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Willie Lynch, 1712 : how to enslave the minds, an historic indoctrination appetizer ...

Article lié :

Lambrechts Francis

  16/08/2006

What Willie Lynch (a British slave owner in the West Indies who came to the colony of Virginia, U.S. ) said in 1712.

Globalisation plus free market already “as usual”, and the necessity of indoctrination.

“... I have experimented with some of the newest and still the oldest methods of control of slaves.

... I have outlined a number of differences among the slaves: and I take these differences and make them bigger. I use fear, distrust, and envy for control purposes.

... Take this simple little list of differences, and think about them. On top of my list is “Age”, but it is there only because it starts with an “A”: the second is “Color” or shade, there is intelligence, size, sex, size of plantations, status on plantation, attitude of owners, whether the slave live in the valley, on hill, East, West, North, South, have fine hair, coarse hair, or is tall or short.

Now that you have a list of differences. I shall give you an outline of action - but before that I shall assure you that distrust is stronger than trust and envy is stronger than adulation, respect, or admiration.

The Black slave after receiving this indoctrination shall carry on and will become self re-fueling and self generating for hundreds of years, maybe thousands. Don’t forget you must pitch the old Black male vs. the young Black male, and the young Black male against the old Black male. You must use the dark skin slaves vs. the light skin slaves and the light skin slaves vs. the dark skin slaves. You must use the female vs. the male, and the male vs. the female. You must also have your white servants and overseers distrust all Blacks, but it is necessary that your slaves trust and depend on us.
They must love, respect and trust only us.

Gentlemen, these kits are your keys to control. Use them. Have your wives and children use them, never miss an opportunity. If used intensely for one year, the slaves themselves will remain perpetually distrustful. “

Much more on : http://www.uky.edu/StudentOrgs/AWARE/archives/lynch.html 

noeud gordien ou persuasion ∫

Article lié : Le “nœud gordien de l’information” et le cas de 8/10

jean-marc

  16/08/2006

Bonjour,

“Répétons-le : si le problème est à terme une question d’information, il ne l’est pas dans l’immédiat. C’est notre psychologie qui est en jeu, pas notre jugement. L’essentiel est de résister à la première attaque, qui ne s’adresser pas à la pensée (imposer un jugement) mais à la psychologie (la paralyser sous la pression de l’attaque pour lui interdire d’alimenter un jugement personnel qui soit autre chose que la simple approbation de la thèse virtualiste).”

Autrement dit, cela s’appelle persuader. Qu’est-ce qui me persuade que ce qui m’est présenté est vrai et réel ou, au contraire, faux et virtuel ?

On pourrait objecter, comme l’affirme le biologiste H. Maturana, que le système vivant, et, en particulier, les animaux ne savent pas faire la différence entre perception et illusion.

L’exemple, de H. M., du poisson qui se fait prendre par le pécheur pensant que c’est une proie alors que le pécheur ne fait que profiter de l’incapacité du poisson à faire la différence entre perception et illusion est parlant. 

Notre “réaction cognitive” première est donc d’élaborer un système d’apprentissage ou d’analyse lequel nous aiderait à faire la différence entre perception et illusion. Bref, nous reconnaissons indirectement que le monde vivant est “incomplet” ou qu’il manque quelque chose qui est corrigé par notre esprit, notre capacité d’analyse.

Le problème est que l’on place l’information comme quelque chose de ni vrai ni faux mais de vraisemblable donc comme un objet sur lequel est requis notre capacité d’analyse afin d’y déceler ce qui ressort de la perception et ce qui ressort de l’illusion.

Mais en même temps, nous éloignons cet “objet” de notre perception directe lequel nécessite recul donc construction, élaboration de cohérences qui viennent justifier sa validité en tant qu’objet. C’est aussi et surtout, on peut l’imaginer, la volonté des “virtualistes” comme vous le dites : retourner à une perception directe sans passer par la case “objet”. Rien que cela nécessite un ensemble de cohérences liées à la connaissance.

Ce qui a pour conséquence de justifier aussi valable une “théorie du complot” puisque cette dernière n’existe que dans ce cadre : rechercher autant de cohérences possibles (analogie, observation, analyses de faits similaires, etc). Cependant la théorie du complot retourne directement à la case première : impossibilité de faire la différence entre perception et illusion.

Le noeud gordien n’est peut-être pas là où nous croyons qu’il est dans l’information et l’ensemble des cohérences qui détermineront sa vraisemblance ou non. Ce qui revient à réutiliser cette bonne vieille rhétorique afin de persuader le public que cela est vrai, d’ici là qu’on fasse appel à “l’art oratoire” et le tour est joué. Les outils sont bien connus et utilisés depuis des millénaires.

Il se cache, peut-être, dans la manière dont avons choisi de faire de la connaissance ce qu’elle est. Après tout, “l’objet” du recul, autrement dit la raison, a été créé par les Grecs, ou en tout cas, ils ont été ceux qui nous ont le plus persuadé que cela avait une valeur.

Ce noeud gordien de l’information nous confronte directement avec notre faculté de connaître une chose en acceptant, dès le départ, que nous ne savons pas faire la différence entre perception et illusion : la capacité à percevoir directement si une information est vraisemblable ou non. De ce fait nous élaborons un ensemble d’outils d’analyses et ce sont ces outils que nous appelons connaissance.

Les canaux indépendants deviennent ceux qui re-fabriquent une raison (une contre la vérité officielle) à partir d’une information soutenue officiellement (état/média msm) comme quelque chose qui doit être perçu directement tout en bloquant la psychologie donc la capacité de créer des outils d’analyses.

Bref, on redécouvre que le mesonge n’est pas quelque chose qui repose sur le vrai mais sur la véracité, le plausible et le vraisemblable. La psychologie du menteur doit se débrouiller assez subtilement pour convaincre son auditoire que ce qu’il raconte est vrai. (Voir le film “un ticket pour l’espace” de Kad et Olivier où il y un bel exemple de psychologie du menteur). Si l’histoire est cousue de fils trop grossiers alors elle devient un mensonge sinon elle peut devenir quelque chose de vrai…

En conséquence qu’est-ce qui pousse des états, des média à faire en sorte qu’une histoire soit vraie ou la manipulent de telle sorte qu’elle soit prise pour vraie pour les uns et fausse pour les autres ?

Qu’est-ce que rendre vrai quelque chose qui ne l’est pas ? Ou encore qu’est-ce qui me fait croire que ce que j’écris ici est vraisemblable ? Ne suis-je pas en train d’écrire une pensée et essayer de la rendre vraie en utilisant un espace de discussions dans lequel je retrouve certaines cohérences que je partagerai ?

En conclusion le noeud gordien n’est-il pas un cercle vicieux que nous avons fabriqué de toutes pièces lequel deviendrait une sorte d’impasse récursive ? 

 

Un désert de cadavres pris au piège témoigne de l'échec d'Israël

Article lié :

Manu Kodeck

  16/08/2006

Publié dans The Independent, le 15 août 2006,
Article original : “Desert of trapped corpses testifies to Israel’s failure”
Par Robert Fisk.

“Ils en ont fait un désert et ils appellent cela la paix. Srifa - ou ce qui fut autrefois le village de Srifa - est un lieu de gravats, de chats affamés, de cadavres pris au piège dans les maisons qui ont été ratatinées comme des crêpes. Mais c’est aussi un lieu de victoire pour le Hezbollah, dont les combattants marchaient hier dans les décombres en ayant l’air de héros conquérants. Alors, qui doit-on condamner pour ce désert ? La milice chiite qui a provoqué cette guerre ou l’aviation et l’infanterie israéliennes qui ont ravagé le sud-Liban et tué un si grand nombre de ses habitants ? ...”

La suite, ici :
http://questionscritiques.free.fr/edito/Independent/Robert_Fisk/guerre_du_Liban_echec_d_Israel_150806.htm

information et analyse

Article lié : Le nœud gordien de l’information

Danton

  16/08/2006

Un exemple de votre article :

http://www.pournepasmouriridiot.eu

De l’info et de l’analyse avec du recul.

Cordialement

HRD.

Capturés au Liban ou en Israel

Article lié :

Greney Eric

  15/08/2006

August 15, 2006
Operation “Change of Location”?
How Reports of the July 12th Capture of IDF Soldiers Soon Shifted From Lebanon to Israel

By TRISH SCHUH

A team of Israeli lawyers is now suing the Lebanese government for starting the war. The case, to be filed in US civil court, will sue for compensation and damages incurred by Israeli residents and businesses as a result of the war. Attorneys Yehudah Talmon, Yoram Dantziger and Nitzah Libai claim the Lebanese government violated international law because it didn’t stop Hezbollah’s casus belli cross-border raid against Israel.

Israel’s justification for its ‘self-defense’ attack on Lebanon, and the placement of the original “provocation” will take on new legal significance in coming months. Who infiltrated whom, and on what territory did the initial capture of the IDF soldiers occur? Differing press accounts stating that the capture occurred in Lebanon- not Israel- are now widely known: most frequently cited are AFP, Hindustan Times, Deutsch Press Agency, Asia Times, Bahrain News Agency and Voltairenet. Others reflect changes of direction in the recording of basic facts.

Newsweek’s Michael Hirsh of MSNBC.com, on July 12, said: “As a result, things are blowing up so quickly it’s difficult to know where to focus any longer. After the kidnapping of two Israeli soldiers by Hizbullah in Lebanon on Wednesday, which the hard-line group linked to a similar kidnapping by Hamas the week before, the mideast seemed to be closer to all-out war.”

By July 13, the story out of MSNBC.com’s Jerusalem bureau was different. In a piece titled “Crisis allows Israel to pursue strategic goals- Kidnappings give Israel excuse to neutralize Hamas, Hezbollah”, Jerusalem bureau chief Steven Gutkin wrote: “Kidnappings changed everything: All that changed Wednesday, when Hezbollah guerillas crossed into Israel, seizing Goldwasser and Regev and killing eight other soldiers in the ensuing fighting.”

AP also ran changed versions. On July 12, at 5:41AM Joseph Panossian wrote: “The militant group Hezbollah captured two Israeli soldiers during clashes Wednesday across the border in southern Lebanon, prompting a swift reaction from Israel, which sent ground forces into its neighbor to look for them.”

At 7:09 AM, Panossian had altered his report: “The Hezbollah militant group captured two Israeli soldiers during clashes along the Lebanese border on Wednesday.”

By late afternoon, at 4:13 PM, AP’s Panossian had completely shifted location: “Hezbollah militants crossed into Israel on Wednesday and captured two Israeli soldiers. Israel responded in southern Lebanon with warplanes, tanks and gunboats, and said eight of its soldiers had been killed in the violence.”

Israeli sources went almost unnoticed. Cybercast News Service (CNSNews.com) of July 12 said: “The abduction of two Israeli soldiers by Hizbullah militants in southern Lebanon was not a terrorist attack but an act of war, Israeli Prime Minister Ehud Olmert said Wednesday.”

Australia’s ABC News (Reuters) on July 13 quoted the IDF: “The sources say the Israeli soldiers had been seized at around 9am local time across the border from Aita al Shaab, some 15 kilometers from the Mediterranean coast. The Israeli army confirmed that two Israeli soldiers had been captured on the Lebanese frontier. Israeli ground forces crossed into Lebanon to hunt for the missing soldiers, Israeli Army Radio said.”
Voice of America, Jerusalem, on July 12 said: “Speaking to reporters outside the Israeli Foreign Ministry, spokesman Mark Regev says Hezbollah is responsible for the violence. “It appears we have an escalation in the North,” he said. “It is very clear that the escalation started on the Lebanese side of the border, and Israel will respond appropriately.”

In his article “Casus Belli”, IDF Brigadier General Moshe Yaalon wrote: “The present crisis was initiated- in Gaza by Hamas and in southern Lebanon by Hezbollah- from lands that are not under Israeli occupation.” New Republic, July 31.
A quote by Hamas political bureau member Mohammad Nazzal in the July 13 edition of Haaretz said: “This is a heroic operation carried out against military targets and so it is a legitimate operation, especially as it took place in occupied Lebanese territory.”

A Lebanese government official told this writer that the first information about the soldiers’ capture in southern Lebanon came from the Lebanese Army Police, a source also quoted in many media accounts. “At the beginning the Lebanese Army said it was on the Lebanese side,” the official told me. The verbatim Army communique’ to the Lebanese government follows: ” ‘At 9:03 or 9:05am in the vicinity or in front of Ayt Al Shaab village the members of the resistance have abducted two soldiers. At 9:15am the resistance shelled the position of the enemy in the occupied territories. At 10:10am the Resistance and Israeli forces clashed with each other in the area of Naqoura,’ on Lebanon’s side of the border.”

Lebanon’s Ambassador to the US, Farid Abboud discussed the events publicly on July 12, 2006. Because of his stance to CNN Abboud was reprimanded, and recalled to Lebanon._
MICHAEL HOLMES, CNN International: “You say that you don’t want any escalations, but ...
FARID ABBOUD: No, we don’t.

HOLMES: ... but crossing over the border into Israel, killing and—seizing soldiers, what did you think would happen?

ABBOUD: I’m not sure where the location of the attack took place. I understand that there was another battle, also, where during which the Israelis crossed Lebanese soil and that the casualties that fell then were inside Lebanon territory ... We do not want any escalation, and I don’t think we have ever attacked Israel. I mean, Israel has always occupied our territory, and we have always defended ourselves. Our position has always been very reactive, defensive.

This writer then spoke to the chief of the Lebanese Defense Cabinet General Edmond Fadel in Beirut for clarification. He said he was not authorized to speak on Hezbollah’s position.
Hezbollah’s position had been cited in the Jerusalem Post of July 12 : “Hizbullah leader Sheikh Hassan Nasrallah said the timing of the capture of two Israeli soldiers in southern Lebanon on Wednesday would boost the position of Palestinians in Gaza.”

It was a view Hezbollah spokesman Ibrahim Mousawi had reiterated to me on July 16 by phone. He insisted that the crisis occurred on the Lebanese side of the border “in front of the village of Ayt Al Shaab” adjacent to a military post.

On August 2, I discussed the kidnapping issue again with Hezbollah’s Mousawi in Beirut.
Q: We spoke earlier on July 16, 2006 about this issue and I would like to make it official. The Lebanese Army has claimed that the Israeli soldiers captured on July 12, 2006 were captured in Lebanon, not Israel as we hear in the US. Were they caught inside Israel or Lebanon?
MOUSAWI: How can you possibly say Israel? This is an occupied land, occupied Palestine.

Q: Alright. Was it in occupied Palestine or Lebanon?
MOUSAWI: It was in Lebanon, on the border.
Q: On the border- What town? Where was it near?
MOUSAWI: There is no town. It was a military post.
Q: Did Hezbollah cross over into Israel?
MOUSAWI: This has never been claimed by Hezbollah- only on the border. And don’t say Israel- its occupied Palestine.
Q: The IDF soldiers in the tank who hit the mine and were killed?
MOUSAWI: It was all in the Lebanese lands when they wanted to penetrate- to go after the resistance…. No one believes anymore that this is about the two soldiers, not with the destruction of the infrastructure. Besides, Hezbollah got information that this Israeli aggression was scheduled to take place this September or October…

According to Attorney Yehudah Talmon, Israelis will also sue to collect money from Lebanese assets and property in the United States. “No group associated in any way, shape or form to Hizbullah is immune to these claims.” Never mind if the claims are based on shifting boundaries.
Trish Schuh wrote on the coming Hezbollah-IDF border crisis in Counterpunch’s “Faking the Case Against Syria” in November, 2005. She was a co-founder of Military Families Support Network and is a member of Military Reporters & Editors covering the middle east.

Trish Schuh writes about Middle East politics. She can be reached at:

http://www.counterpunch.org/

",,une repetition d une attaque contre l Iran ∫"

Article lié : Le rendez-vous de la fin de l'été

MHB

  15/08/2006

Une repetition d une attaque contre l Iran ?
Ps evident, plutot une escalation de la reforme des Nations Unies - a venir - et sur le chantier depuis que l eclatement de l Union Sovietique a donne des idees a pas mal de geo-politiciens.

Les recriminations, plaintes et denigrements systematiques des Etas-Unis depuis quelques annees contre les Nations Unies n ont jamais fait avancer ladite reforme.

Tout au plus a t on eu des remarques pleines de fiel de leurs representants a New York ou de leur Secretaires d Etat. Meme Clinton s y etait mis.

Il y a donc anguille sous roche.

La question est de savoir de quelle poisson tortueux il s agit.

Ne s agirait il pas en fait d imposer une conception nouvelle de l interventionisme en general et de faire face aux problemes poses par tous ces pays en voie de degerescence - les fameux “failed states” - auzquels il est fait reference regulierement.
Ces pays posent un probleme fondamental car d abord ils deforment le concept unitaire de pays “legaux” tels que definis par la Charte des Nations Unies. Donc une solution doit etre imposee a ces pays.
Ensuite il y a les pays en voie de dissolution comme ont ete les cinq republiques bananieres de l ex-yougoslavie, et puis il y a eu le Kosovo. Ensuite l Afghanistant - toujours sur la pente de l anarchie avec son voisin le Pakistan qui n a meme pas pu se credibiliser avec ses bombinettes et qui presente un danger avec ses velleites de commercialisation duy nucleaire. Ensuite il y a eu l Iraq avec un dictateur a sa tete - ce que les Etats Unis soudainement ne peuvent plus supporter (l ethique domocratique ayant aussi soudainement pique le psych de l Administration au pouvoir).
Jusqu a la on ea eu l impression que rien ne marchait.
Et c est peut etre la l erreur.
Au contraire si l on considere le cas du Liban comme le cas typique dun pays qui n arrive pas a se gouverner a cause d un quarteron de ... (de quoi d ailleurs: ils font dans l aide sociale et aussi dans l attaque a main armee, donc une variante active d independantistes) - on a atteint un autre niveau dans la justification d ue Nations Unies reformees.
Comme en l occurence la reforme de l ONU n est pas encore la, Israel s en charge.
Et c est la que les cas suivants vont devenir interessants.
Partant du “succes” de l intervention israelo (troupes)- americaine (munitions) on commence a etablir un systeme d interventions qui pourront bientot s appliquer au Soudan, a la Somalie et a quelques autres.
Pour la Somalie par exemple on pourrait subsi\titue l Ethiopie a Israel.
Ne parlons pas des Iles Solomons, de l ex-Burma, de la Coree du Nord (la Coree du Sud remplacerait l Ethiopie dans ce cas avec bien sur un soutien logistique americain - comme d habitude dans les operations onusiennes).

L avantage de cette reforme est de pl;acer les pays responsables dans quelques categories avec en tete bien sur les Etats-Unis ( comme fournisseur aux armees en campagne - c est un peu napoleonien comme concept !!), et les autres “puissances mineures” fourniraient les gendarmes etla logistique non lethale comme la bouffe par exemple - cas typique de la France avec la logistique qui convient - et ensuite les autres puissance encore plus mineures, et ainsi de suite.

Et on aurait peut etre enfin la paix car avec ce systeme - qui sera dur et long a mettre en place - on peut faire face non seulement aux cas de ces pays en “danger democratique” mais aussi - histoire de definir une fois pour toute la guerre contre le terrorisme - se debarasser une fois pour toutes de ces mouvements independantistes en leur expliquant que leur independantisme s arrete a leur culture traditionnelle et non a leur beliquiosite genetique.

C est peut etre ca le fin mot de l Histoire et a bien considerer ca ne parait pas si bete que ca.

Donc reelisons GWB II ... ou Tricky Dick II !!

Chronique annoncée de la chute de l'empire américain ∫

Article lié : Ce n’est qu’un début, continuons la défaite...

BS

  15/08/2006

Cela y ressemble de plus en plus. Les pilliers de la puissance américaine sautent les uns après les autres. La possibilité d’acheter les richesses du monde en faisant fonctionner la planche à billet est maintenant contré par l’euro. Le verrou américain sur l’europe, la Grande Bretagne, est en train de lacher sous la pression de l’opinion publique et le gardien des réserves pétrolières du moyen orient, Israel, subit un revers cinglant.
La “Pursuit of Happiness” a du plomb dans l’aile ...

Le rendez-vous de la fin de l'été

Article lié : Iran, Next Stop

Françoise

  15/08/2006

Lu sur “Romandie news”(http:
//www.romandie.com/infos/ats/display.asp?page=20060815012438104172194815700.XML&associate=PHF9112)

et

http://www.romandie.com/infos/news/060815084955.egb258so.asp

Bush a parlé comme Israël… À moins que ce ne soit l’inverse ? Cela confirme les craintes que vous exposez dans cet article. “Ils” ne renonceront pas aisément.

La paix des cimetières

Article lié :

Manu Kodeck

  15/08/2006

Sur le blogue de Jean-Pierre Cloutier
http://cyberie.qc.ca/jpc/blogger.html

14 août 2006
La paix des cimetières.

[Laurent Laplante commente la Résolution 1701, adoptée à l’unanimité par le Conseil de sécurité des Nations Unies le vendredi 11 août 2006, (format PDF).

“La réalité, ce n’est pas que le Conseil de sécurité fait se lever la paix sur un pays saigné dans ses vivants et dans son âme.  C’est qu’un État injustement écrasé sous les bombes est contraint à une capitulation honteuse et qu’il voit se recroqueviller le territoire national.  Peut-être même ce pays est-il déjà promis à la disparition.  La réalité, c’est qu’un millier de ses enfants sont morts, que des milliers d’autres vivront avec l’hypothèque de blessures et de handicaps, qu’un quart de la population appartient désormais à la sous-race des réfugiés, que des milliers d’humains renoncent à habiter un pays soumis aux crimes israéliens et à la lâcheté onusienne, que la destruction de ses infrastructures renvoie la société un siècle en arrière.  Et tout cela, pour quel crime exactement?  Qu’on le nomme.”

La suite sur Dixit Laurent Laplante.]

Pas sûr !

Article lié : Iran, Next Stop

PHR

  15/08/2006

Pas sûr qu’il aille jusqu’à la guerre contre l’Iran! Excusez l’expression, mais le “fiston” Bush n’a pas de c. !

Folie n’est point courage, dit l’adage (c’est la sagesse des nations). Et l’expérience prouve que dans ce cas, ce type de personne confrontée à une réponse ferme (le nucléaire en est une forme avec la dureté du caractère du président iranien) bat en retraite. Quoi qu’on dise, déjà sur le Liban, les USA n’ont pas obtenu satisfaction.Ils ont dû en rabattre.

pas de défaite

Article lié : Ce n’est qu’un début, continuons la défaite...

Milic Alfred

  15/08/2006

Israël n’a pas subi de défaite parce qu’il n’a pas pu terminer l’élimination du hezb..
Il a au contraire bien circonscrit ce mouvement de terroristes que le pouvoir libanais a laissé faire par lâcheté ou complicité.
Maintenant, ce pouvoir libanais peut terminer l’élimination de ce mouvement de terroristes beaucoup plus facilement.
Voila la leçon qu’il faut retenir de cette guerre.
Si le hezb.. se remettait à proliférer, le Liban serait littéralement responsable.
Si le désarmement du hezb se faisait maintenant, je ne crois pas que ça déclencherait une guerre civile.
Alors quand je vous vois discuter de défaites, de vainqueurs et de vaincus, je pense que vous jouez à la guéguerre. C’est facile. Maintenant mettez-vous à la place de Olmert. C’est à vous… Allez-y…Luttez… et essayez de faire mieux!

Patrie et violences

Article lié : Donner sa vie pour la patrie?

Milic Alfred

  15/08/2006

Le monde a certainement bien changé depuis Guynemer.
Des gens qui tuent de n’importe quelle façon, le plus possible, sur les marchés, dans les avions, les trains, n’importe où, de façon multiple pour être sûr de faire le maximum de victimes!!!
Ce ne sont pas des patriotes ni des nationalistes, c’est de la merde, des êtres abjects… Qui revendiquent leurs actes avec un plaisir non dissimulé.
Vous les défendriez que je penserais vous dire d’aller voir un psychiatre, de toute urgence.

Attaque du Hezbollah

Article lié : Des mots pour mettre les consignes dans nos cervelles

Masséna

  15/08/2006

Bonjour à tous,

suite au mot “counterattack” que vous jugez inapproprié, force est de reconnaître que la loi internationale légitime ce point de vue. En effet, selon la résolution 1701, le Hezbollah est bien l’agresseur initial.

Extrait :
“Se déclarant extrêmement préoccupé par la poursuite de l’escalade des hostilités engagées au Liban et en Israël depuis l’attaque du Hezbollah en Israël le 12 juillet 2006, ...”
http://daccessdds.un.org/doc/UNDOC/GEN/N06/465/04/PDF/N0646504.pdf?OpenElement

Etonnamment, le Liban a accepté cet état de fait. Dans le même temps, cette résolution sonne le glas de ceux qui revendiquaient un enlèvement des soldats israëliens sur le sol Libanais.
Ce qui constitue une victoire politique pour Israël.

Article lié : L’armée britannique également touchée par les désertions

romer

  14/08/2006

et oui, pourtant les objectifs de recrutement des marines ont été atteints pour 2006 et 80% des effectifs remplilent.
rien n’est gravée dans le marbre.
il y a sans doute des désertions au hezbollah mais qui s’en soucie

Article lié : Avec des amis comme ça…

Zadig

  14/08/2006

Bonjour, je lis et apprécie vos commentaires, et m’aventure, pour une fois, à y ajouter…
N’y a-t-il pas là un cas très classique d’agression/dissuasion? Les protagonistes étant les Etats-Unis et l’Iran, par proxys interposés, Israël et le Hezbollah; la Syrie n’est qu’un pion supplémentaire, géographiquement nécessaire pour l’approvisionnement en armes du Hezbollah.
Les Etats-Unis ne font pas mystère de leur intention de régler militairement le dossier nucléaire iranien (avec changement de régime comme bakchich si possible): c’est un des points-clés du credo des neocons, les doctrines “préemptives” ont été formulées explicitement, entre autres pour cela, et des plans détaillés sont certainement dans les cartons ou sur les tables de travail du Pentagone. Le scénario le plus “raisonnable” étant vraisemblablement une série de raids aériens de style “Osirak” sur les installations nuléaires iraniennes…
La condition sine qua non de la mise en œuvre d’un tel scénario (ou d’un autre) est l’élimination de la capacité du Hezbollah à frapper sévèrement Israël. C’est la seule dissuasion dont dispose l’Iran et le Hezbollah ne représente une menace sérieuse que dans le cas d’une attaque préemptive des Etats-Unis contre ce pays.
Israël est donc tout autant l’otage que l’exécutant obligé de la politique des Etats-Unis à l’égard de l’Iran.
Dans l’état actuel des choses, sans résultats décisifs après un mois d’une guerre criminelle, on comprend que les “amis” américains s’impatientent, car le temps (le mandat Bush) leur est compté. Si l’ONU, une Finul reforcée et l’Etat libanais viennent mettre le nez là-dedans, même avec mandat explicite de désarmer le Hezbollah, cela deviendra vite interminable, inextricable, et prévisiblement peu efficace.
Il est très vraisemblable que si une intervention unilatérale contre l’Iran n’était pas effectivement sur l’agenda des Etats-Unis, cette guerre n’aurait jamais eu lieu. Toutes les conditions sont donc réunies pour qu’elle reprenne, le texte de la résolution de l’ONU ouvrant la voie, comme d’habitude, à tous les dérapages possibles.