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ET ∫ Pilote d OVNI ∫

Article lié : Avertissement sans frais excessifs

MHB

  25/04/2005

“La technologie c est un peu comme le bikini: ce que ca montre est bien mais ce que ca cache est encore mieux” disait (parait-il) Churchill en son temps ....

On peut effectivement ne pas avoir la meme idee que le Grand Frere sur la perennite des technologies montantes et toujours essayer de maintenir au plus bas niveau tout partenaire .... commercial en lui restreignant le plus grand nombre d acces qui risquerait de le faire avancer trop vite.
C est tout simplement la continuation de la non-exploitation et de la mise au secret des brevets qui a connu bien des beaux jours au XXeme siecle.

Mais est-ce vraiment concevable au XXIeme siecle ?

Ou est-ce que cette fameuse “croisade” pour la liberte et la democratie n est en fait qu une variante de la loi du plus fort et ne doive accelerer le sens de l Histoire qu avec des concepts qui dans un premier temps ne peuvent avoir comme consequence que l eclatement des nations et qu avant d aller plus avant il faut encore que quelques autres pays eclatent (l Inde, la Chine, le reste de la Russie et pourquoi pas aussi le reste de l Europe avec toutes ses langues minoritaires?

Ou le Peril Jaune revient il a la mode - avec son corollaire hindou - sous la forme d une masse a employer ou les 5% de chomage aux Etats-unis (considere insupportable apr la majorite du Congres)ne representent qu un dixieme de la population des 96% de minorites du continent chinois.
Des chiffres qui font fremir.

petite correction

Article lié : Dernières nouvelles de l’American Dream: le système pénitentiaire US

Didier L.

  25/04/2005

Je lis “Les USA emprisonnent 726 personnes sur 100.000 habitants, contre 142/100.000 au Royaume-Uni, 91/100.000 en France et 58/100.000 en France.”.

Au 1er avril, il y a 59372 détenus en France, ce qui fait environ 100/100.000, ce qui ne change rien sur le fond.
J’aimerais bien savoir qui fait 58/100.000, Allemagne ? :-)

français∫

Article lié : Horreur! Un deuxième “mouton noir”?

skyrl

  25/04/2005

Vous êtes français? Moi qui croyait les auteurs de ce site… belges? non?

Bon enfin si la France dit non ça ouvrira la voie, bien entendu. Diviser pour mieux régner est une devise d’une banalité évidente pour ne pas interpeller le ‘français moyen’ sur ces épouvantails de rhétoriques.

Article lié : Comment les choses vont mieux en Irak (suite et re-suite)

skyrl

  25/04/2005

Ce qui est plaisant dans vos “faits et commentaires”, c’est que vous maniez l’ironie avec encore plus de délectation que dans le Bloc-Notes.

Article lié : Vingt fois “non”? Pas clair, tout ça...

skyrl

  25/04/2005

no comment. Même les partisans du oui reconnaissent qu’il y a désinformation. Résumé d’une discussion tenue hier avec un partisan du oui: JAMAIS ON N’AURAIT DU SOUMETTRE CE TEXTE AU REFERENDUM! La technocratie ne fait pas bon ménage avec la démocratie. Il faut savoir choisir son camp, jusqu’au bout. En effet.

L’occasion est trop belle. Erreur historique? Ou sentiment de supériorité sans égal dans la certitude de convaincre pour le Oui, usant s’il le faut d’une énergie et d’une tactique redoutable pour cloisonner le non, étendre le oui, quitte à passer commande de quelques sondages opportuns? Quelque chose m’échappe. C’est très risqué.

La seule réponse valable à ce merdier, et qui explique du même coup pourquoi une partie des hommes politiques “standards” soutiennent le non, c’est est que c’est un scénario “win-win” pour les cosmocrates. Et “loose-loose” pour nous les citoyens. Responsabilité historique (au sens de ceux qui feront notre histoire) mise à part.

Que le Oui passe, ou pas, l’Europe technocratique et libérale continuera. Seuls les pions changeront éventuellement sur l’échiquier politique. Est-ce que ce sera suffisant pour laisser la voie à cet homme providentiel que la France attend paisiblement dans son syndrome Pavlogaulien?

Article lié : Le monde tragique et ambigu qui attend Benoît XVI

skyrl

  25/04/2005

Avoir une position sur ce pape est bien difficile. Et finalement, c’est assez normal. C’est l’état de grâce. Une pratique du consentement “démocratique” qui vise à laisser un homme nouvellement élu (ou même un suzerin de droit sanguin, divin…) du temps pour faire ses preuves.

Car heureusement nous “jugeons” sur les actes et en effet, pas le passé qui est toujours l’instrument brandi par ceux qui veulent écrire leur histoire.

Sur le point de vue purement factuel, on peut noter que:
- Le choix de Benoit XVI pour prénom envoie un signal au moins neutre, à défaut d’être interprétable judicieusement
- Les prises de positions eucuméniques sur l’union des chrétientés laisse présager de grands boulversements en faveur de la paix et de la construction d’un bloc chrétien et d’un dialogue encore plus approfondi entre les trois religions du Livre, de bonne augure pour la Paix dans le monde
- Sa revendication en tant que pêcheur, instrument du Seigneur, et non “d’homme politique” est un signe fort pour une Eglise apostolique libre de reconstruire un dogme à la faveur des alliances possibles
- Les prises de position sur le rencentrage de l’Eglise catholique autour de valeurs qui l’unisse dans son identité au lieu de l’ouvrir trop largement au monde laisse des marges de négociations intéressantes pour les objectifs sus-visés

Pour ceux qui s’intéressent à l’eschatologie, reste la prédiction de Saint Malachie pour cet avant-dernier pâpe: Gloria Olivae. La Gloire de l’Olivier. Olivier symbole de la Paix.

Article lié : GW est-il prisonnier de John Bolton?

skyrl

  25/04/2005

Je peux me tromper, je n’ai pas la science infuse, mais il me semble que comme pour Wolfowitz, la nomination et le maintien de Bolton sont acquis. Les neocons placent leurs pièces, comme Bush l’avait annoncé après sa réélection à propos de son “Capital politique” qu’il comptait bien utiliser.

C’est d’une saine évidence, qu’après deux élections truqués, des gens aussi décidés ne vont pas s’arrêter sur de menus batailles comme celles-ci. En revanche, placer des pions tout en autorisant un débat, en laissant croire à une faiblesse possible, puis en renversant l’adversaire: c’est une excellente façon de gagner du terrain, solidifer ses positions et cristalliser ses adversaires dans une dynamique d’echec et de renoncement au combat.

C’est d’ailleurs un jeu que pratiquait fort bien les soviétiques lors de la guerre froide.

Rien de nouveaux sous les cocotiers de floride

Article lié : $380 en 2015, est-ce possible?

skyrl

  25/04/2005

Les prévisions à 2015 sont un peu fantaisistes. De nombreux gisements apparaîtraient providentiellement pour sauver le monde de ces conséquences. Par contre, pour ceux qui veulent la crise, la vraie, nul n’est besoin d’en arriver à de telles extrêmes. Le peak oil de 2007 suffira bien pour enclencher une crise économique qui n’aura aucune commune mesure avec celle de 29. Comme il est dit dans “Il était une fois la Révolution” de Leone “Quand le chaos règne, que tout le monde est dans la confusion, c’est parce qu’il y a toujours quelqu’un qui lui, sait très bien y trouver son compte”.

Traité de Washington et Constitution giscardienne.

Article lié : Le référendum, la Constitution et la sécurité européenne: à la recherche du traité de Bruxelles

Carol DEBY

  24/04/2005

Il est évident que dans le maquis, que dis-je, dans la jungle procédurière du Traité de NIce, où l’on renvoie sans cesse le lecteur au Traité précédent ( Amsterdam), lequel, lui-même, renvoie trop souvent aux articles de Maastricht, il est évident, dis-je, qu’un lecteur non spécialisé depuis des années se perde, s’englue dans ce fatras invraisemblable d’articles remplacés par d’autres.

Il est évident qu’un député européen débutant au Parlement (croupion) Européen, plein d’enthousiasme, soit rapidement réduit à l’indécision, puis à la passivité, lorsqu’il a une formation scientifique, fût-elle même en sociologie, et non une expérience de robin moisi
dans les paperasses poussièreuses.

Il est évident que ces Euro-députés s’extasient devant le Traité giscardien, qui malgré ses centaines d’articles, leur semble d’une luminosité aveuglante.
Aveuglante au point que, lorsqu’ils sont socialistes, ils ne remarquent pas cette immixion
en douce du Traité de Washington, cette intrusion de l’OTAN dans le texte ou encore cet article qui assassine la fonction publique : l’Art.III-148.

Mais, il est également évident que “...la Constitution a du bon, de l’excellent si l’on en débusque toutes les implications.”

Mais il est évident aussi que, une fois voté, cette Constitution sera bétonnée pour 50 ans (citation de Giscard), et que le “OUI de combat” est une excuse infantile.

Il semble de plus en plus évident qu’une nouvelle mouture de cette Constitution, plus concise, plus lisible, ne renfermant plus de chausse-trapes confectionnées par de madrés robins et nettoyée de cet esprit néo-libéral qui baigne le texte giscardien, pourrait être
rédigée beaucoup plus vite qu’on ne le prétend.

Je propose donc un vote négatif (pour ceux qui ont le bonheur, comme le Peuple français,
de vivre encore en démocratie et qui peuvent voter) et j’espère prochain le nouveau referendum sur une mouture allégée et désinfectée de toute tendance politique.

Votre portrait de Bolton

Article lié : John Bolton, le profil psychologique d’un temps historique

John G. Mason

  23/04/2005

Chapeau, votre resume de la presse americaine sur le defauts de John Bolton est bien cible….

...

Article lié : Les Français et le petit lait à la chinoise

xox

  23/04/2005

>>  l’embargo à l’import chinois serait-il un embargo à l’export européen? >>

c l evidence..

...

Article lié : Puisqu’un nouveau pape est appelé à régner…

xox

  23/04/2005

>> le monde se trouve devant les échéances terriblement dangereuses, jusqu’à menacer l’espèce elle-même >>

serait il possible de preciser?

EU Constitution In IHL's Opinion : A Lot Could Be Lost Without It ("...possibly including EU membership for Turkey and Ukraine")

Article lié :

Stassen

  22/04/2005

A worthy constitution

International Herald Tribune Thursday, April 21, 2005

A series of polls showing that the proposed new constitution for the European Union may be rejected by the French in a referendum next month has France, and the EU, all in a tizzy. One reason is that France has been a major force behind the constitution, and the EU, so if the French vote “no” the constitution may wither on the vine. The other reason for the anxiety is that nobody really knows what this means. The EU will not die. It can muddle along on its tangle of old treaties, rules and institutions, but the drive for greater integration and broader membership will certainly stall. The referendum is still six weeks away, but EU officials are so concerned that they have started actively campaigning in France.

The constitution has been a hard sell all along. Not many Europeans are really clear about what it is: The 448 turgid articles are not an easy read, nor do they amount to a real constitution, since the intent is not to create a unified country. Much of the document is a compilation of existing treaty texts, and the whole is a painstakingly negotiated compromise between those who want more integration and those who want less. On balance, the constitution would increase EU centralization and efficiency, in part by creating a permanent council presidency and a common foreign policy, even if these would be limited in their scope.

Instead of trying to explain all this, however, politicians across Europe have made a habit of using the EU for their domestic political ends, usually by blaming Brussels bureaucrats for homegrown woes. President Jacques Chirac himself played that game last month when France blocked an EU effort to loosen the market for services, using inflammatory terms like “social dumping” to fan fears that East Europeans would undercut West European lifestyles. Not surprising, voters have taken to venting dissatisfaction with their own leadership on the EU, as they did in the elections to the European Parliament last June. In France, a big part of the problem for the constitution is that the referendum has become inextricably linked with growing discontent with Chirac’s administration.

French and EU leaders have also taken the low road of pushing the constitution as a counter to U.S. power. On Monday, for example, Javier Solana, the head of foreign policy in the EU, told French students that “some American neoconservatives” are hostile to the constitution because it marked “a new rise in Europe’s power.” Chirac has embarked on a vigorous campaign for a “yes” vote, including a two-hour televised “debate” last week with a room-full of youths. His arguments, however, were less about the advantages and economic discipline that a more efficient Union might bring to France and Europe than about protecting France’s “essential role” in Europe.

Perhaps Europe does need a pause after ingesting 10 new members last spring. But if the constitution is blocked now, it will be years before the EU recovers the momentum needed to draft a new one. A lot will be lost in that time, possibly including EU membership for Turkey and Ukraine. Yes, the draft constitution is imperfect, but then any treaty negotiated by so many countries is bound to be. On balance, it is a worthy and useful document that would greatly strengthen the European Union as it learns to live in its expanded form, as it evolves its new role in the world, and as it prepares to become even more inclusive. It would be a real pity to lose it. That’s what politicians need to start making clear.

http://www.iht.com//articles/2005/04/20/opinion/edeu.html

Big Foot Herding The Pygmees Eastwards : Ukraïna For Next NATO Membership ∫

Article lié :

Stassen

  22/04/2005

April 22, 2005
At NATO Talks, Accord and Discord for U.S. and Russia
By STEVEN R. WEISMAN
VILNIUS, Lithuania, April 21 - NATO moved Thursday toward opening discussions with Ukraine about its becoming a member, while Secretary of State Condoleezza Rice met here with opposition leaders who want to oust the Russian-backed government in Belarus next door. At the same time, NATO reached an accord with Russia that foresees expanded military cooperation.

Taken together, the three steps reflected the contradictory state of American-Russian relations right now. The Russians have been very unhappy about the expansion of American influence in countries on their borders, and about American criticism of the state of democracy in Russia itself. Still, the Bush administration has tried to allay fears in Moscow that the United States wants to encircle Russia, and President Bush is planning to carry that message of reassurance when he visits Moscow next month.

Ms. Rice, who had previously declared that Belarus was the last dictatorship in Europe, warned bluntly on Thursday that the country should not conduct a “sham election” next year because its conduct would be “watched by the international community,” much as Ukraine’s election last year was watched and deemed fraudulent, helping to lead to a revolution.

The opposition leaders with whom Ms. Rice met said later that they would use “mass pressure for change” in the government of President Aleksandr G. Lukashenko in Belarus. But Ms. Rice cautioned that she was not suggesting any particular course of action for them.

The Russian foreign minister, Sergey Lavrov, was here in the capital of Lithuania, itself once a state in the Soviet Union but now a NATO member, to meet with the NATO foreign ministers.

He pronounced himself pleased with the Russia-NATO accord but added a note of displeasure over Ms. Rice’s meeting with Belarussian opposition leaders, saying Russia did not support “regime change” there.

Nikolai Cherginets, who heads the Commission on International Affairs and National Security in the upper house of the Belarussian Parliament, had a particularly sharp and personal reaction to Ms. Rice’s remarks, according to Interfax, an independent Russian news service. He called her description of Belarus as Europe’s last dictatorship “an appeal to overthrow the administration of a sovereign state, and this is a reminder of the cold war.”

Mr. Cherginets also said Ms. Rice should not be taken too seriously. “A woman euphoric with power is a dangerous creature,” he said, “but we should not overrate her.”

In Moscow earlier in the week, Ms. Rice heard complaints from officials and call-in listeners on a radio show that Russians fear that the United States is trying to surround Russia with allies and in some cases military forces. She told reporters that Russians seemed mired in a “19th-century” view of the world.

To counter such concerns, NATO moved Thursday to sign the new military agreement with Russia, which would allow an expansion of joint military exercises on Russian soil, possibly to prepare for future peacekeeping operations.

There have already been a few such joint exercises, focusing on how to deal with emergencies or humanitarian crises. American and NATO officials said the new accord would make it easier to transport foreign troops across Russia, for example to interdict narcotics and arms smuggling from places like Afghanistan.

Ms. Rice flew back to Washington on Thursday night after a three-day trip that included her first visit to Russia as secretary of state. Part of her task was to prepare for Mr. Bush’s visit to Moscow next month, alongside other world leaders, to commemorate the 60th anniversary of the end of World War II.

Lithuania plans to boycott the occasion, on the ground that the celebration is of a moment that marked the beginning of Russia’s grip on Eastern Europe and of the cold war.

NATO’s decision on Ukraine was set in motion after Viktor A. Yushchenko won the presidency last year in the wake of popular demonstrations that overturned a fraudulent election count that had favored the candidate preferred by Russia, Prime Minister Viktor F. Yanukovich. That uprising took place after one that installed a new pro-Western regime in Georgia, and it was followed this year by an uprising in Kyrgyzstan, another former Soviet state.

Mr. Yushchenko pressed the case for joining NATO in Washington in April, when he visited the White House and addressed Congress. Mr. Bush backed the request, but this week American officials said that admitting Ukraine would not be easy or rapid. Ukraine’s army used to be one of the largest in Europe, but it has shriveled recently.

“NATO is not just a club,” a senior State Department official said. “You’ve got to be able to contribute.” He said that before it could join NATO, Ukraine would need to show that civilian control over the military, as well as democracy, would last, and that its forces were effective and not “top heavy” with generals.

The NATO discussions encompassed other issues, including a decision by the alliance to be ready, if asked by the African Union, to transport additional forces to the Darfur region of Sudan, where tens of thousands have died in a civil war and many more have been driven from their homes.

But Jaap de Hoop Scheffer, the NATO secretary general, said any troop support would involve “planning and logistical support,” rather than “boots on the ground.”

The United States has tried without success to broker a Darfur peace agreement and get adequate relief to survivors of the victims of what it has called genocide. It has said it is committed to getting more outside forces there. “We all have a responsibility to do what we can to alleviate suffering in Darfur and to create conditions in which humanitarian aid can get in,” Ms. Rice said.

In addition, Mr. de Hoop Scheffer said there had been a discussion - purely hypothetical, he said - about the possibility of eventually sending NATO forces to other areas, for example as peacekeepers in the Israeli-Palestinian conflict.

Ms. Rice pressed for a broader NATO role, or at least a discussion of such a role. “We intend to use NATO more and more effectively as a trans-Atlantic security forum,” she said. But the French foreign minister, Michel Barnier, warned against turning NATO into “the world’s policeman” and taking on too many tasks outside Europe.

C. J. Chivers contributed reporting from Moscow for this article.

http://www.nytimes.com/2005/04/22/international/europe/22diplo.html?th&emc=th&oref=login

Pour l'humour (Pour ceux qui connaissent l'italien)

Article lié : Puisqu’un nouveau pape est appelé à régner…

Paolo

  22/04/2005

Il Manifesto a titré le lendemain de son élection:

IL PASTORE TEDESCO.