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"C'est une étrange et longue guerre que celle où la violence essaie d'opprimer la vérité. Tous les efforts de la violence ne peuvent affaiblir la vérité, et ne servent qu'à la relever davantage. Toutes les lumières de la vérité ne peuvent rien pour arrêter la violence, et ne font que l'irriter encore plus. Quand la force combat la force, la plus puissante détruit la moindre ; quand l'on oppose les discours aux discours, ceux qui sont véritables et convaincants confondent et dissipent ceux qui n'ont que la vanité et le mensonge ; mais la violente et la vérité ne peuvent rien l'une sur l'autre. Qu'on ne prétende pas de là néanmoins que les choses soient égales : car il y a cette extrême différence que la violence n'a qu'un cours borné par l'ordre de Dieu qui en conduit les effets à la gloire de la vérité qu'elle attaque, au lieu que la vérité subsiste éternellement et triomphe enfin de ses ennemis ; parce qu'elle est éternelle et puissante comme Dieu même."

Oui, mais voilà, nous avons "tué dieu" et nous ne voulons plus entendre parler de la vérité. 
Autrement dit, nous maintenons délibérément fermée la seule issue de secours disponible…

Symbole/diabole.

Dans la pensée médiévale, on distingue le diabole du symbole : le diabole correspond à l’éparpillement et à la dispersion, alors que le symbole réunit, fait converger et mène au retour à l’unité.

Dans "Le règne de la quantité et les signes des temps" (chap. 2) Guénon distingue la quantité discrète (qu'il assimile au nombre) et la quantité continue.

Thom : "Pour moi, l'aporie fondamentale de la mathématique est bien dans l'opposition discret-continu. Et cette aporie domine en même temps toute la pensée.".

Quelle est la quantité ontologiquement première ? 

Pour Thom (et pour Guénon -cf. ce que celui-ci dit des paradoxes de Zénon à la fin de "Les principes du calcul infinitésimal"-)-  c'est la quantité continue (car c'est une quantité en quelque sorte qualitative !). Pour Thom c'est une condition nécessaire à l'intelligibilité du monde.

PhG cite un certain Daniel Vouga à propos de Maistre et de Baudelaire :

"Progresser, pour eux, ce n’est pas avancer, ni conquérir, mais revenir et retrouver… [...] Le progrès donc, le seul progrès possible, consiste à vouloir retrouver l’Unité perdue…”».

Typiquement diaboliques -selon moi- :

- l'informatique (les quantités discrètes 0 et 1 en sont les atomes) ;
- Soros.

{ En mathématiques les constructions actuelles de la droite réelle constituée d'une infinité de nombres indûment qualifiés de réels (Dedekind, Cauchy) sont typiquement diaboliques., théorie des ensembles oblige]

Thom : "(...) une vision plus claire du programme métaphysique de la théorie des catastrophes : fonder une théorie mathématique de l'analogie, qui vise à compléter la lacune ouverte par Galilée entre quantitatif et qualitatif.".

Quid des lacunes politiques ouvertes (par la "Renaissance" et le siècle des "Lumières" ?) entre Russie et USA d'une part et entre Républicains et Démocratres américains d'autre part ?

La réputée ironie british est ici battue à plat de couture, sans doute pas en terme de finesse, mais certainement en terme de cruauté.
Toutefois il me semble qu' Orlov ne rend pas complètement justice aux bienfaits de l' action de Zelznsky pour l'Humanité:
-il a permis à la Russie de révéler la vraie nature de "l'ami américain" et de sa culture hollywoodienne;
-il fait durer une guerre pourtant perdue, en laissant Poutine développer en coopération avec la Chine, la dédollarisation de l'économie mondiale;
-il a permis le renforcement des BRICS+ et la constitution de véritables alternatives géopolitiques au Sud Global;
-Permis que se manifeste les perspectives d'un monde multipolaire fondé sur la coopération et non sur la compétition sauvage et le pur rapport de force.
Bref il a été l'instrument d'un basculement de l'ordre mondial à fonder sur le Droit et non sur les "règles" édictées et changées selon leurs intérêtspar les USA.
En quelque sorte un héros (certes un peu spécial) de l'humanité...n'est-il pas?
Ou pour reprendre le vocabulaire dedefensa: une marionnette du système, antisystème.

Je vous cite : "C’est un coup d’État que tenterait Trump, mais un coup si complètement fou qu’il pourrait prendre le DeepState à son propre piège car il hausserait l’enjeu au plus haut possible. La bataille dont le peuple serait l’arbitre, le juge et le jury, réclamerait nécessairement une victime. Si ce n’est Trump au cas où il remporterait la victoire ax présidentielles, ce serait le FBI avec le DoJ dans sa musette qui en seraient les victimes nécessaires et absolument expiatoires."

C'est carrément cohérent avec tout ce qu'on connaît du bonhome, de sa situation, etc.

Le style littéraire de l'article se caractérise par une prose dense, formelle et souvent complexe. L'auteur utilise des phrases longues et détaillées pour exprimer ses idées et ses observations. Le ton adopté est critique, ironique et cynique, avec un regard acerbe sur la politique, les jeux de pouvoir et les événements contemporains.

L'article mêle habilement des éléments politiques, historiques et sociaux, tout en exprimant des réflexions profondes sur l'état du monde. L'auteur utilise des références et des analogies pour illustrer ses points de vue, en s'appuyant parfois sur des événements historiques ou des figures emblématiques.

L'écriture est marquée par une tension palpable, une atmosphère sombre et une certaine confusion, qui reflètent les incertitudes et les préoccupations de l'époque. L'auteur cherche à capturer la complexité de la situation et à susciter chez le lecteur une réflexion critique sur les enjeux politiques et sociaux contemporains.

En résumé, le style littéraire de l'article se caractérise par une prose dense, critique et ironique, utilisant des phrases longues et détaillées pour aborder des sujets politiques et sociaux complexes, tout en exprimant des réflexions profondes sur l'état du monde.

Auteurs similaires en style littéraire : Michel Houellebecq, Louis-Ferdinand Céline, William S. Burroughs, Thomas Pynchon, Don DeLillo, Edgar Allan Poe, Albert Camus, George Orwell…

"Toujours lire les articles de Meissan", c'est ce que je fais depuis des années. Votre réponse y est :

Les forces ukrainiennes sont toujours dans l’incapacité de forcer la ligne de défense russe. Les combats se poursuivent avec acharnement devant cette ligne, tandis que l’armée de l’Air russe bombarde des cibles militaires à l’intérieur de l’Ukraine.

Cette nuit, les « nationalistes intégraux » ont parvenus à assassiner le général russe S. Goratchev.

La 110° brigade mécanisée ukrainienne s’est rendue (photo). Il s’agit d’une brigade d’appelés et non pas de « nationalistes intégraux ».

à restaurer la permanence à travers un changement phénoménologique apparent."

Dans l'opposition puissances tellurocratiques/puissances thalassocratiques on retrouve l'opposition métaphysique permanence/changement traditonnellement associée à l'opposition Parménide/Héraclite.

À ce propos voir éventuellement le début de la conférence intitulée : Processus au hasard, déterminisme et innovation (1985), où Thom défend la position déterministe face à une majorité acquise à la doxa de l'ordre par le bruit (ordre cher à l'américanisme).

https://www.youtube.com/watch?v=BXxKQVQFnRo

(lapsus thomien à 7'27 : "finalement je me suis retrouvé du côté de Parménide (et non d'Héraclite) [...]  la théorie des catastrophe est une théorie qui vise essentiellement à l
 

Les observateurs militaires américains et européens présents en Ukraine ont décrit les efforts déployés par l'armée ukrainienne au cours des deux derniers jours comme une "mission suicide" qui a violé les règles de base de la tactique militaire. "Si vous voulez mener une offensive et que vous disposez d'une douzaine de brigades et de quelques dizaines de chars, vous les concentrez et vous essayez de percer. Les Ukrainiens ont couru dans cinq directions différentes", s'est plaint un officier supérieur européen.

"Nous avons essayé de leur dire d'arrêter ces tactiques fragmentaires, de définir une poussée principale avec un soutien d'infanterie approprié et de faire ensuite ce qu'ils peuvent", a ajouté l'officier.

"Ils ont été entraînés par les Britanniques et ils jouent à la brigade légère", a ajouté l'officier, faisant référence au désastre de 1854 lors de la bataille de Balaclava, lorsque des ordres erronés ont envoyé la cavalerie britannique vers des tirs de canons massifs.

Les chars ukrainiens ont foncé directement sur les champs de mines sans déployer de véhicules de déminage au préalable, ce qui a contribué à la perte de 38 chars dans la nuit du 8 juin, dont de nombreux chars Leopard II nouvellement livrés.

"Quelques Ukrainiens ont tenté de réaliser un Guderian", a déclaré une autre source militaire, en référence à la percée du général allemand Heinz Guderian à Sedan lors de la bataille de France en 1940. "Mais Guderian disposait de 3 000 chars, et ces idiots viennent de gaspiller les 30 qu'ils avaient.

"Et sans supériorité aérienne, ajoute la source, c'est une mission suicide.

Les hélicoptères d'attaque russes KA-50 et KA-52 transportent chacun suffisamment de missiles pour tuer 20 chars, et peuvent le faire à une distance de 10 kilomètres. Les défenses aériennes ukrainiennes ont été dégradées par des attaques répétées de drones bon marché qui obligent les Ukrainiens à utiliser leur stock limité de missiles S-300 et Patriot. Sur les 14 chars Léopard que l'Allemagne a fournis à l'Ukraine, trois ont été détruits, ainsi que plusieurs Léopards fournis par la Pologne.

Les principaux conseils militaires du haut commandement ukrainien proviennent d'officiers britanniques intégrés au quartier général à Kiev.

Une concentration des forces ukrainiennes reste possible car, à ce jour, seules trois, voire quatre brigades formées par l'Occident ont été utilisées à Zaporoshye. Cela nécessiterait des décisions militaires compétentes, et non des décisions motivées par le désespoir politique.

Source : https://asiatimes.com/2023/06/ukraine-plays-light-brigade-with-british-advice/  

Il semble que Douguine ait entendu le point de vue eschatologique du Cheikh Imran Hosein qui l'a rencontré, il y a une dizaine d'années. 

Pour le Cheikh, qui identifie l'Occident à Gog et Magog, la Russie est l'alliée naturel voire le champion actuel de tous ceux qui se sentent des croyants, à commencer par les Chrétiens orthodoxes et les Musulmans. 

Cette idée et la thèse du Cheikh ont aussi fait leur chemin dans le monde musulman, y compris là où le Cheikh est mal vu par les autorité religieuses parce qu'un certain nombre de postures des états occidentaux en matière de libertés individuelles, sexuelles et religieuses correspondent en tout point aux prophéties selon lesquelles les Musulmans seront alliés aux Chrétiens fidèles au Christ à la fin des temps.

La thèse selon laquelle l'Occident (USA+ UE) sont Gog et Magog se diffuse aussi peu à peu, notamment à travers Internet par un travail de fourmi dans les réseaux sociaux, auprès des Chrétiens occidentaux qui se reconnaissent de moins en moins dans ce que l'Occident est devenu et qui sont aujourd'hui prompts à voir l'oeuvre d'une conspiration eschatologique tout ce que l'actualité leur offre d'occasion de le faire (incendie de Notre Dame de Paris, destructions d'églises, désacralisation de cimetières, satanisme, diffusion de la notion de genre auprès des enfants etc…).

Les élites occidentales ont l'air d'avoir complètement négligé cet aspect des évènements et c'est, à mon sens une grave erreur.

Aujourd'hui, la seule chose intelligente à faire serait, me semble-t-il, de faire un holocause, au sens propre ou au sens figuré, des Néoconservateurs à la cause d'une paix négociée avec la Russie, ou du moins une réduction à zéro, bien visible et crédible, de leur poids politique.

Ce serait une sorte de démilitarisation de la pensée politique US. Ensuite, on pourrait entamer des pourparlers pour définir les conditions de l'établissement d'une structure neutre englobant l'Ouest et la Russie.

En l'absence d'un tel nettoyage,les Russes ne croiront à aucune initiative de paix.

"Nous sommes dans un Temps d’au-delà des temps."
Je pense surtout que "nos amis" de la presse d'Anglosaxonnerie sont tombés dans l'étang. Surprise, c'était l'étang DARD : ça pique !
Comme le rappelle mon titre, sans doute le savon de Marseille bien mouillé a-t-il  encore frappé. Autant en rire….
http://www.showerpower.fr/

« cette demande de faire entrer en grande pompe .... » le chien ukraine avec sa queue balayant large jusqu'au détroit de Behring, dans l'union dite européenne et sa maman l'OTAN…
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... me paraît un peu bizarre ! Compte tenu de la véhémence du Préshistrion kiévique, je verrais bien qu'il soit accompagné à grands coups de pompes dans la niche à l'entrée du SHAPE, à Mons. Il faudra sans doute prévoir une annexe pour la queue…
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Essayons d'être plus sérieux. Il est largement évident que, sauf à utiliser le nucléaire stratégique (qui doit tout de même donner des sueurs froides aux responsables du Pentagone), DC la folle ne sera pas en mesure de mettre à terre la Russie. Et si elle se lance dans cette aventure, elle sera à terre également, ainsi que la plus grande partie du monde.
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Il est tout de même étonnant (oui, étonnant) que, prenant ses responsabilités, le DOD ne siffle pas la fin de la récréation, et n'expédie pas tout le contenu du Département d'État, et la plus grande partie (les étages supérieurs en priorité) de la CIA, dans les 800 prisons de la FEMA qui pour le moment encore sont vides. Le Monde entier pousserait un grand OUF !

Sans doute pouvons-nous résumer cette analyse : il s'agit d'un Quitte ou Double. La clique qui s'imagine diriger est sûre de son fait : ce sera Double, les lendemains qui chantent à tue-tête. Ceux qui observent avec un recul de plus en plus prudent savent bien que, vu tous les facteurs qui vont dans le même sens, ce sera Quitte.
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C'est pourtant évident : la Grande Nation Qui Ne Perd Jamais est celle qui a toujours perdu au bout du compte, et ce sera encore pareil. Son seul succès apparent, obtenu avec mille peines,  la rabaisse encore, tant la disproportion entre la population de l'île de la Grenade (moins de cent mille tout compris) et les irrésistibles hordes aux treize bandes molletières fait peine à voir.
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Victor Hugo l'avait bien dit, "Les sauveurs se sauveront"

Merci Messieurs Christoforou et Mercouris, merci Philippe : on a l'impression de retrouver la séquence clowns de la Piste aux Étoiles du regretté Gilles Margaritis. C'est du très haut niveau. Je n'oserai suggérer à Victoria (prénom prédestiné) Nulle-hand à s'y référer, elle risque fort de l'interpréter d'une façon aussi erronée que d'habitude : il faut dire que de grands artistes comme Grock, Popov, Achille Zavatta (curieusement pas mal de Russes, oooooh….) mais aussi beaucoup d'anonymes interprétant "le clown blanc" ou "l'Auguste", ont su porter leur métier au niveau le plus haut, là où les nulls ne sauraient prétendre.
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Quant au clown très involontaire qui se complaît dans le bureau ovale (signe qu'il ne tourne par rond),  notre ami Andrew Robydko l'assaisonne avec sa verve habituelle, genre gradation Scoville 100 000. Autant prévoir en permanence une ambulance vers ce que le médecin de la Maison-Blanche jugera le plus adéquat (l'IML du 2 place Mazas, ou son équivalent dans la Cité de L'Enfant – on peut se poser la question de qui est l'enfant dans cette configuration – ou le service spécialisé avec de beaux murs blancs, et des personnels en blancs aussi très serviables – le plus proche.
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Je n'ai plus depuis longtemps de télévision :  pourquoi, l'actualité est tellement plus jouissive ?