Forum

Pour poster un commentaire, vous devez vous identifier

9/11, arguments et preuves...

Article lié :

Max

  27/08/2006

Conférence diffusée en vidéo d’un ingénieur du MIT, ici : http://video.google.com/videoplay?docid=1822764959599063248&q=wtc&hl=en

A noter que de nombreuses vidéos sur le thème 9/11 ou WTC sont visibles sur ce nouveau service “video” de Google.com
Ces images pourront venir en contrepoint efficace au grand Show prévu ce prochain 11 septembre par CNN
Pour cet anniversaire la chaîne américaine verra son accés exceptionnellement gratuit sur le cable.

psychologie et civilisations

Article lié :

Castel

  27/08/2006

Un article susceptible de vous intéresser (psychologie et civilisations):
“Mutations dans le champ symbolique occidental” de: © Véronique Hervouët
http://www.contrepointphilosophique.ch
Rubrique Philosophie
8 juillet 2006
avec l’espoir de prolonger votre réflexion, qui ne cesse d’ouvrir la nôtre.

Battle of Britain was not won by the RAF but by the Royal Navy. T.Harding

Article lié :

Lambrechts Francis

  27/08/2006

http://www.telegraph.co.uk/news/main.jhtml?xml=/news/2006/08/24/nbattle24.xml

... They contend that the sheer numbers of destroyers and battleships in the Channel would have obliterated any invasion fleet even if the RAF had lost the Battle of Britain.
The idea that a “handful of heroes saved these islands from invasion” was nothing more than a “perpetuation of a glorious myth,” the article suggests.

Telegraph : Echec du multi-cuturalisme anglais (l'apartheid adouci ∫)

Article lié :

Lambrechts Francis

  27/08/2006

Leader :  http://www.telegraph.co.uk/opinion/main.jhtml;jsessionid=EOB5X3L3EY1WNQFIQMFCFFWAVCBQYIV0?xml=/opinion/2006/08/27/dl2701.xml

By common consent, Britain faces a more serious threat from home-grown Islamic terrorists than the United States or any other European country.

Britain also has a less integrated Muslim community than any other Western nation. In part, this is the result of more than 20 years of multiculturalism, an official ideology of separating cultures which has encouraged communities to follow their own customs and beliefs, irrespective of the extent to which they may conflict with the fundamental political and social principles which define Britain today: the secular basis of political institutions, the equality of the sexes, freedom of speech, and the central value of toleration.

The intellectual tide has now turned against multiculturalism, which is recognised to have been a catastrophe for cohesion and integration.

Institutionally, however, multiculturalism is still dominant: thousands of public sector workers depend for their livelihood on “diversity projects”, and on isolating ethnic and religious communities and enabling them to “flourish separately”.

It is that institutional juggernaut which will have to be dismantled if the policy of multiculturalism is to be ended in fact, rather than merely in words. It is to the great credit of Ruth Kelly, the Department for Communities and Local Government Secretary, that she has taken the first tentative steps in that direction. In a speech last week, she said “our ideas and policies should not be based on special treatment for minority or faith communities as a society we have to have the confidence to say no to certain suggestions from ethnic groups”. In the past, the inability to say No has been precisely the problem. The fear of being labelled “racist” or “Islamophobic” for voicing criticism of Islam has meant that radical mullahs preaching prejudice and hate have been allowed to flourish and this has created the climate terrorism needs in order to recruit followers.

There are dozens of examples of double-standards: conduct which, if it came from secular Britons, would be investigated and prosecuted, but which, when it emerges under the cover of “religion” or “ethnicity”, is tolerated, or even encouraged. As a consequence of this apparent official sanction for their activities, extremists have been able to colonise some of the immigrant communities which should, instead, have absorbed British values and been integrated into British society.

The Government must have the confidence to say no to the religious and multicultural extremists, and their demand that, for instance, some Mulsim communities should be able to follow Sharia rather than UK law. If the Government has the courage of its new-found convictions, there is a chance that Ruth Kelly’s Cohesion Commission will succeed in facilitating the greater integration of religious and ethnic communities which is so desperately needed.

Telegraph : Compliant & subservient: J.Carter's explosive critique of Blair. J.Preston, M.Kite

Article lié :

Lambrechts Francis

  27/08/2006

http://www.telegraph.co.uk/news/main.jhtml?xml=/news/2006/08/27/nblair27.xml

Tony Blair’s lack of leadership and timid subservience to George W Bush lie behind the ongoing crisis in Iraq and the worldwide threat of terrorism, according to the former American president Jimmy Carter.

... Blair prepares to make a defiant speech warning his party that it risks losing the next election if it does not unite behind him. ... the Downing Street spin machine appeared to run out of control ...  “after nearly a decade in office the PM is convinced that his Government has the experience and authority to meet these challenges”.

... the result has been a disaster on all fronts. “My own personal opinion is that the Iraqi people are not better off as a result of the invasion and people in America and Great Britain are not safer.”

Moyen-Orient. Iran. Europe

Article lié : La Grande République en avant vers sa destinée

Baquiast

  26/08/2006

Je partage l’appréciation de Dedefensa concernant les risques que Bush fait courir à la paix. L’Europe doit préparer une stratégie d’urgence. Voir des propositions en ce sens http://automatesintelligent.blog.lemonde.fr/automatesintelligent/2006/08/bases_possibles.html

Article lié : La Grande République en avant vers sa destinée

auguste

  26/08/2006

Dans le récent conflit entre Israël et le Liban il y a une chose que personne n´a soulignée avec suffisamment d´insistance sauf l´agence de presse Novosti. Pour la première fois sans doute dans l´histoire, fait remarquer un général russe, un pays attaqué par un autre pays ne réagit pas à l´attaque, se laisse détruire sans opposer de résistance. Est-ce crédible, est-ce acceptable par un homme normalement constitué qu´une aviation ennemie puisse jour et nuit tout détruire sans que la moindre riposte, aussi faible soit-elle, n´ait eu lieu ? Il serait intéressant de savoir ce que pense le Libanais moyen du fait que son pays fut bombardé et envahi et que son armée n´ait rien entrepris contre ? Le Liban est-il un cas ? Le Libanais un cas au carré. Les Egyptiens, les Syriens, les Jordaniens ont perdu les récentes guerres contre Israël mais ils ont réagi. Ils ont réagi autant que leurs compétences et leur préparation militaires le leur permettaient. Pendant ce mois de guerre des reporters étrangers ont photographié des Libanais qui se baignaient placidement à Beyrouth, la vie qui continuait apparemment sans problèmes dans les parties non bombardées de la capitale. Dès le cessez le feu, des colonnes de réfugiés sont reparties vers le sud en sachant pour la plupart qu´ils ne trouveraient que des ruines mais surtout des ruines truffées de bombes non explosées et de bombes à retardement destinées précisément à tuer après le conflit. Les autorités libanaises semblent n´avoir rien fait pour les en empêcher, n´avoir rien mis en œuvre pour freiner ce dangereux exode à l´envers. De quoi donc est fait ce peuple ? Que cache cette faiblesse, cette inconscience ? cette façon finalement de se comporter comme le mouton du sacrifice ?
A l´opposé, nous avons des Hezbollahi, Libanais eux aussi, qui se sont battus comme des lions et qui ont gagné. Les Hezbollahi sont-ils des Iraniens déguisés comme nous le suggère la propagande occidentale? des faux libanais? existe-t-il deux races de Libanais? des super courageux et des lâches ? que signifie sur le plan politique comme sur le plan humain un pays qui se laisse détruire, sans réagir ? Est-ce admissible ? Eh bien non. Il est logique de supposer que les militaires de l´armée libanaise ont reçus des ordres du gouvernement au début de l´attaque. Lesquels ? Espéraient-ils de tout leur cœur ces militaires, que le Hezbollah se ferait détruire en trois jours ? C´est une hypothèse vraisemblable. Nous serions alors en présence dans ce cas de haute trahison et de haute trahison encouragée par un gouvernement aux ordres de qui ? Il parait donc clair que les élites dirigeantes de ce pays ont trahi. Elles ont laissé faire les agresseurs. Dans quel but ? que comptaient-elles retirer de la destruction de leur pays ? Voilà une énigme qui demandera du temps à se dévoiler.

On ne peut dès lors s´empêcher de revoir à cette étrange lumière les récents évènements. D´abord le départ des Syriens en 2005, obéissant sans rechigner aux injonctions onusiennes après 17 ans de présence musclée. Le meurtre d´Hariri, ensuite -grand financier devant l´Eternel et ami personnel de Chirac-, qui apparaît ainsi davantage télécommandé, soit par Israël, soit par la Cia, et mis sur le dos de la Syrie. Ou bien, plus grave encore, des services secrets syriens manipulés par les Etatsuniens pour faire le sale boulot. Ainsi, place nette fut faite aux futurs agresseurs dont on pensait qu´ils ne feraient qu´une bouchée du petit Hezbollah et installeraient à Beyrouth le Quisling espéré. On ne peut s´empêcher de voir une vaste mais encore mystérieuse planification pour tous ces évènements. Quels intérêts sert-elle ? Neutraliser le Liban ? contre qui était-il dangereux ou menaçant ? Ça parait incongru. Même l´hypothèse du futur pipe-line sous marin Ceyhan-Haifa qu´il faudrait « protéger », semble tirée par les cheveux et trop précoce. Préparer une attaque contre l´Iran ? en quoi la destruction du Liban répond-elle à une préparation de cette attaque ? car enfin si menace il y avait c´était bien le Hezbollah concentré au sud sur quelques kilomètres carrés et pas le Liban en tant que tel, pas l´armée libanaise. Avons-nous à faire à une pure vengeance de la part de gens qui ont perdu la raison et qui, se sentant incapables d´atteindre leur objectif sur une minuscule surface, contre une minuscule troupe de guérilleros résolus, se sont « rattrapés » sur tous les innocents alentour ? En d´autres termes avons-nous à faire à une action planifiée consciente (la destruction totale du Liban et si oui, dans quel but ?) ou à une conséquence non prévue d´une guerre qui a échoué ? En d´autres termes encore, y a-t-il un mauvais génie à Jérusalem qui avait de grandes ambitions et qui a atteint son objectif ou qui, ne l´ayant pas atteint, a piteusement échoué et s´est petitement vengé? Certains Juifs disent « on voulait provoquer la Syrie pour avoir un prétexte pour l´attaquer elle et pas le Liban ». Mais dans ce cas il ne fallait pas la chasser du Liban, le prétexte aurait été tout trouvé. Pourquoi la forcer d´abord à évacuer ? était-elle dangereuse à ce point ? et pourquoi d´ailleurs a-t-elle obéi si facilement à la résolution de l´Onu alors qu´elle pouvait dire j´obéirai quand Israël obéira aux résolutions qui le concernent depuis soixante ans ?
Dans tout ces étranges évènements on sent flotter un parfum de préparation de guerre de grande envergure. Les Allemands, ces anti-antisémites exemplaires, viennent de vendre à leurs chers amis Israéliens deux sous-marins de nouvelle génération, très peu détectables, et pourvus de missiles de croisières pouvant porter des têtes nucléaires. Des engins qui peuvent rester beaucoup plus longtemps sous l´eau que les sous marins ordinaires (les contribuables allemands en paieront d´ailleurs un tiers, sans doute en raison d´une vieille dette shoatique pas encore réglé depuis soixante ans). (1) Ces belles machines sont-elles destinées à surveiller, d´un périscope nonchalant, les affreux du Hamas faisant de la contrebande de cigarettes sur les plages de Gaza ou à aller patrouiller le long des côtes iraniennes en vu du prochain round ? Round que les Amerlos (et les Allemands aussi) ne peuvent ou ne veulent pas, pas encore, mener? Israël a maintenant cinq excellents U Boot made in Germany. Que lui manque-t-il encore pour faire le boulot des Bush-Chirac-Merkel-Blair ? des ogives ? il devrait en avoir, des Patriots ? il en aura bien besoin. Des Rafales peut-être ? Faudra en parler à Marcel, on peut être certain qu´il aura une oreille attentive ? Les « démocraties » feraient d´une pierre deux coups : achever le boulot d´Hitler et se débarrasser (peut-être) des ces immondes mollahs.

Il y a enfin une dernière question, peut-être la plus grave que personne n´ose poser et qu´un ami des Juifs a le devoir de poser. Depuis quelques années, des pays puissants font la guerre à des pays faibles. Soit des pays qui ne peuvent se défendre (Afghanistan, Palestine), soit des pays dont la puissance en comparaison est dérisoire (Irak). Au nom de la “lutte contre le terrorisme” les USA et leurs complices se sont permis de massacrer avec leur aviation des milliers voire des centaines de milliers de civils des pays en question. Depuis Hiroshima, Nagasaki, le Vietnam et tous les autres crimes contre l´humanité commis directement ou indirectement dans le monde entier, on était habitué à la façon décontractée qu´ont les Etatsuniens de tuer les innocents. Venant de barbares sans culture, sans civilisation et arrogants dès le berceau on pouvait « comprendre ». N´ayant pas été allaités au Cid de Corneille pour qui « vaincre sans péril c´est triompher sans gloire », c´était inévitable. Venant par contre d´un peuple dont la culture millénaire a été un des phares de l´humanité on comprend moins. Que des hommes nés dans cette culture soient capables, à l´instar d´un Halutz, de dire en lâchant une bombe de 500 kilos sur des innocents, « je ressens juste un secousse dans les ailes de mon avion », ça devrait interroger les quelques humanistes qui existent encore dans le monde. Je suppose que celui qui mettait le Zyklon B en route à Auschwitz devait ressentir la même chose et, comme Halutz, bien dormir le soir. La prophétie de Yesayahou Leibovitz (2), philosophe israélien, qui, en 1969 avait prévu que « dans les zones occupées, des camps de concentration pourraient être construits par les dirigeants israéliens, qu´Israël deviendrait un État qui ne mérite pas d’exister, qui ne vaut pas la peine d’être préservé », est-elle en train de se réaliser en Cisjordanie et surtout à Gaza, prison à ciel ouvert? La question se pose dans beaucoup d´esprits et va se poser très vite dans beaucoup d´autres. Israël demeure-t-il un état « qui vaut la peine d´être préservé » ?
—————————————————————————————————————————————————————————
(1) Le Jerusalem Post sous le plume de Yaakov Katz, 22 août, 2006
(2) Cité par Tanya Reinhardt dans le Yediot Aharonot du 20 avril 2004

..et les Milices Regaliennes dans tout ca ∫

Article lié : La guerre pour partir en guerre

MHB

  25/08/2006

Les reticences” de la CIA a embrasser les theses apocalyptiques des faucons concernant l Iran relevent plus d une franche analyse que d erreurs systematiques.
C est ce qui ap[parait de plus en plus evident si l on applique un peu de cynisme au raisinnement de Langley.
Neutraliser l Iran a coups de bombinettes - avec ou sans le soutin operationnel d Israel - est non seulement du domaine du possible mais permettrait de valider les nouveaux concepts concernant l emploi des armes nucleaires tactiques et autres.
Un bombardement strategique a la Le May avec mise a jour liquiderait un probleme potentiel rapidement meme si cela entrainait un siecle de guerillas a la mode Ireaq.
Le probleme est ailleurs:  les Al Qaeda a maintenant son armee: les milices.
Elles sont omnipresentes partout et ont pratiquement remplace les bandes a la Guevara en developpant la capacite de gouverner a la place des gouvernements locaux.
Les cas les plus recents* ont ouvert la porte a la transformation en conflit permanent contre Al Qaeda de la “guerre contre la terreur” de GWB II en un conflit contre cette armee composite des milices au moment ou beaucoup commencaient a avoir des doutes sur le bien fonde de une politique basee sur la peur de l inconnu et de l imprevisible.
Le tout etait de mieux definir cette guerre contre la terreur.
Les milices sont arrivees a point.
Bien sur on peut penser qu il y a la une manipulation et qu il ne s agit en fait que de mettre en place une nouvelle industrie:l industrie securitaire.
Mais nos bonnes democraties europeennes viennent aussi de decouvrir qu elles etaient minees de l interieur - meme si en fait il ne s agit que d un auto-minage par manque de politique d integration coherente- et embrassent avec enthousiasme le nouveau concept industriel car la chasse aux milices passe par le developpement de l industrie securitaire en integrant les “meilleurs concepts sovietiques, chinois et autres experiences regaliennes du siecle precedent.

Dans ce contexte le debat sur la crise iranienne ne tient pas debout sinon pour jeter du sable aux yeus ou pour “ne pas accelerer l Histoire” comme disait Kissinger.

Il ne faut pas oublier que la CIA a comme tout service de ce type une fonction operationnelle - un genre Murder Inc. - et une fonction geostrategique qui travaille sur le moyen terme.
La question des milices regaliennes appartient a ce dernier domaine.

A moins que je me trompe.

* Liban, Somalie, Aceh, les Iles Solomons - c est pas fini - le Nepal - c est presque fini - et quelques autres dont le Zimbabnwe et la Guinee Equatoriale pour ne citer que quelques pays en voie de transition vers des gouvernements issus des milices.

Haaretz : Six degrees of desperation. By Yossi Sarid

Article lié :

Lambrechts Francis

  25/08/2006

In the war that just ended, Israel proved that it does not know how to win, and after the war it is proving that it does not know how to lose: Nobody has risen from the ruins so far and said - I am to blame; nor have they said, at the very least - I am responsible.

None of the government’s ministers have stood up, nor said - I may not be prime minister and I am not defense minister, but as a cabinet member I betrayed my duty and breached trust, and I am taking personal responsibility. And no one stood up from among the army generals and senior government administration and said - We may take directives and orders, but we also had a hand in the misdeed. We, too, have trouble looking those soldiers in the eye who are asking, Why, why did you do this to us; and for those civilians on the home front who were dumped onto the frontline, we have only pathetic excuses and no real answers.

No one from the print or broadcast media, from among those who slaved for this government and this General Staff as though they were Moloch, has yet to drop his pen and his microphone, saying - I went along with the foolishness, and was a fool: Here is my apology and this is my way to make amends; I shall seek other employment, where I will do less harm. If only one person, just one, were to get up in the morning and start going home [like the hit song says] - perhaps many would follow in his footsteps;  nobody does.

etc. Chapeau ! Nous sommes tous concernés, vite la suite :

http://www.haaretz.com/hasen/spages/754695.html

Katrina, l'ouragan qui a transformé Bush ( Le temps pour couler un empire)

Article lié :

Lambrechts Francis

  25/08/2006

http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=55256 *** from P.G.Gosselin et J.Hook, Los Angeles Times

... le président va devoir s’inspirer de certains des programmes du New Deal et de la Great Society [la “guerre contre la pauvreté” déclarée en 1964 par le président Johnson], auxquels il a longtemps reproché d’être trop coûteux et de déresponsabiliser les Américains.

... De fait, c’est l’ampleur même du programme d’aide fédéral qui a pris de court les conservateurs et les autres. A plus de 62 milliards de dollars, cet effort dépasse en ampleur le plan Marshall.

... Les 62,3 milliards débloqués par la Chambre des représentants et le Sénat, presque sans débat, éclipsent largement les coupures budgétaires de 37 milliards de dollars sur cinq ans réclamées par les deux Chambres - des économies qui avaient été présentées à grand bruit comme l’effort de rigueur budgétaire le plus important de la décennie. Mais, cette semaine, des dirigeants du Parti républicain ont annoncé qu’ils avaient reporté sine die les délibérations sur ces décisions budgétaires, qui visent les programmes sociaux. ...  “L’austérité n’est pas de mise en ce moment.”

(NB : un programme fiscal, budgétaire et économique apocalyptique pour qui connait l’ampleur des déficits cumulés des états, du fédéral, des consommateurs, du manque criant d’épargne et d’investissements dans divers secteurs dont l’énergie ... avec en conséquence un dollar branlant dans un contexte de hausse des matières premières dont ils apprennent leur nouvelle dépendance “à l’européenne” ... lisez des économistes “contrariens” dans “La Chronique Agora”.

Le temps est l’inconnue. La Grande Bretagne impériale, donc en guerre permanente, a mis un demi siècle pour couler la livre jusqu’à emprunter discrêtement au FMI comme une vulgaire dictature latine. Ils ont découvert, vers 1970, le pétrole de la Mer du Nord, mais croient que Super-Tatcher est la source de leur renouveau !  Comme l’or noir a été galvaudé à notre mode du “syndrome hollandais” et pas Norvégien, ils re-découvrent lentement la réalité avec les dernières gouttes des puits ... et Blair re-découvre l’atome. Ils vont même parler de solidarité européenne quand la béquille américaine deviendra baton. )

11 septembre : la version officielle va mal, très mal...

Article lié :

Emmanuel76

  24/08/2006

Bientôt cinq ans, et les troublantes questions posées par des associations de plus en plus nombreuses, au sujet du 11/09/2001 n’ont toujours pas trouvé de place dans la presse. Une notable exception à cette omerta : la presse norvégienne s’est emparé du sujet tout récemment. Les différentes enquêtes publiées concluent soit à une implication passive de l’administration Bush, soit à un véritable complot.
  Pour ceux qui ne sont jamais penché sur la question ou qui entretiennent des doutes, il existe de nombreux sites dédiés à cette affaire.
Je vous conseille vivement de visiter par exemple le site reopen911.fr.
De nombreux films d’investigation sont disponibles sur le net. Le plus pertinent, le plus récent et le plus complet s’intitule LOOSE CHANGE 2 et il est diponible en VF sur video.google.fr.
Il dure 1h20 et est une passionant plongée dans les coulisses de cette terrible attaque. Accrochez vos ceintures, ça décoiffe !!!

Point d'histoire à propos de cette nouvelle guerre du Liban

Article lié :

Jean-Marie

  24/08/2006

Où avoir une preuve inconstestable que les deux soldats Ehoud Goldwasser et Eldad Regev,ont bien été enlevés sur le territoire israélien (qui devait être palestinien selon la résolution 181) et pas capturés sur le territoire libanais ?

C’était nettemernt moins facile qu’en Palestine où il a enlevé (en territoire étranger qu’il occupe) et pas “arrêté ” comme autorité légiitme de son territoire des parlemenatires et des ministres s et des hauts-fonctionaires, mais la réplque qu’ onaurait pu juger “légitime” n’aurait pu être que d’enlever quelques hautes personnalités “hezbollahsis” et/ou libanaises.

Ce point d’histoire est-il vraiment secondaire pour essayer de déstabiliser des sionistes français ou belges ?

Par delà l’orgueilleuse autre option choisie (une guerre de quelques jours à peine, Monsieur le Premier sinistre !), y avait-il en fait “répétition générale” téléguidée par la clique néocons de la marionnette états-uniennes ?

Hezbollah et la guerre electronique (trouve sur debka.com)

Article lié :

mathieu bultelle

  24/08/2006

Apres les armes anti-char, voici la guerre electronique, avec le meme constat: Hezbollah (et par consequent l’Iran) ne sont pas aussi arrieres que certain pensaient (ou plutot esperaient).

DEBKAfile Exclusive: American electronic warfare experts in Israel to find out how Hizballah’s Iranian systems neutralized Israeli EW

August 23, 2006, 3:18 PM (GMT+02:00)

>DEBKA-Net-Weekly 266 first drew attention to Iran’s heavy EW investment and its successful functioning in the Lebanon War on Aug. 11, 06. This first account will be followed up in the next DNW issue out on Friday, Aug. 25.

DEBKAfile on Aug. 23 adds: The American EW experts are interested in four areas. 1. The Israeli EW systems’ failure to block Hizballah’s command and communications and the links between the Lebanese command and the Syria-based Iranian headquarters. 2. How Iranian technicians helped Hizballah eavesdrop on Israel’s communications networks and mobile telephones, including Israeli soldiers’ conversations from inside Lebanon. 3. How Iranian EW installed in Lebanese army coastal radar stations blocked the Barak anti-missile missiles aboard Israeli warships, allowing Hizballah to hit the Israeli corvette Hanith. 4. Why Israeli EW was unable to jam the military systems at the Iranian embassy in Beirut, which hosted the underground war room out of which Hassan Nasrallah and his top commanders, including Imad Mughniyeh, functioned.

From DEBKA-Net-Weekly 266:

Until the watershed date of July 12, 2006, when the Hizballah triggered the Lebanon War, Israel was accounted an important world power in the development of electronic warfare systems – so much so that a symbiotic relationship evolved for the research and development of many US and Israeli electronic warfare systems, in which a mix of complementary American and Israeli devices and methods were invested.

In combat against Hizballah, both were not only found wanting, but had been actively neutralized, so that none performed the functions for which they were designed. This poses both the US and Israel with a serious problem in a further round of the Lebanon war and any military clash with Iran.

DEBKAfile’s military sources add: Both intelligence services underestimated the tremendous effort Iran invested in state of the art electronic warfare gadgetry designed to disable American military operations in Iraq and IDF functions in Israel and Lebanon. Israel’s electronic warfare units were taken by surprise by the sophisticated protective mechanisms attached to Hizballah’s communications networks, which were discovered to be connected by optical fibers which are not susceptible to electronic jamming.

American and Israeli experts realize now that they overlooked the key feature of the naval exercise Iran staged in the Persian Gulf last April: Iran’s leap ahead in electronic warfare. They dismissed most the weapons systems as old-fashioned. But among them were the C-802 cruise missile and several electronic warfare systems, both of which turned up in the Lebanon war with deadly effect.

chronique dans le "Quotidien d'Oran"

Article lié :

Morville pierre

  24/08/2006

Bonjour,
je tiens depuis 2002, une chronique hebdomadaire de politique étrangère dans le Quotidien d’Oran (1er quotidien francophone d’Algérie - chronique paraissant le jeudi - http://www.quotidien-oran.com - )
J’ai récemment découvert votre site que j’ai cité la semaine dernière.
Je vous fais parvenir ma dernière “chronique de Paris”.
Très cordialement,

Pierre Morville

” Liban : les raisons de la dérobade française
Paris préférerait attendre l’échéance du 31 août sur le nucléaire iranien pour déterminer un éventuel envoi de troupes au Liban
« Les Français ne sont pas capables d’envoyer plus de 200 soldats au Liban quand ils alignent 700 CRS pour évacuer un squat d’immigrants clandestins ! ». Cette remarque acide extraite du Courrier des lecteurs du quotidien Libération est pleine de justesse drolatique. On pourrait y voir l’illustration de la hiérarchie des peurs de la société française beaucoup plus encline à traquer la main d’œuvre étrangère illégale qu’à garantir la sécurité de son environnement méditerranéen.
Les réticences de l’armée française à se déployer au Liban réclament cependant quelques explications complémentaires.
La raison officielle invoquée est connue : jusqu’où va le mandat donné à la « Finul + » ? Les Nations unies ont promis de déployer un renfort de 3.500 hommes au Sud Liban d’ici le 2 septembre, pour atteindre rapidement 15 000 soldats en 90 jours mais l’Onu pour l’instant n’a reçu que peu d’offres de contributions. La Turquie pourrait envoyer un contingent important, mais tout comme la France, l’Espagne et d’autres : ils attendent que les règles d’engagement soient clairement définies par les Nations unies.
L’Italie prête à prendre le relais

La résolution 1701 prévoit en effet que la Finul « renforcée » doit aider l’armée libanaise à se déployer au Sud Liban et favoriser le cessez le feu mais sans que soient préciser les exigences, les moyens ou les limites de cette action armée. Paris veut ainsi obtenir des Nations unies des garanties, notamment sur « la liberté de réaction » de cette force, « robuste mais non offensive » selon l’Onu.
Selon un document confidentiel révélé depuis par Le Monde, la force de l’Onu serait autorisée à ouvrir le feu pour se défendre, protéger des civils ou désarmer des miliciens qui se trouveraient sur leur passage. Mais les soldats de la Force intérimaire renforcée n’auraient pas pour mission de rechercher activement les armes du Hezbollah, ni de s’interposer en cas de reprise des combats.
Romano Prodi, le Président du Conseil italien, après y avoir été encouragé par Israël, le Liban, les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la Russie, a informé Kofi Annan que son pays était prêt à diriger la nouvelle Finul. « De la part d’Israël, nous attendons un engagement renouvelé, et cette fois véritablement contraignant, de respecter le cessez-le-feu », a souligné Massimo D’Alema, « il est juste d’exiger que le Hezbollah dépose les armes mais nous ne pouvons envoyer nos soldats au Liban si les Forces de défense israéliennes continuent de tirer». Le ministre italien des Affaires étrangères a raison de souligner d’emblée les difficultés de la mission qui pourrait être confiée à son pays. Maintenir le Cessez-le-feu ne sera pas tâche aisée. Encore plus, appliquer la résolution 1559.
Qui pourrait aujourd’hui désarmer le Hezbollah ? Pas la Finul. L’armée libanaise ? On voit mal comment cette force, sous-équipée, constituée pour une bonne moitié de chiites, réduite essentiellement à des tâches de police pourrait désarmer le Hezbollah par la force….
Côté israélien, les troupes se sont retirées de l’essentiel de ses positions au Liban mais dimanche, le talentueux ministre de la Défense Amir Peretz a agité la menace d’un « deuxième round » avec le Hezbollah. 
La « cessation des hostilités » pourrait donc ne pas tenir longtemps. L’armée israélienne multipliera les opérations ponctuelles en territoire libanais, comme elle vient de le faire sans succès dans la Plaine de la Bekaa et la capacité de riposte du Hezbollah, qui a remporté la « première manche », sera rapidement reconstituée, voire renforcée.
Dans un tel contexte, la France qui reste pour l’instant la seule force présente au Liban avec 1900 soldats mobilisés, n’a pas tort de réclamer des garanties sur l’action de la « Finul + », et de demander à ses partenaires européens, notamment l’Allemagne, un engagement réel et substantiel.
Cependant, l’envoi d’un tout petit contingent supplémentaire, après son intense mobilisation diplomatique pour que soit adoptée la résolution 1701, sonne comme une dérobade : pourquoi tant d’agitation française pour si peu de détermination militaire ? Ses diplomates savaient pertinemment que cette résolution ambiguë, fruit d’un compromis laborieux, permettaient un grand nombre d’interprétations et que l’Onu aurait peu les moyens d’en imposer une grille de lecture unique. De même, depuis l’épisode du Drakkar en 1983, l’armée française ne peut pas faire mine de découvrir aujourd’hui les risques d’une interposition au Liban.
Paris, prudent, attend le 31 août
Les réticences de Paris s’expliquent beaucoup plus par le calendrier. Entre le 22 et le 31 août, Téhéran doit faire connaître ses positions dernières sur le dossier nucléaire. Le 22 août, date de la commémoration de l’accession de Mahomet au titre de prophète, L’ayatollah Ali Khameneï a rejeté la suspension de l’enrichissement d’uranium demandée par le Conseil de sécurité et l’Allemagne, appelant à l’unité des musulmans.
Téhéran a perçu la bataille de 33 jours au Liban comme un exercice mené conjointement par Washington et Tel-Aviv avant «la guerre» contre l’Iran. Attribuant une nette victoire au Hezbollah, la République Islamique constate l’échec des options militaires choisies par ses adversaires. «Ils vont réfléchir à deux fois avant d’attaquer un pays qui fait 158 fois la superficie du Liban», note M. Foroughi, politologue à l’université de Machhad. Pour faire preuve de sa détermination, l’Iran a organisé de spectaculaires manœuvres militaires organisées à travers quinze provinces du pays. «L’expérience du Liban démontre que nous avons affaire à des ennemis qui ont perdu la raison, nous devons donc être prêts à faire face à des actes de folie», résume le général Salehi, chef de l’armée officielle.
Malgré une offre ambiguë de « poursuite des négociations », la menace de Téhéran est perceptible : ou le Conseil de sécurité laisse l’Iran poursuivre son programme d’enrichissement nucléaire ; ou le Grand Moyen Orient s’enfonce dans une crise généralisée.
Comment vont réagir les Etats-Unis à une telle sommation ? Georges Bush qui, le 7 novembre prochain, affronte au Sénat des élections difficiles, campe sur une position dure : le président américain a réclamé que le Conseil de sécurité décide rapidement de sanctions économiques si l’Iran persiste dans son refus de suspendre l’enrichissement d’uranium avant l’expiration de l’ultimatum du 31 août. “Il est bon d’avoir des dates butoirs, mais ce qui compte vraiment, c’est la volonté”, a déclaré Georges Bush, “Si les gens se moquent du Conseil de sécurité des Nations Unies, il faut que cela ait des conséquences”.
L’arme économique est cependant à double tranchant : 4ème producteur mondial, l’Iran a parfaitement les moyens de faire exploser le marché pétrolier en réduisant ses capacités de livraison ou en bloquant le flux des navires dans le détroit d’Ormuz (20% du trafic pétrolier international). De surcroît, la Chine et la Russie sont opposées à des sanctions économiques et l’Europe demande une riposte limitée, excluant l’énergie.
Reste l’option militaire.
Iran : l’option militaire américaine
Une étude de la Fondation française pour la recherche stratégique du 30 janvier 2006 (http://www.frstrategie.org) montre qu’une attaque aérienne israélienne est techniquement et politiquement peu probable. A l’inverse, malgré la modernisation de sa défense, Téhéran ne pourrait se défendre contre une attaque aérienne des Etats-unis « intense, précise et longue ». Déjà, des avions et des drones américains s’approchent de l’espace aérien iranien ou le pénètrent à très basse ou très haute altitude pour forcer les radars à révéler leurs positions. En répétant l’opération, l’armée américaine entend disposer d’un Electronic Order of Battle qui lui désigne la cartographie d’une défense anti-aérienne insuffisamment mobile. Celle-ci serait annihilée avant la frappe de « contre-prolifération » qui devrait détruire la quinzaine de sites nucléaires iraniens. L’efficacité des moyens de riposte asymétriques dont dispose l’Iran (guérillas chiites en Irak et au Liban, attentats, arme pétrolière, fermeture du golfe arabo-persique…) doit être relativisée en cas d’escalade politique et militaire.
Les Etats-Unis devraient être cependant limités dans leurs actions par un constat réaliste : tant qu’ils ont plus à perdre au Moyen-Orient qu’à gagner en Iran, ils ne devraient pas intervenir. C’est, hélas, sans compter sur l’aveuglement idéologique actuel de l’administration Bush…
Malgré les avertissements de sa propre administration (le 17 août, 21 diplomates et généraux américains en retraite ont publiquement rejeté une intervention en Iran après le fiasco irakien), le président américain reste persuadé que c’est l’indétermination qui entraîne l’échec : Georges Bush est, depuis trois ans, à la recherche d’une démonstration de force réussie.
Dans un tel contexte explosif, le gouvernement français ne craint pas tant les directives incertaines données à la Finul que d’être rapidement entraîné dans un conflit régional. L’expectative n’est cependant pas une bonne solution. D’autant que peu d’éléments seront décisifs dans le dossier iranien avant le 12 septembre, date de la nouvelle assemblée générale de l’ONU. 
Pierre Morville “

Re : Comment le WTC a-t-il été détruit le 11 septembre 2001

Article lié :

Stéphane

  24/08/2006

Difficile de donner des réponses définitives…
Mais il existe un certain nombre de points qui doivent nous inciter à douter de la version officielle (sur l’ensemble des évènements), et qui à priori accusent plutôt une organisation US influente qu’un groupe d’illuminées vivants dans des grottes en Afghanistan…

Un premier point souvent oublié est l’assassinat du commandant Massoud.
Il n’y a pas de logique, du point de vu « des méchants », à synchroniser l’assassinat de Massoud avec les opérations du 11/9. Il aurait été le candidat le plus légitime à la prise de pouvoir en Afghanistan…

Deuxième point, il y a de nombreuses singularités sur les lieux des attentats :
C’est la toute première fois qu’on voit des crashs d’avions (vols 77 et 93) qui ne laissent quasiment aucun débris, pas de moteurs, pas de gros morceaux de fuselage, pas de bagages…
L’effondrement des tours est très surprenant également. Elles sont constituées de quatre énormes piliers de béton armé, il est peu probable qu’un avion de ligne puisse en venir à bout.
Et jamais un incendie n’a fait descendre des tours en si peu de temps.

Troisième point, on doit admirer la qualité des pilotes kamikazes, un sans faute loin d’être évident pour des amateurs. Ayant moi-même piloté, je suis bluffé, la manœuvre d’approche doit être anticipée longtemps avant d’avoir le contact visuel, et l’erreur de cap la plus infime ferait passer l’avion à plusieurs centaines de mètres de la tour. A contrario, on ne peut que blâmer la nullité inédite des autorités américaines, qui disposaient d’un temps énormes pour réagir, au moins pour le vol 77.

Enfin, notons que le FBI n’a pas inculpé Ben Laden pour ces attentats, et que lui-même a nié toute participation. http://www.fbi.gov/wanted/terrorists/terbinladen.htm
Notons également que le rapport de la commission d’enquête dit explicitement qu’il ne s’intéressera pas au financement des opérations…

Bref, la liste des bizarreries est longue