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Le 'néo-conservatisme' vu par Kevin MacDonald (texte complet maintenant accessible en ligne)

Article lié :

FV

  17/05/2005

Je vous envoie à nouveau ce petit texte d’introduction envoyé en Décembre. Le texte de MacDonald est maintenant accessible gratuitement en ligne. Il contient plusieurs détails sur les ‘néo-cons’ que l’on ne retrouve pas ailleurs

* * * * * * * *

Dans le contexte du récent raid du FBI sur les bureaux de l’AIPAC et du texte sur les réseaux de “néo-cons” de Janine R. Wedel, j’ai pensé que cette analyse pourrait vous intéresser même si l’auteur n’est pas quelqu’un aux opinions “respectables”. Mais comme certains ‘néo-cons’ n’hésitent pas a traiter leur adversaires d’anti-sémites, il fallait s’attendre à ce que quelqu’un finisse par noter que leur passion pour Israel a probablement une cause ethnique et non pas idéologique (Douglais Feith par exemple est le fils d’un disciple de l’ultra-nationaliste juif Jabotinsky).

Kevin MacDonald est un auteur controversé. Il est enseignant de psychologie dans une université Californienne. On peut le placer dans l’équivalent américain de la mouvance que l’on appelle en Europe la Nouvelle Droite. Il a analysé sans gants blancs ni pincettes l’activisme juif au 20e siècle dans un livre intitulé “The Culture of Critique: An Evolutionary Analysis of Jewish Involvement in Twentieth-Century Intellectual and Political Movements”, le 3e livre d’une trilogie sur le peuple juif. C’est ce livre qui rend beaucoup de gens inconfortables puisque l’auteur se positionne contre les intérêts juifs et le fait dans des termes raciaux dans la préface du livre, que l’on peut lire ici:

http://www.csulb.edu/~kmacd/books-Preface.html

Il a commencé a faire parler de lui après avoir témoigné en faveur de l’historien révisioniste David Irving a la demande de celui-ci lors du procès en diffamation initié par l’historien contre l’auteur américaine Deborah Lipstadt. Il explique les raisons de sa décision ici:

http://www.csulb.edu/~kmacd/Irving.html

On peut lire sa déposition ici:

http://www.csulb.edu/~kmacd/irving-statementCourt.html

et le texte des échanges à la cour ici:

http://www.csulb.edu/~kmacd/irving-testimony.html

Pour résumer, le thème principal de sa trilogie (que je n’ai pas encore lu en entier cependant) est que la culture juive a “eugénisé” les juifs pour les rendre aptes à l’activité intellectuelle et à la “compétition sociale” contre les autres groupes ethniques et que l’anti-sémitisme au cours de l’histoire n’est pas un phénomène irrationnel et fut plus souvent qu’autrement une réaction contre cette minorité à la nature différente. C’est un des reproches principaux contre ses livres: on dit qu’il fait porter le blâme de ces conflits ethniques sur les victimes. Mais c’est une thèse similaire à celle de Benjamin Ginsberg, l’auteur du livre “The Fatal Embrace: the jews and the state”, publié par l’Université de Chicago. On peut lire une critique de ce livre a cette page :

http://www.thornwalker.com/ditch/deadlyenemy.htm

Son analyse du néo-conservatisme en est une que personne d’autre que lui n’oserait écrire ou n’aurait les connaissances pour le faire. Ce n’est pas kasher du tout mais avec 274 notes de références c’est du sérieux.

Understanding Jewish Influence III: Neoconservatism as a Jewish Movement

http://theoccidentalquarterly.com/vol4no2/km-understandIII.html

“The thesis presented here is that neoconservatism is indeed a Jewish intellectual and political movement. This paper is the final installment in a three-part series on Jewish activism and reflects many of the themes of the first two articles. The first paper in this series focused on the traits of ethnocentrism, intelligence, psychological intensity, and aggressiveness.1 These traits will be apparent here as well. The ethnocentrism of the neocons has enabled them to create highly organized, cohesive, and effective ethnic networks. Neoconservatives have also exhibited the high intelligence necessary for attaining eminence in the academic world, in the elite media and think tanks, and at the highest levels of government. They have aggressively pursued their goals, not only in purging more traditional conservatives from their positions of power and influence, but also in reorienting US foreign policy in the direction of hegemony and empire. Neoconservatism also illustrates the central theme of the second article in this series: In alliance with virtually the entire organized American Jewish community, neoconservatism is a vanguard Jewish movement with close ties to the most extreme nationalistic, aggressive, racialist and religiously fanatic elements within Israel.2”

Les deux précédents articles:

Understanding Jewish Influence I: Background Traits for Jewish Activism

http://theoccidentalquarterly.com/vol3no2/km-understanding.html

Understanding Jewish Influence II: Zionism and the Internal Dynamics of Judaism

http://theoccidentalquarterly.com/vol3no3/km-understandII.html

Sur le site de MacDonald il y a les coordonnées pour commander un petit livre (monograph) qui regroupe les trois articles ci-dessus, 142p, 12 $us :

http://www.csulb.edu/~kmacd/books.html

article I-41 de la constitution

Article lié : Le référendum, la Constitution et la sécurité européenne: à la recherche du traité de Bruxelles

SAILLER

  14/05/2005

La constitution permet-elle encore l’opposition de la France (comme elle l’a fait pour l’Irak) à un conflit décidé par les membres de l’OTAN ?
Merci

Pas de “Plan B”∫ Voire...

Article lié : Pas de “Plan B”? Voire...

Rolling

  13/05/2005

Intéressant, mais quelles sont ces sources diplomatiques en contacts constants avec la diplomatie allemande ?? ;-)

La Vertueuse Presse

Article lié : La grande peur des newspapers bien-pensants

Bruno HANZEN

  12/05/2005

Bien entendu, ce problème est strictement américain, et notre Presse, libre, vertueuse et correcte est insensible à ce genre de phénomène…

transformation of US Army

Article lié :

Corinne Falcone d'Asti

  11/05/2005

Pour ceux qui s’interessent à la trasformation des forces armées Américaines (depuis le discours de Rumsfeld le 10 septembre 2001…), je vous signale un document du Congressional Budget Office.
(CBO’s Web site: http://www.cbo.gov)
Title: Options for Restructuring the Army
                                                                                                                                                 
URL: http://www.cbo.gov/showdoc.cfm?index=6348&sequence=0&from=7

article I/41 ∫∫∫∫∫

Article lié : Où est passé le traité de Bruxelles?

pascon

  10/05/2005

L’article I/41 ne parle pas du tout de ça !! Il n’y a pas de paragraphe 7 dans cet article !!!
Vous racontez des cracks !!

un classique

Article lié :

geo

  09/05/2005

Une sorte de classique: article de martin van ceveld en 2001 sur l’évolution de la puissance militaire depuis 1945.
http://www.ifri.org/files/politique_etrangere/PE_1_03_CREVELD.pdf

Pour en savoir plus sur : UE

Article lié : L’Europe-puissance, — par inspiration

Maria

  08/05/2005

Pilot US

Article lié :

François

  06/05/2005

Certes, mais il y une grande diffrérence à se battre des mois dans les tranchées, et piloter ponctuellement un A-10 ou un F-16.

Airbus

Article lié : Airbus jusqu’à l’os

Alex P. De Rieux

  03/05/2005

Trade wars have always existed, and I suppose, they always will.
But the war Airbus-Boeing is a trade war unlike any other because the countries that will prevail will be controling that market for a long time to come

art de defensa signalé

Article lié :

François

  02/05/2005

Bonjour,

Juste pour vous signaler qu’un de vos articles est cités par “le grand soir”:
http://www.legrandsoir.info/article.php3?id_article=2290

C’est trop rare…

Encore merci pour votre fabuleux travail

pilotes Us

Article lié :

guillet

  30/04/2005

Ceci n’est pas nouveau ,
lors des combats de tranchée ,(1914 -1918 ) , les “poilus” étaient presque tous imbibés d’alcool ....et subissaient des pertes énormes ...

"But regime change cannot be the objective of military action..." : And Climate Change ∫

Article lié :

Stassen

  29/04/2005

April 29, 2005
Blair, on Defensive, Releases a Secret Memo on Iraq War
By ALAN COWELL

LONDON, April 28 - In an about-face, Prime Minister Tony Blair on Thursday published the full text of the advice he received on the legitimacy of the Iraq war, as he tried to defuse a dispute that has derailed his re-election strategy just one week before British elections.

Parts of the 13-page document, written by Lord Goldsmith, Britain’s attorney general, on March 7, 2003, were made public Wednesday by the BBC and Channel 4, prompting a new furor about whether Mr. Blair misled the nation by depicting the war as unequivocally lawful.

The full document showed that while Lord Goldsmith said in public on March 17, 2003, that the imminent invasion of Iraq was unambiguously legal, the private advice he gave to Mr. Blair 10 days earlier showed far greater concerns about the legal consequences of going to war.

“There are a number of ways in which the opponents of military action might seek to bring a legal case, internationally or domestically, against the United Kingdom, members of the Government or U.K. military personnel,” the document said, as it laid out the legal landscape. It concluded with a discussion of the level of force permitted by United Nations resolutions concerning Saddam Hussein’s 1990 invasion of Kuwait.

“But regime change cannot be the objective of military action,” it concluded. “This should be borne in mind in considering the list of military targets and making public statements about any campaign.”

Mr. Blair portrayed the war’s objective as disarming Mr. Hussein of chemical and biological weapons, an argument that brought him severe criticism when no banned weapons were found in Iraq after the invasion.

Before Thursday, Mr. Blair had refused to make Lord Goldsmith’s advice public, saying it was covered by legal confidentiality conventions.

Even as the document, still marked “Secret,” was released by his office, Mr. Blair sought to minimize its impact, saying “this smoking gun has turned out to be a damp squib” - a British term for a small firecracker that fails to ignite - because it showed that Lord Goldsmith had established a legal basis for the invasion.

But Mr. Blair’s adversaries, who were trailing the prime minister’s Labor Party in the latest polls, turned on him with renewed vigor.

Michael Howard, the Conservative Party leader, said, “If you can’t trust Mr. Blair on the decision to take the country to war - the most important decision a prime minister can take - how can you trust Mr. Blair on anything else ever again?”

And Charles Kennedy, the head of the Liberal Democrats - the only one of the three mainstream parties to oppose the invasion - declared, “This is not a damp squib for those who have lost loved ones in the service of the British armed forces or for the families of thousands of Iraqi innocents who have been killed.”

The recurrent focus on Iraq has stymied Mr. Blair’s re-election campaign since Sunday, when the first leaks of Lord Goldsmith’s advice appeared in The Mail on Sunday newspaper. Mr. Blair and his political allies had wanted to steer the campaign’s closing week onto domestic issues - particularly the economy, where the Labor Party sees its main strength.

“The public’s concern is with health care, education, law and order, pensions and taxation,” Sir Robert Worcester, the American head of Britain’s MORI polling institute, said on BBC television. As for Iraq, he said, “I don’t think it’s going to have much impact on the election.”

The invasion of Iraq was deeply unpopular with many Britons and Mr. Blair’s detractors have argued that he took the nation to war on false premises. But Mr. Howard, the Conservative leader, supported the invasion as well, and is remembered by many voters as a member of an unpopular Conservative government that was rejected in 1997 when Mr. Blair first won power.

In a live television appearance in which the three candidates took questions from a largely youthful audience Thursday night, Mr. Blair faced hostile questioning about his decision to go to war, but repeated the argument that he faced a difficult decision in March 2003, and was prepared to be judged on it.

The BBC program featured all three party leaders - Mr. Blair, Mr. Howard and Mr. Kennedy - but they did not debate one another directly because Mr. Blair declined to appear on the same stage as his adversaries.

The document released Thursday also discussed differences among the Western allies during a period in March 2003, when Mr. Blair was under pressure from President Bush to join the invasion whether or not the United Nations Security Council approved a second resolution specifically authorizing the war.

In the document, Lord Goldsmith wrote that since the cease-fire terms ending the first Iraqi war in 1991 had been set by the Security Council, Britain believed “it is for the Council to assess whether any such breach of those obligations has occurred.”

Lord Goldsmith further wrote that the United States had “a rather different view: they maintain that the fact of whether Iraq is in breach is a matter of objective fact which may therefore by assessed by individual member states.”

“I am not aware of any other state which supports this view,” he added.

http://www.nytimes.com/2005/04/29/international/europe/29britain.html?th&emc=th

soldats chimiques

Article lié :

geo

  29/04/2005

la fin des héros (1987 , Richard A Gabriel )

.......Sans parler de la répugnance morale qu’il y a à trans-
former le soldat-citoyen en un véritable sociopathe pour
lui permettre de remplir pleinement son devoir, reste la
question des droits fondamentaux. L’obligation faite au
citoyen de défendre son pays s’étend-elle à la mise en
péril de sa santé mentale? Demander au soldat de trans-
former sa nature profonde afin d’exécuter sa mission a-
t-il vraiment un sens? Quelles sont les finalités militaires
susceptibles de justifier un tel échange? Sans nul doute,
il existe bien des personnes pour affirmer que seule l’ad-
ministration d’une drogue préventive contre le stress per-
mettra au combattant de garder une véritable chance de
survie dans la guerre moderne. Tout en relançant le débat,
cette affirmation est loin de répondre à la question plus
vaste de savoir si oui ou non le prix de la survie physique
vaut légitimement le coût de la destruction mentale.
Quelles sont les valeurs sur lesquelles reposent des sociétés
qui envoient leurs hommes au combat pour que ceux-ci
s’y distinguent de manière singulière si ces combattants
sont, de part et d’autre, rendus chimiquement semblables?
Et quand bien même les distinctions existeraient-elles que
ces soldats, transformés par des moyens chimiques en
sociopathes incapables de ressentir un attachement émo-
tionnel à ces valeurs, seraient dans l’impossibilité de les
identifier.
  Le choix sera probablement donné au soldat d’absorber
ou non une substance antistress; en vérité, ce choix sera
factice. L’aliénation par la peur ou la diminution de celle-
ci par l’absorption quotidienne d’une simple pilule : telle
sera l’alternative. Deux facteurs viendront s’y greffer : la
pression des camarades de l’unité (comment faire confiance
à un individu susceptible de s’effondrer sous la tension
nerveuse alors que les autres ne ressentent pas la même
peur?) et la révélation de ses propres sensations devant
l’horreur du champ de bataille, qui se conjugueront pour
rendre illusoire le libre choix du combattant. En effet, un
jour ou deux de combat - s’il survit - lui suffiront pour
réaliser son erreur, dans l’hypothèse où il aura initialement
résisté à la tentation de prendre une pilule « antianxiété ».
  A ce stade de la recherche, il n’existe non plus aucun
moyen de savoir si une telle drogue comporterait des
conséquences psychiatriques à long terme. On peut faci-
lement imaginer que le produit se fixera dans l’organisme
du combattant pendant au moins plusieurs semaines après
usage prolongé, mais il n’y a aucune possibilité de déter-
miner jusqu’à quel degré, et pour combien de temps, des
centaines de milliers d’hommes seront affectés par l’usage
soutenu de ce produit. La perspective d’avoir à réinsérer
des milliers d’individus, émotionnellement handicapés,
dans la société civile après la guerre, est pourtant trop
cruciale - et trop affolante - pour qu’on puisse l’ignorer.
  Compte tenu des préoccupations de la société améri-
caine au sujet du stress et des possibilités offertes par la
libre entreprise, un tel produit ne mettrait pas longtemps
à pénétrer - légalement ou non - dans la population
civile.  N’existe-t-il pas,  après tout,  un grand nombre
d’activités, en milieu civil, génératrices de stress? La ten-
tation de parer quotidiennement à son déferlement devien-
drait quasi irrésistible. Pire encore : étant donné le nombre
déjà ahurissant de produits antidépresseurs en circulation
dans le grand public, tels le Librium, le Valium, l’alcool
auxquels il convient d’ajouter la cocaïne et l’héroïne, il
n’y a aucune raison de penser qu’une substance chimique
  permettant une vigilance et un fonctionnement mental
  normaux et même accrus, ne deviendrait pas bientôt la
  « drogue de choix » pour des millions de personnes La
  perspective d’une société largement sociopathe prend alors
  les allures d’une terrible réalité.
    D’évidence, l’homme est parvenu au point où ses
  instruments de guerre, même de type classique, sont
  devenus si dangereux que son mental n’est plus en mesure
  de supporter la bataille. Soit il lui faut sombrer dans la
  démence s’il veut combattre, soit il doit trouver d’autres
  voies pour régler ses conflits. La destruction physique de
  mi lions d’êtres humains n’est-elle pas, au fond, préférable
  a leur survie si le prix à payer pour celle-ci est la
denaturation totale de leur esprit - et de leur âme - tels
que nous les avons toujours connus? La question reste
ouverte. Une société composée de sociopathes dépourvus
de toute vie émotionnelle constitue peut-être un prix trop
lourd a payer pour sa survie : ceux qui refusent de
collaborer à une solution chimique en paraissent convain-
cus…....
                                                                 
Le livre m’avait paru sensationnaliste à l’époque .

Pessimisme

Article lié : Réponses à des lecteurs : histoire de pape(s)

Bruno HANZEN

  28/04/2005

Merci de m’avoir répondu. Je voudrais juste attirer votre attentionn sur l’accumulation de mauvaises nouvelles qui commence doucement à me “courir sur le haricot”. Malgré que l’an 2000 soit derrière nous depuis 5 ans, le millénarisme n’est pas mort. Les mauvaises nouvelles continuent à s’accumuler, et se contredisent parfois.
L’exemple que vous citez ici est assez amusant: le changement climatique dont tout le monde parle, et dont j’aimerais qu’on arrive à me prouver qu’il s’agit d’un mal absolu est eseentiellement causé par les flatulences des ruminants et la combustion des combustibles fossiles (nous frôlons le pléonasme: que peut-on faire d’un combustible, sinon le brûler).
Vous nous annoncez également la fin du pétrole. Mais c’est Byzance: plus de pétrole, plus de dioxyde de carbone, plus de réchauffement climatique et c’est la fin de tous nos problèmes. Les pingouins et manchots de tous les continents glacés vont à nouveau proliférer dans leurs splendeurs glacées, comme aurait dit le maire de Champignac.
En bref, je me réjouis qu’on en revienne un jour à la raison. Oui, le manque d’énergie nous guette. Oui, nous avons des solutions à court terme (l’énergie nucléaire de fission) et peut-être à long terme (la fusion, si on investit suffisamment dans la recherche). On en fait pas de bonne politique avec de bons sentiments. Ce que les chinois ont bien compris, qui investissent dans la construction de centrales nucléaires. Les iraniens aussi…