JEAN-YVES BOURDIN
21/04/2009
Gorbamatchev ou Gobamatchev, on reste dans la Gogobamania, à mon sens.
Gorby n’était pas un réformateur, c’était un liquidateur, conscient de son fait. La classe qui le soutenait avait décidé de l’utiliser pour changer de camp, et faire sa révolution par le haut.
Obama est un réformateur, lui, il veut tout changer pour que rien ne change. Il reste fiable, solidement dévoué à son camp, et ceux qui l’utilisent ne sont nullement décidés à passer au socialisme.
Je sais bien que c’est l’histoire qui fait les hommes, et non le contraire. Mais quand même…
Ilker de Paris
21/04/2009
Je crois aux effets de structures, et dans notre monde modulé par la finance il y a un antagonisme avec le concept de démocratie; en effet la démocratie suppose le gouvernement d’un peuple par lui-même, or le monde financier d’une part échappe (paradis fiscaux etc) au contrôle des Etats (représentants des peuples) et d’autre part prend pour lui-même une part (importante ?) des richesses produits par ces mêmes peuples sans ou avec peu de redistribution, (sans parler de la socialisation des pertes privées).
Ainsi, en simplifiant le raisonnement, les peuples sont pris pour des vaches à laid au profit d’une élite financière, et la soumission d’un peuple à une volonté autre que la sienne est contradictoire avec la démocratie. Récemment Dominique de Villepin a parlé d’un “risque révolutionnaire”, c’est, à mon avis, un effet de la contradiction que je suppose (monde de la finance / démocratie). On verra mais je pense aussi qu’il risque d’y avoir des tensions au niveau des sociétés démocratiques et financiarisées.
Julien Kirch
21/04/2009
http://online.wsj.com/article/SB124027491029837401.html
“Computer spies have broken into the Pentagon’s $300 billion Joint Strike Fighter project—the Defense Department’s costliest weapons program ever—according to current and former government officials familiar with the attacks.”
“while the spies were able to download sizable amounts of data related to the jet-fighter, they weren’t able to access the most sensitive material, which is stored on computers not connected to the Internet.” : sans doute qu’ils parlent du budget prévisionnel ?
Stephane Eybert
21/04/2009
geo
21/04/2009
Le 11 février dernier, Venezolana de Televisión a diffusé le reportage “Etats-Unis à la conquête de l’Est” de Manon Loizeau (et non pas de Erika Ortega Sanoja comme l’écrit le site Bella Ciao en confondant avec le nom de la présentatrice de l’émission). Ce documentaire est en français, une fois passées les trois premières minutes de présentation en espagnol. Très édifiant sur les “révolutions colorées” orchestrées par les USA en ex-Yougoslavie et ex-URSS (une démarche aussi employée contre Chavez au Venezuela). Un résumé pédagogique de politiques décrites dans l’Atlas alternatif, ou dans d’autres livres de ses contributeurs. Un lien permet d’importer cette vidéo sur vos blogs à partir de radiomundial.com.ve ci-dessous.
jean pierre SIMON
21/04/2009
Stephane Eybert
21/04/2009
thierry .
20/04/2009
Bonjour Dedefensa,
... Il pourrait enfin y avoir une dernière explication à cette “sortie” de Mr Obama :
dans l’impuissance où il est de combattre l’establishment américain de l’intérieur du système, pour tenter de briser le siège où il est en quelque sorte bloqué, il pourrait effectuer une “sortie”, et, dans une sorte de mouvement tournant, essayer de se positionner lui-même sur les marches de l’empire, enfin libéré du joug de la capitale.
Il nous parait significatif que ce soit la première occasion où il s’affirme ouvertement dans une situation de politique extérieure, lui qui jusqu’ici se concentrait plutôt sur la politique intérieure américaine.
Mais, en effet, les relations avec le Mexique sont-elles pour les USA de la politique extérieure ou intérieure ?
Et Mr Obama serait-il suffisamment machiavélique pour envisager de s’en servir contre son premier ennemi, l’establishment américain ?
Cordialement Thierry
Francis Lambert
19/04/2009
(9) A propos de l’UE, l’équipe de LEAP/E2020 souhaite souligner l’inanité des « analyses » économico-politiques, essentiellement issues d’éminents économistes et experts proches du Parti démocrate américain, que relayent actuellement les principaux médias internationaux, et qui se limitent à reprocher aux Européens de ne pas faire comme Washington.
Paul Krugman en tête, ces « grands amis » de l’Europe, qui l’aiment tant qu’ils pensent savoir mieux que les Européens ce qu’elle doit faire (et aussi ce qu’elle doit être car les mêmes prônent généralement aussi son extension à la Turquie, voire à Israël et à l’Asie centrale), feraient mieux de s’occuper de conseiller efficacement leur propre parti et leur nouveau président pour éviter l’effondrement de leur pays, car c’est bien de cela qu’il s’agit désormais.
Enfin, et nous n’y reviendrons plus, il est quand même étonnant qu’un ensemble d’experts qui depuis des années a tant vanté les mérites d’un système qui aujourd’hui s’effondre sous les yeux de tous, ose encore donner des leçons au reste du monde. La plus élémentaire décence lui imposerait, au niveau international, la seule voie respectable possible : le silence.
En tout cas, en Europe, ce discours, qui a bien entendu toujours ses relais académiques et journalistiques, ne passe plus car il vient tout droit d’une époque révolue.
Comme le fait d’ailleurs régulièrement remarquer LEAP/E2020, il est bien évidemment nécessaire et légitime de porter un regard très critique sur l’UE, ses dirigeants et ses politiques ; mais le faire avec comme seul critère la conformité ou non aux orientations de Washington (ou Londres) est désormais inacceptable.
Visiblement, à l’image des financiers qui n’ont pas encore compris qu’une page était tournée en ce qui concerne leurs stock-options et leurs « parachutes dorés », nombre d’intellectuels et de politiques n’ont pas encore bien intégré que leurs références, leurs valeurs et leurs analyses appartenaient désormais au passé.
Qu’ils pensent aux élites du bloc soviétique et ils comprendront comment et à quelle vitesse un système de pensée peut devenir obsolète.
Exocet
19/04/2009
Athmosphéres en redondances autopropulsés et effets larsen garantis…
Récitations rushing torward ugly malediction :
http://graphics8.nytimes.com/images/2009/04/16/world/17pstan_600.JPG
Dedef
19/04/2009
US grapples with Israeli threats By Gareth Porter and Jim Lobe Apr 15, 2009
Le lien actuel: http://www.atimes.com/atimes/Middle_East/KD15ak02.html
——————autre lien——————
Don’t flash the yellow light:
Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu’s warnings about a possible attack on Iran if the Barack Obama administration does not quickly find a way to shut down Tehran’s nuclear program can be viewed as manufactured hysteria, and not so much a reflection of genuine Israeli fears.
http://www.atimes.com/atimes/Middle_East/KD15Ak01.html
———————————
Exocet
18/04/2009
Encore désolé... ,mais une fois arrivé sur site ,cherchez le lien “
US grapples with Israel threats” By Gareth Porter and Jim Lob.
Vraiment… désolé!!
Exocet
18/04/2009
La situation devient incongrue en diable ; il y a comme un renversement asymétrique dans la menace existentielle en cours…Les dirigeants américains pulsés par la crise qui renverse toutes les conventions stressent à mort ,mais les autres aussi… La crédibilité de la puissance nucléaire américaine se jouant avec son fil principal.Faut dire que Bush le petit maître d’école à beaucoup aidé avec son Ben Loden armé du “téléphone rose”..
http://www.atimes.com/atimes/Middle _East/KD15ak02.html
JEAN-YVES BOURDIN
18/04/2009
obamaism. Il faudra bien que nous suivions: obamaisme”
Je propose “obamachisme” ou “obamasochisme”
Nicolas Stassen
17/04/2009
Durée : 15:59Pris le : 01 novembre 2008Lieu : Tours, Centre, FranceKrach, année zéro ( 2008 )
Réalisé par : Pascal Manoukian, Victor Robert
La grave crise boursière et bancaire aux Etats-Unis, précédée par une crise du crédit sans précédent, intervient dans une conjoncture particulièrement difficile, ponctuée de conflits énergétiques et de tensions internationales. Les analystes n’hésitent pas à brandir le spectre de 1929, tandis que le gouvernement américain prévoit déjà de soutenir le marché à grands renforts de milliards. Comment en est-on arrivé là ? Pourquoi des établissements bancaires réputés solides paraissent-ils aujourd’hui si fragiles ? Comment la contagion peut-elle être endiguée ? Les contribuables américains accepteront-ils de pallier aux égarement du système ?
1.http://www.dailymotion.com/apocalyptique01/video/x79fbw_krach-annee-zero-1_news
2.http://www.dailymotion.com/apocalyptique01/video/x79fpa_krach-annee-zero-2_news
3.http://www.dailymotion.com/apocalyptique01/video/x79g3i_krach-annee-zero-3_news
4.http://www.dailymotion.com/apocalyptique01/video/x79gaw_krach-annee-zero-4_news
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