Stéphane
11/08/2006
Hassan Nasrallah, qui est reconnu, même en Israël, pour être toujours transparent et factuel, annonce dans son dernier discours la destruction dune centaine de véhicules dont 60 merkavas. Larmée israélienne reconnaît elle-même que la majorité de ses pertes sont dues à des missiles anti-char.
Cest très paradoxal : le merkava a été conçu autour dun principe, celui de la survie de léquipage. Bien quil soit désormais démontré quil est très vulnérable sur le champ de bataille (du Sud Liban), létat major sobstine à lenvoyer au front
Gilbert Kuenemann
11/08/2006
L’ampleur et le caractère systématique des massacres de civils libanais perpétrés par l’aviation et l’artillerie israélienne accrédite le soupçon - confirmé par une analyse des objectifs poursuivis - qu’il ne s’agirait pas là de “dégâts collatéraux” d’une guerre sale, mais qu’ils feraient partie du coeur de la stratégie poursuivie pour atteindre les “buts de guerre” fixés à l’origine. Ceux-ci sont clairement dans les déclarations israéliennes la “pacification” du Liban, de préférence par une présence prolongée de troupes internationales occidentale. Si cette lecture des événement s’avère exacte, et elle l’est sur le terrain ainsi que sur le plan diplomatique, c’est une première mondiale en matière de cynisme et de transgression du droit international. Pour la première fois, le crime de guerre - fut-il systématique - cesse d’être une composante tactique honteuse de la guerre, pour en devenir une composante stratégique à part entière, destinée de plus à s’étaler médiatiquement.
Comble du cynisme d’un ordre international fondant le droit sur la force, l’ONU est de plus conviée, par l’effet de résolutions déjà votées à donner la caution du multilatéralisme et de la légitimité internationale au succès de cette stratégie. Le crime de guerre élevé au rang de stratégie, non seulement n’est pas condamné - autrement que verbalement - mais aboutit, en tant que tel, à l’atteinte des buts de guerre de l’agresseur.
L’objectif déclaré des Israéliens est d’amener l’OTAN, les Etats-Unis, voire l’Union Européenne ou une composante hybride chapeautée formellement par l’ONU à intervenir militairement au Liban avec comme mandat de “désarmer” le Hezbollah, c’est-à-dire de “pacifier” et d’occuper le Liban - à leur place pourrait-on dire. Il est un fait que le bombardement des civils Libanais, avec ses point d’orgues successifs de Beyrouth à Qana, provoque un autre bombardement, celui d’images à destination des populations Occidentales, mais aussi arabes et musulmanes. Sous le choc, leur principal effet est de les faire approuver, voire souhaiter l’entrée en guerre des Occidentaux sous la bannière onusienne.
Le rôle de la diplomatie américaine - plus que jamais sous influence néo-conservatrice - est de faire en sorte que cette intervention - présentée surtout sous l’angle “humanitaire” aux opinions européennes - soit sur le terrain une véritable opération de “guerre de pacification” dans la plus pure tradition coloniale occidentale. Pour cela, la diplomatie américaine joue sur le velours du multilatéralisme en disposant même de la résolution 1559 de l’ONU demandant le désarmement du Hezbollah.
On notera qu’aucune chancellerie occidentale ne demande que cette force soit élargie à une interposition à Gaza ou en Cisjordanie aux frontières internationales de 1967, attitude qui ferait - elle - partie d’un règlement global de la situation en accord avec un droit international onusien non manipulé.
Il s’agit donc bien dans la politique de l’état israélien - au prix du sang des enfants libanais - d’attirer les occidentaux à se compromettre aux côtés de son intransigeance et de son expansionnisme colonial. Pour les Occidentaux - menés par les Etats Unis - il s’agit d’occuper une nouvelle case sur l’échiquier de leur présence militaire en Orient.
Dans ce contexte, en Occident, tout mouvement populaire de soutien face aux souffrances des peuples libanais et palestiniens se doit d’être extrêmement vigilant face aux conséquences d’une intervention militaire “humanitaire” au Liban. Le droit international onusien est en effet un droit fondé sur les états qui ne trouve aucun espace de légitimité à l’existence de mouvements populaires de résistance “indigènes”, relevant de la guerre de IVème génération, tels que le Hezbollah ou le Hamas - par ailleurs perpétuellement diabolisés par la propagande israéliennes et ses relais médiatiques en Occident - malgré leur légitimité démocratique sur le terrain et leur participation aux gouvernements des pays d’où on souhaite - en toute légitimité internationale - “les éradiquer”.
source : notv
Citoyen sceptique
11/08/2006
Après avoir enfiler les mensonges comme d’autres enfilent les perles, Blair, Bush and Co ne sont plus du tout crédibles : désormais, à chaque fois qu’on nous annonce qu’un complot redoutable devant aboutir à un attentat terrifiant a été démantelé, je me dis : encore de la communication politique à base d’intox sécuritaire. Cette fois-ci comme les autres, ma première lecture des récits médiatiques est de me dire : c’est guignol ! Et ceci même si ça correspond à un projet quelconque…
Ces gars-là ne sont vraiment plus dignes d’occuper leur place car on ne peut plus les prendre au sérieux quand ils prennent leurs airs de celui qui a du mal à se remettre d’une grande émotion consécutive à la catastrophe évitée de peu ! Cela ressort de la véritable pantomine !
CD
11/08/2006
Duelle aubaine pour Bush, le superman dans la
guerre au “fascisme islamiste”.
Sa cote va remonter.
amedee
11/08/2006
pas sympa ce gens qui mettent en doute cette série d’attentats ratés de londres censé rappeler à tous la justesse de l’action de bush et blair qui vont encore une fois sauver le monde libre.
Sur sur qu’on va trouver des temoins.
Parait que Mehlis est disponible pour faire l’enquete. (Rappel : Mehlis c’est le gentil chef de l’enquete nommé par l’onu pour prouver l’implication de la syrie dans l’assasinat de hariri et qui a été un peu obligé de démissionner sous le méchant pretexte que les témoins qu’ils a trouvés étaient devenus riches).
Pour les ADM, ils existent. Juste que saddam les a planqués en syrie et en iran juste avant que les GI’s n’arrivent. Bush va aller les chercher et vous le prouver à tous bande de sceptiques.
Donc, ne ratez surtout pas le prochain épisode de bush en sauveur du monde libre en iran, avec plus de bombes, plus de morts et peut être même du nucléaire (rigolez pas, parait que c’est en cours d’étude).
auguste
10/08/2006
Il y a des indices révélateurs des difficultés des IDF. La presse mainstream rapporte que certaines unités présentes au Liban sont ravitaillées par parachutage ou recoivent meme leur matériel par des lamas… Une fois admise le difficulté du terrain (montagneux)on se pose quand meme des questions. Si enfoncée de quelques petits kilomètres les IDF ont besoin de parachutage et de lamas pour s´approvisionner ca laisse le militaire ultra moderne reveur. Si par contre le Hezbollah utilisait des pigeons voyageurs ca serait une excellente nouvelle car leur image radar ne devrait pas etre trop voyante et encore moins le message attaché à leur patte. On se souvient que les unités de missiles syriens de l´autre guerre avaient éte détruites par la chasse israélienne par leur simple émissions radar avant meme d´avoir pu entrer en action. Cette fois le départ des fusées (détectables à l´infrarouge par les avions) a l´air de se faire sans trop de difficultés. Ca donne une idée de la préparation du Hezbollah et de ses capacités tactiques et stratégiques. Mais une deuxième explication pourrait etre donnée : Israel laisse les roquettes décoller pour souder la nation derrière son armée. Les morts civils sont nécessaires pour amorcer la pompe du ressentiment et de la haine. Au fait que font les “Patriots” dont on nous disait qu´Israel était abondamment pourvu? seraient-ils en retard d´une guerre?
Lambrechts Francis
10/08/2006
... L’Iran a commencé très rapidement à amortir son investissement politique dans le Hezbollah. Les prises d’otages occidentaux lui ont permis de négocier en 1985 l’achat de matériels militaires aux États-Unis, essentiels à son effort de guerre contre l’Irak. (http://lefigaro.fr/liban/20060810.FIG000000093_le_hezbollah_un_placement_fructueux_pour_l_iran.html)
... les blindés israéliens ont reçu instruction de ne bouger que de nuit. «Ils sont beaucoup plus forts que vous le croyez, ces terroristes», explique le lieutenant Arik. «Grâce à ses missiles Tow reçus d’Iran (missiles antichars livrés par l’Amérique du temps du régime du chah) le Hezbollah peut nous stopper un char à quatre kilomètres de distance !»
(http://lefigaro.fr/liban/20060810.FIG000000082_jusqu_au_corps_a_corps_avec_le_hezbollah.html)
Manu Kodeck
10/08/2006
A lire la note d’analyse de Caroline Pailhe, chargée de recherche - 8 août 2006
Israël Palestine Liban : Le chemin le plus long vers la paix
Article ici :
http://www.grip-publications.eu/bdg/g1053.html
Groupe de recherche et d’information sur la paix et la sécurité
33 rue Van Hoorde, B-1030 Bruxelles
Tél.: +32.2.241 84 20 - Fax : +32.2.245 19 33
Internet : http://www.grip.org
Courriel :
Lambrechts Francis
10/08/2006
http://www.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1154525833347&pagename=JPost%2FJPArticle%2FShowFull
... In the past two years, perhaps because of this American boycott of Syria, Assad has called for negotiations with Israel without preconditions a number of times.
Israel, under the leadership of Ariel Sharon, rebuffed these appeals. It is the first time in history that an Israeli prime minister rejected a request for peace from an Arab neighbor. Sharon could do that, without holding a serious political discussion and without any real public debate on the subject, only because President Bush - because of American interests - took a dim view of Israeli-Syrian negotiations.
Late last week, the Syrian ambassador in the US was interviewed by Orli Azulay for the Yediot Aharonot weekend supplement. Among other things, Dr. Imad Mustapha said, “We will say to the Israelis: You occupied the Golan Heights and the Shaba Farms, the West Bank and Gaza. Stop the occupation; let us establish full peaceful relations and normalization in the region - enough with these wars.
“We have adopted the peace initiative put forward by Saudi King Abdullah, who proposed peace with Israel in return for the occupied territories. We proposed entering into dialogue with Israel, and it spurned us twice.”
It is clearly in Israel’s interest to break up the Iran, Syria and Hizbullah triangle. I am convinced that Syria would rather belong to the club of sane countries, and that its alliance with Iran is more the result of being pushed into a corner than the product of ideological or religious affinity.
Peace with Syria would lead to peace with Lebanon, and could change Israel’s strategic status. The cost of that peace has been known for many years. Not paying it is far more costly.
Lambrechts Francis
09/08/2006
http://www.middle-east-online.com/english/opinion/?id=17226
Rami Khouri describes the five-wars-in-one that are unfolding in the warfare between Israel and Hezbollah. As negotiations move to the forefront, the other four wars will become more evident.
...
On the surface, the situation seems clear. Israel and Hezbollah have effectively fought each other to a draw,
...
Still, the problem is that a cease-fire and political resolutions on this front solve only one of our five wars around here. The other four wars are:
* the coming internal battles inside Lebanon to define the country’s future character and orientation;
* the continuing antagonism between Israel and regional players like the Palestinians, Syria, Iran and probably a majority of Arab public opinion;
* the struggle for legitimacy and leadership between established Arab regimes and powerful non-state actors like Hezbollah and Hamas; and,
* the global tug-of-war over the soul and identity of the Middle East, symbolized by the tensions between the United States-Israel-United Kingdom-led camp and the Iran-Syria-Hezbollah-Hamas-led camp.
...
Israel and the United States now focus their energy on preventing Hezbollah from emerging from this war strengthened politically - because a stronger Hezbollah with widespread support in the Arab world and Iran would make the Israeli-American position in the other four wars immeasurably more difficult. Hezbollah in Lebanon is the embodiment of all five wars, which is why it must be defeated forever in Israel-American eyes, as well as those of many Lebanese and other Arabs who mistrust Hezbollah and fear its local and regional aims.
Lambrechts Francis
09/08/2006
http://www.huffingtonpost.com/jeff-cohen/lamont-victory-a-media_b_26857.html
Besides defeating Sen. Joe Lieberman, challenger Ned Lamont has also registered a triumph over much of the Washington press corps that had rallied so ridiculously to Lieberman’s defense.
...
Mainstream media reports during the campaign talked routinely about a party “purge” of Lieberman—confusing a free and open democratic contest with a backroom expulsion.
...
So the defeat of Lieberman is not just a victory for grassroots politics and independent media, but a rejection of mainstream punditry.
...
Connecticut voters have sent a message that elite media seem unwilling to hear: It’s that many Americans believe the Bush (and Lieberman) approach to “national security” makes our country less secure, more despised and more vulnerable.
Jean
09/08/2006
En fait moi aussi j’ai du mal a comprendre cette apparente lenteur, cependant 3 theories peuvent l’expliquer…
L’Officiel: Israel a déjà occupé le Sud Liban , et ça c’etait tres mal passé, on peu appellé cette version la version Historique…
La Version de Defensa: Israel est devenu une annexe du Pentagone au niveau militaire, et donc elle subie de plein fouet la tempete et le chaos qui regne à Washington, en gros: Est ce que c’est Condi ou Bolton qui aura le dernier mot?
Ca c’est la version Chaos et indecision from USA…
La Version alternative: Et si c’etait beaucoup plus que 100 Morts une offensive menant au bord du fleuve Litani? Ca couterais chere politiquement a l’equipe au pouvoir en Israel…
Ce qui est flagrant, c’est que quelque soit la version, elle rapelle cette celebre sentance de Jules Renard “n’ecoutant que son courage, qui ne lui disait rien, il se garda d’intervenir…”
D’intervenir au sol dans ce cas precis!
Carol DEBY
08/08/2006
Mais qu’est-ce que c’est, le patriotisme ? Sinon une communauté de pensée et d’action, entre des hommes opprimés, contre la puissance qui les domine.
Des patriotes qui se sacrifient par idéal, on en trouve dans l’Histoire, mais dans un pourcentage tellement faible !
Les Saint-Cyriens entraînant leurs troupes, en gants blancs, au début de la WWI ?
Combien y en a-t-il eu, en réalité ?
Pour un Jean Moulin, préfet, essayant de se suicider plutôt que de collaborer avec l’ennemi, combien y a-t-il eu de résistants par pur idéal , durant la Deuxième ?
On prenait généralement le maquis par contrainte.
Votre serviteur, qui n’a jamais été héroïque, mais plutôt un peu pleutre, aurait du entrer dans la Résistance, si la Libération n’était pas survenue opportunément, en septembre 1944. Je n’avais que 17 ans.
Or, à 18 ans, c’était le STO, le Servage Total Obligatoire, la contrainte manu militari
(c’était le cas de le dire) d’aller en esclavage dans une usine allemande, exposée aux bombardements alliés. Il fallait voir les jeunes qui tardaient à se manifester après leur convocation, arrachés de leur logis, ou simplement arrêtés en rue s’ils ne pouvaient justifier
leur état de liberté, et propulsés à coups de bottes dans des camions. Cavanna a décrit
comment il fut arrêté et jeté dans un train en partance pour le IIIème Reich.
On ne rentrait pas en résistance par idéal, mais par refus de l’esclavage.
Mettons-nous dans la peau d’un jeune Palestinien. A moins de disposer d’une certaine fortune, lui permettant de quitter le Moyen-Orient (comme Edward Saïd), il restera, sans espoir, sans un quelconque avenir, dans son village coupé en deux par le Mur. La solution pour s’en sortir : le suicide.
C’est ce qui s’est passé peu après 1967. Les camps, les interventions musclées d’abord,
sanglantes ensuite; ce fut Chabra et Chattila.
Quand le malheur s’acharne sur vous, vous pouvez vous suicider, si la cause de votre misère est la fatalité, ou votre amour pour le jeu, ou une belle Otéro qui vous a plumé.
mais si c’est un occupant, un peuple qui vous a asservi , qui est responsable de votre
détresse, là, vous vous direz que, au lieu de s’anéantir en solitaire, on pourrait peut-être
en même temps donner la mort à quelques uns des représentants de l’ennemi.
Voilà comment on devient kamikaze, ou que l’on est prêt à combattre jusq’à la mort.
Ce n’est pas la perspective d’un paradis avec nombre de houris pour vous lutiner,
mais la rage désespérée.
Les Palestiniens ont donné l’exemple. Si la déchéance sociale venait à nouveau dans nos régions, vous verriez des résistants se donner la mort en massacrant quelques nantis du
régime oppresseur. Les kamikazes pourraient un jour surgir du sein de nos peuples,
sans qu’il soit question d’une quelconque religion, qu’ils soient chrétiens, juifs, musulmans, athées ou agnostiques. Par rage impuissante, par désespoir, par volonté d’échapper au servage, même le démocratique qui ne dit pas son nom, on se fait éclater au sens sanglant du terme, tout en se vengeant.
swisswatch
08/08/2006
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-801592,0.html
La lecture du “Monde” est une torture à laquelle je me force pour avoir connaissance de ce qui se dit en France. Mais là n’est pas la raison de mon intervention.
A première vue, cet article de Joska Fischer peut faire bondir. C’est un amas de fausses et contre-vérités, de généralisations, de mensonges, une apologie de la politique US.
Bigre! me disé-je après l’avoir lû, qu’y a-t’il derrière celà? La ficelle est vraiment trop grosse!
Et puis, en appliquant la théorie de la lutte EU contre USA voici ce que j’en pense:
Joska Fischer jette intentionellement de l’huile sur le feu. Il conforte les US dans leur politique d’intervention et de violence, les encourrage même à agir d’avantage - puisqu’ils ont raison - en donnant en queque sorte l’imprimatur de l’Allemagne.
Cette politique des pays européens, une fois supportant les USA, une fois les condamnant, l’Espagne pour, l’Italie contre, et on change etc, donne une idée de confusion totale et pour le moins, de faiblesse. Mais si on observe les faits, on se rend compte que cette politique a deux avantages.
1) Les Etats-Unis ne prennent pas L’UE au sérieux, ni comme un concurrent. Ils la laissent donc tranquille. Un point de gagné pour l’UE.
2) Appuyés, soutenus, accompagnés même par les pays qui jouent les serviles alliés, les américains s’enfoncent toujours plus dans leur désastreuse politique guerres et surtout s’affaiblissent. Ca, c’est la politique de l’EU: l’affaiblissement des USA.
C’était au tour de l’Allemagne de prendre le rôle de laquais-flatteur, Joska Fischer l’a fait.
MHB
08/08/2006
Effectivement Guynemer a bien dit cela et il y croyait fermement d ailleurs il l a prouve.
Mais restons en a notre epoque et particulierement a ces derniers jours:
Clinton dans un discours il y a une dizaine de jours a New York, au cour d un banquet certainement kosher - mais l histoire ne le dit pas - a epoustoufle tout le monde en declarant: ” Je suis pret a mourir pour Israel ...”
Et il ne se presnte pas aux elections.
Alors quoi ?
Pour aider Lieberman ?
Non, c est trop court.
Donc pourquoi ?
Peut etre pour imiter Guynemer ....
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