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Todd franchit le Rubicon

Article lié : Todd, ou la vérité toute nue

jc

  15/10/2024

""Si Moscou gagne en Ukraine, l'Europe renaît". La théorie du Français Todd qui effraie les larbins européens

http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2024/10/14/si-moscou-gagne-en-ukraine-l-europe-renait-la-theorie-du-francais-todd-qui.html

De la sphère au cube

Article lié : L’occidentologie de Douguine

jc

  12/10/2024

En reparcourant le chapitre "De la sphère au cube" du "Règne de la quantité..." je m'aperçois qu'il comporte de nombreux points de contact avec l'incursion thomienne en métaphysique extrême de "Esquisse d'une sémiophysique" (p.216), incursion (1) qui aurait pu être écrite par un philosophe/métaphysicien totalement ignorant des mathématiques qui ont conduit Thom à terminer ainsi sa seconde (et dernière) œuvre majeure.

Le mot-clé qui a attiré mon attention est celui de différenciation, terme évoqué à plusieurs reprises par Guénon (2) et implicite dans (1). Les fins connaisseurs de l'œuvre de Guénon (je pense à A. Douguine et à A. de Benoist) ont là, selon moi, un point d'entrée privilégié pour accéder à ce que je considère comme l'intuition primordiale qui gouverne toute la pensée thomienne, qui consiste à oser l'analogie entre différenciation biologique et différentiation mathématique (3), intuition qui lui est venue en visitant un musée où étaient exposés des modèles en plâtre des stades successifs de la gastrulation de la grenouille.

Reconsidérer l'ethno-différentialisme (4) et le spécisme dans cadre de la vaste (5) perspective thomienne ?

[ La reproduction sexuée est explicitement mentionnée par Thom en (1). Pour moi on peut considérer qu'elle l'est symboliquement par Guénon lorsqu'il oppose la sphère/ovule, aux six directions orthogonales au cube issues de leur centre commun  (cf. "Le symbolisme de la croix", chap. IV intitulé "Des directions de l'espace"), ces six directions/vecteurs symbolisant en 3D six spermatozoïdes. En augmentant la dimension on augmente le nombre de vecteurs/spermatozoïdes, jusqu'à l'infini lorsqu'on se place dans l'espace de Hilbert qui est l'espace dans lequel sont formulés les postulats de la mécanique quantique et qui suggère alors de penser ces spermatozoîdes comme les vecteurs propres d'un mystérieux opérateur…).  "La voie de crête entre les deux gouffres de l'imbécilité d'une part et le délire d'autre part n'est certes ni facile ni sans danger, mais c'est par elle que passe tout progrès futur de l'humanité" (Thom) ]

(1) "L'image de l'arbre de Porphyre me suggère une échappée en "Métaphysique extrême" que le lecteur me pardonnera peut-être. Il ressort de tous les exemples considérés dans ce livre qu'aux étages inférieurs, proches des individus, le graphe de Porphyre est susceptible -au moins partiellement- d'être déterminé par l'expérience. En revanche, lorsqu'on veut atteindre les étages supérieurs, on est conduit à la notion d' "hypergenre", dont on a vu qu'elle n'était guère susceptible d'une définition opératoire (hormis les considérations tirées de la régulation biologique). Plus haut on aboutit, au voisinage du sommet, à l'Être en soi. Le métaphysicien est précisément l'esprit capable de remonter cet arbre de Porphyre jusqu'au contact avec l'Être. De même que les cellules sexuées peuvent reconstituer le centre organisateur de l'espèce, le point germinal α (pour en redescendre ensuite les bifurcations somatiques au cours de l'ontogénèse), de même le métaphysicien doit en principe parvenir à ce point originel de l'ontologie, d'où il pourra redescendre par paliers jusqu'à nous, individus d'en bas. Son programme, fort immodeste, est de réitérer le geste du Créateur. Mais très fréquemment, épuisé par l'effort de son ascension dans ces régions arides de l'Être, le métaphysicien s'arrête à mi-hauteur à un centre organisateur partiel, à vocation fonctionnelle. Il produira alors une "idéologie", prégnance efficace, laquelle, en déployant cette fonction, va se multiplier dans les esprits. Dans notre métaphore biologique ce sera précisément cette prolifération incontrôlée qu'est le cancer.

Aristote a dit du germe, à la naissance, qu'il est inachevé. On peut dès lors se demander si tout en haut du graphe on n'a pas quelque chose comme un fluide homogène indistinct, ce premier mouvant indifférencié décrit dans sa Métaphysique; que serait la rencontre de l'esprit avec ce matériau informe dont sortira le monde? Une nuit mystique, une parfaite plénitude, le pur néant? Mais la formule d'Aristote suggère une autre réponse, théologiquement étrange. Peut-être Dieu n'existera-t-il pleinement qu'une fois sa création achevée : "Premier selon l'être, dernier selon la génération"."

(2) La référence initiale à "l'œuf du monde" et à l'embryologie évoque déjà clairement le concept de différenciation biologique.

(3) il y a pour Thom un mécanisme formel universel qui commande toute morphogenèse, et il l'explique de manière élémentaire (selon lui…) par l'analogie entre le développement d'un embryon d'une part, et une série de Taylor à coefficients indéterminés d'autre part (cf. p.48 de la première édition de "Stabilité Structurelle et Morphogénèse" ou p.32 de la seconde).

(4) J'aurais attendu ethno-différencialisme, qui évoque les sciences humaines, l'ethno-différentialisme renvoyant selon moi plutôt aux sciences dites dures.

(5) Sans trop insister (car, paraît-il, d'une grande modestie dans la vie de tous les jours), il est clair dans l'esprit de Thom que la théorie qu'il propose est une révolution scientifique au sens de Kuhn, en fait pas seulement scientifique car Thom n'est pas démarcationniste ("Finalement, le problème de la démarcation entre scientifique et non scientifique n'est plus guère aujourd'hui qu'une relique du passé ; on ne le trouve plus guère cité que chez quelques épistémologues attardés – et quelques scientifiques particulièrement naïfs ou obtus."). À ce propos le lecteur intéressé pourra audio-visionner la fin de ce que j'appelle la vidéo-testament de Thom ( https://www.youtube.com/watch?v=fUpT1nal744 ) à partir de 43'. ]

Le rôle de l'OTAN

Article lié : Todd, ou la vérité toute nue

jc

  11/10/2024

1. Todd (ou selon Todd) :

"Le choc psychologique qui attend les Européens sera de comprendre que l’OTAN n’existe pas pour nous protéger, mais pour nous contrôler”.

2. OTAN, instrument de contrôle du rimland européen et de ses industries militaires ( http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2024/10/10/otan-instrument-de-controle-du-rimland-europeen-et-de-ses-industries-milita.html )

Feu Henry Kissinger

Article lié : Kissinger et la frivolité stratégique

P S

  06/10/2024

Eschatologie pour tous !

Article lié : Plus eschatologique que jamais...

Paolo Scampa

  02/10/2024

L'article de Douguine sur l'occidentologie.2

Article lié : L’occidentologie de Douguine

jc

  26/09/2024

La position de Thom sur la science moderne (donc occidentale) est présentée à la toute fin de "Esquisse d'une Sémiophysique" :

"On s'imagine que le monde a été construit par un démiurge intelligent, grâce à certaines formules simples. Le but de la Science, c'est de retrouver ces formules, qui permettront à l'Homme de réaliser le rêve prométhéen de dominer le monde. (...) La Science moderne a eu tort de renoncer à toute ontologie en ramenant toute ontologie au succès pragmatique. (...) Seule une métaphysique réaliste peut redonner du sens au monde."

Thom écrit ailleurs :

"On doit donc [en Science] postuler en principe le déterminisme, mais garder présente à l'esprit sa nature essentiellement multiforme et scindée. (...) Une bonne théorie des scissions du déterminisme reste à faire. La physique s'zest fascinée sur le problème de l'unification des causes, c'est-à-dire la théorie du champ unitaire. C'est le problème inverse de la scission, et de la relative indépendance des types de facteurs causatifs, qu'il importerait au contraire d'élucider."

J'ai hâte de connaître la position de Douguine.

L'article de Douguine sur l'occidentologie.1

Article lié : L’occidentologie de Douguine

jc

  26/09/2024

L'article de Charles Castets https://www.revue-elements.com/qui-est-alexandre-douguine-anatomie-dune-pensee-radicale-et-complexe/  me permet de me faire une idée de qui est Alexandre Douguine.

 J'y découvre avec étonnement que "Douguine fréquentait alors les milieux nationalistes qui s’étaient agrégés après le coup d’État raté d’août 1991. En compagnie de l’écrivain Édouard Limonov, il a d’ailleurs animé, jusqu’en 1998, le mouvement national-bolchevique, qu’il a par la suite qualifié de « projet d’art politique »."

J'y vois surtout un intéressant parallèle à faire entre la fin de l'article ( Noomakhie, la « guerre des esprits » ) et la légende de la carte du sens de Thom ( http://strangepaths.com/forum/viewtopic.php?t=41 ), avec dans les deux cas une phase de bimodalité entre ciel et terre/mer :

pour Douguine "Il est caractérisé par le rythme et le mouvement. Son symbole est l’androgyne, le couple d’amants, le cercle, la danse, la répétition et le cycle."  ;

pour Thom : "entre les deux, une sorte de croissant que l’on peut renverser, et que l’on peut voir comme un canot flottant sur le bouillonnement des forces naturelles."

[ Thom précise ailleurs : "Notre pensée se trouve ainsi confinée sur ce fragile esquif ballotté entre deux périls également mortels, ce « chapeau de Napoléon » ourlant la rive de L'Etre sous le ciel du Néant : forme presque-effaçable qu'une infime perturbation pourrait détruire. " ]

Autre point de contact :

Douguine : "Pour lui, les grands changements sont autrement efficaces que le gradualisme."

Thom : "le darwinisme a prétendu expliquer la variation des formes biologiques, alors qu’il ne s’est jamais préoccupé de les définir. (...) De ce point de vue, j’affirmerais que si le darwinisme contient une substance scientifique, c’est seulement dans l’opposition Gradualisme vs Catastrophisme » qu’on la trouve. Chez les darwiniens d’aujourd’hui, le gradualisme est un dogme."

http://j-costagliola.over-blog.com/article-un-programme-pour-la-biologie-theorique-par-rene-thom-medaille-fields-preface-a-faut-il-bruler-darwin-l-harmattan-1995-52930252.html

 

L'article de Douguine sur l'occidentologie

Article lié : Infamie et chute du journalisme

jc

  25/09/2024

Les bolchevicks faisaient la distinction entre la science "bourgeoise" et la science "prolétaire", l'affaire Lyssenko étant typique à ce sujet.

Cette affaire a révélé que les russes d'alors -pas nécessairement bolchéviques- n'avaient pas les mêmes conceptions de l'évolution des espèces (en gros : lamarckisme contre néo-darwinisme -barrière de Weismann, lois de Mendel-).

J'ai hâte d'avoir sous les yeux une traduction de l'article de Douguine.

[ Par l'analogie biologie/sociologie, selon moi licite (1), la barrière de Weismann sociologique se formule ainsi : pas d'action du peuple sur l'élite, donc pas de composante démocratique possible dans l'organisation sociale (ce qui ne déplaisait pas au Guénon de "La crise du monde moderne") : "Cause toujours" (démocratie libérale) ou "Ferme ta gueule" (démocratie autoritaire), le résultat est le même.

Quid de la situation russe maintenant que l'URSS a disparu ?

Pour moi la question centrale est correctement posée par Thom :

"En quoi l'appel au hasard pour expliquer l'évolution serait-il plus scientifique que l'appel à la volonté du Créateur ?"

Je rappelle que Thom est :

1. lamarckien

2. qu'il juge ainsi la science moderne :

"Ce qui limite le vrai n'est pas le faux mais l'insignifiant, et la science moderne est un torrent d'insignifiance proprement dit." (illustration sur sa carte du sens : strangepaths.com/forum/viewtopic.php?t=41)

(1) : "Les situations dynamiques régissant l'évolution des phénomènes naturels sont fondamentalement les mêmes que celles qui régissent l'évolution de l'homme et des sociétés" [et des espèces, c'est moi qui rajoute ]




 

Cheney et le chaos salutaire aux Neoons

Article lié : RapSit-USA2024 : Kamala sans fin

Jean-Claude Cousin

  22/09/2024

Bonjour. Bien trouvé cette chronique italienne, Piccole Notte  !
Il est manifeste que, comme les trotskistes autrefois, ces entités-là (sont-ce bien des humains ?) ne "raisonnent " (euh…) qu'en termes de globalisme, ce qui correspond assez à la horde des Grands Banquiers Sans Frontières. Donc pour Cheney les États-Unis d'Amérique ne sont qu'un regroupement occasionnel de territoires disparates, regroupement bien entendu sans intérêt.
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Il faut bien distinguer les financiers liés à des entreprises attachées au réel, comme l'est Trump, comme l'avait été Christophe de Margerie avant que ("P…. de camion !"), et les financiers qui jonglent avec ces entreprises sans jamais s'y salir les mains. Une entité comme l'envahisseur du 55 rue du Faubourg à Paris (8ème) n'est qu'une simple mais dangereuse métastase parmi d'autres, comme Kalamity Gêne ou la Fan de Les Yènes.
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C'est pourquoi ce machin multiple ne connaît qu'un siège planétaire, cette City of London qui possède son propre drapeau, et où le souverain britannique n'entre que sur permission. City of London, ce quadrilatère à nul autre pareil, est de la grandeur de l'île de Bréhat en France, mais il comporte plus de banques que l'île bretonne ne compte d'habitants.
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De ce quadrilatère jaillissent depuis Cromwell le Jeune des incitations lancées dans le monde entier, dans le but de fomenter des guerres : c'est à la fois pour affaiblir tout le monde, et pour vendre à tout le monde des armes pour s'entre-tuer. C'est bien pourquoi j'ai récemment écrit quelques lignes où j'en parle.
 

Il faut rigoler

Article lié : Querelle sur le pont en forte gite du ‘Titanic

Christophe Szostak

  12/09/2024

https://youtu.be/wvRrBlSvxNw
 

Article lié : La guerre de Douguine

Jean-Claude Cousin

  05/09/2024

Voilà longtemps que je sors très souvent cet aphorisme, « On n'arrête pas le progrès, c'est lui qui nous arrêtera »
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La cause de cette imbécillité qu'est le progrès à tout prix n'est pas jeune. Je la dirai naître au temps des Encyclopédistes, de Cugnot et des frères Montgolfier.
Montgolfier, j'ai recherché. La fabrique de papier dure depuis 1557, mais plus tard le dernier Montgolfier mâle a confié la maison à son gendre Canson.
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Cependant, une engeance porte à bout de bras, aujourd'hui et depuis longtemps, la modernité : c'est ce que j'ai nommé avec un grand dédain L'Anglosaxonnerie, celle qui ne vit que PAR la modernité, celle-ci fût-elle sordide. Face  à ceux qui firent les Cathédrales, faites pour durer, durer, durer, s'oppose le règne de l'immédiateté. C'est au point que, chez McDo, un "steack haché" ou ce qui en tient lieu qui n'est pas mangé dans les dix minutes suivant la cuisson va aux ordures. On va me rétorquer : de toute façon, ils feraient mieux dans cette officine de les jeter avant cuisson, cela coûterait moins cher. Je suis bien d'accord.
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La modernité, c'est le règne du jetable. A croire que le seul sport noble aujourd'hui est le lancer de poids. C'est au point que même le citoyen est jetable, le travailleur aussi ; quant à "l'argent", il est devenu fictif. Il n'a pas existé, il n'existe pas, demain il sera l'ombre d'une ligne fictive dans un "cloud" fictif d'ordinateur. On ne saurait trouver plus évanescent.
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Zombies, mes frères, où êtes-vous ?......

Contre- éthique du capitalisme

Article lié : Le capitalisme de l'anéantissement

Auguste Vannier

  18/08/2024

Merci de nous offrir cette très belle critique poético-philosophique du Capitalisme, à la fois savante et facilement lisible. Elle vaut à elle seule plusieurs volumes d'analyses d' économistes patentés et néanmoins critiques. Avec une sobriété de moyens,  elle donne sens à tout ce que nous observons de la dramatique et absurde réalité de notre système qui se prétend civilisation. Chaque mythe évoqué constitue un élément d'une contre-éthique du capitalisme
Moralité: il faut abattre le capitalisme, avant qu'il ne nous tue

le client, c'est sacré

Article lié : Vers la guerre

Yodalfo M.c.

  18/08/2024

Depuis toujours les Russes ont joué à "retenez-moi ou je fais un malheur". J'ai de la famille, j'ai pu observer. Et puis, ça passe, et puis, rien, ... 
les idéologues de Poutine jouent dans son espace de pensée géostratégique, qui est souvent un clonage de celui de Nicolas Premier. A ce sujet, les descriptions de Tolstoï (Léon) sur le tzar et sur les officiers durant les guerres du Causase sont impresonnantes d'actualité
il est donc parfaitement normal que ces réflexions géopolitiques prennent pour nombril du monde,  le Kremlin (en russe: forteresse, quel autre pays a une gouvernement dans un lieu nommé "forteresse"?)
Le Réel, c'est que Pékin tient la Russie bien en main. A côté des démonstrations d'amitié et d'un soutien dosé pour énerver les Américains, mais-pas-plus,  les Chinois ne permettent pas qu'on atomise, ni qu'on ruine, leurs clients. 
Perdu dans son obsession pour les Tzars de la Sainte Alliance, ou pour l'URSS de Brejnev, le Kremlin oublie que ce n'est pas la Russie la seconde puissance mondiale.
On a beau se référer aux réactionnaires à la Joseph de Maistre, aux Russes Blanc, Iliyn ou  Berdiaev, on ne détruira pas "les Lumières". La mondialisation a ouvert une nouvelle période où les multinationales sont plus puissantes que la plupart des gouvernements, et il ne leur manque que de créer des milices privées.
Évidemment cela demande de regarder le monde tel qu'il est et pas tel qu'il aurait dû être - pour Poutine, sans Lénine et sans Gorby. 
 

une ressucée de Liu Cixin

Article lié : La parabole des 2 réalités

Yodalfo M.c.

  18/08/2024

Un immense succès de la science fiction chinoise, disponible en livre de poche 'le problème à Trois Corps' envisage des conflits entre civilisations résidant dans d'autres dimensions
Le problème, c'est qu'il ya des gens qui confondent réalité et fiction.
Après le Da Vinci Code, on a vu les illuminatis partout. La publicité pour le film 1992 a suscité des élans mystiques autour de prophéties Maya, et lutiplié le commerce de produits pour survivalistes
Ici, le livre de Liu Cixin connaît une adaptation en série
donc des gens qui, ... etc

nihilisme: sortir de la boîte

Article lié : L’obstacle nihiliste devant Poutine

Yodalfo M.c.

  18/08/2024

dans une vision manichéiste, l'Occident termine diabolisé, réduit à du woke, du nihilisme et du Lgbt. C'est bien pour la propagande et pour  déclencher une haine absolue de l'ennemi, c'est contre-productif pour une analyse politique. Toujours.
L'offensive dite de Koursk (parce qu'on n'y est pas, si jamais on devait y parvenir) m'a fait réfléchir.
Et si c'était du "cosaque" ?
Depuis l'antiquité, des troupes mobiles (de cavaliers, souvent)  aiguillonnent les armées alourdies, carapaçonnées, à la hiérarchie rigide, dirigées par des courtisans et des médiocres, psuique tous les régimes despotiques écartent tous ceux qui seraient capables de pointer les dysfonctionnements. On attaque sur les flancs, sur l'arrière, effet de suprise, éventuellement on pénètre loin dans le ventre mou de Byzance, de l'Empereur de Perse, du Tzar de 'toutes' les Russies.
Dans ce cas, ce serait une référence au passé "national", aux traditions de combat.
Est-ce une analyse valable?
On pourrait le mesurer avec la quantité d'enthousiasme et de soutien dans la population.
Est-ce efficace? 
On le verra, si les Ukrainiens sont capables de couper le GAZ à la Hongrie et à la Slovaquie, alors que,  jusqu'à présent, les livraisons et les paiements des anciens contrats sont toujours honorés. OU, sans le couper, s'ils sont en  mesure de peser sur les options de ces gouvernements.