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ok pour moi

Article lié : Réflexions et commentaires pour un lecteur l’autre (III)

Robert

  23/09/2007

Bonjour,

je fais partie des 165 - l’aventure me convient. Je contribuerai lors de vos campagnes de donations - et nous verrons bien ce qui en sort.

Amicalement
R.G.

Rafale, souveraineté et auto-dénigrement français

Article lié : “Rafale” et paroles de ministre(s)

J.P. Baquiast

  22/09/2007

Merci à De Defense pour cet éclairage attendu. J’en ai tenu compte immédiatement, avec moins de talent
http://www.pan-europe.org/article.php?article_id=246&rubrique_id=

Les secrets de l'alignement

Article lié : La quadrature Sarkozy

Philippe R Le Baleur

  22/09/2007

C’est montrer un certain mepris pour la gente politique que de la penser “maistrienne”, victime des evenements et depourvue de strategie; en particulier s’agissant de chefs d’etat.
En realite, il y a une autre explication qui vaut bien cette premiere hypothese.
Les dirigeants politiques de ce monde pourraient tout aussi bien etre manipules par des puissances superieures, manipules au point d’adherer totalement, de gre ou de force, a la politique de leurs patrons.
Pour s’en rendre compte, il n’est point besoin d’etre grand clerc. Il n’est que d’observer la facon dont tant de politiciens ambitieux, avec de vraies convictions, avec de vrais projets, tournent le dos a leurs propres propositions des lors qu’ils sont propulses au pouvoir.
Il n’y qu’une seule explication: en tant que candidats au pouvoir, il ne detiennent pas toutes les donnees de la politique planetaire… Et le malheur veut que la soumission a ces donnees soit la condition “sine qua non” de leur election.
Nous en voulons pour exemple les cas - dans le fond assez similaires- de Blair et de Sarkozy.
Ces leaders intelligents et ambitieux ont manifestement accepte de SIGNER LE CONTRAT avant leur election, en echange contre d’enormes moyens destines a ASSURER leur election… Et dans les deux cas, ils ont tourne le dos aux interets de leurs pays respectifs aussitot elus, au profit d’une politique je l’on pourrait qualifier de “globaliste”, pour ne pas dire satanique.

esprit provincial ou bassement opportuniste∫

Article lié : Embrasement des esprits provinciaux de Paris

FB

  22/09/2007

Ce qui se passe actuellement est de plus en plus révoltant.
Le raz de marée de propagande diabolisant l’Iran, les cascades de mensonges, de non-dits sur les relations Franco-Iraniennes (et Euro-Iraniennes) finissent par ètre vraiment étouffants
On ne peut pas préjuger des motivations et engagements réels du couple Sarko/Kouchner, mais il faut admettre que malheureusement ces derniers signent apparemment leur appartenance au club des neo-cons anglo-US.
Apparemment ni Kouchner ni Sarko n’ont lus - ou pris la mesure- du rapport Védrine…
Pas plus qu’ils n’ont pris acte des “briefings” des services secrets français concernant la situation militaire et stratégique des USA, semble t-il..
J’aimerais croire qu’il ne s’agit que de “fascination du provincial devant les grands de ce monde”.
Au premier degré (celui du provincial fasciné par la puissance), c’est peu probable.
Un Sarko a eu suffisamment de temps pour prendre la mesure du Pouvoir…Un Kouchner a montré qu’il avait fait ses choix - au moins depuis le Kosovo.
On peut plutot voir dans leurs discours et actions le fait d’une adhésion à un groupe de Pouvoir redoutable qui sévit notamment autour d’une certaine Finance internationale. (cf Engdahl, par exemple)
J’aurais sincèrement aimé pouvoir croire à la relative"innocence” de ces lascars, comme Dedefensa le laissait espérer voici encore peu de jours.
On ne démolit pas comme ça des années de diplomatie française en quelques semaines. On ne s’amuse pas ainsi à jeter de l’huile sur le feu vis à vis de l’Iran, en apportant ainsi un support aux éléments “extrémistes” de l’Iran (cf Pfaff), qui se débat depuis des lustres pour retrouver une relative quiétude.. Idiots à ce point? j’en doute..
(ils sont quand mème bien “briefés”, non?)
Provinciaux non, mais idéologues plutot.

S’il y a une logique géo-politique, alors les pays d’Europe devraient pouvoir user de leur position pour devenir la rotule “sage et pacifique” régulant avec profit les liaisons entre l’Asie, l’Afrique et le “nouveau Monde”. >La France est jusqu’à présent bien placée pour initier ce role

On a tout de mème compris que l’Iran est un verrou stratégique, riche en pétrole qui plus est, qui commande ds le Moyen Orient une des portes principales vers l’entrée à “l’Ile Monde” c-a-dire l’Asie

Et puis comme le dit joliment un de mes bons amis grec, qui connait bien le Moyen Orient; “les Perses sont des seigneurs”
Ne l’oublions pas.
PS. pour résister à la propagande (En dehors d’un Dedefensa!), il faut lire une bonne traduction du texte d’Ahmajinedad (facile sur le Net) à propos du soi-disant “rayage de carte d’Israel” ce qui est faux, ainsi que sa lettre à Bush,qui est assez belle, ...et qui n’a jamais eu de réponse.
Quand on parle de diplomatie avec l’Iran!...
N’oublions pas que la seconde communauté juive au Moyen Orient (hors Israel) est en Iran et que ceux-ci bénéficient d’une Fatwa les protégeant -comme les membres des autres religions-

Chère équipe Dedefensa, poussez vos analyses pour nous convaincre que la logique de l’Histoire est “essentiellement Maistrienne”,qu’elle n’aboutit pas au terrifiant constat qu’avant Maistre, il existe des Initiateurs qui tirent les ficelles.
Vous n’analysez pas suffisamment les jeux financiers semble t-il. (Ca serait si rassurant!)
Arriverez nous a nous faire oublier ce qu’a dit un ancètre Rotschild: “donnez moi le controle de l’argent d’un pays et je ne me ficherais de savoir qui rédige les lois”( très mauvaise traduction!)
Arriverez nous a nous faire oublier également le “speach” d’un David Rockfeller annoncant en 1991, au cours d’un Meeting Bilderberg: “...la souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et des banquiers Mondiaux est certainement préférable aux autodéterminations nationales pratiquées au cours des sciècles précédents”

Sarko/Kouchner provinciaux? hélas non à priori..

psychose

Article lié :

miquet

  22/09/2007

Je soumets à votre perspicacité un article ahurissant et révélateur, article où à peu près chaque phrase contredit la précédente, où chaque idée se contredit elle-même, s’appuye sur la négation de ses prémisses, accable ce qu’elle voudrait défendre et rend hommage à ce qu’elle entend combattre. Le tout avec une ingénuité désarmante. Un paroxisme d’absurdité sur le fond, la perception et l’intention, comme sur la forme et les moyens. Un texte à encadrer!

Pour résumer: il faudrait que les Etats-Unis fassent comme les Russes parce que c’est visiblement mieux, mais il faut en même temps détruire les Russes parce qu’ils ne font pas comme les Américains! Car, voyez-vous, ce qui est mauvais est bon et inversément.

Un texte psychotique qui en dit long sur la panique qui s’empare de certains milieux atlantistes.

Je soupçonne un zest de malice à la rédaction de atimes.com derrière la décision de publier un tel article.

Winning the next cold war
By Martin Hutchinson

It is now becoming clear that whether or not he relinquishes the presidency nominally, Vladimir Putin will remain in effective control of Russia for many years after 2008. In that event, his “spook” economic and political priorities, honed during his decades with the KGB, will doubtless rule Russian policy. Since Putin appears most comfortable in a cold-war world, that is what we are likely to return to. It is not an attractive prospect.

To have a cold war, you need adversaries of approximately comparable strength. The West cannot have a cold war with al-Qaeda, which has neither the military nor economic strength to challenge it by conventional means. At the opposite extreme, the Soviet bloc was a worthy cold-war opponent, not so much because of its economy, which was always fairly feeble, but because of its dedication to military might, which allowed it to punch far above its demographic or economic weight in world councils.

Putin is now trying to re-create the Soviet position. He has one major disadvantage: a population of only 141 million, which is tending to decline. He has, on the other hand, an enormous advantage over the Soviet Union. That is intelligent exploitation of Russia’s immense energy resources in a period of high oil prices, not so much to confront the West directly, but to attract allies into a bloc that will be large enough and powerful enough to do so. A second minor advantage is that he is not ideologically compelled to defend an indefensible economic and political system. Allies who stand alongside Putin are not forced to adopt communism, but can retain whatever bizarre political, economic and religious beliefs they already have, uniting only in hatred of the common adversary.

Had the West in general and the United States in particular not made several serious mistakes since 2000, Putin would not be in a position even to dream of realizing his disreputable ambitions. The September 11, 2001, attacks differed only modestly in scale and not at all in kind from myriad previous terrorist attacks that had afflicted the Western world over the previous 30 years, while by chance largely sparing the United States. The Irish Republican Army (which had considerable unofficial US backing) the Basque ETA, the Popular Front for the Liberation of Palestine, the Palestine Liberation Organization, Black September, the Japanese Red Army, Libya, the FALN (Fuerzas Armadas de Liberacion Nacional of Puerto Rico), the Armenian Secret Army, the Soviet Union, the Medellin cartel and Kosovo, to make a partial list, all undertook terrorist incidents in Western countries, killing more than 10 people in each over the 30 years after 1970.

Terrorism is an unfortunate and ineradicable danger of modern life. It is becoming clear that nothing in the September 11 attacks justified selecting one particular group of terrorists and reorienting US foreign policy around it. By doing so, the United States tied its military forces down in Iraq and Afghanistan, allowed the various Islamic terrorist groups to consolidate, and alienated potentially neutral countries such as Iran and leftist political groups throughout the West. Moreover, by focusing foreign policy so completely on “Islamofascist” terrorism, other challenges, notably those presented by Putin’s Russia and Hugo Chavez’ resource-controlling Venezuela, were neglected.

In 2001, a challenge by Putin’s Russia to the US would have been met by a united West and laughed off the international stage. Had President George W Bush pursued the “modest” foreign policy on which he was elected in 2000 that would very likely still be the case. Instead, there is today a disgruntled element in the European Union and elsewhere that regards Putin as less of a menace than Bush, while anti-US feeling in the United Nations and the EU has prevented effective blocking action in the ex-Soviet “near abroad” of Georgia, Ukraine and Kazakhstan.

Beyond those countries, Putin has quite rich and potentially powerful allies in Iran and Venezuela. China is at best neutral, and even in Japan opposition groups have taken to denouncing US policy. Even Putin’s nuclear buildup, renunciation of arms control, detonation of record-sized bombs, and re-creation of a Russian Air Force that may well be better in quality than the US Air Force have been met with little response.

Higher defense spending is a priority for the United States and still more for the EU, which has allowed its defenses to fall to pathetically low levels. Both the US and the EU have permitted defense procurement to become a vast sinkhole of corruption, “industrial policy” and lobbying, while Putin’s Russia has spent resources in what is for governments an efficient manner. During the pacific 1990s, the Russian defense-equipment sector fell far behind those of the West, but there is no question that under Putin it has been catching up fast.

To take one example, the United States’ F-22 Raptor fighter aircraft was originally put out to tender in 1986, but the first aircraft was not delivered until 2003. The current estimate of its production cost is US$361 million per aircraft. The Eurofighter Typhoon, a similar aircraft, was also five years late into production and costs $440 million per aircraft. The Russian PAK-FA, a derivative of the Su-47 Berkut, appears to be at least comparable or better in capability and is expected to come into service in 2010 and to cost $30 million per aircraft. The US and the EU may have larger economies than Russia, but at anything like that cost differential, their economic advantage is negated. Thus it is a matter of urgency to de-fund the lobbying belt around Washington (let alone that around Brussels), strip down the military procurement process, and compete on a level playing field against a lower-cost, more efficient adversary.

One source of Russian efficiency has been competition. Putin’s people understand far better than the old Soviet bureaucracy how incentives and competition can be used to spur innovation. While defense production has remained in the state sector, competition among different agencies has deliberately been fostered, with substantial bonus payments to the management and staff of agencies that prove successful in an endeavor. Thus aircraft development, for example, occurs in both the Sukhoi and Mikoyan agencies. This produces a system considerably more efficient than the US defense procurement system, where the companies are largely private but competition among them is determined by who hires the best-connected lobbyists.

Outside the defense sector, a new cold war will bring challenges in energy. With Venezuela and Iran as allies, Russia will control a high proportion of the world’s oil supplies. Whereas today the Arab Middle East controls the majority of the world’s oil output, Venezuela’s Orinoco tar sands make it a much more important oil source over a 10-year time frame, and Iran too will benefit from Russian technology and oil-industry know-how. The Soviet Union brought very little to its clients in terms of technological capability in fields outside defense. However, Russia used the period of openness to Western influences well, modernizing its oil sector and bringing its technology up to cutting-edge levels. It is now unlikely that Russia will fall back, since competitive forces have been maintained. Russia will use the energy supplies to which it has preferential access to influence policy in such oil-thirsty countries as China, and to browbeat customers in strategically important but politically feeble places such as the EU.

Globalization will go partly into reverse. Something like the old CoCom convention, which prevented sales of high-technology equipment to the Soviet bloc, will need to be reinvented - its feeble successor, the Wassenaar Arrangement, has Russia as a member. High-tech investment will be diverted to a large extent toward devising defense mechanisms against possible cyber-attacks. Barriers will be erected against takeovers by Russian state-controlled behemoths. Indeed, such barriers could reasonably be erected against all takeovers by state-controlled companies, although this would be a little unfair to the admirable Temasek Holdings of Singapore (which in any case is more like an exceptionally well-run and benign conglomerate than a state). Trade will become somewhat less free, although the protectionist impulses thrown up by cold-war suspicion may be somewhat balanced by a geostrategic need to play nice with Third World countries wishing to export to the US and western Europe. Gross world product growth will be lower than it might otherwise be, and more of it will be concentrated in unproductive defense and security sectors.

The one positive effect of a new cold war might be in weeding out public-sector waste in the US and western Europe. Russian public spending is only 21% of gross domestic product, below the US level and far below levels in the EU. The country runs a large budget surplus, and its finances are further buttressed by soaring receipts from the 13% “flat tax” that Putin introduced when he came to office in 2001. While Russia has huge corruption and an overstuffed military, it wastes much less than the West in unproductive social spending, wasteful subsidies to agriculture, and politically directed “pork-barrel” projects. To accommodate higher defense spending without plunging its economies into recession, it is likely that the West will have to adopt a Russian - and in this respect, more capitalist - approach to its taxation system and public-spending priorities.

Is there any way to prevent the escalation of this debilitating competition? Well yes, there is. The whole point of being capitalist is that one has good access to capital and uses it wisely. Russia, when given access to capital, tends to waste it, stashing it away in Swiss bank accounts and spending it on soccer clubs and call girls. However, since 1995, Western central banks have used their almost unlimited ability to create money to make capital extremely cheap, in fact almost worthless as demonstrated by the huge number of insane dotcoms, vulgar oversized housing developments, and megalomaniac empire-building takeover artists it has funded.

In recent years, this has also allowed the world economy to grow at a higher rate than is sustainable, raising the prices of energy, commodities and shipping ad infinitum. In other words, we have negated our advantage in capital availability and artificially enhanced Russia’s advantage in energy and natural resources.

The solution is thus quite simple - a prolonged period of much higher real interest rates, which will raise the value of capital. That will enhance our relative economic advantage and depress the price of oil and other commodities, thus forcing Russia and its satraps Venezuela and Iran into bankruptcy. A similar period of tight money and low commodity prices was instrumental in defeating the Soviet Union in the late 1980s - there is indeed a good case to be made that Paul Volcker did more to win the Cold War than Ronald Reagan. The process can be repeated now.

There are other ways of winning wars beyond mere armaments.

Martin Hutchinson is the author of Great Conservatives (Academica Press, 2005) - details can be found at http://www.greatconservatives.com.

Un sophisme

Article lié : La Garde Révolutionnaire iranienne veut-elle la guerre et la bombe n’est-elle qu’un appât?

Stéphane

  22/09/2007

N’oublions pas qui a créer la crise. Certainement pas les Iranien, ni même les gardiens de la révolution. La rhétorique agressive est également le monopole des occidentaux dans cette affaire.

Quant au “present mullahs’ government” servi à toutes les sauces et dans toutes les langues, il serait bon d’en étudier un peu les institutions, on s’apercevrait qu’il est effectivement “present”, et pas forcement future, mollahs compris.

“they have become masters of [...] misdirection and misinformation” Pfaff devrait garder ça en tête, si d’aventure cet article lui aurait été inspiré par quelques iraniens de toute confiance…

Arrivée de 3 Porte-Avions

Article lié :

Rakk

  22/09/2007

Une armada se forme au large du golfe Golfe arabo-persique

http://mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=6841

7.5 dollars par réfugié

Article lié :

Ilker

  20/09/2007

Irak : les Etats-Unis allouent 30 millions de dollars pour l’aide à l’éducation

le 30-08-2007 12:00 | émis par : UNHCR Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés

L’agence des Nations Unies pour les réfugiés a prévenu mardi que la situation humanitaire en Iraq continuait de s’aggraver et que le nombre d’Iraquiens déplacés, à l’intérieur et à l’extérieur du pays, était en train d’augmenter.

La porte-parole Jennifer Pagonis a indiqué aux représentants de la presse à Genève que l’on dénombre, selon les estimations de l’UNHCR et du Croissant-Rouge iraquien, 4,2 millions de déracinés iraquiens, et que le taux mensuel du déplacement est en train d’augmenter pour atteindre 60 000 personnes, comparé au chiffre précédent de 50 000.

« Les déplacements augmentent car il est plus difficile pour les Iraquiens d’accéder aux services sociaux dans leur pays, et parce que nombre d’Iraquiens décident de quitter les zones d’ethnies mixtes avant d’y être forcés. Quelques Iraquiens qui étaient restés dans le pays jusqu’à la fin de l’année scolaire ont récemment commencé à quitter le pays avec leurs familles », a déclaré Jennifer Pagonis.

http://www.tv5.org/TV5Site/info/communiques-de-presse-article.php?NPID=FR191568

Genial

Article lié : Notes sur The Manchurian Crisis 

Stephane

  20/09/2007

Cette phrase elle est geniale !

“L’Iran est utile comme argument mais, pour le reste, en fait de crise, nous nous suffisons à nous-mêmes.”

C’est la botte de Jarnac!

@python / MSF

Article lié :

Armand

  20/09/2007

Il me semble que Kouchner a quitté MSF assez tôt (combat d’égos ?) pour aller fonder MDM (Médecins du Mondes)

Du côté de MSF les choses sont claires me semble-t-il : quand apparait un problème il est annoncé et réglé publiquement et rapidemment (je crois me souvenir de prostitution et / ou de détournement d’aide en Afrique)

Quand à RSF et Robert Ménard ... je suis bien d’accord : une annexe de la propagande néo-con.

précision

Article lié :

miquet

  20/09/2007

Petite précision concernant le dernier article de DeDefensa: El-Baradei a bien parlé de 700’000 civils tués en Irak et non de 70’000.

MSF, RSF, ces belles idées noyautées corrompues

Article lié :

python

  19/09/2007

médecins sans frontières, reporters sans frontières, c’étaient dans l’idée de très belles idées courageuses.

Tellement porteuses que,
pas besoin de pétrole ici pour jouer le rôle du diable incendiaire, _
pas besoin de lobbying pour dire en langage “républicaine ou “démocrate” le mot corruption, _
en français ou en anglosaxon,
juste besoin de “managers de l’image”, leur propre image, pour s’en servir de tremplin, _
d’une idéologie qu’ils ne disent pas, ces sous-marins.

Ils l’appellent tout le temps “communauté internationale”. Mais en anglais dans le texte. En français dans le texte.

En sicilien en texan ou en telavivien, on entend bien ce que ça peut bien signifier.

Les media.

Article lié : La Fed, ou la quête désespérée de la confiance perdue

Armand

  19/09/2007

Non cette décision n’était pas inattendue.

La plupart des “intervenants” misaient sur du -0.25, suivis par ceux qui misaient sur -0.50% et enfin une d’autres sur pariaient sur un statut quo.

“Les marchés” eux demandaient du -0.50% par le différentiel des taux. Ils l’ont eu ; en général la FED *suit* (ne peut que suivre ?) les marchés contrairement à ce que l’on croit !

En tout cas c’est un signe de panique. On peut s’attendre à une nouvelle baisse du taux d’escompte pour “injecter des liquidités” à un taux encore plus faible.

La récession n’est plus évitable à mon sens, la FED essaie d’en limiter l’ampleur et la durée. Réussira-t-elle ? réponse dans 6 mois à un an. D’ici là, elle aura tué le US$.

la fable du petit chien

Article lié :

miquet

  19/09/2007

Une petite histoire de chien pour Bernard Kouchner
Par Percy Kemp (Ecrivain et consultant)
http://www.rue89.com  12H05   19/09/2007

A en croire ses dernières déclarations, le ministre français des Affaires étrangères (ou est-ce le ministre de la Guerre?) serait déterminé à en découdre à tout prix avec l’Iran.

Avant que les choses n’aillent trop loin, qu’il me soit permis, au vu de la mésaventure arrivée à l’un de mes amis antiquaire, de lui conseiller la prudence.

Cet ami-là était récemment à Téhéran en quête de l’objet rare. Or voilà qu’au bazar, passant l’échoppe d’un marchand d’épices, le spectacle d’un petit chien enfournant sa pitance attire son regard. C’est alors qu’il se rend compte que le bol bleu turquoise qui sert à l’animal de gamelle est un précieux kachan datant du treizième siècle et valant des dizaines de milliers de dollars.

Il me le faut, se dit-il, mais je dois à tout prix éviter de mettre la puce à l’oreille du marchand. Il s’approche donc de ce dernier et lui demande du safran.“Accepteriez-vous” lui dit-il ensuite en agitant devant ses yeux un beau billet vert, “de me vendre ce chien pour cent dollars américains? “

“Marché conclu”  s’empresse de dire le marchand en empochant l’argent.

“Je vais lui prendre sa gamelle”,  lui dit alors mon ami qui voyait bien que l’Iranien avait mordu à l’hameçon.

“Je vous en donne dix dollars”.  Mais à sa grande surprise, ce dernier refuse de lui céder la gamelle du chien pour dix dollars. Mon ami lui en offre alors cent, puis deux cents, puis cinq cents, puis mille, mais en vain.

“Pourquoi diable tenez-vous tant à cette gamelle?” s’insurge-t-il finalement. “C’est un talisman, monsieur” lui répond le marchand persan.  “Un vrai porte-bonheur !“ajoute-t-il. “Un porte-bonheur? Un talisman?” Mon ami n’y comprenait rien. “Voyez-vous”, lui explique alors l’Iranien,  “depuis que j’ai cette gamelle, j’ai bien dû vendre un millier de chiens comme celui-ci à des messieurs occidentaux comme vous.”

Cela pour dire qu’avant de se fourvoyer plus avant dans ce bras de fer, nos gouvernants feraient bien de se rappeler que les ancêtres de ceux qui président aujourd’hui aux destinées de l’Iran excellaient déjà dans l’art de la diplomatie quand, en Occident, on en était encore à pousser des grognements, à se taper dessus à coups de massue et à traîner les femmes par les cheveux.

Mon souci étant que, les Persans continuant à se montrer plus malins qu’eux, les dirigeants du monde occidental ne perdent finalement leurs nerfs et ne recourent à la canonnière. Auquel cas ils ne devraient pas avoir plus de succès avec les Iraniens, que mon ami antiquaire. Bien au contraire. Lui au moins, serait reparti de Téhéran avec un gentil chien-chien.

Erratum

Article lié : Paulson, secrétaire au trésor US, ou la confusion des espérances et des prévisions

Nostalgie

  19/09/2007

“Henry Paulson, le secrétaire américain au trésor, se trouvait à Londres hier, le même jour où la Fed prenait sa décision d’augmenter ses taux d’intérêt.”

Diminuer en lieu et place de “d’augmenter” ....