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Tirs US sur les UK

Article lié : USA et Europe sur le terrorisme : une divergence grandissante d’appréciation bien dans l’air du temps

Antoine

  06/02/2007

Croissance US à zéro sans la privatisation de la guerre

Article lié : Les mercenaires : la seconde force armée “alliée” en Irak

Lambrechts Francis

  06/02/2007

http://www.la-chronique-agora.com/lca.php?id=1026 Philippe Béchade

... les Etats-Unis sont devenus un pays de services. Le premier d’entre eux est la lutte contre le terrorisme, que la politique de “W” Bush, inspirée par le puissant cartel de l’armement et du pétrole, a porté à l’incandescence en Irak et en Afghanistan en l’espace de quatre ans.
L’ISM des services donc a bondi de 2,3 points au mois de janvier…

la Maison-Blanche a réclamé au Congrès—c’est-à-dire au contribuable américain—pas moins de 235 milliards de dollars supplémentaires au titre de la “guerre mondiale contre le terrorisme”. Cette somme vient s’ajouter aux 1 000 milliards de dollars déjà gaspillés… et “des surcoûts sont possibles”...

Nous n’hésitons pas à affirmer que le montant total s’avère deux fois plus important pour l’économie du pays. Bon nombre d’entreprises ont dû embaucher pour remplacer certains salariés mobilisés dans le cadre de missions d’expertise et de “sécurité”—aussi bien sur le sol américain qu’en Irak, en Afghanistan ... Il faut rajouter aux 130 000 soldats et officiers présents en Irak un nombre pratiquement équivalent de conseillers militaires, d’agents de sécurité (souvent assimilables à des milices privées) chargés de défendre les installations pétrolières—et, par extension, toutes les entreprises US présentes sur le sol irakien ...

un formidable marché de services, dont d’autres entreprises américaines—qui recrutent tout ce que la planète compte comme mercenaires—se sont emparées fort opportunément depuis 2003.
Et George W. Bush promet de “faire des économies”... c’est-à-dire de tailler à hauteur de 100 milliards de dollars sur cinq ans dans les dépenses sociales—et notamment les programmes Medicare, Medicaid ou Social Security ...

En revanche, et avec un coût réel qui représente officiellement 5% du PIB américain (150 milliards sur 2 900 milliards de dollars), mais plus sérieusement entre 7% et 8%, la guerre contre le terrorisme constitue un formidable accélérateur de croissance.
Une croissance en trompe l’oeil, financée à crédit (et à fonds perdus ?)... qui plombe l’avenir des générations futures, mais pas les profits immédiats des firmes d’armement ...

En d’autres termes, retranchez du PIB américain les opérations de sécurité extérieure et de surveillance sur son propre sol au détriment des libertés individuelles, et la croissance US tombe instantanément de +3,5% (au quatrième trimestre 2006) à zéro !
Et si la bulle immobilière ne s’était pas gonflée démesurément entre 2001 et fin 2005, les Etats-Unis auraient connu une quasi-récession comparable à celle du Japon après l’implosion de la bulle immobilière…

lire plutôt attaque l'Iran

Article lié : Les militaires US commencent à trouver l’Iranien comestible

Mohamed Salem

  05/02/2007

lire plutôt attaque l’Iran dasn ma réaction (vous l’avez sasn doûte déviné)

attaque contre l'Irak

Article lié : Les militaires US commencent à trouver l’Iranien comestible

Mohamed Salem

  05/02/2007

Je crois que la guerre américaine contre l’Iran est la conséquence directe de l’invasion de l’Irak. Pour simplifier l’analyse le principal bénéficiaire de la chutte de Saddam Hussein est Israel. La conséquence directe de cette action est la montée en puissance des chiites et des iraniens nouvel ennemi d’Israel. L’Iran est un effet secondaire de l’occupation de l’Irak et qu’il faudrait traiter immédiatement.
Vue la stratégie américaine qui consiste “à écraser les problèmes plutôt que de les régler” une raclée aux iraniens ne sera qu’une folie supplémentaires de Georges Bush à ajouter à d’autres bien acceptées par la ” Communauté internationale”. Pour en avoir le coeur net il suffirait de voir comment le Conseil de Sécurité est docilement embrigadé par l’adminstration US pour bloquer les velléités nucléaires de l’Iran.

2ième avertissement

Article lié : Zbig censuré, — ou tout comme

Dominique Larchey-Wendling

  05/02/2007

Après J. Baker, Z. Brzezinski vient-il de délivrer le 2ième avertissement de la vieille élite impériale aux “voyoux” de l’administration Bush ? En dénonçant par avance une opération terroriste “fabriquée” (càd de type “false-flag”) et en exhortant le congrès affirmer son pouvoir, ne vient-il pas de donner le dernier avertissement à Bush & Cheney avant une tentative de coup d’état violente de la part de vieille garde qui n’a sans doute pas envie de voir s’effondrer complètement son empire ? Nous risquons de voir se dérouler une véritable tragédie dans les semaines à venir ...

La guerre semble désormais ouverte dans l’élite impériale entre les héritiers arrogants et les vieux bâtisseurs ...

US commanders

Article lié : Les militaires US commencent à trouver l’Iranien comestible

corentin

  05/02/2007

La lecture de l’article du Telegraph m’a laissé une impression étrange.

Elle donne effectivement le sentiment d’un conflit entre militaires et diplomates, mais les formulations sont ambiguës - a dessein ?

US commanders, fait penser au sommet de la hiérarchie militaire, mais pourquoi n’avoir pas utilisé “US generals” ou “top brass” ou “high ranking officers” comme c’est plutôt l’usage ?

L’hypothèse de voir les généraux se rallier au camp belliciste ne me convainc pas. Ce sont des hommes de terrain, qui savent très bien à quel désastre ils pourraient se voir confrontés. Les généraux US ont peut-être beaucoup de défauts, mais ce sont des gens pragmatiques.

En fait de sommet, ne s’agirait-il pas plutot de l’échelon politiques du Département de la Défense ? Je penche plutôt pour cette lecture.

Par ailleurs le daily Telegraph participe sans aucune retenue à la campagne de préparation au conflit. Sa présentation des faits ne me semble pas devoir être prise pour argent comptant.

The state of Britain, You've never had it so good

Article lié :

Lambrechts Francis

  05/02/2007

http://economist.com/opinion/displaystory.cfm?story_id=8629539

Cet éditorial est un monument de partialité. Les revenus plantureux du pétrole de la Mer du Nord ne sont même pas cités comme cause du rétablissement de la Grande Bretagne ! Le bénéfice de l’adhésion à la CEE et son immense marché non plus ... sinon comme sous-produit de la mondialisation (à l’époque on parlait plutôt de “troisième vague”, la globalisation n’était pas encore le fétiche des médias).

L’éditorial signale le contraste avec le long déclin finissant il y a 25 ans ... la synchronisation avec le flot croissant des revenus du pétrole et les bénéfices de l’adhésion à la CEE leur a étrangement échappé.

Cet éditorial cite justement les mérites de restructurations réussies, l’évolution vers une société de service et les bénéfices d’une mondialisation favorable à un pays qui a déjà su être LEADER lors de la première mondialisation : le commerce triangulaire aux dépens du quart asservis de la population mondiale ... admirons encore la formulation : “Perhaps because of its imperial and trading past, Britain is remarkably at ease with globalisation” ...

On peut aussi s’attrister de la joie “Murdochienne” éprouvée à l’égard des difficultés des pays non pétroliers du continent : l’Angleterre a toujours l’arrogance Victorienne.

Le reste de l’éditorial est à l’aune de cette analyse partiale, elle en devient involontairement humoristique. Ce n’est pas ainsi que l’on peut répondre à la complexité du monde ... au moins il y a des vérités, ce n’est pas du Bush mais quelle déception devant cet éditorial ... borgne quant au passé et au présent, aveugle quant au futur. RIEN sur le défi climatique : le problème le plus massif du siècle, héritage massif du passé d’un “leader de l’industrialisation” aussi vantard que subitement amnésique !

Réchauffement climatique : le Fraser Institute nie l’évidence

Article lié :

Manu Kodeck

  04/02/2007

Le think tank canadien étroitement associé à l’industrie de l’énergie y va d’une analyse « indépendante » contredisant les conclusions du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) à propos du réchauffement climatique. C’est comme si une souris relationniste tentait de se faire passer pour un éléphant scientifique.

Lire la suite sur “Cent Papiers”, une plateforme Québécoise de journalisme civique.
http://www.centpapiers.com/spip.php?article1169

Maecenaire

Article lié : Les mercenaires : la seconde force armée “alliée” en Irak

Gilloo

  04/02/2007

Bonjour,

D’autant plus que ces mercenaires n’ont aucuns statuts selon les conventions de Genève.Alors…

D’autre part, Dans un certain nombre de ces mercenaires nous retrouvons des anciens de Yougoslavies, paramilitaires de Colombie et autres pays latino, et militaires du régime raciste d’Afrique du Sud,...!

Cordialement

Intéressant : Le billet vert, d'Attali

Article lié : Les trois coups sont frappés

Lambrechts Francis

  03/02/2007

http://www.lexpress.fr/idees/tribunes/dossier/attali/dossier.asp

... alors que l’Europe tarde à tenir ses engagements pris à Kyoto, la Californie, qui n’a pas signé ce protocole, s’y plie déjà et découvre que la lutte contre les gaz à effet de serre constitue un vaste marché pour ses entreprises. Sous la pression d’une opinion publique inquiète, l’administration de Sacramento (qui a, la première, imposé le pot catalytique et l’essence sans plomb) a décidé de ramener en 2020 les émissions de gaz carbonique de l’Etat au niveau de 1990, puis de les réduire encore des quatre cinquièmes avant 2050 ...

Vue des Etats-Unis

Article lié : Une situation hors de contrôle et sa fatalité tragique

Dantiste

  03/02/2007

Que l’emballement des déséquilibres économiques entraîne une fuite en avant expansionniste des Etats-Unis, c’est un point de vue confirmé par l’histoire. Les USA ont été assez malins en armant l’Irak pour entretenir la faiblesse militaire de l’Iran. Qui plus est, ceci est révolu, et la méfiance envers cette pratique politique est fortement amplifiée, suffisamment pour que le monde des affaires dépasse les intérêts des quelques multinationales, tirées par la tendance néoconservatrice qui occupe la Maison Blanche. Aujourd’hui, il ne serait pas insensé de prévoir un nouveau centre de convergences géostratégiques circonscrit par la Russie, la Chine, l’Inde et la Caucase d’ici trois décennies. Une région présicément où les états-Unis ont manqué de savoir-faire pour s’y imposer.

Que le Sénat américain, devenu démocrate, autorise une telle agression, et le recul de la position américaine, tel que vécu lors du conflit du Sud-est asiatique, sera amplifié comme jamais connu auparavant. Les USA précipiteraient leur régression sur la scène internationale bien plus vite que ne l’a prédit l’ancien gouverneur de la BCE.

Il ne faisait pas bon être américain hors les murs occidentaux jusque dans les années 80, et les décideurs de tous bords de ce pays s’en souviennent avec douleur.

Le rapport sur le climat pourrait donner lieu à des procès

Article lié :

C Perrin

  03/02/2007

LE RAPPORT SUR LE RÉCHAUFFEMENT POURRAIT DONNER LIEU À DES PROCÈS

PARIS (Reuters) - Le rapport du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (Giec), qui souligne la responsabilité humaine dans le réchauffement climatique, pourrait donner lieu à de nouveaux procès contre les grandes industries polluantes bien que les responsabilités soient difficiles à démontrer en droit.

Les scientifiques du Giec ont publié vendredi un rapport concluant, avec une probabilité de plus de 90%, que l’essentiel du réchauffement climatique de ces cinquante dernières années est imputable à des activités humaines.

“Nous entrons dans une nouvelle ère”, assure Audley Sheppard, associé au sein du cabinet juridique britannique Clifford Chance.

Les plus gros émetteurs de gaz à effet de serre ne pourront plus prétendre qu’ils n’étaient pas au courant des risques, souligne-t-il. “Ne rien faire pourrait être considéré à l’avenir comme de la négligence.”

Le précédent rapport du Giec, en 2001, établissait un lien entre les activités humaines et le réchauffement climatique avec une probabilité d’au moins 66%.

Les avocats soulignent cependant qu’il a fallu attendre des années avant d’obtenir des condamnations dans le cas du tabac ou de l’amiante, quand bien même leur danger pour la santé était attesté scientifiquement.

Les gaz à effet de serre, issus de la consommation de combustibles fossiles, se répandent dans l’atmosphère, il est donc difficile d’imputer tel ou tel phénomène provoqué par le réchauffement climatique à un pays ou à une industrie en particulier.

Selon Vanessa Havard Williams, associée au sein du cabinet international Linklaters, le problème vient du fait qu’un même phénomène peut être provoqué par “un ensemble diffus de sources”, le lien de cause à effet est donc plus difficile à établir.

PRECEDENTS DE L’AMIANTE ET DU TABAC

Plusieurs procédures judiciaires sont actuellement en cours.

La Cour suprême américaine devrait se prononcer en milieu d’année sur la requête déposée par une dizaine d’Etats américains et 12 associations de défense de l’environnement qui demandent à ce que les émissions de gaz à effet de serre soient régulées par des normes nationales.

En 2006, l’Etat de Californie avait intenté un procès à six fabricants automobiles, qu’il accusait de lui avoir causé un préjudice de plusieurs milliards de dollars à cause des gaz à effet de serre émis par les véhicules.

“La demande d’indemnisation de la Californie a conduit les gens à penser qu’il existait une vraie possibilité”, explique Peter Roderick, directeur du Programme Justice climatique lié à l’association Les Amis de la terre.

Selon lui, les gouvernements sont de plus en plus inquiets des demandes d’indemnités dont ils pourraient avoir à répondre. “On parle de plus en plus depuis deux, trois ans d’un ‘Protocole d’indemnités’”, qui pourrait être assorti à la Convention-cadres des Nations unies sur les changements climatiques, explique Roderick.

Selon l’avocat Audley Sheppard, il est cependant peu probable que l’on assiste à la même avalanche de procès que pour le tabac ou l’amiante.

Il est statistiquement plus facile d’imputer un cancer du poumon à la consommation de cigarettes que de lier le réchauffement climatique à une plus grande fréquence de tempêtes, de sécheresses ou d’inondations, étant donné que ces phénomènes climatiques extrêmes sont naturels.

Selon Roderick, la loi met du temps pour prendre en compte les signaux d’alerte lancés par les scientifiques. Dès 1898, une inspectrice britannique du travail, Lucy Dean, écrivait un rapport sur “les effets nocifs” de l’amiante.

“L’amiante est un cas intéressant”, souligne Roderick.“Elle est socialement utile car elle permet de sauver des vies en empêchant les incendies. On peut dire la même chose du dioxyde de carbone. On en a besoin mais en trop grande quantité, il devient nocif.”

Rapport du "National Intelligence Estimate"

Article lié :

Jean

  02/02/2007

Document, reconnaissant pour la premiere fois au niveau gouvernementale que la guerre d’Irak , peut etre comparée (par certain aspects) à une guerre civile; c’est ici:

http://media.washingtonpost.com/wp-srv/nation/documents/iraq_dni_20070202_release.pdf

Et les circolution du “Monde”(pour les anglophobes) pour nous dire que ceci est tout compte fait assez important.

ici:

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3222,36-863146@51-823016,0.html

Demande de l'inconnu

Article lié :

Greney Eric

  02/02/2007

recherche d’une etude icm
Date: 02/02/2007

Essayer l’adresse suivante
clicquer View Main Data
http://www.icmresearch.co.uk/reviews/2006/BBC%20-%20Emigration/BBC-emigration-july-2006.asp

Des chercheurs russes inventent un blindage liquide

Article lié :

AmnésieInternationale

  02/02/2007

Après les nanoparticules, le nanoliquide. Celui-ci, dont une des premières applications concernera le renforcement du blindage du matériel militaire, vient d’être présenté par Nikolaï Viktorov, directeur exécutif du Fonds à capital risque du Complexe militaro-industriel de la région de Sverdlovsk (Russie).

Ce blindage liquide se présente sous l’aspect d’un gel constitué de nanoparticules solides et d’une matière de remplissage. Un choc ou un impact brutal, tel celui provoqué par une balle ou un éclat, pousse les particules solides à se lier instantanément les unes aux autres, transformant la matière souple en un composite ferme capable de stopper la pénétration du corps étranger en profondeur. Cette mutation s’opère en moins d’une milliseconde, ce qui assure une protection sûre à la plupart des types de projectiles ou d’explosifs.

La protection de ce blindage liquide pour les véhicules commencera dès l’été 2007, indique Viktorov, et son usage pourra rapidement être étendu à tout autre matériel, tels les hélicoptères, les vedettes et les gilets pare-balles, aussi bien militaires que civils. Cela sans en augmenter le poids, contrairement à ce qui se produit en cas de recouvrement par plaques métalliques, précise-t-il.

http://www.futura-sciences.com/news-chercheurs-russes-inventent-blindage-liquide_10312.php