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Murdoch Loves Hillary Clinton (CBS & Fiancial Times)

Article lié :

Lambrechts Francis

  26/06/2006

Rupert Murdoch Loves Hillary Clinton.
Conservative Media Mogul To Host Fundraiser For Liberal N.Y. Senator
... The mating ritual of the unlikely allies has been under way for months ...
http://www.cbsnews.com/stories/2006/05/09/politics/main1600694.shtml
Un commentaire :
http://www.dmiblog.net/archives/2006/05/hillary_clintons_mating_ritual.html
There’s a lot of talk from the media and the pundit class about “red and blue America,” supposedly increased political “polarization” - but as my new book, Hostile Takeover details, that narrative is a deliberate farce designed to hide the very tightly-knit, bipartisan consensus in the Establishment that makes sure Big Money interests and the power structure are protected…

Distinguer la réalité en Chine aussi.

Article lié :

Lambrechts Francis

  26/06/2006

‘Opposer Chine riche à Chine pauvre ne suffit pas à expliquer l’avenir du pays. La rupture plus essentielle se fera entre la société civile qui émerge et le Parti qui refuse toute évolution politique’ par GUY SORMAN.
http://www.liberation.com/page.php?Article=370881

JSF en australie : Petits problèmes techniques (sans gravité)

Article lié :

Fab

  24/06/2006

Un article en première page de THE AUSTRALIAN :
http://www.theaustralian.news.com.au/story/0,20867,19570919-601,00.html

Le cas de l’ Australie sur ce dossier me semble assez intéressant car c’est un pays qui, bien que pouvant être qualifié d’ anglo-saxon (et membre de l’ AUSCANUKUS), a déjà fait montre d’une certaine “originalité” dans ces choix de fournisseurs d’armement :
- Mirages III dans les années 1960
- Plus récemment, hélicoptères TIGRE vainqueur contre l’ APACHE américain.

De plus, les australiens gardent un mauvais souvenir de leur dernière collaboration aéronautique avec les Etats-Unis, je veux parler du développement du F-111, appareil dont la mise au point fut beaucoup plus longue et plus coûteuse que prévue, pour obtenir au final un avion aux performances plutôt décevantes.

Alors, l’Australie, première à quitter le navire ?

Crise économique, OUI on en parle

Article lié :

Lambrechts Francis

  23/06/2006

En référence à ‘Crise économique’, crash : SI, SI, ON en parle !

Voici un site financier ‘CONTRARIEN’ pour relativiser les ‘nouvelles’ financières, pour écrêmer et analyser en perpective historique.

La qualité des signatures, l’expérience, l’honnêteté, de la philo… volià qui fidélise.
Et, bien sur, gérer vos millions(ards).

*** http://www.la-chronique-agora.com  ***

avec ‘La chronique du jour’ par Philippe Béchade (Parisien, co-fondateur de Cercle Finance, leader de l’analyse)
- ‘Nous sommes dans l’irrationnel le plus total’ (*)
- ‘L’étude de Merrill Lynch est un torchon.’
- ‘remettre les choses dans l’ordre à propos de votre modèle britannique’
(*) Tiens ? sans l’irrationnel que devient le rationnel ? Nos catégories nous enferment, est ce du virtualisme ?

JSF

Article lié :

CMLFdA

  23/06/2006

Depuis la réunion du 15 juin entre US-UK pour tenter de trouver une application concrète à l’accord Bush-Blair, je ne trouve que des articles (Def News, par exemple) qui semblent insinuer que les problèmes de transfert de technologie et de “operational sovereignty” des Anglais ont été résolus, ou sont sur le point de l’être… tout est pour le mieux, semble-t-il. Les Anglais satisfaits signeront donc le MoU pour la phase de production et le contrat d’achat des F-35… Plus personne ne parle de la conversation entre Reid et Alliot Marie de Janvier et d’un possible procurement de Rafale M. Richard North s’est calmé...
Je suis en train de travailler sur le programme F-35 en Italie, et je demanderais à tous les lecteurs, et bien entendu également à Philippe Grasset et son équipe, de nous informer s’ils trouvent des informations hors des MSM ou ont des infos plus spécifiques sur les négotiations actuelles entre les Italiens (et autres partenaires) et les USA. Merci d’avance! L’Italie doit bientôt prendre une décision et je suis impliquée dans cette affaire. L’Aeronautica Militare Italiana et l’industrie (avec peut-être quelques reserves?) sont en train d’essayer d’imposer le contrat quasiment signé au nouveau gouvernment, je crains que le gouvernment Prodi ne tente même pas de mettre en question ce qui a été décidé d’avance par quelques personnages obscurs, derriere des portes fermées. Le parlement sera mis devant le fait accompli. Autre chose: l’Italie n’a même pas l’exigence de souveraineté operationnelle.. dans un recent article de Def News, un officier anonyme des forces armées disait (en gros): tout va bien pour nous dans le programme, nous sommes en train de préparer la base de Cameri pour accueillir la chaine de montage et le centre FACO (où les Hollandais viendront aussi, ammortissant ainsi les frais), et pour nous il n’y a aucun problème avec les Americains car nous ne demandons tout de même pas les “source codes” ni la recette de la technologie futive du JSF!!! Nous nous contenterons de ce que le Américains veulent bien nous dire (need to know basis) et nous les appellerons lorsque nous aurons besoin de faire qq chose à nos avions. D’ailleurs, des gens de Lockheed Martin viendront travailler avec nous à Cameri. Cela signifie-t-il que l’Italie n’a aucune envie d’être autonome sur ses avions et de pouvoir effectuer les upgrades et adaptations qu’elle désire? Rien de tout cela n’a été discuté en public, pas même dans les couloirs des bureaux du nouveau ministre de la défense et de ses sous secrétaires….. Bref, il faut agir vite, au moins tenter de lancer un débat. Merci d’avance de toute l’aide que vous pourrez nous apporter.

Une opinion "pulmonaire"

Article lié : L’opinion publique européenne s’invite au sommet UE-USA

Poalo Scampa

  22/06/2006

Résumé.

Lancées à très grande vitesse, les particules alpha ionisent les atomes qui leurs font obstacle en arrachant un ou plusieurs électrons à leur cortège électronique. Chez le vivant, les perturbations de la chimie cellulaire provoquée par l’ionisation des « atomes-bio » induisent le cancer. La dispersion aérienne de ces microscopiques bombes radio-biologiques à effet pathologique retardé sonne le glas de l’humanité et de la vie.

Les particules alpha.

Les particules Alpha sont des éclats d’atome composés de 2 neutrons et 2 protons accolés qui sont expulsés du cœur de l’atome radioactif à la vitesse d‘environ 20.000 Km/s.  Lancées à très grande vitesse, les particules alpha ionisent les milieux qui les freinent en arrachant un ou plusieurs électrons au cortège électronique des atomes ambiants. Normalement électriquement neutres ces atomes seront ainsi momentanément polarisés et, lorsqu’ils participent à la construction atomique de la vie biologique, leur fonction moléculaire s’en trouvera dès lors dangereusement troublée.

Faible pénétration mais forte irradiation.

Ces lourdes particules accélérées, électriquement chargées et trop « grosses » pour ne pas rencontrer d’obstacles sur leur trajectoire, ioniseront les atomes percutés et environnants d’autant plus intensément que leur freinage sera brusque. Cette distance de freinage dépendra bien sûr étroitement de la densité du milieu traversé. Plus le milieu sera dense, plus la distance de freinage sera courte et, en retour, plus l’ionisation locale de ce milieu sera forte; toute l’énergie cinétique de la particule se dissipant alors sur un très faible volume de matière et d’atomes. Par conséquent plus la trajectoire du projectile sub-atomique est courte (ou mieux, plus elle est écourtée car c’est le milieu atomique qu’elle parcourt qui la freine), plus chaque point de l’espace traversé aura de probabilité de s’en trouver ionisé.

Pour autant, dire que les capacités de pénétration dans la chair des particules alpha ne dépassent pas 50 micromètres (1/20ème de millimètre dans lequel il y a une dizaine de cellules biologiques empilées) c’est par un certain côté en occulter le péril effectif. Le pouvoir de pénétration des particules alpha est, en effet, en quelque sorte inversement proportionnel à leur pouvoir de destruction. Moins les alpha iront loin, plus l’ionisation sera concentrée dans un espace réduit, plus la dévastation des cellules qui résident dans cet espace sera probable.

L’irradiation des molécules stimule le cancer.

Ce sont dès lors des particules particulièrement meurtrières lorsque tirées depuis l’intérieur de l’organisme à proximité des cellules. Une fois installées in situ, les masses radioactives alpha peuvent alors concentrer leur pouvoir d’ionisation sur des cibles moléculaires infiniment petites mais vitales au niveau histologique. L’ionisation des atomes des molécules affecte en effet très gravement les propriétés chimiques cellulaires et en particulier les propriétés chimiques de leur ADN en entraînant des « malformations cellulaires »: l’irradiation induit d’irréparables mutations cellulaires cancéreuses.

Cancer généralisé.

Les particules alpha émises par les radio-éléments comme l’uranium, le plutonium ou l’américium sont des particules infiniment petites et infiniment périlleuses lorsque tirées à proximité des cellules. Leur action nocive sur les êtres vivants opère à l’échelle atomique de manière invisible et insensible. Ce sont des projectiles «radio-biologiques » de dimension sub-atomique qui attaquent des cibles de taille atomique. Elles n’agissent pas au-delà de cette dimension. Elles ne perforent pas les tissus, ne trouent pas les cellules comme le fait une balle de fusil. Au sens premier du terme ce sont des bombes atomiques. Elles irradient dans l’infiniment petit et ionisent les molécules. Elles perturbent le fonctionnement des « atomes de vie ». Ce sont des projectiles sub-atomiques « anti-molécules» qui attaquent les bases physiques et chimiques de la vie de la cellule. Les cellules entrent dans leur court mais dévastateur rayon d’action dès lors que la taille des poussières radioactives qui les émettent se font si infinitésimales qu’elles envahissent sans difficulté l’organisme, s’installent à proximité des cellules, les pénètrent même. Immobilisées dans les tissus ces poussières micrométriques voire nanométriques se transforment alors en de véritables bombes sales cellulaires à effet pathologique général retardé. Les poussières radioactives « alpha » sont en cela de véritables armes de destruction massive de taille microscopique qui contaminent chaque organisme qui les respire ou les ingère. La dispersion d’invisibles aérosols radioactifs par milliers de tonnes durant les dernières guerres « contre le terrorisme » sonne déjà au lointain le glas de l’humanité et de la vie. Il n’est plus un mètre cube d’air qui ne soit empoisonné. Les nanoparticules volent loin, beaucoup resteront en suspension à jamais. (Leur surface prend le dessus sur leur volume: elles « volent »). La biosphère est devenue une chambre à gaz radiologique à effet différé. Il suffit d’un peu de patience.  Le cancer généralisé se fait toujours attendre. Ce ne sont que de pauvres bombes à cancers à retardement.

Paolo Scampa

Vice-président de l’AIPRI

Bibliographie.

Caracteristics of particles and particle dispersoids, C.E Lapple, Stanford Research Institute Journal, Vol 5, p.95, Third Quarter, 1961 In D.R. Lide, CRC Handbook of Chemistry and physics, Taylor & Francis, CRC Press, USA, 2006.

Handbook of chemistry and physics CRC Press, USA, Edition 1972-1973, page B-25. “Because of the high rate of emission of alpha particles and the element being specifically absorbed by bone marrow, plutonium, as well as all the other transuranium elements except neptunium, are radiological poisons and must be handled with special equipment and precautions.”

Le bombardement du cytoplasme peut induire des mutations de l’ADN nucléaire, Charles Day. http://www.raraf.org/sites/larech.htm

Les rayonnements, l‘Adn et la cellule, Clefs CEA, printemps 2000. Sur web in http://www.cea.fr/fr/Publications/clefs2.asp?id=43

Plutonium, poumons et effets de proximité , M.E. André, in ETUDES & EXPANSION,  n° 276, 1978. Sur web in http://users.skynet.be/mauriceandre/

The effects of nuclear weapons, S. Glasstone, J. Dolan, 1957. Voir chapitre “Internal hazard” http://www.princeton.edu/~globsec/publications/effects/effects12.pdf  -The general biological effects of nuclear radiations from internally deposited sources are the same as those from the external sources. However, it should be noted that even a small quantity of radioactive material present in the body can produce considerable injury.-

Un nouveau panorama des risques sanitaires de l’uranium, B. Smith, A. Makhijani,  in Énergie et Sécurité No. 32, Institute for Energy and Environmental Research, 2005, http://www.ieer.org/ensec/no-32/no32frnc/durisks.html - L’uranium, y compris l’uranium appauvri (UA), est généralement plus dangereux pour une personne quand il pénètre à l’intérieur du corps, que ce soit par ingestion, inhalation ou par des lésions de la peau (un contact prolongé peut aussi aboutir à une dose d’irradiation externe significative). À l’intérieur du corps, l’uranium crée des risques à la fois en tant que métal lourd toxique et en tant que matière radioactive.-

L Histoire se repete ...

Article lié : L’opinion publique européenne s’invite au sommet UE-USA

MHB

  22/06/2006

Tout comme lors du (Premier) Congres de Vienne, ce Second Congres de Vienne - mal-nomme “Sommet Ransatlamntique de Vienne - a revele que les Dirigeants occidentaux n ont pas change ... pres de deux siecles apres.

Comme a dit Hawkins a Pekin: ” il va bientot faire tres chaud, il est temps de penser a changer de planete”.

Moralite: “reservez vos places et achetez vos billets des maintenant aupres de Virgin Inter-Galactic Spaceline”

prodi et putin creent une merchant bank

Article lié :

maurizio@blondet.it

  22/06/2006

peut etre ça va vous interesser: un autre “succes “de Dubya.

Russia, Italy to Create Bank

Russia and Italy agreed Wednesday to create a jointly owned merchant bank
for the promotion of economic relations between the two countries, the
Radiocor news agency said, citing the Italian prime minister, Romano Prodi.

The bank will be equally owned by Italian and Russian financial institutions
and will help increase investments between the two countries.

Banca Intesa, Italy’s second-largest lender, will coordinate the project on
the Italian side, Radiocor said, citing Prodi.

Other Italian companies interested in the project are Generali, Enel,
Finmeccanica and Indesit, according to Radiocor.

The Russian part of the venture will be coordinated by state-owned lender
Vneshekonombank, Radiocor said. (Bloomberg)

Vladimir Putin Passes the Energy Charter

// On his own terms

Russian President Vladimir Putin met with
Italian Prime Minister Romano Prodi yesterday in the Kremlin and told him
that Russia would observe the Energy Charter in relation to Italy without
the Russian parliament even passing it.

Kommersant special correspondent Andrey Kolesnikov was stunned by that
statement after listening to repeated criticism of the charter by Putin for
the past few weeks.

Prodi met with

Putin many times in the
capacity of chairman of the

European Commission, as Putin reminded him. The Russian president did not
look as though he were in a good mood. As the two leaders spoke about their
countries’ economic ties, Italian journalists moved progressively closer to
them. Finally, Prodi interrupted Putin to suggest that they be dismissed.

“I have informed my colleague in detail of my negotiations with the
president of Iran,” Putin said, changing the subject, “and we have agreed to
Russian-Italian consultations on that topic.”

“We no longer have energy relations as seller and client,” Prodi announced.
“After our negotiations, it is a matter of Italy’s presence on the Russian
market and the Russian presence on the Italian market.”

Kommersant was able to learn that the leaders
discussed relations between the Italian ENI and

Gazprom.

ENI along with the German BASF is to help Gazprom get access to the European
gas distribution system in exchange for the right to develop gas fields in
Russia. The leaders discussed those companies’ participation in the
construction of the Samsun-Ceyhan gas pipeline in Turkey to give Russian gas
access to Israel, Greece and the south of Italy.

“Of course, we are quite concerned that Ukraine is not pumping Russian gas
into its underground reservoirs,” Prodi said, a real political gift to
Putin. “We would like to avoid the risks that we faced last winter and we
will do everything we can so that the reservoirs are filled and we can meet
next winter calmly.”

“It is extremely important for us to hear about the possibility of Russian
energy companies gaining access to Italian markets,” Putin announced, “in
exchange for the participation of Italian companies working on the
electricity, oil and gas markets of Russia. In essence, that is the
implementation of the Energy Charter without its formal ratification by the
Russian parliament. We are ready to do that [observe the charter], but not
for everybody, only for those who consider us equal partners.”

That ended the formal part of the talks. A journalist asked about the talks
between the Russian and Iranian leaders in Shanghai.
“For Italy, Iran is trading partner number one,” Prodi stated. “Even though
we are not in the six,’ who are participating in the discussion of the
Iranian dossier, it is of vital importance to us.”
“We will consider Italy’s position in the course of the negotiation
process,” Putin added.

by Andrey Kolesnikov

All the Article in Russian
as of June 21, 2006   1992-2004 ZAO Kommersant. http://www.kommersant.com

Source: Xinhua UPDATED: 09:55, June 21, 2006

Russia, Italy agree to open energy markets to each other

Russia

n and Italian
leaders said on Tuesday their countries will open energy markets to each
other’s investors.

Following talks in the Kremlin, Russian President Vladimir Putin and Italian
Prime Minister Romano Prodi agreed on access by Russian energy companies to
the Italian market in exchange for access by Italian companies to oil and
gas extraction in Russia.

“In fact, we are implementing the Energy Charter’s supplementary protocol
without formally ratifying the document in parliament,” Putin was quoted by
the Itar-Tass news agency as saying.

Despite European pressure, Russia has not ratified the Energy Charter, a
document that would require it to open its export pipeline network and other
energy assets to foreign investors.

Prodi said Italy

  and
Russia have opened “a new phase of energy cooperation.”

“We no longer have the relations of a seller and a buyer. Russia will be
present on the Italian market in the production of electric power,” the
Italian leader said.

The two leaders also witnessed the signing of an agreement between Russian
aircraft maker Sukhoi and Italian aerospace and defense company Finmeccanica
on cooperation in a civilian aircraft project.

­­­­­­­­­­­­­­­­­________________________________________

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http://www.gulf-times.com/site/topics/article.asp?cu_no=2&item_no=93167&vers
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Russia, Italy agree to open markets

Publish Date: Wednesday,21 June, 2006, at 09:56 AM Doha Time

AFP

Russian president Vladimir Putin (right) shakes hands with Italian Prime
Minister Romano Prodi prior to their talks in the Kremlin in Moscow
yesterday

MOSCOW: Russian President Vladimir Putin and Italy’s Prime Minister Romano
Prodi announced yesterday they had agreed to open energy markets to each
other’s investors.
Speaking at the Kremlin, the two leaders said that Russian companies would
be allowed to invest in the Italian consumer market, while Italy’s energy
companies could take part in Russian production.
“We have started a new phase of collaboration in the energy sphere. This is
not only seller-to-buyer, but involves Italy’s presence in energy production
in Russia, as well as a Russian presence downstream in energy consumption in
Italy,” Prodi told journalists.
Putin said such cooperation was possible between Russia and any countries
“that come toward us and deal on an equal basis.”
The leaders gave no details about the agreement, which comes as Russia and
the European Union remain unable to agree on a wider-ranging deal known as
the
“energy charter.”
Europe is increasingly nervous about over-dependence on Russian gas and oil,
as well as being concerned that investment in Russia’s energy fields is
insufficient to guarantee needed output in the future.
The European Union in particular wants to see an end to state-run giant
Gazprom’s de facto monopoly on gas exports and greater access for European
energy companies to Russia’s gas market.
Moscow, which is enjoying the fruits of high energy prices, demands in
return greater access to EU markets, including in the gas retail sector.
Tensions between the European Union and Russia heightened in January when
Gazprom, which accounts for 26 percent of EU gas supplies, turned off the
taps to Ukraine in a price war that hit supplies some European countries.
Since then, a war of words has erupted as the EU reassessed its energy
policy and pledged to look toward other energy forms and suppliers. - AFP

_______________________________________________

http://www.kommersant.com/page.asp?idr=529&id=684020

June 21, 2006

Italians Find Way into Russian Aircraft Industry

The state

Sukhoi holding and the Italian
Finmeccanica have found a way to circumvent restrictions on foreign
investors’ participation in the authorized capital of Russian aviation
enterprises. The Italians have been allowed to buy 25 percent plus one share
in ZAO Sukhoi Civil Aircraft, which is creating the Russian Regional Jet,
one of three state-supported projects to replace the Tu-134 on
middle-distance flight. The exception was made as a part of an interstate
agreement between the two countries. No changes will be made in Russian
legislation, but it is possible that more deals of the type made for
Finmeccanica will be made in the future. There are a number of foreign
companies that would like access to the Russian aviation industry.

Sukhoi and Finmeccanica executives signed an
agreement on strategic cooperation in the RRJ project yesterday in the

Kremlin in the presence of

Russian President Vladimir Putin and Italian
Prime Minister Romano Prodi. Finmeccanica subsidiary Alenia Aeronautica will
purchase the Sukhoi Civil Aircraft stock and finance no less than 25 percent
of the business plan for the creation of the RRJ, which is estimated at $1.5
billion and is to be completed by 2008, including the manufacture of
Russian-French SaM 146 airplane engines. The company has yet to be assessed
by either side.

The deal will be approved by the Russian and Italian governments and sealed
by the end of the year, according to Sukhoi sources. The 1998 Russian law
“On State Regulation of the Development of the Aviation Industry,” the
maximum a foreign company, individual or affiliate of a foreign company can
own in Russian organizations that develop, produce, test, rebuild or use
aircraft technology is 25 percent minus one stock. The interstate protocol
to remove that restriction is still being discussed by Russian and Italian
government agencies, according to Sukhoi sources. The state Sukhoi holding
owns 95.85 percent of the stock in Sukhoi Civil Aircraft.

Finmeccanica SpA is Europe’s largest military aircraft producers. Its
turnover in 2005 was EUR11.5 billion and net profit almost EUR400 million. It is
developing both civil and military aircraft, including the ATR 42 and ATR
72.

by Sergey Ryzhkin, Konstantin Lantratov

_________________________________________________________

Wrap: Russian, Italian leaders focus on energy, Iran nuclear program

22:01

|

20/ 06/ 2006

Print version

MOSCOW, June 20 (RIA Novosti)-Russia and Italy reached an agreement Tuesday
on reciprocal access in the energy sphere and set out common positions on
Iran’s controversial nuclear programs.

After Kremlin talks on his first foreign visit since becoming Italy’s prime
minister in April, Romano Prodi said Russian companies would receive access
to Italy’s energy market in exchange for Italian companies’ obtaining access
to Russian oil and gas deposits.

Russian leader Vladimir Putin praised the idea, which comes against the
backdrop of suggestions from Russian energy companies, in particular natural
gas giant Gazprom, that access to European assets was being blocked and
European complaints that access to mineral deposits in Russia was being
denied under security considerations.

“It is extremely important to hear [proposals] on Russian energy companies’
access to the Italian market in exchange for our willingness to give Italian
companies access to oil and gas production on Russian territory,” Putin
said.

The president said Russia was ready to grant access to its mineral resources
to any countries that were prepared to engage in equal partnership, such as
Germany and its energy corporation BASF, which is a Gazprom partner in a
multibillion dollar project to build a gas pipeline direct from Russia to
Europe across the Baltic Sea.

“In essence, this is implementing the additional protocol to the Energy
Charter without the Russian Federation’s formal, legal ratification of this
document,” Putin said.

Putin said in May the Energy Charter meant free access to production and
transportation infrastructure, but added: “The question is what will we get
in return? We ask where your deposits and pipelines are. If [Europe] does
not have any, then we have to look for other areas of cooperation.”

The president said Russia was ready to open up its deposits to foreign
companies, but only from those countries that were ready to cooperate on an
equal footing.

Prodi, a former president of the European Commission, also said that Italy
would do everything possible to help Ukraine create natural gas reserve for
the winter. He said Italy was concerned by Ukraine’s failure to make a
strategic reserve and would like to avoid the risks it had faced last
winter.

In a dispute with Gazprom over the price it paid for Russian natural gas,
Ukraine took Russian gas bound for Europe from pipelines across its
territory after the Russian company cut off supplies destined for Ukraine,
which left European consumers, including Italy, facing shortfalls.

The two members of the Group of Eight industrialized nations also agreed to
work out a mechanism for consultations on Iran’s controversial nuclear
program.

“Italy is one of Russia’s most important partners in Europe. Interaction
with Iran is very important for the Italian Republic since the volume of
economic contacts is very large,” Putin said. “In formulating our positions
in the negotiating process [on Iran’s nuclear problem], we will take Italy’s
position into account.”

Russia has substantial interests in the Islamic Republic - it is building a
nuclear reactor in the country - and Prodi, a, said he had stated publicly
that Iran was Italy’s no.1 commercial partner.

With many countries pushing for economic sanctions to be imposed on Tehran,
Putin also spoke in favor of returning the issue to UN’s nuclear watchdog,
the International Atomic Energy Agency, in the wake of a meeting last week
in China with Iran’s president.

“In essence, the UN Security Council is already considering Iran’s nuclear
program, but our objective is to use the negotiating process between the six
countries and Iran to return this issue to the IAEA,” he said. “And judging
by what I heard from [our] Iranian partners in Shanghai, this is entirely
possible.”

V___________________________________

Meanwhile In Vienna, Bush feels the heat and the CFR worries and makes
things up…

http://www.cfr.org/publication/10940/for_useu_a_wary_embrace.html

*                      For U.S.-EU, A Wary Embrace

Updated: June 21, 2006

Prepared by:

Michael Moran

Determined to present a unified front to Iran on nuclear proliferation,
President Bush and the current leader of the European Union, Austria’s
Chancellor Wolfgang Schüssel,

warned Tehran (VOA) to
respond soon to a recent offer of political and economic inducements or face
a UN Security Council debate on economic sanctions. The two also cautioned
North Korea against sabre-rattling in East Asia.

But dissonance continued on other fronts and forced Bush to accept the
inclusion of language in the summit’s

joint
communique meant to address

European concerns
(Deutsche Welle) about a variety of moves in the U.S.-led “war on terror,”
including the detention without charge of hundreds in Guantanamo Bay, Cuba.

The leaders of the world’s two largest economic blocs failed to settle on a
formula to lower agricultural subsidies, an issue which threatens to
undermine the world trade talks due to resume in Geneva next week. While
Bush told a post-summit news conference he is

committed to a deal (BBC),
The Heritage Foundation’s Nile Gardiner notes “

it looks increasingly
unlikely that an agreement will be reached at the World Trade Organization
by the end of July as originally hoped.” The subsidy issue in the Doha trade
round is explained in this

Backgrounder.

CFR’s top analyst on Europe, Charles Kupchan, says unity on Iran far
outweighs other EU issues in American eyes right now. Kupchan tells Bernard
Gwertzman in an interview that transatlantic ties are much improved since
2003, when differences over the Iraq war created a major rift. Yet “

Bush remains very unpopular among
the European public,” Kupchan says, which means EU pressure for action on
the

status of detainees at
Guantanamo Bay, the probe into alleged Marine

revenge killings at Haditha in Iraq,
and the

rendition of terrorist
suspects. As the Financial Times notes, the United States ranks first in a

new
Harris poll that asked European citizens to name the country which poses the
greatest threat to world stability. The annual

Pew Research Center
survey showed America’s image abroad continues to deteriorate, as explained
in this

Backgrounder.

For all the disagreement, the communique does present a united front on
Iran, which is

mulling a U.S.-European inducement package (AP) aimed at getting it to
eschew nuclear weapons development. Both the European Union and the United
States stressed the importance of maintaining concerted pressure on Iran to
Russia, which has been reluctant to support sanctions against Iran, and
which hosts the annual Group of Eight (G-8) summit in St. Petersburg next
month.

In a meeting with Italy’s new prime minister, Romano Prodi, on Wednesday,
Russian President Vladimir Putin

favored continued IAEA
monitoring (RIA Novosti), but stopped short of supporting sanctions. He
noted the issue was discussed at last week’s meeting of the Shanghai
Cooperation Organization and stated, “our objective is to use the
negotiating process between the six countries and Iran to return this issue
to the IAEA. And judging by what I heard from [our] Iranian partners in
Shanghai, this is entirely possible.” Putin plans to discuss the Iran
situation with Bush during the

July meeting (FOX).

CFR’s

Russia Task Force Report
examines Moscow’s strained ties with Washington.

xxx

L'information, première victime de la guerre

Article lié :

Lambrechts Francis

  21/06/2006

Alex Koppelman 06.20.2006 sur Huffingtonpost :
Think There’s Anti-War Bias in the Press? Think Again.
... the release of a missive—sent under the name of the U.S. Ambassador to Iraq—that paints a picture far darker than ever previously acknowledged, even implying that the Embassy can not protect its own employees.
... And yet that cable has gone all but ignored in the rest of the U.S. media.
... When Brent Bozell, one of the right’s leading media critics, calls on his readers to “blow up your TV,” he’s not asking CBS to improve its coverage—he’s trying to ensure that his readers don’t ever use any media but his as a news source. That’s the ultimate goal of these critics; not to fix perceived problems with coverage of the war, but to destroy the press’ credibility so that only those delivering “good news” through rose-colored glasses will be believed…
http://www.huffingtonpost.com/alex-koppelman/think-theres-antiwar-bi_b_23422.html
—————————————————————
Et ‘rafraichissant’ sur Slate :
The Misunderestimated Man, How Bush chose stupidity. By Jacob Weisberg.
... As the president says, we misunderestimate him. He was not born stupid. He chose stupidity. Bush may look like a well-meaning dolt. On consideration, he’s something far more dangerous: a dedicated fool.
http://www.slate.com/id/2143250/

Z-machine de Sandia

Article lié :

Jacques

  20/06/2006

Bonjour,

Depuis le 29/05 Jean-Pierre Petit, dont le site traite parfois de sujets jugés farfelus, ce qui fait qu’on ne le prend pas toujours au sérieux, mais qui est très pointu en matière de hautes technologies poste de nombreux articles sur la Z-machine de Sandia qui a permis d’atteindre des ultra hautes températures avec des applications militaires révolutionnaires à la clé (et civiles mais tout le monde s’en fou…). Cela permet de créer des systèmes d’amorçage de charges nucléaires propres (enfin presque), de toutes puissances (charges fortes ou mini nukes), avec une technologie relativement simple et surtout sans filière uranium - plutonium :
http://www.jp-petit.com/science/Z-machine/z_machine2.htm

Tout récemment il analyse l’article du LA Times sur le déblocage en urgence de fonds militaires considérables par les USA, ce qui semble donner raison à ses analyses.
http://www.jp-petit.com/science/Z-machine/machines_MHD/machines_MHD_bases.htm#course_armements
Rival U.S. Labs in Arms Race to Build Safer Nuclear Bomb
http://www.latimes.com/news/nationworld/nation/la-na-bombs13jun13,0,2494165.story?coll=la-home-headlines

Evidemment tout cela se fait dans le cadre du militarisme délirant en vogue aux USA sans une minute de réflexion quand aux conséquences : nouvelle course aux armements et prolifération incontrolable.

Quand les Russes font patte de velours

Article lié : Le Pacte de Shanghaï et l’esprit d’à-propos

C.DEBY

  20/06/2006

MOSCOU, 19 juin RIA Novosti.
” L’OCS n’est pas une organisation antiaméricaine a déclaré lundi à Moscou Vitali Vorobiev, ambassadeur itinérant du ministère russe des Affaires étrangères (MID)”
.Le même ambassadeur note également :
” On peut affirmer que, sur ce plan, l’OCS a d’ores et déjà dépassé le cadre régional pour se placer au niveau international”
Et quelques lignes plus bas, on peut lire dans le même article de RIA Novosti. :
“Le directeur de l’Institut d’études politiques (Russie), Sergueï Markov, a pour sa part souligné que l’OCS était en fait “l’unique organisation où il n’y avait pas d’Américains ni d’alliés de ces derniers”. “Et cela ne fait qu’accroître sa signification, y compris en ce qui concerne les problèmes de sécurité. L’OCS peut proposer de nouvelles réponses en matière de sécurité”
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La patte est musclée !

Mepris

Article lié : Le consensus du mépris

amine

  19/06/2006

C’est claire, mais personne ne réagit. C’est le premier article que je vois sur le web abordant ce suivisme aveugle de nos dirigeants et contre le souhait du peuple.Scandaleux !

Fardeau historique .... cette infamie ∫

Article lié : Le consensus du mépris

MHB

  19/06/2006

A premiere vue, OUI, cae infamie il y a dans la bonne tradition de la manipulation politique de tous ces cochons de votants (pardon des ” veaux” en France (dixit De Gaulle) - et peut etre dans le reste de la Communaute) et des “moputons” aux Etats-Unis dans la bonne tradition de Lederer (“A Nation of sheep”).

Mais il y a quand meme une autre reponse a votre interessante question

(“qu’est ce qui justifie intellectuellement la politique generale des pays europeens et des institutions europeennes”)

c est tout simplement le maintien de la main-mise sur le nucleaire et le Groupe de Shangai n en est peut etre que la version asiatique du meme Consortium: Les 5 Permanents.

Suivant l adage que “Gouverner c est Prevoir” nous nous trouvons devant un cas typique de gouvernance qui cherche a resoudre a sa plus simple expression ce qui sera le principal
Pour le restem nous en revenons a Kissinger:

La politique politicienne se consacre sur le moyen terme (histoire de soutenir l attention des foules dans les pays qui tatent de la Democratie - ou de ce qu il peut en rester)et c est le privilege des Grands consacrer au long terme ... et aux affaires serieues.

Donc, oublions le Petrole, la seule question serieuse wat l avenir du Nucleaire.

Un interessant article du Washington Times (le journal des Moonies) de ce dimanche sur le renouveau du nucleaire aux etats-Unis au cours de 20 prochaines annees .... avec tout ce que cela implique pour le maintien des bombinettes en bonne sante.

A la votre !!

Les us et coutumes de Michael Ledeen

Article lié : Les us et coutumes de Michael Ledeen

Alain Robert

  19/06/2006

Je ne suis pas un fan de Mr Ledeen avec qui j’ai déjà échangé quelques email le confrontant sur plusieurs sujets. J’ai peu confiance en ses réponses car il est difficile de croire un grand admirateur de Machiavelle auquel il a consacré un livre déjà.

Par contre, je crois que l’accusation de son implication dans l’histoire des faux documents nigériens n’a aucune base solide et s’est multipliée sur Internet sans aucun fait pour la supporter. À part la coincidence que les documents sont apparus dans un journal pour lequel Mr Ledeen avait écrit quelques chroniques dans le passé, mais ceci n’est que conjoncturelle et peut difficilement être considéré comme une preuve. Est-ce qu’il existe d’autres preuves que je ne connais pas pour supporter ces accusations ?

Changements d'objectifs de l'OCS

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Thierry Meyssan

  18/06/2006

L’Organisation de coopération de Shanghai (OCS) n’a pas à proprement parlé changé d’objectifs en évoluant de la lutte contre le terrorisme et le séparatisme vers une alliance défensive. En effet, au cours des dernières années, les dirigeants russes, puis chinois, sont venus à penser que le terrorisme international et le séparatisme étaient des agressions non conventionnelles lancées par les États-Unis et le Royaume-Uni. Dès lors ces malédictions ne peuvent être combattues qu’en s’organisant face aux agresseurs.

Observons que Moscou et Pékin ont refusé de communiqué sur l’OCS pendant 5 ans et qu’ils ont également refusé de communiquer sur l’évolution de leur perception du terrorisme et du séparatisme. Ce n’est qu’à l’occasion de l’anniversaire de Beslan en 2005 que la Russie a commencé à publiciser leur nouvelle analyse (provoquant les sarcasmes de la presse occidentale) et qu’en mai que l’OCS s’est dotée d’un vrai service de communication.