance technologique et de la competitivite de leur economie. 
M.Bultelle
27/05/2003
trouve sur l’excellent http://defensetech.org/
PENTAGON: SPACE IS FOR AMERICANS ONLY
The National Reconaissance Office—the government agency in charge of all U.S. spy satellites—“is talking openly… about actively denying the use of space for intelligence purposes to any other nation at any time—not just adversaries, but even longtime allies,” EE Times reports.
At the National Space Symposium in Colorado Springs in early April, (NRO director Peter) Teets proposed that U.S. resources from military, civilian and commercial satellites be combined to provide ‘persistence in total situational awareness, for the benefit of this nation’s war fighters.’ If allies don’t like the new paradigm of space dominance, said Air Force secretary James Roche, they’ll just have to learn to accept it. The allies, he told the symposium, will have ‘no veto power.’
While empire-cheerleaders, like the fine folks at Winds of Change, are applauding the move, such a denial seems sure to piss off America’s dwindling handful of pals—again. And when fighting a global, decentralized enemy like Al Qaeda, don’t you need all the friends you can get?
THERE’S MORE: As if on cue, the European Space Agency has announced plans to move ahead with the 30-satellite Galileo system, which is widely seen as a rival to the U.S. military’s Global Positioning System (GPS) array. The plans call for Galileo to be operational by 2008.
As Slashdot notes, the U.S. opened up access to GPS three years ago “partly to make GPS more useful for all mankind, but also to dissuade other countries from developing their own navigational satellite system, and thus be dependant on the U.S. for both peaceful and military purposes.
“Since the demise of the Russian GLONASS system, GPS is the only game 
“Since the demise of the Russian GLONASS system, GPS is the only game in town. Evidently recent events make Europe feel less comfortable about such things, and so they’re building their own.” 
lien de l’article :
http://www.eet.com/sys/news/OEG20030522S0050
ipnet
26/05/2003
L’Irak, défaite de l’armée russe 
par Sylvaine Pasquier 
 
  
 
Les stratèges de Moscou sont déçus: les militaires irakiens formés par leurs soins n’ont pas tenu longtemps face aux forces américano-britanniques. Du coup, l’état-major rumine sur la vétusté de son système de défense 
 
 
A Moscou, stratèges, haut gradés et spécialistes des services secrets ont le moral en berne, laminé par la guerre d’Irak. Du début à la fin, les faits ont démenti avec constance leurs prévisions. Au point que Vladimir Poutine, exaspéré, s’en serait pris sans ménagement, le mois dernier, à des responsables de la Défense. La plupart avaient annoncé qu’il faudrait au moins de trois à six mois aux Américains et aux Britanniques, confrontés à une farouche résistance, pour se rendre maîtres du terrain. Selon l’hebdomadaire Argumenti i Fakti, un expert du renseignement militaire (GRU) aurait estimé le coût humain de la prise de Bagdad à 5 000 morts dans les rangs de la coalition et jusqu’à 500 000 parmi les Bagdadis! Un tel pronostic relève des conceptions en vigueur dans l’armée russe, où l’on ne se soucie guère d’épargner les vies, en particulier celles des civils. A Moscou, la seule méthode connue pour s’emparer d’une ville où les dispositifs militaires sont enchâssés dans le tissu urbain reste le pilonnage aérien. Appliquée à Grozny avec les résultats que l’on sait, cette approche date de la Seconde Guerre mondiale. Elle fait l’impasse sur les innovations technologiques, système de visée laser ou guidage par satellite, qui permettent aujourd’hui de limiter la casse. Les difficultés budgétaires de la Défense russe ne sont pas seules en cause: nombre de généraux tiennent les «bombes intelligentes» et autres missiles de précision pour de «coûteux gadgets et non pas de véritables armes», note le chroniqueur militaire Pavel Felgenhauer. Dans l’arsenal hérité de l’Union soviétique, il en existait, précise-t-il, quelques exemplaires - certes, déjà anciens - dont les fédéraux ont tenté l’utilisation en Tchétchénie. Faute d’avoir reçu la formation nécessaire, ils ont été incapables de les faire fonctionner.
Des comparaisons dévastatrices
Peu impressionné par la campagne de la coalition - «Rien d’exceptionnel, ni dans le courage des troupes ni dans l’art de la guerre» - le général Leonid Ivachov, ancien responsable de la coopération internationale au ministère de la Défense, remâche sa frustration: «S’il y avait eu parité des moyens, l’Irak aurait gagné.» Fidèle à la tradition dont il est issu, il porte un regard sévère sur l’armée américaine: «C’est un corps expéditionnaire aux effectifs limités, sans autre culture que celle de l’offensive. Lorsqu’il lui faudra affronter une véritable résistance, il subira des pertes colossales.»
Peu avant la chute de Bagdad, un général à trois étoiles à la retraite, Vladislav Achalov, vantait l’excellence de la défense irakienne, dépositaire de l’«expérience de combat» acquise par l’URSS. Et de rappeler que 6 500 conseillers militaires soviétiques étaient encore sur place au début des années 1990. Dans les dix jours précédant la guerre, lui et l’un de ses homologues se trouvaient sur les bords du Tigre, où leur était décernée une médaille au nom de Saddam Hussein. Distinction méritée: des sources irakiennes leur prêtent un rôle de «relais officieux» entre Moscou et le régime déchu, contournant les sanctions onusiennes… Au reste, ces ex-putschistes de 1991 contre Gorbatchev avouent avoir effectué une vingtaine de séjours en Irak depuis cinq ou six ans.
Les experts militaires poussent le pouvoir à tirer les leçons du conflit pour enfin réformer l’armée russe
Incrédules devant la brutale débandade des troupes de Saddam Hussein, les esprits forts ont voulu n’y voir qu’une feinte, utilisée autrefois par le prince Mikhaïl Koutouzov contre Napoléon - attirer l’ennemi dans le piège urbain pour mieux le décimer. A défaut, les faucons moscovites affirment aujourd’hui que les Etats-Unis ont acheté leur victoire en soudoyant le haut commandement irakien. Ce tir de barrage n’empêche pas l’opinion de se poser des questions. Pourquoi les forces fédérales s’enlisent-elles depuis près de quatre ans en Tchétchénie, où elles perdent des milliers d’hommes, alors que vingt jours auront suffi à la coalition, au prix de moins de 200 morts dans ses rangs, pour l’emporter en Irak? Comparaisons dévastatrices. Les plus lucides des experts militaires poussent le pouvoir à tirer les leçons du conflit, si amères soient-elles, pour enfin réformer l’armée russe, projet qui fait long feu depuis plus de dix ans.
 
la totalité de l’article à :
http://www.lexpress.fr/Express/Info/Europe/Dossier/russie/dossier.asp?nom=
Cycloid
21/05/2003
Paul Wolfowitz est , comme vous le savez,  Secrétaire à la Défense dans l’administration Bush. C’est le Machiavel de Rumsfeld, lui-même l’un des tireurs de ficelle de la marionnette Bush, dans la pièce à épisode : “US contre le Monde ou l’ impériale Bataille “.
On nous parle moins de l’inspirateur de Wolfie-Machiavel, Abram Shulsky, le directeur de l’OSP (Office of Special Plans), un bureau très spécial créé après le 11 septembre 01.
Bramy-Chou est un modèle (right-man) pour Wolfie. C’est que Wolfowitz et Shulsky ont été les étudiants, à l’université de Chicago,  d’un certain Leo Strauss, philosophe allemand arrivé aux USA en 1938, mort en 1973. Bramy-Chou a aidé Wolfie dans la compréhension de la morale politique de Strauss, qui peut être comparée à un trépied dont l’un des support est la Duperie, l’autre la Ferveur Religieuse et le dernier, la Guerre Permanente. 
Bramy-Chou a consacré un livre à son maître Strauss : ” Leo Strauss and the World of Intelligence”. Une des idées du défunt filousophe était que la vie politique est étroitement liée à la duperie qui en constitue la norme. Strauss était profondément élitiste et estimait que la société doit être hiérarchisée, une élite conduisant une masse obéissante.
Strauss avait fui l’Allemagne nazie en 1938, mais avait eu le temps d’apprécier la maestria
des hitlériens pour créer une telle société, et aussi d’étudier leurs techniques, basées sur la tromperie, le bluff et la fanatisation qui rend aveugle. Comme l’a constaté Shadia Drury,
professeur à l’université de Caligari, Strauss professait que ceux qui sont dignes de commander sont ceux qui réalisent qu’il n’y a pas de morale et qu’il n’y a qu’un seul droit naturel : le supérieur imposant sa loi à l’inférieur. 
Les démocraties soumises à ces conceptions deviennent démocrassies (note personnelle). Shadia Drury souligne l’immense mépris professé par Leo Strauss envers les idéaux démocratiques.
L’autre pied du concept straussien était la puissance de la religion. Strauss professait que la religion (un autre fanatisme que celui du nazisme; note personnelle) est absolument nécessaire pour imposer une loi morale aux masses, qui autrement échapperaient à tout contrôle. Strauss avouait également, mais secrètement, que les croyances religieuses constituent “un pieux mensonge”. Toujours la duperie, la tartufferie ! Actuellement, les néocons prônent les sentiments religieux, bien qu’eux-mêmes ne soient pas croyants, comme l’écrit Ronald Bailey, du magazine “Reason”.
Le troisième pilier du trépied est constitué par la Guerre permanente, entretenue par un 
nationalisme belliqueux. Strauss croyait que l’agressivité naturelle de l’homme peut être 
canalisée par un état puissant qui l’oriente vers d’autres nations. Shadia Drury n’hésite 
pas à écrire :” Strauss thinks that a political order can be stable only if it is united by 
an external threat (Strauss pense qu’un ordre politique ne peut être stable que s’il est 
uni par une menace extérieure) .....Perpetual war, not perpetual peace, is what Straussians believe in,   (La guerre perpétuelle et non la paix permanente, c’est ce que croient les disciples de Strauss)”.
C’est ainsi que l’on part à la conquête du monde au nom du libéralisme et de la démocratie.
Les hitleriens  était plus sincères,eux.
————————————-
Voir les articles :  
Jim Lobe http://www.alternet.org/story.html?StoryID=15935
Tony Papert : The Secret Kingdom of Leo Strauss, April 5, 2003
(le mieux documenté)
http://larouchein2004.org/pages/other/2003/030409cosart2.htm
Lire  :  Shadia Drury : Leo Strauss and the American Right.  
 St. Martin’s Press1999 ISBN: 0312217838 
 
Jean-Paul de Beauchêne
20/05/2003
Bravo pour votre concept de SSCC. mais il doit être clair que seuls les Etatsuniens, moraux par essence et par définition, peuvent utiliser le SSCC. Tout autre Etat qui s’y essaierait (voir les procès Elf et Taiwan) se verrait immédiatement opposer par nos maîtres en morale et en démocratie l’accusation d’une sordide corruption. Tant il est vrai que la valeur morale des actes ne dépend pas de la nature de l’acte, mais seulement de sa finalité (qui veut la fin veut les moyens) et beaucoup plus encore de la qualité morale intrinsèque de qui l’emploie. C’est ce que J. Chirac n’a pas compris : la guerre en Irak était juste par le seul et unique fait qu’elle avait été décidée par La Seule Nation Morale;
Amicalement.
JPB
PS : quand passsez-vous à Paris ?
xavier dubedout (france UE)
19/05/2003
j’ai lu cet appel, en effet assez epoustouflant.
Pourtant il ne fait que developper une idee qui semble repandu la-bas, selon laquelle l’Union Europeenne ne serait qu’une organisation internationale comme une autre, l’OTAN ou le Conseil de l’Europe par exemple.
Voir a ce sujet le livre mediocre de Robert D. Kaplan, publie en 2002 sous le titre
>
ki
19/05/2003
Le porte-parole de la Maison Blanche démissionne
LEMONDE.FR | 19.05.03 | 18h28     MIS A JOUR LE 19.05.03 | 18h35 
Son départ ne semble pas motivé par un désaccord ou un souhait de la Maison Blanche de se débarrasser de lui.
Ari Fleischer, porte-parole de la Maison Blanche depuis le début de la présidence de George W. Bush, a annoncé, lundi 19 mai, qu’il quitterait ses fonctions dans quelques mois, sans que cela ne semble refléter de désaccord avec le reste de l’administration américaine. 
M. Fleischer, 41 ans, a informé George W. Bush de sa décision vendredi et indiqué lundi que celle-ci avait été mûrement réfléchie avec sa femme Becki. Marié il y a six mois, Ari Fleischer a affirmé qu’il voulait consacrer plus de temps à sa vie de famille et quitterait son poste dans le courant de l’été.
“J’ai informé (le président) qu’après vingt et un ans passés à servir dans la fonction publique et dans le gouvernement, et après quatre ans merveilleux passés avec le gouverneur puis le président Bush, le temps était venu d’aller dans le secteur privé et d’avoir des activités plus relaxantes et de voir plus souvent ma femme”, a déclaré Ari Fleischer lors d’un point de presse.
Chauve, trapu, l’il brun perçant sous d’épaisses lunettes, Ari Fleischer était devenu le “visage” de la Maison Blanche depuis l’arrivée au pouvoir de George W. Bush en janvier 2001. Le ton parfois cassant, il énonçait depuis la tribune de la salle de presse les grandes lignes de la politique de l’administration, y compris en matière de diplomatie. Ses piques contre les pays opposés à la politique irakienne des Etats-Unis, comme la France et l’Allemagne, étaient aussi nombreuses qu’émaillées, dans le cas de Paris, de mots de français, une langue qu’il maîtrise.
PAS DE NOM AVANCÉ POUR SA SUCCESSION
Si la rumeur lui prête des relations difficiles avec le conseiller politique du président, Karl Rove, son départ ne semble pas motivé par un désaccord ou un souhait de la Maison Blanche de se débarrasser de lui. “Je peux partir en disant que j’aime ce que je fais, que je crois profondément au président Bush comme homme et à ses politiques, mais qu’il est temps de partir”, a-t-il souligné lundi. “Depuis Marlin (Fitzwater), aucun porte-parole de la Maison Blanche n’est resté pendant la totalité des quatre ans” d’un mandat présidentiel, a-t-il rappelé. Marlin Fitzwater avait été porte-parole des présidents Ronald Reagan et George Bush, le père de l’actuel président, de 1983 à 1992.
Ari Fleischer va pouvoir désormais gagner beaucoup plus d’argent dans le secteur privé. Comme les ex-présidents, leurs porte-parole se font payer très cher pour prononcer des discours dans les universités voire écrire leurs mémoires. Ils sont aussi très prisés par les grandes entreprises américaines pour élaborer leurs politiques de communication.
Avant de prendre ses fonctions à la Maison Blanche, Ari Fleischer avait été directeur de la communication d’Elizabeth Dole, qui avait affronté George W. Bush lors des primaires républicaines pour l’élection présidentielle de novembre 2000. Auparavant, il avait occupé les fonctions de porte-parole de la commission des Voies et moyens de la Chambre des représentants après avoir été de 1989 à 1994 le porte-parole du sénateur Pete Dominici.
Aucun nom n’a encore été avancé pour sa succession. Sur les rangs figurent la porte-parole du Pentagone, Victoria Clarke, ou l’actuel adjoint de M. Fleischer, Scott McClellan. Mais Ari Fleischer à d’ores et déjà prévenu son successeur de la difficulté de la tâche : “Je vais pouvoir faire des choses plus relaxantes, me relâcher, en neutralisant des armes nucléaires chargées, par exemple”, a-t-il ironisé.
Avec AFP
ki
19/05/2003
Le porte-parole de la Maison Blanche démissionne
LEMONDE.FR | 19.05.03 | 18h28     MIS A JOUR LE 19.05.03 | 18h35 
Son départ ne semble pas motivé par un désaccord ou un souhait de la Maison Blanche de se débarrasser de lui.
Ari Fleischer, porte-parole de la Maison Blanche depuis le début de la présidence de George W. Bush, a annoncé, lundi 19 mai, qu’il quitterait ses fonctions dans quelques mois, sans que cela ne semble refléter de désaccord avec le reste de l’administration américaine. 
M. Fleischer, 41 ans, a informé George W. Bush de sa décision vendredi et indiqué lundi que celle-ci avait été mûrement réfléchie avec sa femme Becki. Marié il y a six mois, Ari Fleischer a affirmé qu’il voulait consacrer plus de temps à sa vie de famille et quitterait son poste dans le courant de l’été.
“J’ai informé (le président) qu’après vingt et un ans passés à servir dans la fonction publique et dans le gouvernement, et après quatre ans merveilleux passés avec le gouverneur puis le président Bush, le temps était venu d’aller dans le secteur privé et d’avoir des activités plus relaxantes et de voir plus souvent ma femme”, a déclaré Ari Fleischer lors d’un point de presse.
Chauve, trapu, l’il brun perçant sous d’épaisses lunettes, Ari Fleischer était devenu le “visage” de la Maison Blanche depuis l’arrivée au pouvoir de George W. Bush en janvier 2001. Le ton parfois cassant, il énonçait depuis la tribune de la salle de presse les grandes lignes de la politique de l’administration, y compris en matière de diplomatie. Ses piques contre les pays opposés à la politique irakienne des Etats-Unis, comme la France et l’Allemagne, étaient aussi nombreuses qu’émaillées, dans le cas de Paris, de mots de français, une langue qu’il maîtrise.
PAS DE NOM AVANCÉ POUR SA SUCCESSION
Si la rumeur lui prête des relations difficiles avec le conseiller politique du président, Karl Rove, son départ ne semble pas motivé par un désaccord ou un souhait de la Maison Blanche de se débarrasser de lui. “Je peux partir en disant que j’aime ce que je fais, que je crois profondément au président Bush comme homme et à ses politiques, mais qu’il est temps de partir”, a-t-il souligné lundi. “Depuis Marlin (Fitzwater), aucun porte-parole de la Maison Blanche n’est resté pendant la totalité des quatre ans” d’un mandat présidentiel, a-t-il rappelé. Marlin Fitzwater avait été porte-parole des présidents Ronald Reagan et George Bush, le père de l’actuel président, de 1983 à 1992.
Ari Fleischer va pouvoir désormais gagner beaucoup plus d’argent dans le secteur privé. Comme les ex-présidents, leurs porte-parole se font payer très cher pour prononcer des discours dans les universités voire écrire leurs mémoires. Ils sont aussi très prisés par les grandes entreprises américaines pour élaborer leurs politiques de communication.
Avant de prendre ses fonctions à la Maison Blanche, Ari Fleischer avait été directeur de la communication d’Elizabeth Dole, qui avait affronté George W. Bush lors des primaires républicaines pour l’élection présidentielle de novembre 2000. Auparavant, il avait occupé les fonctions de porte-parole de la commission des Voies et moyens de la Chambre des représentants après avoir été de 1989 à 1994 le porte-parole du sénateur Pete Dominici.
Aucun nom n’a encore été avancé pour sa succession. Sur les rangs figurent la porte-parole du Pentagone, Victoria Clarke, ou l’actuel adjoint de M. Fleischer, Scott McClellan. Mais Ari Fleischer à d’ores et déjà prévenu son successeur de la difficulté de la tâche : “Je vais pouvoir faire des choses plus relaxantes, me relâcher, en neutralisant des armes nucléaires chargées, par exemple”, a-t-il ironisé.
Avec AFP
ki
19/05/2003
rappelons-nous, d’après blair ... ils finissaient l’irak et JUSTE APRES les US collaient une pression d’enfer sur israel pour imposer la feuille de route du quartet ... le président bush le lui avait dit “dans les yeux” à notre bon ami blair !
concretement:
- les palestiniens ont fait leur part… nomination d’un 1er ministre ... mais on continue de tapper sur arafat… pourtant sans doute plutot modéré par rapport aux autres factions (négocier avec le djhiad islamique/ hamas ?)
- dans le communiqué ci-dessous on ne parle meme plus de la feuille de route ... mais d’un futur “front politique” conditionné par la ... “confiance” post-terrorisme ... peu datable ou quantifiable tout ça !
- le president bush ... “continue de penser que le 1er minsitre est un réformateur” ... on sous-entend déjà que la fin de l’état de grace est proche !
- enfin, pour etre sur de renvoyer la question d’une avancée des concessions isareliennes à un  lointain futur… M. bush n’envisage pas de rencontrer sharon prochainement ... ce sera a sa convenance ... QUELLE PRESSION !!!!!!!!
Arafat n’a jamais joué un rôle utile pour la paix (Maison Blanche)
AFP | 19.05.03 | 17h02
Le président de l’Autorité palestinienne Yasser Arafat n’a jamais joué jusqu’à maintenant un rôle utile pour parvenir à la paix entre Israéliens et Palestiniens, a affirmé lundi le porte-parole de la Maison Blanche Ari Fleischer.“Arafat n’a jamais joué un rôle utile. Je ne sais pas quel rôle il joue maintenant mais il n’a jamais aidé” dans le passé, a affirmé le porte-parole de la présidence américaine lors d’un point de presse.Il était interrogé sur les manoeuvres éventuelles auxquelles se livrerait Yasser Arafat pour saboter le processus de paix alors que des responsables israéliens ont accusé M. Arafat d’encourager des attentats anti-israéliens.“Le président (Bush) continue de penser que Abou Mazen (le nouveau Premier ministre palestinien) est un réformateur”, a assuré Ari Fleischer, ajoutant que toutes les parties devaient mettre fin à la violence pour que le processus de paix puisse continuer.“Il est essentiel que toutes les mesures soient prises pour combattre le terrorisme. Il faut que cela soit le cas pour que les parties aient assez confiance pour pouvoir avancer sur le front politique”, a-t-il déclaré. Le porte-parole de la présidence américaine a indiqué que les autorités américaines allaient discuter avec les Israéliens pour fixer une nouvelle date à la visite du Premier ministre israélien Ariel Sharon à Washington.Celui-ci avait reporté ce weekend son déplacement aux Etats-Unis, y compris son entretien prévu avec le président américain George W. Bush mardi, à la suite d’une série d’attentats en Israël.“Nous travaillerons avec les Israéliens pour fixer une date appropriée pour la visite du Premier ministre. Le président espère toujours pouvoir le rencontrer”, a indiqué Ari Fleischer.
jb
19/05/2003
résumons ce cas pentagonesque:
des responsables de projet incompétents + le sous-traitant boeing qui certifie que tout va bien + des communications cacophoniques (technologie plutot que procédures) + un Bureau de la Sureté de la Nasa ... “virtuel” = accident !
les solutions préconisées: sanctionner les responsables (lampistes) et peut-etre arreter le programme .... mais on ne voit pas en quoi cela soigne la vraie cause identifiée :“les dysfonctionnements systémiques au sein de l’agence fédérale” ...
Navette Columbia: la Nasa passe un mauvais quart d’heure au Congrès
[jeudi 15 mai 2003 - 19h30 heure de Paris]
WASHINGTON (AFP) - Le chef de la commission d’enquête sur la catastrophe de la navette Columbia a dressé un sévère réquisitoire contre la Nasa, reprochant à l’agence spatiale américaine sa culture bureaucratique, sa complaisance en matière de sécurité et ses multiples erreurs de jugement.
Témoignant mercredi devant une commission du Sénat, l’amiral Harold Gehman a mis en exergue ce qu’il a estimé être de graves dysfonctionnements systémiques au sein de l’agence fédérale. “Le système n’a pas fonctionné dans ce cas particulier. Il y a eu des signaux manqués au décollage et il y a eu des signaux manqués au retour”, a affirmé le président du Conseil d’enquête sur l’accident de Columbia (CAIB).
A ses côtés, le patron de la Nasa Sean O’Keefe, le visage tendu, n’en menait visiblement pas large. Soumis au feu roulant des critiques, il a promis que des sanctions seraient prises à l’encontre des responsables si des négligences et des fautes étaient avérées par le rapport final d’enquête, attendu pour l’été.
Selon les conclusions préliminaires du CAIB, la catastrophe a été probablement causée par des dégâts provoqués sur le bouclier thermique de Columbia par des débris de mousse isolante qui se sont détachés du réservoir externe, 81 secondes après le décollage le 16 janvier.
Lors de la rentrée dans l’atmosphère le 1er février, un trou d’environ 10 cm sur l’aile gauche de la navette aurait laissé pénétrer à l’intérieur des gaz chauffés à 1.650 degrés, provoquant la désintégration du vaisseau au-dessus du Texas et la mort des sept membres d’équipage. L’amiral Gehman a jugé que les responsables du vol avaient commis au moins deux erreurs fatales: celle, d’abord, de lancer la navette, alors que des incidents identiques s’étaient déjà produits lors de décollages précédents; celle, ensuite, de ne pas demander aux militaires de prendre des photos de la navette spatiale, une fois celle-ci sur orbite à 277 km d’altitude.
Afin de pouvoir mieux évaluer les dégâts, des ingénieurs avaient réclamé ces photos. Mais les responsables de mission, acceptant les conclusions d’études menées par le sous-traitant Boeing qui concluaient à l’absence de danger, avaient rejeté la demande. Les responsables “n’ont pas pleinement compris ce dont parlaient” les ingénieurs et “ont pris des décisions fondées sur une compréhension erronée de ce qui se passait”, a estimé l’amiral Gehman.
Selon lui, une mission de sauvetage aurait pu être mise sur pied pour aller récupérer l’équipage qui disposait encore d’au moins sept à dix jours de survie possible dans l’espace. M. O’Keefe a reconnu que les ingénieurs n’avaient pas été suffisamment écoutés. “Cela a été clairement un mauvais jugement. La façon dont le processus s’est déroulé a de quoi rendre furieux”, a-t-il dit, en remarquant que, si les échanges de courriels à l’intérieur de l’agence ont démocratisé le dialogue entre les différents échelons de responsabilité, ils ont aussi créé une cacophonie indescriptible.
Concernant la sécurité, l’amiral Gehman a brocardé le Bureau de la sûreté (Nasa’s Safety Office) créé en réponse à l’explosion de la navette Challenger en 1986, qu’il a qualifié de coquille vide “inutile”. “Sur le papier, l’organisation en matière de sûreté (des vols) est parfaite. Mais une fois que l’on creuse, il n’y a rien”, a-t-il dit. “Il n’y a personne, pas d’argent, pas de compétences d’ingénieurs, pas d’analyses”.
La navette spatiale - il en reste trois exemplaires - n’est pas prête de revoler, sans doute pas avant l’année prochaine. Se posera aussi la question de savoir s’il faut étendre leur durée de vie en l’absence d’une solution immédiate de remplacement. Un représentant républicain du Texas, Joe Barton, a suggéré cette semaine d’éliminer purement et simplement le programme des navettes, trop dangereux et trop coûteux selon lui, ou à défaut de le limiter au transport de cargaisons.
© 2003 AFP. Tous droits de reproduction et de représentation réservés. Toutes les informations reproduites dans cette rubrique (dépêches, photos, logos) sont protégées par des droits de propriété intellectuelle détenus par l’AFP. Par conséquent, aucune de ces informations ne peut être reproduite, modifiée, transmise, rediffusée, traduite, vendue, exploitée commercialement ou réutilisée de quelque manière que ce soit sans l’accord préalable écrit de l’AFP.
 
http://www.lefigaro.fr/perm/afp/sci/030515173039.9mygg30u.html
cycloid
19/05/2003
C’est pour mieux t’espionner, mon enfant !
Connaisssez-vous “Interception Capabilities”, rapport européen sur les capacités d’écoute
du réseau Echelon,   conçu par la National Security Agency (NSA), américaine évidemment,, mais dont l’un des centres principaux se trouve en Angleterre. En 1999, les
Européens mettaient encore en doute l’existence d’Echelon. Vous pourrez vous convaincre 
de la réalité de ce gigantesque pompeur de communications électromagnétiques, enserrant le monde, et permettant un développement fantastique (Orwell est battu) de l’espionnage
américain.
Les Européens occidentaux ont enfin tenu compte de la menace et publié deux rapports
sur ce formidable réseau d’espionnage. Vous pouvez consulter : “An Appraisal of the Technologies of Political Control” :
 http://cryptome.org/stoa-atpc.htm
et aussi  “Interception Capabilities”:
http://www.iptvreports.mcmail.com/interception_capabilities_2000.htm
Bonne lecture !
jb
18/05/2003
il semble bien que les américains n’obtiennent aucune concession réelle du front anti-guerre ... que va-t-il se passer cette semaine à l’ONU ?
Remboursement dette Irak: G8 d’accord pour un délai jusqu’à la fin 2004
AFP | 17.05.03 | 17h39
Les pays du G8 sont d’accord pour que l’Irak bénéficie d’un délai jusqu’à la fin 2004 avant de commencer à rembourser sa dette, a déclaré samedi le secrétaire américain au Trésor John Snow, à l’issue d’une réunion des ministres des Finances du G8 à Deauville (côte nord-ouest de la France).“Il y a eu un consensus selon lequel nous ne pouvons attendre de l’Irak qu’il fasse des remboursements de sa dette, au moins jusqu’à la fin 2004”, a indiqué à la presse le secrétaire au Trésor.“Nous avons formellement demandé au FMI d’évaluer la situation de la dette à l’égard des pays n’appartenant pas au Club de Paris”, lequel regroupe les principaux créanciers publics, a-t-il précisé. Celui-ci a commencé le mois dernier l’examen de la situation de la dette de l’Irak.John Snow a en outre précisé qu’il avait insisté sur l’importance de commencer “un processus permettant à des pays de donner des fonds pour la reconstruction de l’Irak”.
jb
18/05/2003
Avec une patrouille américaine sous les huées et les saluts
18/05/2003 - 15:00
BAGDAD, 18 mai (AFP) -
Le sergent Vee, comme ses soldats se plaisent à l’appeler, a troqué son rôle de militaire contre celui de faiseur de paix: par une chaleur suffocante à Bagdad, une nouvelle journée commence pour sa patrouille.
“En route. Allons sauver le monde et acheter des glaces”, dit-il avec ironie à ses quatre soldats. Le visage du sergent Jason Dupuis, un trapu de 27 ans, s’épanouit d’un large sourire: “J’aime bien quand le sergent Vee présente ainsi la mission”.
Vee, de son vrai nom sergent Joseph Viniegra, a mené ses hommes dans les combats les plus durs lors de la guerre en Irak. Maintenant, ce vétéran de 40 ans, effectue avec eux des patrouilles dans la ville.
Ce matin, l’objectif est une station-service, où selon les rapports parvenus au sergent Vee des troubles se sont produits entre automobilistes exaspérés par les heures d’attente avant d’atteindre les pompes à essence.
Après avoir quitté l’ancien palais présidentiel de Saddam Hussein pour emprunter les rues de la ville, la patrouille croise des enfants sales qui la saluent et deux filles, coiffées d’un foulard, qui sourient timidement en regardant le soldat derrière son fusil-mitrailleur.
De la vitre d’un bus, un vieil homme en colère crie: “Où est notre électricité? Où est notre eau? Qu’en est-il de nos emplois? Etes vous satisfaits de ce que vous avez accompli?
Le convoi tombe ensuite dans un embouteillage: un vrai cauchemar en raison du risque d’attentats. Viniegra et ses hommes se mettent à l’abri.
Pendant vingt minutes, ils sont bloqués au milieu d’une centaine de véhicules. La raison de ce bouchon: une file d’attente d’un km pour faire le plein de carburant.
Les deux Humvee arrivent en plein chaos. Neuf rangées de voitures tentent d’atteindre quatre pompes à essence. Aussitôt, des dizaines de personnes encerclent Viniegra et parlent tous en même temps ... en arabe.
“Qui est le patron?” demande Viniegra.
“C’est moi”, répond Fawzeh Ali, un homme énergique parlant l’anglais parfaitement. “Suivez moi”, lui rétorque le militaire américain.
Dans le bureau, où tout le monde fume malgré les émanations d’essence, Ali explique son problème.
“Mon réservoir est vide et le camion-citerne n’est pas venu nous livrer. J’ai juste assez de carburant pour faire fonctionner le générateur. Les clients attendent depuis des heures. Ils ne veulent pas nous écouter. C’est le chaos”.
“Nous voyons ce que vous voulez dire”, répond Viniegra. “Nous allons vous aider”, insiste-il.
“Vous êtes le troisième groupe d’Américains à venir ici pour me dire la même chose”, lâche le pompiste.“Nous allons faire ce que nous pouvons”, répond l’Américain.
Dupuis sort et crie aux voitures qui attendent à contresens. “Partez, vous n’aurez pas d’essence”.
Quand les Irakiens comprennent ce qu’il dit, ils deviennent furieux. Ils l’entourent et l’un d’eux lui effleure l’épaule pour attirer son attention. Le soldat le repousse vivement avec son arme en criant: “Ne me touche pas”.
Un autre soldat lève son arme et il y a un moment de panique car chacun craint une fusillade. Mais Viniegra arrive et calme les esprits puis s’adresse à Fawzeh Ali.
“Nous avons besoin d’essence. Un jerricane plein. C’est pour la Croix-Rouge”, affirme Viniegra et Ali lui répond par l’affirmative.
“Nous essayerons d’envoyer demain une autre patrouille pour vous aider”, souligne le sergent.
“J’espère. C’est dur pour vous, C’est dur pour nous. C’est dur pour tout le monde”, réplique Ali.
Deux heures après avoir quitté son campement, l’escouade s’apprête à partir alors que des centaines d’Irakiens attendent toujours de pouvoir faire le plein.
“J’espère que vous rapporterez tout le bien que nous faisons”, lance Dupuis à un journaliste. “Chaque jour, je rencontre des gens qui sont heureux que nous ayons mené cette guerre. Ils savent que maintenant c’est mieux”.
Quand on lui demande si les Irakiens, qui font la queue depuis des heures, ne sont pas furieux de le voir obtenir le précieux carburant, Viniegra rétorque: “ils doivent comprendre que nous devons faire notre travail”. Puis il se taît jusqu’au prochain arrêt.
“C’est le moment de sauver le monde et ... d’acheter des glaces”, lance-il alors.
http://www.courrierinternational.com/afp/resultatDepeche.asp?id=030518130038.9o6yg698
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