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Conseils a un alcoolique

Article lié : En rappel dans les montagnes russes

jean pierre SIMON

  25/03/2009

Je me permets de faire le lien vers 2 articles que j’ai vu ce matin :

1) un appel du Leap , classique on connait
2) un article paru sur agoravox , qui marche a contrevent , mais qui est interessant justement parce qu’a contrevent . En gros l’auteur fait le meme rapprochement que certains communistes a la chute du mur , si ca s’ecroule c’est parce que le vrai communisme n’a pas été appliqué !!!! idem pour le liberalisme Now !!!

L’auteur fait egalement le lien vers deux sites ou on a des chiffres officiels , vous vous ferez votre idee :

3)http://www.federalreserve.gov/releases/z1/Current/
4) http://wwwa.bde.es/scb/stats?data=outstanding_amounts&locale=en

Je suis incompetent en economie , mais le bon sens etant accessible a tout le monde , je me dis : que devrais je faire si aloolique j’etais confronte a un gros probleme de sante , la grande tentation serait evidemment de prendre un coup de gnole mais c’est pas raisonnable , donc:

On se calme
On s’allonge , on se repose , on reflechit
On essaye de ralentir le cours de la vie
et on se laisse pas pertuber pas des choses bien futiles

car si je veux avoir une chance de boire a nouveau il ne faut passer de l’autre bord !!!

KrugmanKeynes?

Article lié : En rappel dans les montagnes russes

philippe d

  24/03/2009

Merci pour votre éclairage
et notamment, sur Geithner, comme possible fusible.

En écrivant hier les quelques lignes de mon commentaire à votre billet sur Krugman, j’ai hésité sur ce point - que vous soulignez aujourd’hui : Obama est trop fin politique pour ne pas se ménager l’une ou l’autre porte de sortie.
Ce qui préserve au passage votre intéressante option de l’“american gorbatchev”.

Krugman n’est pas de cet avis, du moins officiellement:

“(...) Mr. Obama is squandering his credibility. If this plan fails — as it almost surely will — it’s unlikely that he’ll be able to persuade Congress to come up with more funds to do what he should have done in the first place.
All is not lost: the public wants Mr. Obama to succeed, which means that he can still rescue his bank rescue plan. But time is running out. “

Vos observations combinées à la dernière phrase de Krugman me mènent toutefois à croire que ce dernier ne désespère pas d’être plus écouté voire de relayer ceux dont il anticipe déjà l’échec… 

Quitte à choquer...

Article lié : Révoltez-vous, il le faut!

Père Iclès

  24/03/2009

“Cette position est intéressante, celle d’une personnalité disposant d’un statut important, presque encore officiel, et certainement un statut très important dans les structures de contestation de l’action officielle pour une politique affirmée contre la crise climatique. L’attitude de Hansen indique que les réflexions de contestation dans ce domaine pourraient conduire à utiliser des canaux démarqués des processus démocratiques normaux.”

C’est une explication mais pas la seule.

Si on admet l’hypothèse selon laquelle les élites british ont une idée fixe qui est de constituer au plus vite un gouvernement mondial où elles seraient représentées de façon très large voire monopolistique, ce nouveau point de vue “anarchiste” de la part d’un membre de cette élite pourrait signifier qu’il va être temps de s’opposer non aux structures démocratiques occidentales (déjà contrôlées par cette élite) mais plutôt et pour ne pas changer à celles des pays ne faisant pas partie du bloc atlantiste mais qui entendent mener leur propre politique en se basant sur le soutien de leur population…

Dans cette hypothèse, l’attitude de Hansen est à 100% une attitude élitiste occidentalo-centrée que l’on connaît aujourd’hui très bien qui signifie : “nous devons décider à la place du reste du monde, que ça lui plaise ou non”. Très Nouvel Ordre Mondial, tout ça et pas DU TOUT anarchiste ni contestataire…

Revenons à la situation géopolitique.

Comme nous l’avons observé ici, la belle épopée démarrée en 2001 avec cette “providentielle” attaque du 11 Septembre tourne au cauchemar et les économies des pays embarqués dans cette aventure sont sinistrées. Dans ces conditions l’Empire avait besoin de la carte climatique pour revenir sur le devant de la scène. Ai-je besoin de rappeler que le rapport Stern qui marqua les débuts officiels de la crise climatique (et la conversion subite des britanniques à la réalité de cette crise) fut rédigé par un économiste et non par un météorologue fin 2006 au moment où les guerres de Bush commençaient à apparaître pour ce qu’elles étaient, c’est à dire des désastres ? De plus cet économiste (Nicholas Stern) est un vice-président senior de la Banque mondiale qui elle même se positionne sur le marché du carbone et prévoit de faire commerce de cette « richesse ».

Il faut avouer que cette fièvre du carbone lancée par Al Gore après son échec contre Bush et relayée par les britanniques donne lieu à de curieux débordements et que la diffusion des informations qui lui sont liées suit de curieux itinéraires. Outre le fait que depuis cette affaire la climatologie est devenue une science éminemment politique où triomphe le concept de vérité officielle (et où les climatologues dissidents sont invités à se taire), elle donne lieu à des mouvement d’opinion puissants mais dont la genèse est mystérieuse comme par exemple celui qui réclama que Bush en pleine déconfiture dans ses aventures moyen-orientales fasse passer l’intérêt des ours blancs soi-disant menacés par la disparition des glaces en Alaska avant toute autre préoccupations économique. La science climatique en elle-même échappe donc aux spécialistes concernés pour devenir un fait de notoriété publique, un fait d’affectivité publique.

On ne peut plus aujourd’hui soutenir que le “basculement climatique” n’est pas démontré (en fait il ne l’es pas plus que la nocivité des téléphones portable, ni moins d’ailleurs) sans s’attirer des remarques du type “le nombre de preuves qui s’accumulent et tel que ...et patati et patata…”.

Pourtant, en fait de preuves il n’y a toujours rien de tangible sauf si on considère comme des vérités scientifiques les conclusions toutes aussi peu fondées scientifiquement si j’ai bien compris, de dizaines de courts métrages, articles de journaux, revues, sites web qui se citent les uns les autres de même qu’ils citent la fameuse pièce à conviction, c’est à dire ce fameux rapport Stern dont nous avons vu qu’il avait été rédigé par un banquier… Or nous savons ce que valent les banquiers d’aujourd’hui quand il s’agit de prévoir, y compris dans leur propre domaine de compétence.

On peut aussi citer le rapport à peine plus nébuleux livré au Pentagone quelques mois avant le rapport Stern et qui, on ne sait par quel mystère prévoyait des guerres 20 années à l’avance entre des pays sans même donner un mot d’explication sur la méthode employée pour faire les prévisions correspondantes.

J’en déduis donc ceci… Cette attaque contre la démocratie de ce Hansen qui vient après d’autres attaques du même type venues de Londres notamment fait partie d’une campagne de propagande visant à préparer le terrain aux prochaines propositions britanniques en matière de gouvernance mondiale. Il s’agit donc de faire monter la mayonnaise mais pour qui ? C’est le but qu’il faudrait sonder… S’agit-il d’occuper l’opinion british par exemple pour faire passer en force de nouvelles taxes ? De donner le change aux européens (Euh là, je ne vois pas ces clowns abuser les politiques allemands flanqués de leurs propres spécialistes) ? Tromper les gouvernements mal informés des pays du sud et les amener à signer un traité qui les ligoterait ?

La gravite des masses se joue de celle des choses

Article lié : En rappel dans les montagnes russes

Stephane Eybert

  24/03/2009

Obama observe ce systeme de masses en mouvement, chacune imprimant sur les autres une force gravitationelle, un joli ballet dont les parties se jouent de celui qui tente de les prendre dans sa main.
Obama le sait bien, qui aujourd’hui se contente d’en taper l’une ou l’autre, afin d’observer la variation imprimee au jeu de ces corps animes.
Ce mobil si complexe qu’il en fascine son spectateur est bien le jouet le plus captivant que l’on ai offert depuis longtemps.

ne pas confondre

Article lié : L’Iran: “Yes, we can (change)”?

pilo

  24/03/2009

l’ayatollah Khomeini avec Khamenei

Hansen is a fraudster

Article lié : Révoltez-vous, il le faut!

Geraldo Lino

  24/03/2009

Sirs, please, Hansen is a fraudster whose office was already caught red handed involved in spreading alarmist analysis based on false data. Despite its high position (and maybe because of it), the guy is a professional alarmist and opportunistic who cannot be trusted upon for any serious assessment of the world climate. Any serious analysis of the Earth’s climatic prospects, like the ones usually made by this site on the world’s general strategic outlook, must begin with the serious scientists that look correctly at the long term factors that have been driving the planet’s climate for hundreds of millions of years. Many of them have been studying the subject for decades, even before climatology has been turned into a “political” and highly profitable science (at least for those who have jumped into the man-made global warming bandwagon). There are a lot of them in Europe and in the US but unfortunately they seldom get a fraction of the media attention gave to people like Hansen and his ilk.

Rien avant 2012

Article lié : Révoltez-vous, il le faut!

Bilbo

  24/03/2009

Ce responsable de la NASA a raison d’être pessimiste. Le plan énergie-climat d’Obama est particulièrement creux. Il annonce des objectifs plus ambitieux que ceux de l’Union européenne à l’horizon 2050 (réduire les émissions de GES de 80% contre 75% pour nous), mais ce sera l’objet d’un prochain mandat présidentiel et surtout à compter de 2020.
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=10915

Son seul est de reprendre la main sur les discussions mondiales pour éviter la mise en place d’un successeur au protocole de Kyoto qui soit coercitif pour les USA.

Ceci est d’ailleurs confirmé par la programmation budgétaire pluri-annuelle qu’on peut trouver sur le site de la maison Blanche (ci-joint un lien vers un recueil de tableaux) :
http://www.whitehouse.gov/omb/assets/fy2010_new_era/Summary_Tables2.pdf

On y trouve des lignes budgétaires dédiées aux politiques climatique, mais sans aucun montant avant 2012. A compter de 2012, les recettes fiscales d’origine climatique s’élèveraient à 80 milliards environ, une paille au regard du budget total (plus de 3000 milliards). Ce n’est pas avec de telles incitations fiscales qu’on peut faire changer les choses.

Au chapitre de la crise, ce dernier lien propose des chiffres croquignols sur la croissance, les déficits totaux, les déficits des systèmes de santé...

Un chiffre vaut parfois de longs discours.

Un nouveau clou dans le cerceuil du JSF?

Article lié : La bataille de sa vie

Stéphane Reposo

  24/03/2009

Vous aimez les F-15?
Vous voulez des avions furtifs?

Essayez le F-15 furtif:

http://www.defense-update.com/products/f/f-15se_180309.html

A propos des methodes de relance Americain et de Ron Paul...

Article lié : En rappel dans les montagnes russes

CMLFdA

  24/03/2009

Bill Bonner, co-fondateur de La Chronique Agora, à Londres

*** 15 ANS DE RECESSION

** Selon notre vieil ami Ron Paul, membre du Congrès américain, nous nous dirigeons vers une récession de 15 ans.

* Il a probablement raison. Autrefois, les “paniques” et les “dépressions” prenaient fin relativement rapidement. Il n’y avait pas d’Etat-providence, pas d’allocations chômage. Les gens devaient se débrouiller.

* Lorsqu’une dépression frappait, les salaires baissaient rapidement et les gens retournaient au travail. Ils gagnaient moins… mais toute l’économie s’adaptait, avec des prix plus bas.

* Il n’y avait pas non plus de sauvetages et de plans de relance. Les erreurs étaient corrigées plus ou moins vite. Des entreprises faisaient faillite. Des gens se retrouvaient “ruinés” et devaient se noyer dans l’alcool.

* A présent, ça va mieux. Si leurs entreprise font faillites… les gens peuvent continuer presque comme si de rien n’était—s’ils doivent de l’argent aux bonnes personnes. Ils pourraient même recevoir une prime.

* Goldman annonce qu’il n’aurait pas perdu beaucoup d’argent si on avait laissé AIG faire faillite. Alors ne pensez pas une minute que la société voulait que le gouvernement sauve AIG simplement pour récupérer ses 20 milliards de dollars.

* En tout cas, le public américain et ses représentants rémunérés à Washington sont partis en guerre. Les journalistes ont suivi la piste des centaines de milliards de dollars versés par les contribuables et donnés aux sociétés financières. Ils ont découvert que ces billets ont terminé dans diverses poches doublées de soie—notamment celles de Goldman Sachs, de banques étrangères et celles des dirigeants même des sociétés en faillite. Les politiciens sont choqués. Choqués ! Et le public est scandalisé.

* D’où provient cet outrage ? Pas d’une question de principe, pour autant que nous ayons pu le déterminer. Voler à Pierre ne dérange pas les contribuables. Mais ils n’apprécient pas lorsque ces biens mal acquis profitent à d’autres qu’eux.

* Le Congrès américain est entré en action la semaine dernière pour rectifier les choses. Mais plutôt que de distribuer des primes à tout un chacun, il a proposé un impôt de 90% sur les primes d’AIG… et recommandé aux états de prendre les 10% restant.

* Nous sommes d’avis que tout cela n’est qu’une dangereuse distraction. Les sommes versées sont triviales—en comparaison aux montants gigantesques des renflouages. Et lorsque les politiciens commencent à prendre l’argent des gens, nous plaignons celui à qui on prend, plutôt que celui qui prend. Tout cela encourage une très mauvaise idée—que les politiciens, plutôt que l’économie de marché, devraient décider de qui obtient quoi.

* Franchement, encore un peu et ils nous dirons quelles entreprises survivent et lesquelles font faillite. Mais attendez un peu… ça, ils le font déjà !

** Voilà pourquoi Ron Paul pense que nous aurons une dépression qui durera plus longtemps que la majeure partie des mariages. Lorsqu’on laisse les marchés fonctionner, ils font souvent des erreurs—surtout lorsque le gouvernement fixe les taux d’intérêt. Les périodes de croissance sont ponctuées de crises—y compris de grandes ruptures d’activités et des poussées de “destruction créatrice”. Comme les feux de forêt, ces conflagrations épisodiques consument le bois mort, permettant une nouvelle croissance.

* Mais lorsque le gouvernement se charge d’allouer les capitaux et les ressources, c’est quasiment toujours un pétard mouillé du début à la fin. Le bois mort n’est jamais éclairci. Au lieu de cela, il est protégé... soutenu… laissant les nouvelles pousses lutter dans la pénombre. Pas beaucoup de croissance, en d’autres termes.

* Au risque de nous répéter : il n’y a eu que deux exemples de dépressions majeures au cours du siècle dernier. Toutes deux se sont produites après une immense accumulation de dette. Et toutes deux ont été accueillies par des programmes dont les économistes devraient avoir honte—des renflouages, des stimulants, des prêts, des soutiens, des filets de sécurité et des crochets. Dans les deux cas—les années 30 pour les Etats-Unis, les années 90 pour le Japon—les dépressions ont continué par épisodes durant de nombreuses années. La Deuxième Guerre mondiale a mis un terme à la première—12 ans après qu’elle a commencé. La seconde se poursuit—près de 20 ans après le krach du marché boursier de Tokyo.

* A présent, nous en avons une troisième… et cette fois-ci, les autorités sont décidées à la vaincre. Quelle est leur stratégie ? Plus de puissance de feu ! Quelle est leur arme secrète ? L’assouplissement quantitatif… c’est-à-dire l’inflation monétaire, en achetant de la dette directement au gouvernement.

* Est-ce que ça fonctionnera ? Geithner/Bernanke réussiront-ils là où d’autres ont échoué ? Les économistes maîtriseront-ils finalement les dépressions… et trouveront-ils un moyen d’être “créateurs” sans la destruction ?

* Ah… nous pensons connaître la réponse. Mais en attendant, nous profitons du spectacle…

La norme et l'exception

Article lié : En rappel dans les montagnes russes

Ni ANDO

  24/03/2009

Il me semble que la tendance lourde est bien ce que vous appelez l’“americanisme”. Dans ce sens, ce n’est pas l’épisode Bush junior qui apparaît comme une exception mais bien l’arrivée au pouvoir d’Obama. L’aggravation de la crise devrait remettre à flot, un jour ou l’autre, cet “americanisme” pur et dur quand il apparaîtra de manière évidente à l’establishment étasunien qu’il est désormais dans une impasse, totalement sans recours si ce n’est la fuite en avant. Une évolution qui pourrait marginaliser Obama, voire l’éliminer.

mème pas american Gorbatchev!

Article lié : Le désespoir de Paul Krugman

Franck du Faubourg

  24/03/2009

@philippe d:
vous réveillez adroitement une des interrogations de dedefensa, concernant la posture d’Obama.

Un Dmitri Orlov a déja répondu partiellement à cette question. Voir son blog: http://cluborlov.blogspot.com/
Il y a un coté tragique, dans les tentatives d’Obama, d’essayer d’incurver la trajectoire des USA (et du monde fatalement) vers un chemin moins catastrophique.
Orlov, connaisseur de l’effondrement de l’URSS, a développé quantité d’analyses comparatives entre la chute inéluctable des USA et celle, précédente, de l’URSS. Il y a des pépites!
Il est , plus généralement, dommage qu’aucun analyste “convenable”  ne considère que les pouvoirs en “front line”, et non pas les réels pouvoirs dominants.
De temps à autre, ceux-çi se dévoilent, au grand dam des journalistes divers (exemple; à propos de Bernanke refusant par un lapidaire NO, les requètes du congrès pour savoir ou sont passés 2200 milliards de dollars en novembre..) A chacun de s’interroger..
Krugman n’est pas le seul à ètre scandalisé, et se désespérer; lire:
http://globaleconomicanalysis.blogspot.com/2009/03/geithners-galling-and-dangerous-plan.html

Le staff d’Obama en terme de finances est dans la continuité du régime précédent: tous devraient ètre au tribunal, et non pas au pouvoir. Obama a t’il pu choisir? Qui est-il réellement?
Le Système est apparemment trop omniprésent dans les sphères du Pouvoir, et il semble autiste (comme le souligne un Alain Minc, ce qui ne manque pas de sel)

Il semble que nous allons droit à des révoltes de tous bords; rappelez-vous les révoltes soudaines de LA. dans les années 1990.
Au moins en France , ça se passe de façon quasi -institutionnelle
Nous avons notre soupape de sureté sociale, à défaut d’un parti politique alternatif (désormais mort).

Il n’y a plus de plan de route cette fois-çi, pour un avenir proche; le Pouvoir financier semble hors controle, et ceux qui en tirent les ficelles semblent désemparés, ou débordés. Non, cette fois, il n’y aura pas d’american Gorbatchev.

Bob Chapman dans son blog est souvent interessant à lire:
http://www.theinternationalforecaster.com/International_Forecaster_Weekly/A_Bear_Market_Is_Where_Angels_Fear_To_Tread

Mystification et Anamorphose d'une défaillance ...

Article lié : McCarthy contre le système

Exocet

  24/03/2009

Le contribuable (pas si innocent que cela celui là aussi ..) continue à faire du Pédalo pendant que   le banquier le motorise d’un moteur lamborghini. Pour sur que ceux là ensemble se jetteront tels des étourdis dans le trampoline en pleine tempête.Pas si sur qu’ils aient le bon reflêxe de se pisser dessus comme faisaient en des temps fusionels nos chers bon vieux cap horniers agonistique.En attendant ce bon vieux Ron convertit nos volutes de camions poubelles post moderne   en embruns salés ruminant ..

http://www.la-chronique-agora.com/articles/20090324-1675.html

Avis de tempête

Article lié : Le Brussels Forum et la houle transatlantique

Christophe Cordier

  24/03/2009

Vive la guerre contre la Terreur…

Quelle folie...

Article lié : Le populisme danse sur le pont du Titanic

Carine Frerard

  24/03/2009

Jamais je n’aurais imaginé que le capitaine du Titatinic aurais tenté de percuter un second iceberg…
Bho est occupé à le faire et dirige Wall Street et les EU droit dans le mur avec ce nouveau plan de relance suicidaire…
Personnellement je crois depuis longtemps qu’il faudra plonger dans les abysses pour que les financiers soient enfin conscients que leur système est déjà mort. Ce plan n’est pas le dernier sursaut, hélas
Je souhaiterais vraiment que la lettre ouverte du LEAP 2020 puisse être entendue mais je n’y croyais pas avant ce jour mais avec le lancement de ce plan c’est désormais certain que le G20 échouera!!!
Je viens de découvrir “dedefensa” et suis agréablement surprise qu’un média comme celui-ci trouve ses origines près de chez moi…
Merci M. Grasset

american gorbatchev?

Article lié : Le désespoir de Paul Krugman

philippe d

  23/03/2009

la confusion sur ce qu’on l’on peut comprendre et attendre du plan Geithner est énorme et l’on craindrait presque d’en lire plus de commentaires… car ils ont chacun leur potentiel de séduction
je note simplement que ce plan plaît à wall street et que les volumes du trading sont à présent redevenus très importants

comment et pourquoi? ce n’est pas le lieu d’en disserter mais d’aucuns, certainement moins nombreux qu’en automne, disposent à l’évidence de ce cash qui faisait prétendûment défaut à tous lors du credit crunch.
ceux-là, rescapés, protégés ou simplement bons stratèges, seraient à nouveau en position de faire le jeu - position qu’il sera un jour intéressant de vérifier s’ils l’ont jamais quittée…

quoi qu’il en soit, l’hypothèse de l’american gorbatchev semble levée
bho et son plan autorisant à wall street une forme de retour aux affaires ‘as usual’ : c’est, vous en conviendrez, peu révolutionnaire,
peu importe dès lors si la profondeur des crises en développement devait rattraper tout le monde dans quelque temps

merci de nous faire part de votre sentiment