Dominique Larchey-Wendling
10/01/2006
Je réagis à votre article en suggérant
l’hypothèse suivante : et si la crise du
gaz était un avertissement discret aux
Européens vis-à-vis de la crise Iranienne.
Qui est le 2ième fournisseur de gaz ?
L’Iran non ? On sait que les Russes ne
veulent pas d’un Iran devant le conseil
de sécurité car ils savent que la suite
est une attaque militaire américaine.
Que se passerait-il dans l’approvisionnement
en gaz si l’Iran devait être attaqué contre
l’avis des Russes ? Plus de gaz en Europe ...
Juste une suggestion. Ils sont subtils ces
Russes ...
berthier
09/01/2006
deep throat
Europa : dont make others as fools and dont sheep the media
No score for this post January 9 2006, 8:50 AM
quote one of yours :
“Well there is also the fact that Europe usually spend half the money in R&D than the USA to reach the same results”.
this is light said but contains truth, at least for one reason :
one scientist costs twice as much in the us than in europe and much more in asian countries : i.e. for the same amount of money, you have 2,3,10 times more scientists & engineers at work than in the US.
i.e. europe graduates more engineers & Sc. phd than the usa and much more of them are on technical & science jobs.
The other bias that does not corrupt the Congress’ analysis is that patenting has only an interest when adressed to a private market, i.e. : not pure science, not upstream science, not military/secret science, not industrial process equipment improvement, only partially software & health research.
I.e. patents numbers do not represent the actual strength of a scientific sector of a country, but the technical content of what is sold on the open market : nothing more.
The fact is that the US are now absent in the fields of heavy industrial processes & machineries, where before they were dominant, even when not in deliveries.
In these fields, japan & europe hold 90% of recent industrial know-how.
the US leading edge research is concentrated in the strategic sectors of warfare, and part of health, information technology & sensors…only partially opened to intensive patented research.
Moreover, and this is absolutely normal for a leading state, these fields are heavily funded at federal level, directly of through overpriced federal markets.
US Congress heavily focusses since years on evaluating various aspects of the relative scientific position of the us to the other countries, more than on irak, afganistan, etc.
Fred
09/01/2006
Oui, il va rester aussi vivant que possible… tout au moins jusqu’aux élections.
Et son aura fera conserver à Kadima ses chances d’arriver en tête.
Est-ce comme cela qu’il faut comprendre l’omniprésence des bulletins de santé de Sharon dans les informations ?
cramer
09/01/2006
Juste sur la forme et l’usage des mots : Il serait dommage de parler des Pays-Bas en écrivant “La Hollande”. Après tout, personne ne dit la Bretagne pour évoquer la France ou l’Ecosse quand il s’agit de la Grande-Bretagne.
D’ailleurs dans l’article originel, il s’agit bien de “The Netherlands”.
B.C.
louis kuehn
08/01/2006
Comme Dedefensa avait prevu, Mme Merkel n’a pas l’intention de détruire le travail de Schroeder en politique étrangère: critique des Etats-Unis et parténariat stratégique avec la Russie. Ceci ne veut pas dire attaquer l’Alliance atlantique… mais quand-meme…
Voir Radio Free Europe du 7 janvier:
German Chancellor Criticizes U.S.‘s Guantanamo Facility
7 January 2006—German Chancellor Angela Merkel has criticized the U.S. detention facility at Guantanamo Bay, Cuba, saying such an institution cannot be allowed to exist in the long term.
Merkel made the comment to the magazine “Der Spiegel” ahead of her first visit to the United States since taking office in November.
Correspondents say Merkel is hoping to repair German-U.S. ties strained over the Iraq war, but they add that she is unlikely to shy away from speaking out where disagreement exists.
The Guantanamo facility—used to hold terrorist suspects—has been criticized by governments and human rights groups around the world.
Merkel also commented on Germany’s relations with Russia, saying the two countries have a “strategic partnership” rather than a “friendship.”
(dpa/AP/Reuters/AP)
Gladio
08/01/2006
Et le 9/11, c’est combien de temps après la Seconde Guerre mondiale ?
Le reportage “à marionnette” dont Flupke parle est d’Alan Francovich, diffusé sur la BBC en juin 1992 et sur différentes chaînes européennes dans la foulée. Pour la France, il est passé très confidentiellement dans le cadre des émissions matinales anglophones de l’été... Autant dire que peu de monde l’a regardé...
Le livre de Ganser reprend la même thématique que Jean-François Brozzu-Gentile, dans l’Affaire Gladio (Paris,Albin Michel, 1994), c’est-à-dire une explication nationale de chaque supposé réseau. Or, pour comprendre une structure Gladio qui n’existe pas, c’est-à-dire qui est formée d’éléments prépositionnés dormants (stay-behind), il faut analyser l’idéologie qui anime ses organisateurs. Or, quelle est-elle ? Elle se nourrie de la peur de 1947, est particulièrement alimentée des leçons de l’entre-deux-guerres et de l’effondrement des démocraties. L’Allemagne est sous contrôle militaire. La réaction de 1947 en France (le renvoi des ministres communistes) rassure les Etats-Unis (de toute façon, les structures sont prêtes et les hommes sont mobilisés, comme en témoignent certaines archives privées). Mais les deux “ventres mous” de l’Europe sont la Belgique et l’Italie. Le Royaume outre-Quiévrain n’est pas menacé par la gangrène communiste, mais par son partitionisme wallon et flamand. La hantise d’une rupture communautaire, exploitable par le Pacte de Varsovie, amène certains stratèges à suggérer de frapper l’opinion publique si durablement que les communautés demanderont un gouvernement centralisé et mettront fin au fédéralisme latent. C’est l’épisode des tueurs fous…
Pour l’Italie, les choses sont plus simples, puisque le Parti est suffisament puissant et les nostalgiques du Duce nombreux. C’est le plan Solo, piazza Fontana, les Brigades Rouges…
Mais, dans un cas comme dans l’autre, on sort des structures stay-behind pour entrer, selon les lectures, soit dans des manoeuvres de manipulation des services de renseignement, soit dans des violations pure et simple du choix démocratique. Dans les deux cas, cet esprit n’appartient aux réseaux Gladio initiaux, et c’est pourquoi de telles dérives n’ont pas été constatées partout en Europe.
Gazel
08/01/2006
http://www.iribnews.ir/Full_en.asp?news_id=205190&n=37
Je vous transmet un artcle trouvé sur IRIB news
concernant les malheurs futurs de notre spin prime minister préféré.
Cordialement
2006/01/08
Blair may be impeached over Iraq war
11:48:10 Þ.Ù
London, Jan 8 - A leading British army officer believes Prime Minister Tony Blair should be impeached for his role in the war in Iraq, the Mail on Sunday reported.
General Sir Michael Rose, a former UN commander in Bosnia, was quoted by the right-of-centre Mail on Sunday as saying: “I think the politicians should be held to account ... My view is that Blair should be impeached.”
“That would prevent the politicians treating quite so carelessly the subject of taking a country into war.”
A high-profile resignation of a senior armed forces officer before the start of the March 2003 conflict may also have made the British government think twice before sending troops to the Persian Gulf, he added.
“I would not have gone to war on such flimsy grounds,” he stated.
The newspaper said the comments were made during a television documentary to be aired on channel four television on Friday.
Martin Bell, BBC television’s former war correspondent who made the film—“Iraq: the failure of war”—appeared to back the general, writing in the mail on Sunday that it was “reasonable” to blame the politicians.
“Ordering the armed forces to war is the most serious decision any government takes. On Iraq it was taken with a degree of nonchalance bordering on negligence,” said Bell, who is a former independent member of parliament.
Rose’s opinion revives a call made in November 2004 when 23 MPs filed a motion to impeach Blair on charges of “gross misconduct” over the US-led invasion.
SM
MHB
07/01/2006
Pour certains (Chuck Spinney de CNI) Washington est Versailles-sur-Potomac. Pour d autres c est plutot Hollywood-sur-Potomac, A chacun sa perspective.
Mais dans le cas present les reactions des experts locaux en geopolitique et des lobbyistes de la rocade washingtonnienne auraient tendance a faire penser au probleme bien connu dans les maisons de passes: comment faire durer le plaisir.
Personne n ose le dire mais tout le monde y pense : il reste Bibi et avec lui pas de probleme car il sait faire durer le plaisir.
En d autres termes “laissons pourir le probleme encore une generation et peut etre qu il se reglera de lui-meme.
C est ca la vraie diplomatie !!
L integration economique palestino=israelienne - que tout le monde attend avec impatience - n est pas pour demain ...
Et a la limite on peut se demander si c est vraiment concevable dans le contexte de croisade qui existe actuellement.
geo
07/01/2006
La Banque mondiale suspend le versement de ses prêts au Tchad
LEMONDE.FR | 06.01.06 |
Après avoir émis, fin 2005, une vive mise en garde, la Banque mondiale a décidé de suspendre, vendredi 6 janvier, le versements de ses prêts au Tchad, soit environ 124 millions de dollars restant à verser, selon le président de la Banque, Paul Wolfowitz. Une mesure de retorsion contre N’Djamena, accusé d’avoir modifié unilatéralement la loi sur la gestion des revenus du pétrole, brisant l’accord conclu en 1999 avec l’institution internationale.
Les députés tchadiens ont décidé à la fin décembre, à l’initiative du gouvernement, de modifier la loi sur le pétrole, malgré les protestations de l’organisation internationale. Le nouveau texte supprime notamment un fonds destiné aux générations futures, sur lequel étaient bloqués 10 % des revenus pétroliers du pays, et double également la part des recettes versées au Trésor public, sans aucun contrôle sur leur utilisation.
Considéré comme l’un des pays les plus pauvres au monde, le Tchad produit du pétrole depuis 2003. En 2004, cette ressource a généré 143 millions de dollars de revenus, sans que les conditions de vie des Tchadiens s’en trouvent améliorées. Le gouvernement de N’Djamena veut en conséquence augmenter ses revenus financiers en utilisant dès maintenant le fonds pour les générations futures. Et il a fait du changement de la loi un test de sa souveraineté.“La Banque mondiale parle de l’originalité de la loi modifiée (...) comme si le Tchad et les Tchadiens étaient devenus pour la Banque des cobayes pour l’expérimentation d’un type de gestion ou de gouvernance”, s’était indigné fin décembre le gouvernement tchadien, dans un communiqué.
AVEU D’ÉCHEC
En suspendant ses aides, la Banque mondiale avoue l’échec de ce qu’‘elle présentait comme un accord modèle avec un pays pauvre sur la gestion de ses ressources naturelles. Pays pétrolier depuis peu, le Tchad avait négocié en 1999 une sorte de mode d’emploi de ses futures recettes pétrolières. La Banque était d’autant plus impliquée qu’elle avait financé une partie des investissements, et notamment l’oléoduc transportant le brut tchadien vers le golfe de Guinée. La loi de 1999 visait à garantir la transparence de la gestion des pétrodollars, afin qu’ils profitent à l’ensemble de la population, l’une des plus démunies de la planète.
Paul Wolfowitz, ancien secrétaire-adjoint à la défense américain de 2001 à avril 2005, assure avoir pris sa décision après avoir consulté le Conseil d’administration de la Banque. Il a souligné que celle-ci ne préjugeait pas de la décision que les pays membres pourraient prendre individuellement, ni de celle du Fonds monétaire international (FMI).
La modification unilatérale de la loi a également suscité les protestations de l’opposition et de la société civile tchadienne. Les chefs d’Etat de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cémac) réunis, le 4 janvier, en sommet dans la capitale tchadienne s’étaient bornés pour leur part à “prendre acte” de la modification de la loi, en appelant “la Banque mondiale et le gouvernement tchadien à privilégier le dialogue dans leurs relations à ce sujet”.
Avec AFP
Flupke
06/01/2006
Le sujet est interessant au délà du racisme .
Voir ces dernieres semaines l’arrivée massive sur les cotes
italiennes de milliers d’immigrants .
Et que faire de ces milliers d’immigrants dont la grande majorité est parquée dans des camps d’internement .
Voir la répression au Caire , répression brutale .
L’Occident ne se fait-il pas lui-meme pieger ? En acceptant que des régimes ignobles en Afrique pompent les richesses
au bénéfice exclusif d’une minorité .
Mr Barroso ne propose-t-il pas , lui-meme , de pomper dans les élites formées dans ces pays .
Quel est le but de ces politiques ?
le désordre général ?
Ne serait-ce tout de meme mieux une politique de
développement cohérent pour le tiers-monde ?
Flupke
06/01/2006
Gladio semble mettre sur le meme pied la situation en Italie et en Belgique . Or la position du PC en Belgique était beaucoup plus marginale qu’en Italie . L’affaire des CCC
n’étant pas très claire par ailleurs .
Pour l’Italie il est avéré que la plupart des attentats sont
plutot le fait de groupuscules , de quelle origine?, d’extreme droite .
Et puis les tueurs du Brabant c’est 1984 , c’est trente ans
après la guerre mais il y en a toujours qui n’évoluent pas dans leur tete et Gladio Libero It semble avoir une lecture très particulière de bien des évènements tant pour l’Italie
que pour la Belgique .
La Rtbf avait passé en son temps au moins deux reportages
sur le sujet et l’on voyait dans l’un des reportages le directeur d’(un des deux services secrets italiens montrer
sa passion pour les marionnettes , une séquence très emblématique du personnage qui montrait qu’il était sorti
de la réalité pour vivre ses reves et ses fantasmes loin des
intérets supérieurs de la nation qui ne devaient pas nécessairement passer par une allégeance à l’un ou l’autre
bloc .
Revenez sur le reportage de H Le Paige Fare politica et al passion de ces hommes et femmes pour la res publica .
Fred
06/01/2006
Bonjour,
Je suis ennuyé. Je ne sais pas ce qu’il faut en penser.
- Faut-il être content ?
- Faut-il y voir une intervention divine, un peu à la façon dont un certain temple avait été détruit suite à une certaine exécution ?
- Faut-il en rester à une appréciation strictement humaine : une certaine empathie ?
- Faut-il au contraire avoir peur pour le peuple Israélien abandonné par son meilleur défenseur ?
- Faut-il y voir une chance pour qu’un éventuel Peretz fasse la paix avec les Palestiniens, et ramène l’Etat Israélien dans un strict respect du droit International ?
- Cette chance est-elle aussi une chance, un espoir, de voir les Etats voisins décider de faire la paix avec Israel et par la même cesser la course aux armements ?
- Est-ce que finalement, ce n’est pas une chance de voir une guerre sans fin ne pas démarrer au Proche Orient ?
On parle de frappes aériennes israéliennes et américaines pour le mois de mars prochain. Je vois dans cet éventuel acte de guerre une nouvelle avancée vers un chaos plus inextricable où nous européens serions à nouveau éclaboussés et mis en danger… forcés que nous serions de prendre la “défense” des agresseurs.
Comme je le disais dans un précédent commentaire, le monde est dans un état pitoyable, où le respect du droit est devenu secondaire. J’ignore si le monde a déjà été moins sûr qu’aujourd’hui ? En relisant le discours d’Harold Pinter, je me suis aperçu que le monde a toujours été atroce. En lisant les articles sur l’Agent Orange, je me suis rappelé que les USA avaient déjà utilisé des armes chimiques (les descriptions dans l’article du Diplo sont atroces, exactement comme celles republiés en août dernier à l’occasion de l’anniversaire d’Hiroshima).
Et finalement, pourquoi être plus choqué par le sort des palestiniens aujourd’hui que par le sort des vietnamiens il y a 30 ans ou le sort des Salvadoriens, ou celui de je ne sais quel autre pays en proie à la violence organisée par quelques multi-nationales ?
Dernière information qui m’a troublée ce matin et qui me conforte dans l’analyse que le non-respect du droit par certains entraine une hausse de la violence partout et contre tous : la hausse du nombre de morts parmi les personnels de l’ONU.
http://fr.bluewin.ch/infos/index.php/international/i/20060106:brf001
Même avoir un casque bleu ne protège plus contre la violence… Le casque bleu, ce n’est plus un symbole de paix. C’est désormais le symbole de la puissance occidentale venue préserver un ordre injuste qui ne condamne pas les crimes de guerre. L’ONU est symbole d’impuissance… comme la SDN avant la WWII.
En fait. J’en viens à me demander si les actes commis ces 30 dernières années ne sont pas, moralement parlant, pires, ou au moins équivalents, que ceux qui ont menés à la WWII.
Les deux blocs en cours de constitution et qui pourraient déclencher un tel conflit seraient : le monde occidental habituel (US, Europe, Israel) d’un côté... et de l’autre le monde “oriental” (Russie, Chine, Iran, Syrie…).
Rien de nouveau sous le soleil en somme… mais tout de même. La “loi de la jungle” dont les US font la promotion depuis 2001 semble tout droit nous conduire à de tels évènements.
Il me semble.
Donc, pour en revenir au titre de mon article : Que peut-on penser des conséquences de l’accident cérébral de Sharon ? Est-ce un tournant décisif vers l’une ou l’autre des possibilités ?
“La guerre totale”
ou
“la paix et un monde meilleur” ?
dl
05/01/2006
Cher Philippe,
vous écrivez que “les Américains pourraient bien envisager dabandonner le deuxième moteur pour le JSF à décollage court/vertical (...) ; ce serait bien sûr celui de Rolls quon laissera tomber, à lavantage de lAméricain General Electric.”
Or il me semble bien que le F136 qui est visé est développé conjointement par RR et GE, tandis que la F135 - qu’il n’est nullement question d’annuler - est développé par Pratt & Whitney (filiale du groupe United Technologies - présent dans l’aéronautique au travers de sa filiale helicoptère SIKORSKI)
Certains analystes nous disent d’ailleurs que cela signifierait la sortie de GE du marché des moteurs des avions de chasse
je vous recommande l’excellent synthèse du hartford courant : http://www.courant.com/business/hc-jointstrike0105.artjan05,0,2650411.story
Enfin on peut lire sur le site officiel du JSF que “While Rolls-Royce is a member of the Fighter Engine Team with GE on the F136, they are also subcontracted to Pratt & Whitney on the F135 to provide the Lift System for the F-35. The Lift System is comprised of the Lift Fan, Clutch, Drive Shaft, Roll Posts and the Three Bearing Swivel Module (3BSM).”
bien amicalement
denis
Victor
05/01/2006
Il est probable que la politique américaine crée des situations de plus en plus paradoxales parce que la situation est de plus en plus paradoxale (c’est l’esssence du virtualisme!). La psychologie, le système sont, je crois, des éléments agravants. Dans ce cas le problème de base c’est que l’armée US doit se désengager (on l’a promis sous la pression du peuple !) mais ne le peut pas (les conséquences seraient VISIBLEMENT catastrophiques) Dans une certaine mesure on va pouvoir observer le gouvernement américain faire un grand ecart psychologique comparable à celui de Blair par rapport à l’Europe. Il y a de la schyzophrénie dans l’air.
Bruno Springuel
05/01/2006
http://www.dedefensa.org/article.php?art_id=2248
Cet article est formaté de façon à rendre illisible le texte après le quatrième écran.
Pour le lire complètement, il faut aller récupérer le texte dans la source.
C’est un peu compliqué!
Bien à vous
Bruno Springuel
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