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Article lié : “Colère et désespoir” de l’Amérique

Fram

  25/04/2006

Bien sûr que le système est rompu car
Le Christ est ressuscité.
Il a rompu le lien qui nous séparait de Dieu.
Alleluia, la vie a vaincu la mort
La croix a vaincu l’enfer.

Ô mort, où est ta victoire ?
Le protestantisme est une hérésie dangereuse. Cf. Irak. Entre autres.
Seule France, catholique, est le lieu de la Résistance à l’oppression du prince de ce monde qui est déjà jugé.

Optimisme arabe ∫

Article lié :

CD

  25/04/2006

Peu après le cri d’alarme de Chossudovsky, AL-AHRAM Hebdo ( 25 avril 2006 ) 
publie une analyse voulant démontrer que les Etats-Unis n’attaqueront pas l’Iran,, car jusqu’à présent ils n’ont subi que des échecs dans leurs essais de répression vis-à-vis de pays d’importance secondaire, qui se sont quand même doté de l’arme atomique.. De plus, l’article vise à démontrer que c’est l’exception israélienne acceptée d’emblée par les USA, qui est à l’origine de cette volonté d’armement.`

<

http://hebdo.ahram.org.eg/arab/ahram/2006/4/19/opin2.htm >

Quelques citations :
” Il est peu probable que les efforts internationaux visant à faire renoncer l’Iran à enrichir son uranium aboutissent. Il devient improbable également que Washington recoure à une attaque militaire. C’est ainsi que l’Iran a jusqu’à présent pu éviter de tomber dans le
piège du chantage nucléaire que pratiquent les Etats-Unis et Israël…..”`
” Depuis le jour où les Etats-Unis ont tenté de monopoliser seuls la technologie nucléaire, et de la confiner dans les 5 Grands Etats, .....le Traité de non-prolifération des armes nucléaires ne serait appliqué qu’aux petits Etats”.
” Israël est l’un des premiers Etats qui a figuré sur la liste des exceptions…..les activités nucléaires israéliennes…....ont dépassé les fins civiles pour aboutir à la production d’armes nucléaires.”
“.....Les pressions et les sanctions américaines économiques et politiques n’ont ni réussi à empêcher l’Inde et le Pakistan de développer leurs programmes nucléaires, ni à les convaincre d’adhérer au Traité de non-prolifération des armes nucléaires. L’exception israélienne a encouragé les deux Etats à refuser toutes les pressions.”
” Ce sont les politiques américaines d’hégémonie qui ont poussé l’Inde et le Pakistan à produire des armes nucléaires. La Corée du Nord, quant à elle, a eu recours à la même méthode à cause des pressions américaines et des menaces venant des bases militaires américaines situées en Corée du Sud. C’est alors qu’elle a obtenu des aides techniques de la part de la Chine et de la Russie dans le domaine nucléaire.”

Il me semble cependant que l’analyse du professeur d’Ottawa ( la guerre est imminente) était mieux documentée que celle-ci.

Comment se sont tissés en un demi-siècle des liens de solidarité avec des conséquences stratégiques et commerciales considérables entre militaires eur

Article lié : La ligne générale, — rubrique Analyse, de defensa, Volume 21 n°13 du 25 mars 2006

Jean-Paul de Beauchêne

  24/04/2006

A votre très intéressante analyse j’imerais ajouter deux faits sur les programmes d’avions de combat après la guerre.
D’abord que la politique d’imposition aux européens d’avions de combat étasuniens n’a pas toujourts été absolue, car les avions Dassault Ouragan, Mystère II et les deux premières tranches de Mystère IV ont été financées par le plan Marshall.
Ensuite en ce qui concerne la Belgique et le F16, il faut savoir que jusqu’au bout ou presque la Belgique a cherché à acquérir le Dassault Mirage F1E. Elle n,e voulait pas cependant être la seule Force Aérienne de l’OTAN équipée de cet avion. La condition , après le lâchage des trois autres, était la commande de (30?, 50?) appareils par l’Armée de l’Air Française. La décision positive était à la signature du Président Pompidou au moment où il est parti à l’hôpital pour mourir. Le temps de représenter le dossier à son successuer, la Force aérienne a dû se décider et a ainsi rejoint à reculons le “club F16”. Son attitude sur le JSF est cohérente avec cette attitude passée.
J’aimerais en retout avoir votre réaction sur ces informations.
Cordialement
Jean-Paul de Beauchêne

Russie super-puissance ∫

Article lié : Revoici la Russie

CD

  24/04/2006

Excellent article, bien argumenté.
Toutefois, je vous engage à comparer vos points de vue à ceux du Lieutenant Colonel Dr. Marcel de Haas
(OTAN), qui présente une analyse de la puissance russe dans “Russian’s military strategy”, paru ce
24 avril 2006 et repris par PINR :

<

http://www.pinr.com >

La guerre nucléaire est-elle proche ∫

Article lié :

CD

  23/04/2006

Lire sur le site :
http://www.geostrategie.com/cogit_content/verbatim/Prparationduneguerrenuclai.shtml
l’article de Michel Chossudovsky “Préparation d’une guerre nucléaire”

Extraits :
La préparation d’une véritable guerre contre l’Iran, au cours de laquelle il serait fait usage d’ogives nucléaires, est entrée dans sa phase finale. Les partenaires de la coalition, qui comprend les États-Unis, Israël et la Turquie, sont dans un état de préparation avancé.

En novembre 2004, les plus hauts commandants de l’armée israélienne ont rencontré, au quartier général de l’OTAN à Bruxelles, leurs homologues des six pays riverains de la Méditerranée : Égypte, Jordanie, Tunisie, Maroc, Algérie et Mauritanie. Un protocole d’accord entre l’OTAN et Israël a été signé.

Les «frappes chirurgicales» seront présentées à l’opinion mondiale comme un moyen d’empêcher l’Iran de fabriquer des armes nucléaires. On nous dit que ce n’est pas une guerre mais une opération militaire de maintien de la paix qui consistera à bombarder les installations nucléaires iraniennes.

L’administration américaine pense que les mini-nukes sont plus efficaces, en tant que moyen de dissuasion, que les armes nucléaires classiques à l’égard des “états voyous” (Iran, Corée du Nord).

La nouvelle définition de l’ogive nucléaire a estompé la différence entre arme classique et arme nucléaire : Selon Hans Kristensen, du Nuclear Information Project, « l’arme nucléaire cesse d’appartenir à une catégorie à part, celle d’une arme de dernier recours, pour n’être plus qu’un outil parmi d’autres. »

Depuis la fin de 2004, Israël stocke des armes classiques et nucléaires “made in USA” en prévision d’une attaque contre l’Iran. Ce stockage, financé par l’aide militaire américaine, était quasi-terminé en juin 2005.

Les conséquences de tout cela sont effrayantes.

L’Europe de l’Ouest et l’Amérique du Nord sont parvenues à un consensus concernant des attaques aériennes au moyen d’armes nucléaires tactiques sans prendre en compte leurs effets dévastateurs. En fait, la “communauté internationale” a tout simplement accepté l’éventualité d’un holocauste nucléaire.

Nota : Michel Chossudovsy est l’auteur du best-seller international “The Globalization of Poverty” (titre français: “La Mondialisation de la pauvreté”) qui a été publié en 11 langues. Il est professeur d’économie à l’Université d’Ottawa et directeur du “Center for Research on Globalization” (http://www.globalresearch.ca). Il collabore également à l’Encyclopaedia Britannica. Son dernier ouvrage est intitulé “America’s War on Terrorism” (Global Research, 2005).

Colère et désespoir” de l’Amérique

Article lié : “Colère et désespoir” de l’Amérique

Tatanka

  23/04/2006

La dernier question est inutile :-)
Le système est déjà rompu.

Fin de la globalisation, même dans le monde!

Article lié :

Jean

  22/04/2006

Petite analyse facon “le monde” sur le voyage de MR Hu Jintao aux USA, et les problemes lié a la liberation des marchés:

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-764286,0.html

PS et merci à tout ceux qui font fonctionner ce site, leurs analyses pertinantes sont captivantes.

Islam-Occident

Article lié :

geo

  22/04/2006

De la très claire Hajnalka Vincze
http://www.hajnalka-vincze.com/Publications/146

"Globalisation rime avec Exploitation" (un philosophe bantou)

Article lié : La globalisation agonise : cela va faire du bruit

MHB

  20/04/2006

Comme toujours toutes ces “analyses” - chez vous ou chez les autres - restent occidentalo-centriques en ignorant purement et simplement les effets deleteres de programmes - dont les principaux responsables (on pourrait dire “coupables”, mais soyons genereux) sont les organismes economiques internationaux et la Banque Mondiale et le FMI en priorite qui - d apres pas mal d economistes du Tiers Monde - ont simplement pris le relais de la colonisation et lui donnant un nouveau vernis.
Il y a plus de trente ans le representant africain - il etait burundien - se plaignait constamment de l impossibilite d obtenir un accord sur les produits de base. Rien n a change sinon que l on a ajoute des intermediaires pour donner le change et l impression de faire avancer le “schmilblique”.
Les retombees de tous ces programmes ont toujours profite avant tout aux pays occidentaux et bien sur aux potentats divers credibilises dans leurs positions par de savantes analyses politiques qui les rendaient inamovibles.
Eviodemment avec la doctrine de [reemption tout change. Faut il en conclure que la democratie “economique” ne sera introduite que par des bombes ?
C est aussi l analyses recente de ces tiers-mondiaux qui ont ete vaccines dans leurs espoirs et compris que le monde occidental les entrainait dans un autre type de colonisation avec la Globalisation.

Et cela bien avant Bin Laden et Al Qaeda.

Car on ne m enlevera pas de l idee qu en plus d artificiers de qualite, de pilotes certifies en jouant le jeu occidental ( c est a dire d aller a l ecole et a l universite), on peut se demander si les destructions du 9/11 - qui curieusement reprennent le numero de telephone de secours utilise aux Etats-unis - n ont pas ete un element encore plus pernicieux dans la destruction psychologique du concept de Globalisation.

Oui je me demande d ou viennent toutes ces idees qui semblent avoir petille autour de Bin Laden et de Al Qaeda ?
Ces gens n avaient certainementt pas autant de brillants technocrates qu en renferment nos pays occidentaux et les nanocrates de Rumsfeld n ont pas encore fait surface ailleurs qu au Pentagone a ce jour .
Alors serait-ce que les “idees et les analyses” finalement convergent meme chez les ceussent que l on considere encore de nos jours comme des ignares economiques tout juste bons a suivre les oukases des “magiciens” de la Fee Globalisation ?
...convergence que Le Monde avait si bien caricature en 1960 avec son numero special sur les changements politiques .. a venir en l an 2000:la Russie democratique et les Etats unis en dictature proletarienne. Convergences qui risqueraient de se confirmer ..... dans une cinquantaine d annees avec les “horreurs” demographiques qui se preparent .... et l aide d un quarteron de generaux degoutes du nano-management de Rumsfeld.

Vous avez raison: “les conditions psychologiques sont extraordinairement differentes d avec les annees 1920” ...mais il faudrait peut etre que les solutions economiques proposees par l Occident soient un peu plus genereuses que cette Globalisation qui n est qu une variante de l esclavage.

Et cela ce Quart et Tiers Monde n en veulent pas.
Ecoutons -les.

Peuy etre que cette grande evolution et participation du sexe faible dans la gestion politique des pays qui auraient du etre les premiers beneficiaires de ces soi-disants programmes economiques (49% de deputes femmes au Ruanda .... et seulement 14% a la Chambre des Representants et 15% au Congres..!!) changeront les choses a court terme en partant du principe que les femmes sont moins corrompues que les hommes dans les affaires publiques ... et plus concernees par la survie de leur progeniture que ces eternels Don Quichotte qui nous entourent.

faites attention ils nous préparent la glocalisation

Article lié : La globalisation agonise : cela va faire du bruit

Proto

  20/04/2006

Votre article est très pertinent et se démarque comme toujours des autres analyses, ainsi par exemple suite au « Communiqué Public LEAP/E2020 du 15 Mars 2006 (Usa-Dollar-Iran / Confirmation Crise Systémique Globale fin Mars 2006) » (http://www.europe2020.org) des experts qui prétendent anticiper la politique européenne, des prêcheurs d’apocalypse se sont joint à l’entreprise pour diffuser activement sur Internet la nouvelle : la fin du monde était confirmée pour la fin du mois de mars.
Ils ont soulevé quelques points importants de la conjoncture économique mondiale (l’indicateur M3, la bourse iranienne en euro, la crise nucléaire…) mais ils se sont, entre autre, complètement discrédités en fixant des « dates butoirs », entraînant avec eux ceux qui prédisent la fin imminente du système actuel.
D’autre part, s’il est vrai que la stabilité de l’économie américaine (et mondiale) repose essentiellement sur la confiance dans le dollar, ce genre de « pétard mouillé » pourrait bien se révéler un jour le détonateur d’un scénario catastrophique parmi beaucoup d’autres.
En cela, je pense qu’aucun d’eux n’est enviable sans qu’un nouveau projet de société existe au préalable, un projet qui fédère tous les esprits conscients de la monstruosité moderne et qui puisse se mettre en place dans un cadre démocratique et pacifique, sans quoi il n’y a aucune raison de croire que l’humanité ne connaîtra pas prochainement sa révolution la plus sanglante, sans évoquer la possibilité d’une troisième guerre mondiale, je n’oserai pas spéculer sur la fin du mandat du gouvernement Bush ni sur celle qui la suivra.
La globalisation agonise ? Elle fera sans doute plus de dégâts que de bruits.
Mon point de vue sera de dire que ceux qui s’affichent « anti-modernes » devraient se regrouper « sous un même étendard » et dans une dénomination plus positive, pour construire dans les meilleurs délais ce projet de société avec l’aide des alter-mondialistes, des écologistes, des vrais humanistes, des jeunes générations, ne plus se limiter à produire des critiques sur la société moderne occidentale qui peuvent se décliner à la mesure de la bêtise humaine, ni des projets dispersés qui n’ont aucune chance dans un bras de fer avec le « néocapitalisme », pour prendre un mot interchangeable avec tous ceux que vous dénoncez.
Pour prendre une image, je dirais que la société occidentale est un navire fou sans capitaine, un navire qui prend l’eau de toutes parts, un naufrage qui ne fera aucun survivant si personne ne pense aux canots de sauvetages.

la crise énergétique: une opportunité pour les néocons

Article lié :

pilo

  19/04/2006

Les guerres américaines au Moyen-Orient viseraient, selon Michael Lind, politologue à la New America Foundation, un «think tank» indépendant de Washington, à instaurer un “protectorat militaire [américain] sur le golfe Persique [et ses ressources ] au nom des autres puissances industrialisées”. En clair, en campant autour des puits de pétrole, les USA forcent leurs alliés à lui sous-traiter la protection de leurs sources d’approvisionnement. Ce qui permet de laisser lesdits alliés européens et japonais notamment en état de dépendance, et de menacer accessoirement les approvisionnements énergétiques du grand rival chinois.
Extrait
- On devine au sein du Parti républicain le début d’une fracture sur les questions énergétiques. D’un côté ceux qui, comme le vice-président Dick Cheney et le lobby pétrolier texan, continuent de penser que l’heure n’est pas à l’après-pétrole, mais à la diversification des sources d’approvisionnement, et au contrôle stratégique des routes de l’énergie. De l’autre, une frange importante de la droite évangélique vire au vert, arguant que les achats de brut au Moyen-Orient financent la prochaine attaque contre les Etats-Unis…
- Personne à Washington n’a hélas le courage de dire la vérité à l’opinion sur ce sujet. La vérité est que, même si nos importations de pétrole et de gaz en provenance du Moyen-Orient augmentent, nous sommes aujourd’hui moins dépendants du golfe Persique que les nations d’Asie et d’Europe. La Chine et le Japon en particulier sont de plus en plus fragilisés par leur dépendance. Depuis la guerre du Golfe, les Etats-Unis ont poursuivi une politique de protection des sources d’énergie au Moyen-Orient qui a profité à l’ensemble du monde industrialisé.
- Vous voulez dire que la vision du monde de Washington sous le prisme militaro-énergétique ne profite pas qu’aux Etats-Unis?
- Exactement. Mais il y a une arrière-pensée: le concept stratégique est de prendre le travail à notre charge, afin d’éliminer la tentation pour des alliés comme le Japon et l’Allemagne de mettre sur pied leurs propres moyens de projection de puissance à longue distance pour sécuriser leurs intérêts dans le golfe Persique. De cette manière, les Etats-Unis conservent le monopole sur la capacité d’intervention sur les théâtres d’opération lointains, tout en maintenant le Japon et d’autres alliés en état de dépendance stratégique. Autre avantage, cela permet de menacer les approvisionnements énergétiques de la Chine en cas de conflit sino-américain. La stratégie géopolitique de l’hégémonie américaine globale pourrait à la limite justifier un protectorat militaire sur le golfe Persique au nom des autres puissances industrialisées, même si, hypothèse, les Etats-Unis n’importaient pas une goutte de pétrole de cette région.
- Raisonnement un peu retors, non?
- Calculé. L’articulation est très bien comprise par l’establishment. Mais c’est inavouable en public, par peur que l’électorat s’insurge contre le fait d’envoyer des troupes se battre, et mourir, dans le but ultime de dissuader l’Allemagne et le Japon de remilitariser parce qu’ils auraient perdu confiance en la protection de l’Amérique. C’est pour cela, aussi, qu’il a fallu «vendre» à l’opinion des prétextes tordus ou bidon (armes de destruction massive en Irak, Saddam prêt à refiler des engins nucléaires à des terroristes) pour justifier l’intervention militaire.
- Les Américains admettent-ils la gravité du grand problème énergétique du pays, et jusqu’où sont-ils prêts à aller pour le résoudre? En résumé: ont-ils compris que c’est l’«American lifestyle» qui est en danger de mort?
- La menace du cours du brut sur le mode de vie américain est largement exagérée. La diminution des ressources d’hydrocarbures sera un processus sur le long terme, pendant lequel les incitations du marché et les innovations technologiques nous permettront une transition graduelle vers un nouveau régime énergétique. Les Américains, et les autres, auront toujours des voitures, mais elles fonctionneront avec des moteurs hybrides, des biocarburants, de l’hydrogène, des batteries électriques, ou d’autres technologies combinant les unes et les autres.

(Le Temps du 12 avril http://www.letemps.ch/template/opinions.asp?page=6&article=178739)

Claire Berlinsky

Article lié :

Baquiast

  18/04/2006

Bonjour. Vous avez sans doute lu Menace in Europe, de la journaliste américaine Claire Berlinsky. Je suis sûr que vous pourriez en donner une vue décapante, à votre habitude. Voir
http://www.amazon.com/gp/product/1400097681/sr=8-1/qid=1145381550/ref=pd_bbs_1/103-9089072-9126226?%5Fencoding=UTF8

Pourquoi des sondages ∫

Article lié : Iran : les attitudes ambiguës du public américain

Fred

  18/04/2006

Je ne comprends pas l’utilité de publier de tels sondages. J’imagine que ce n’est pas le premier sur ce sujet, ni le dernier.

En fait, ce que je trouve énorme, c’est que ce président semble avoir le droit de lancer son pays dans des guerres d’agression, les unes après les autres, sans juger utile de demander à son pays, par la voie des urnes ou par je ne sais quelle autre méthode, si le peuple lui donne ce droit. Permettant ainsi de créer un débat, un vrai. Et pas une vision tronquée selon la façon que le sondage aura été construit.

Donc, là, visiblement, avec ce sondage, le Président peut aller en guerre. La majorité ne semble pas fondamentalement désapprouver une nouvelle guerre. Tout va bien.

L'Iran veut donc la guerre, aussi ∫

Article lié :

Fred

  18/04/2006

Je lisais l’article de Ria Novosti publié ce matin. Cet article explique que l’Iran aussi veut la guerre… et attise ouvertement les envies belliqueuses des US.

Finalement, leur calcul serait donc qu’une victoire est possible contre les US ? Ils estiment possible d’en ressortir vainqueurs et donc en position de force dans la région ?

Cela signifierait donc une potentielle extension de la Révolution Islamique ?

La seule alternative serait donc, alors, de soutenir les américains ? Pour tout le monde occidental ?

Ils sont vraiment tous fous ?

A noter que ce matin, les gros titres se font sur les “9 morts” plutôt que sur les quelques dizaines d’autres en Turquie (qui ne sont pas du tout liés au fait que les kurdes irakiens ont les mains libres pour agir à leur guise).

JSF - L\'Italie va-t\'elle se retirer ∫

Article lié : Prodi et le JSF (suite)

Balajo

  18/04/2006

New Government Opens Door to Eurofighter
By TOM KINGTON, ROME

Italy’s newly elected, center-left government is set to add its voice to the chorus of complaints from Joint Strike Fighter (JSF) partners, with one policy-maker calling for Rome to cancel purchase plans regardless of whether technology sharing with the United States improves.

Giovanni Urbani, aerospace spokesman for the Democratic Left, part of the new governing coalition, said April 11 that Italy should buy the strike-version of the Eurofighter Typhoon instead of the JSF as part of a move toward greater European industrial cooperation. Italy already is introducing Typhoons into service, but had planned to buy JSFs as well.

Urbani was speaking the day after Italy’s center-left coalition, led by Romano Prodi, narrowly beat Prime Minister Silvio Berlusconi’s incumbent center-right government in a general election.

Prodi won a clear majority in the lower house of parliament, but his wafer-thin advantage in the Senate left many observers predicting a short-lived administration. In the meantime, Berlusconi has asked for a vote recount, given the marginal victory, with results expected after Easter. In any case, Prodi will need to wait until a new president is elected in mid-May before he can take office.

The defeat ends a five-year term in office for Berlusconi, during which he backed the U.S. invasion of Iraq while drastically reducing defense spending at home.

Under Berlusconi, state-controlled aerospace and defense giant Finmeccanica built its presence in the United Kingdom and joined joint programs on both sides of the Atlantic.

Members of the new administration have said they wish Finmeccanica to continue focusing on both the United States and Europe, but they want to give a political underpinning to European cooperation. A catchphrase has emerged: “The U.S. is an opportunity, Europe is a destiny.”

That makes Italy’s membership in the JSF program a hot topic. Italy became a second-level partner in 2002, investing $1 billion in the System Development and Demonstration (SDD) phase. A Lockheed Martin presentation in Rome in March indicated that $800 million in work has been contracted by or committed to Italian firms to date.

A senior Italian defense source said that broke down as $180 million in contracts in the SDD phase, plus $677 million in work “assigned” on the Low Rate Initial Production phase.

Italian center-left Sen. Lorenzo Forcieri - who is tipped to take a senior defense role in the new government - did not call for a pullout, but said Italy would need to “reconsider” its partnership on JSF if work share and technology transfer for Italian firms did not pick up.
Policy planner Urbani did not want to wait.

“I propose we pull out of acquiring the JSF and look at the third-tranche Eurofighter instead, thus boosting a European production line,” he said. “I also wonder if a European nation requires such an overtly offensive aircraft as the JSF.”

Italy will be required this year to confirm its entry into the Production, Sustainment and Follow-on phase of the JSF program.

An Italian retreat from the JSF program would little affect the ultimate cost of the fighter jets, said Richard Aboulafia, vice president and aviation expert of the U.S.-based Teal Group.
“No one JSF export partner would have that kind of effect, except the Brits,” Aboulafia said.
But he said such a withdrawal would undermine the program’s prestige and confidence.

“It was a major breakthrough to get a partner like Italy,” a Southern European country tied to the Eurofighter combat jet program, he said.
“Of course, we don’t know if Italy will follow through, or if this is just a negotiating tactic,” he said. “In the absence of concrete information, it appears that the partners are keeping the faith.”

Tom Burbage, Lockheed Martin executive vice president and manager of JSF Program Integration, said, “Italy’s industry and defense strategy are deeply invested in JSF, and the country is a key international partner in the program. We have no indication that there has been any erosion of support for JSF in Italy.”

Consolidation Outlook Unclear

While Urbani’s remarks echo the emphasis given in the center-left’s campaign manifesto to finding European partnerships for Italy’s aerospace industry, Forcieri was more pragmatic, arguing that Italy needs to keep all its options open. A recent attempt by an Italian energy firm to enter the French market was blocked by Paris - a warning not to sign up blindly to European integration, he said.

Analyst Michele Nones said the desire of center-left politicians Pierluigi Bersani and Enrico Letta to buy into Airbus was also mistaken.
“The moment to consider joining Airbus has passed. Italian industry is now well qualified as a supplier of aircraft structures, and as a sharer of development costs, with both Boeing and Airbus,” said Nones, who is head of the security and defense department at the Rome-based Istituto Affari Internazionali, a think tank that receives some funding from the Italian Foreign Ministry.

Finmeccanica is, however, pushing to merge its defense electronics activity - grouped under the Selex brand and worth 3 billion euros ($3.63 billion) in revenue - with Thales, a move which has already been given the green light by Berlusconi. In an Italian radio interview April 6, Finmeccanica CEO Pierfrancesco Guarguaglini said such a deal would create a company on level terms with U.S. competitors, but would render Thales “more European than French, with strong roots in France, Italy and the U.K.”

One Rome-based Italian defense analyst was dubious about the deal.

“Finmeccanica will seek to take a stake in Thales equal to that now held by Alcatel, but can anyone doubt control will remain French? Look at MBDA and Airbus,” the analyst said. “This means the job cuts caused by overlaps will likely come in Italy. Cuts will also come where there are more restrictions on export: Italy.”

Equating European industrial integration with job security could prove to be a headache for the center-left, which is closer to unions than the Berlusconi government. Italian unions have already criticized Finmeccanica’s decision to merge its space activity with Alcatel.

A French tie-up could, however, brighten prospects for Finmeccanica’s jet trainer, the Aermacchi M346. After investing heavily on the aircraft - and with plans to develop a combat version - Finmeccanica views France as key to kick-starting European sales of the M346 as part of a joint EU training program, particularly since EADS has held talks on marketing the rival Korean T-50 in Europe.

Foreign Policy

On the foreign policy front, Prodi’s election manifesto described the Iraq invasion as “violating international law,” and called for Italy to pull its troops out of the country. Berlusconi was already halfway there; Italy’s contingent is to be halved to 1,500 troops by August, with all home by year’s end.

Italy’s role in Afghanistan could grow, though. NATO may yet take up Rome on its offer to send AMX fighter bombers to the country, while an Italian Air Force source said that up to six Air Force AB212 helicopters with new self-protection systems and reinforced floors were due to deploy to Kabul before the summer.

Berlusconi’s government took office promising to boost defense spending to 1.5 percent of GDP, but after five years reduced it to 0.84 percent. That has left the military with an unfulfilled procurement wish list. Long-running talks to insert Italy into the U.S. Navy’s P-8A Multimission Maritime Aircraft (MMA) program, for example, are now formally “frozen,” a defense source said April 7.

Forcieri said the new government would need to look closely at state finances, but that bringing defense spending back toward 1 percent of gross domestic product would be a target. He added that the Italian military, which is already shrinking toward a target size of 190,000 troops, would need to drop to “150,000 or lower.”

Such questions will be tackled when Italy has a new government in place and a new defense minister. Two early candidates, according to defense sources and analysts, are Marco Minniti of the Democratic Left party, and Arturo Parisi of the Margherita party, both part of Prodi’s coalition.

“It will be more about dividing ministries up among parties first, then discussing individual candidates,” said Roberto Menotti, an analyst at Aspen, Italy, an international nonprofit research group funded by industry members. “If Democratic Left politician Massimo D’Alema gets the Foreign Ministry, for instance, it might be difficult for another member of his party to get Defense also.”
Menotti said one factor could dissuade high-profile politicians from lining up for the job. “If the new government is seen to be overly weak, then budget talks in the autumn or an international crisis like Iran could cause it to collapse,” he said. “Big-name politicians who fear a brief government might not want to get burned by accepting a ministerial posting.” .