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Quid du

Article lié : Réchauffement climatique : sur Terre et ailleurs...

Jack V.

  11/02/2023

L'hypothèse de Monsieur Orlov sur la cause d'un réchauffement d'autres planètes est peut-être fragile puisqu'on la retrouve dans un film datant de 2012 ;-)  , il n'en demeure pas moins que le fait du "réchauffement" de ces planètes, qui est connu depuis une quinzaine d'année et auquel le GIEC ne semble pas s'intéresser, provoque toujours la même réaction hébétée des tenants du réchauffement anthropique. Ils l'ignorent et parlent d'autre chose… Mais les faits sont têtus et il faudra bien leur trouver une explication. Est-il vraiment utile d'ajouter aux conditions de la validation de cette dernière, qu'elle soit absente de toute réalisation hollywoodienne ?

Le réchauffement climatique a pris fin en 2012 avec le film éponyme.

Article lié : Réchauffement climatique : sur Terre et ailleurs...

Didier Favre

  08/02/2023

L'hypothèse d'Orlov est fantastique. Dans mes souvenirs de 2012, la très célèbre fin du monde avec un film à effets spécieux, j'ai lu la théorie selon laquelle l'alignement des planètes avec le centre de la galaxie allait provoquer une concentration des neutrinos en provenant, réchauffer le coeur de la terre et provoquer tout ce que vous pouvez avoir vu dans le film.
Je n'ai pas vu le film et j'ai pris l'avion pour rejoindre ma chère et tendre le jour de la fin du monde.
Orlov nous sort la même théorie. Je suis d'accord avec lui quand il parle d'une hypothèse quelque peu éclairée. Pour le reste, je suis soufflé par la réalisation qu'il utilise le même objet que le film pour  expliquer le réchauffement climatique. Ce dernier est présenté comme une fin du monde.
Je le suspecte d'avoir assez d'humour pour se moquer de ses lecteurs. C'est aussi une hypothèse et pas bien éclairée. La coïncidence avec le film est trop énorme pour être négligée.

Halte à la guerre !

Article lié : La démence européenne secoue le monde

Denis Monod-Broca

  08/02/2023

Si Macron, ou un autre chef d’Etat européen, disait « halte à la guerre ! », la guerre s’arrêterait, affirme Todd à la fin de son interview par Olivier Beruyer sur les-crises.fr
N’est-il pas optimiste ?
Il a raison sur le point de départ, Macron devrait dire, haut et fort, « halte à la guerre ! ».
On pense à de Gaulle à Phnom Penh en 1966 et à Villepin à l’Onu en 2003. La France, par la voix de Macron, devrait en effet, une fois de plus, appeler les USA à la raison.
Mais que se passerait-il alors ?
Le plus probable est la mise à l’écart de la France, sinon même sa désignation comme alliée du Kremlin, et donc comme ennemie à abattre .
Mais on peut rêver, et se rappeler le récit biblique de la femme adultère : « Quand ils entendirent cela, accusés par leur conscience ils se retirèrent un à un, à commencer par les plus âgés et jusqu’aux derniers ». La France, vieux pays recru d’épreuve, pourrait être celle qui, la première, accusée par sa conscience, laisse tomber sa pierre et se retire. Elle serait alors (peut-être) imitée, les autres pays se retireraient, la guerre s’arrêterait, et Todd aurait eu raison.
Macron a essayé mais il a été vite repris et il est rentré dans le rang.
Une chose est sûre : nous extraire de la foule occidentale des va-t-en-guerre serait une décision libre et courageuse, très libre et très courageuse car les risques seraient très grands. Nous devrions la prendre. Notre histoire, notre réputation (ce qu’il en reste), la « pensée française » (ce qu’il en reste), nous commandent de la prendre.
« Il y a un pacte multiséculaire entre la grandeur de la France et la liberté du monde »

In memoriam

Article lié : De l’hybris au Covid-1776

Christian Merlinki

  06/02/2023

Comment est-il dieu possible qu'à votre âge, vous ne puisiez plus dans le subjonctif.  Observez ce bout de phrase qui m'ait fait sursauter : ni celui d’une tragédie grecque ou shakespearienne car les seules tragédies qu’elle sait faire sont des tragédies-bouffe tournées. Pour correction : qu'elle sache faire. 
Vous avez une influence certaine dans la communauté ; de grâce, nourrissez-vous à nouveau des racines de votre langue, laissant cet incongru progessissisme au vestiaire des paltoquets. Généralement, j'abandonne la lecture dès que j'aperçois l'expression d'une telle déficience, mais comme l'objet du billet m'intéresse…

Lapsus digital

Article lié : RapSit-USA2023 : Z. et la bataille de Washington

jc

  04/02/2023

Actuellement plongé dans "Dans l'ombre de Grothendieck et Lacan" me voilà devenu attentif au lapsus, linguae ou non. Je découvre que Carl Jung a travaillé sur les associations de mots et les associations verbales mais je n'ai rien lu de lui, ni sur sur sujet particulier ni sur aucun autre. Je vois ce type d'associations comme des réductions à Hitler ou à Staline (1) dont le mécanisme a été décrit par Pavlov, mais, par bien des aspects, on pourrait sans doute rajouter D.C. la folle, la différence avec H&S se bornant au passage du noir&blanc à la couleur.

Tout ce préambule pour arriver au lapsus digital annoncé : "...à Washington D.C. où, sans doute pour la première fous d’une façon aussi nette…".

J'en profite pour traiter la phrase suivante selon le même mécanisme pavlovien :  

"Tout se passe pour l’instant en eaux profondes, – si l’on veut, “en-dessous des radars” de la presseSystème qui continue à montrer une belle unité dans l’exposition du simulacre. Mais de plus en plus de signes de l’affrontement apparaissent à la surface, comme des bulles d’air qui éclatent hors de l’eau,".

Ce mécanisme me renvoie en effet :

- d'une part à l'opposition inconscient/conscient ("en dessous de radars", "eaux profondes") (et je remercie au passage PhG de faire parvenir à la conscience des lecteurs de Dedefensa toutes ces choses qui n'apparaîtront que plus tard -ou jamais…- à la conscience de ceux qui ne fréquentent pas ce site).

- d'autre part à un article de mon gourou Thom intitulé "Crise et catastrophe" où, dès la première sous-section, l'on retrouve la même métaphore "des bulles d'air qui éclatent hors de l'eau" à propos de la théorie des changements de phase en physico-chimie.

( Je rappelle à cette occasion que pour Thom -et donc pour moi- il ne s'agit pas d'une "simple" métaphore mais d'une analogie -la théorie thomienne des catastrophes est une théorie de l'analogie-, en reproduisant encore une fois l'une de mes citations favorites :

"Les situations dynamiques régissant l'évolution des phénomènes naturels sont fondamentalement les mêmes que celles qui régissent l'évolution [des espèces, c'est moi qui rajoute] de l'homme et des sociétés.". )

Le lecteur curieux pourra consulter au passage l'article "L'ordre par le bruit" (Ordo ab Chao en latin) de Grand Frère Jacques (Big Brother Jack en anglais) dans le même recueil (3) et se recueillir un instant devant son théorème de l'ordre par le bruit (p.93).


1 : Je les mets dans le même sac avec une petite préférence pour Staline, parce que Pavlov et russe

2 : https://www.persee.fr/doc/comm_0588-8018_1976_num_25_1_1379

3 : https://www.persee.fr/doc/comm_0588-8018_1976_num_25_1_1382

Objectivité

Article lié : Sur la liquidation de l’objectivité

Serge Laurent

  03/02/2023

J'ai eu mon quart d'heure de gloire. C'était il y  une vingtaine d'années. Présenté à un grand journaliste, je lui est demandé pourquoi sa rédaction ne rapportait pas certains évènements, mettant en cause son objectivité. Il m'a répondu que l'objectivité n'existait pas, et que de plus, je n'étais pas sur place alors que son reporter s'y trouvait pour rapporter les faits. Bien qu'étant a des milliers de km, je savais ce qui se passait, magie d'Internet, alors que son pisse copie risquait sa vie au milieu des combats pour aller y dénicher des anecdotes conformes à ce qui se disait a Paris.  Cela fait longtemps qu'on nous raconte des histoires qui font sens et pour ne pas nous noyer sous les détails contradictoires, les faits qui ne font pas sens sont expurgees. Ils disent qu'ils décryptent l'actualité. Certains journaux accordent encore un peu de place aux faits contraires à la narrative, c'est pourquoi, moi le gauchiste, je préfère encore le figaro ou les échos a Libé. 

Objectivité et vérité

Article lié : Sur la liquidation de l’objectivité

Denis Monod-Broca

  02/02/2023

Le sujet est essentiel, primordial.
Vous montrez très bien comment l'objectivité est délibérément rejetée par ceux-là mêmes dont le métier devrait être pourtant de l'avoir pour guide et pour inspiration.
Car elle est inséparable de la vérité, de la foi en la vérité. Et qu'il est désormais très mal vu de croire en la vérité.
"Tu as ta vérité et j'ai la mienne" entend-on couramment, bien qu'une telle affirmation nie le sens-même du mot ainsi utilisé.
Qui parle de foi et de vérité est aussitôt rejeté dans les ténèbres extérieures… (puisqu'il prononce des mots à connotation religieuse et que la religion, cette religion-ci, est taboue désormais, interdite dans le débat public, son savoir nié).
Et pourtant…
N'en sommes-nous pas, tous autant que nous sommes, les héritiers, de cette religion ? ne pensons-nous pas grâce à elle ? nos lois ne reflètent-elles pas ses principes ? l'objectivité ne commence-t-elle pas par elle ?
Les premiers mots de la Pensée n°1 de Blaise Pascal sont ceux-ci : "Les hommes ont mépris pour la religion : ils en ont haine, et peur qu'elle soit vraie"
Peut-on mieux dire ? qu'est-ce qui a changé ?
Les 4 siècles écoulés confirment de façon éclatante le bien-fondé de ces quelques mots. 
Je pourrais continuer encore et encore.
Ces quelques lignes n'ont guère de cohérence. En la matière on ne sait jamais par où commencer. Par la foi ou par son objet ?
En matière d'anthropologie, le sujet observant et l'objet observé se confondent. Alors comment faire ? 
En un mot : on sent bien que le maelström contemporain de rivalités, accusations, intégrismes, extrémismes, fausses vérités, etc., pourrait tout emporter, mais la porte de sortie (le savoir anthropologique objectif contenu dans la bible) est soigneusement barrée.
La porte est étroite mais elle est la porte, elle est l’espoir, objectivement.
 "Choisis la vie, pour vivre, toi et ta descendance"
 



 

Retour du sacrifice et de son compagnon de toujours, l'aveuglement

Article lié : Faire 1941 en 2023 ? Le progrès de l’écrevisse

Denis Monod-Broca

  01/02/2023

« [L’Ukraine] défend aussi des valeurs universelles pour le monde entier. La vie de nos filles et fils est le prix à payer pour cela. Nous démontrons au monde entier que l’affrontement direct n’est pas le plus effrayant, quand on comprend que l’on est du bon côté » dit le président de la Douma ukrainienne, de passage à Paris, dans un interview du Monde.
 
« La vie de nos filles et fils est le prix à payer pour cela » : n’est-ce pas exactement la description d’un sacrifice, au sens littéral, sacrificiel, venu du fond des âges ?
 
« Quand on est du bon côté » : naguère, on aurait dit « puisque Dieu est avec nous ».
 
Nous sommes, nous l'Occident, les complices d’un sacrifice, d’un nouvel holocauste, pour le « Bien », pour des « valeurs universelles », comme si faire couler le sang de victimes innocentes faisait partie des valeurs universelles. Quelle inversion ! Quelle perversion de la pensée !
 
Les Russes sont les bourreaux et nous sommes les grands prêtres, telle est la terrifiante réalité.
 
Quant à l’Ukraine, victime sacrifiée, elle  est maintenant sanctifiée : elle peut donc tout se permettre.
 
Qu’est la raison devenue ?
 

Victor Hugo avec nous !

Article lié : “Mais la voilà, ‘la fin de l’histoire’ !”

Jean-Claude Cousin

  29/01/2023

Bonjour.
Puis-je ajouter quelques mots à cette flamboyante diatribe ? Quelques vers arrachés aux "Châtiments"....


Ours que Boustrapa montre et qu’il tient par la sangle,
Valsez, Billault, Parieu, Drouyn, Lebœuf, Delangle !
Danse, Dupin ! dansez, l’horrible et le bouffon !
Hyènes, loups, chacals, non prévus par Buffon,
Leroy, Forey, tueurs au fer rongé de rouilles,
Dansez ! dansez, Berger, d’Hautpoul, Murat, citrouilles !
(extrait du poème "Éblouissements")

On sent chez Hugo une auguste colère, qui pourrait bien avoir pour pendant ce que nous ressentons aujourd'hui. Ceux qui mènent la barque actuelle ont la maladresse ombrageuse de capitaines de pédalos aux uniformes chamarrés et surchargés de dorures.
Loin au-dessous, dans la cale, les préposés aux machines l'entendent bien, eux,  le mugissement de la Fin des Fins qui s'approche, et dont ils savent que eux, les premiers, n'en réchapperont pas. Qu'ils se répandent en récriminations envers M le Maudit, ou pas.

Where is the bitch ?

Article lié : « Quand c’est fini, n-i-nini, ça recommence »

jc

  27/01/2023

PhG : "... cette métaphysique [de l'américanisme] s’inscrit directement, sans nécessité de débat dans une époque qui est directement métahistorique et non plus historique, dans cette psychologie si spécifique avec l’inculpabilité et l’indéfectibilité. Dans le premier cas, l’inculpabilité, c’est l’évidence américaniste que l’Amérique ne peut pas moralement être prise en tort, qu’elle ne peut être qualifiée de “coupable” ; dans le second, l’indéfectibilité, par l’intermédiaire de l’exceptionnalisme que dénonçait Poutine, c’est l’évidence américaniste que l’Amérique ne peut pas perdre dans quelque combat que ce soit, qu’elle ne peut être qualifiée de “vaincue”. " (1).

PhG : "Il fait, il est nécessaire que chacun d’entre nous se rappelle la phrase fameuse du temps d’Eisenhower (est-ce un ambassadeur US en Amérique du Sud, ou le secrétaire d’État ou quelqu’un du genre…), parlant d’un dictateur sur mesure installé par la CIA là où il faut pour faire ce qu’il faut : « He’s a sonavabitch but he's our sonavabitch » (« C’est un fils de pute mais c’est notre fils de pute. »).

Compte tenu de la première citation ci-dessus il ne fait aucun doute que ce "haut dignitaire" ne pouvait concevoir que la pute était à Washington. Et pourtant c'est à mon avis bel et bien là qu'elle est.


1 :  https://www.dedefensa.org/article/trump-et-le-paroxysme-de-la-haine

L'idealisme expédié par Crooke

Article lié : La Guerre Mondiale-Woke

Sebastien Antoine

  27/01/2023

Alastair Crooke est un diplomate bien informé et lucide, mais les lignes ci-dessous montrent que l'idéalisme n'est pas son point fort…et même qu'il n'y comprend rien de rien (ce qui est à l'image de la faiblesse de l'empirisme de la philosophie britannique).  Sa lecture à deux niveaux de la République de Platon fait mal au yeux et aux oreilles !

"Strauss a donné des cours à l’université de Chicago à deux niveaux distincts (...) Un groupe d’étudiants recevait la rengaine standard sur ‘la République’ en tant que mythe occidental fondamental. Les quelques privilégiés, en revanche, recevaient l’enseignement de Strauss sur la signification profonde de ‘la République’, à savoir la manipulation machiavélique et pathologique"

Guerre économique

Article lié : Et si nous envahissions la Russie ?

Nicolas Prenant

  25/01/2023

Emmanuel Todd nous signale quant à lui qu'une guerre mondiale est avant tout économique et géostratégique. Elle relève aussi de l'industrie et de la logistique. Je ne crois pas pas qu'on puisse dire que la guerre actuelle est essentiellement communicationnelle, ce qui n'est que la croûte des événements.

https://www.youtube.com/watch?v=mCVsoYjihdE

https://www.youtube.com/watch?v=sNQbR_mM63g&

Troisième guerre mondiale ? Ai-je bien entendu ?

Article lié : Et si nous envahissions la Russie ?

Jean-Claude Cousin

  25/01/2023

Bonjour amis de Dedefensa. Oui, je me pose la question : est-ce bien une troisième guerre mondiale, que l'on pressent ?
En 1919 les 24 Points de Wilson, qui comme toujours indiquent à quel point Washington a une notion aiguïe de la diplomatie, contenaient par leur intransigeance toute la suite : une future "nouvelle guerre", ou du moins une reprise des hostilités sous sa forme vive. Cela a pris presque vingt ans, avec des soubresauts ici et là en attendant  "pour ne pas perdre la main" (Éthiopie, Détroits, que sais-je…)  Donc dès 1938 c'était de fait reparti, voire auparavant.
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Quand Washington a senti "les choses mûres", il est arrivé avec ses TRÈS GROS sabots, comme en 1917, pour exactement les mêmes raisons : récolter les dépouilles des "vaincus", mais aussi des "vainqueurs". On notera que le but ultime de la Cité de L'Enfant n'était pas encore là, puisque le Heartland était reparti dans ses steppes. Il y a bien eu des tentatives de faire durer les choses, en soutenant les "Armées Blanches", ou en attaquant à l'autre bout, près de l'Alaska, mais comme d'habitude l'échec était au bout du chemin.
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En 1942 Washington s'est même payé le luxe de fournir aux Russes des équipements, pour faire durer le plaisir. Et pour présenter la note ensuite.  Mais en 1945 le falot Roosevelt même flanqué d'un Churchill ne put prendre l'ascendant sur "l'Oncle Jo".
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Que faire ? Continuer, circonvenir les Européens en leur collant dans les pattes un Monnet, un Schuman,  un Hallstein, pour en faire un glacis de re-départ pour une nouvelle invasion : elle est en train de se dérouler dans ces "Limes" entre l'Europe de l'ouest et celle de l'est, et toujours en fournissant le matériel et quelques volontaires. A chaque fois, ce sont des sous-fifres qui vont au front, et les seules pertes (non ne parle pas du matériel) sont quelques "boys" qui retraversent l'océan en sac fermé.
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Qu'on ne m'affirme pas que la première guerre mondiale n'est pas tout simplement en train de continuer, avec toujours les même acteurs, les mêmes manœuvriers, les mêmes buts ! Georges Bordonove, il y a 52 ans, avait publié "La guerre de six cents ans", à propos de l'Angleterre et la France. La "perfide Albion" bien affaiblie, mais avec le même objectif de contrôler le Heartland, c'est son enfant qui a pris la relève, à la fois avec hargne et prudence. L'Empire de la Mer ne supporte pas un pendant terrestre. Donc, oui, il s'agit toujours de la Première Guerre Mondiale : la différence, c'est comme l'ont démontré deux villes qui n'y étaient pour rien, que désormais certaines armes pourraient apporter une fin définitive, où il n'y aurait aucun vainqueur.  Une sorte de folie a pris quelques humains, qui se fichent semble-t-il du résultat, comme dans Docteur Folamour.
 

Une plume limpide et juste

Article lié : Reposez en paix, Madame

Serge Laurent

  24/01/2023

J'ai toujours lu avec un grand interet les contributions de Badia Benjelloum. Elle faisait preuve d'un solide ancrage dans la pensée marxiste qui lui permettait de distinguer les véritables enjeux de classe et les rapports de force sous jacents. Pour autant, elle n'avait pas adopté le verbiage roboratif du catéchisme marxiste des années 70s. Sa plume était limpide. Elle nous manquera pour sa justesse dans une époque remplie de babillage insignifiants.

Unissons nos fragilités

Article lié :

Jean-Claude Cousin

  23/01/2023

Bonjour.
Certes, je fais un petit don ici, un petit don là (salut aux amis des Amis des Arts et de la Culture de Palestine), avec parfois le droit d'en déduire une part des impôts, parfois non.
Hélas, il y a tant de causes, toutes aussi sacrées les unes que les autres ! Conne l'avouait Vladimir, « Que faire ? » Eh bien, vivre, et continuer.
Je repense à une légende de mon Poitou Natal : les frères Frtt, pas très dégourdis, vivaient eux aussi, et le matin pour se donner du cœur à l'ouvrage, ils se disaient mutuellement « Aubons ! »
Aubons ? Levons-nous à l'aube, soyons forts et vigilants !
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A U B O N S . !