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Neatkariga rita avize (Lettonie) via Courrier International

Article lié : Le discours au marteau

Lambrechts Francis

  13/02/2007

L’hystérie injustifiée autour du discours de Poutine

Pour Juris Paiders, le discours prononcé samedi 10 février par le président russe Vladimir Poutine lors de la Conférence sur la sécurité internationale (organisée à Munich) n’a certainement pas déclenché une nouvelle guerre froide.

“Vladimir Poutine a fait comprendre au monde avec son style bien à lui que la Russie est sortie du coma dans lequel elle était tombée après l’effondrement de l’Union soviétique, et qu’elle souhaite être respectée en tant que grande puissance nucléaire et énergétique qui défend ses propres intérêts et ne veut plus se laisser marcher sur les pieds.

Cette entrée en scène de Poutine n’était pas surprenante. En vérité, les commentaires du monde démocratique, qui considère que l’aspiration de la Russie à une égalité des droits est une proclamation de la guerre froide, sont beaucoup plus surprenants.”

et oui tout y est

Article lié : Zbig fume de fureur

traker

  13/02/2007

Oui, c’est vraiment trop gros tout ça.
D’ailleurs le Réseau Voltaire nous sert le même plat dans son site en Français mais SE GARDE BIEN DE LE PUBLIER DANS SON SITE AMERICAINS.
Le travail de sappe continu ... mais où sont les vrais méchants ???? J’ai renoncé à comprendre ...... c’est peut être le début de la sagesse ?

memoire courte

Article lié : Enfin des preuves

les marques

  13/02/2007

engager une nouvelle guerre conventionnelle, les seules guerres que l’on soit en mesure de ne pas perdre, pour faire oublier l’état d’impréparation de son outil militaire aux taches auquelles on l’emploie ... faire oublier un bourbier en allant se noyer dans le suivant ... les complexes militaro-industriels sont des machines folles .. qui manipulent les texans abrutis ... et les “bonnes ames” ...

Les Turkmènes victimes de discrimination ethnique en Irak

Article lié :

M. FITZGERALD

  13/02/2007

LES TURKMENES TOUJOURS VICTIMES DE DISCRIMINATION ETHNIQUE EN IRAK
Pourquoi les médias ne parlent-ils pas des Turkmènes en Irak? Dans quel but les néo-conservateurs américains ont-ils inventé une nouvelle classification du peuple irakien?
Le représentant des Turkmènes irakiens en Europe
nous en donne les raisons.

Les Turkmènes toujours victimes de discrimination ethnique en Irak.

Aujourd’hui lorsque les médias parlent de l’Irak ils mentionnent les Kurdes, les Shiites et les Sunnis, laissant croire que ceux-ci représentent le peuple irakien, or cette classification est non seulement fausse mais elle est également trompeuse, il s’agit d’une invention des néo-conservateurs américains pour diviser l’Irak afin de contrôler ses richesses pétrolières.

En réalité le peuple irakien est composé d’Arabes, de Kurdes et de Turkmènes qui sont soit musulmans ou chrétiens. Ainsi en mélangeant confusément l’ethnicité kurde avec les affiliations ou les croyances religieuses des Arabes irakiens, l’administration américaine a promu et a autorisé ces groupes ethniques et sectaires avec leurs milices armées à prendre le pouvoir en Irak sous la bannière de la « démocratie ». Le monde a pu constater les conséquences désastreuses de cette politique inventée par les néo-conservateurs de l’administration américaine.

En effet, les 3 millions de Turkmènes irakiens (12% de la population irakienne) qui constituent le troisième groupe ethnique important d’Irak après les Arabes et les Kurdes sont totalement ignorés par les néo-conservateurs américains et sont inexistants d’après eux et selon leur invention (la nouvelle classification) concernant la nature et la composition du peuple irakien.

Pire encore, les 3 millions de Turkmènes d’Irak, ensemble avec leurs 17 millions de compatriotes Arabes et un demi million de compatriotes Chaldéo-assyriens, représentant une majorité de 82% du peuple irakien ont été exclus et n’ont pas été mentionnés dans cette « nouvelle classification » du peuple irakien, alors que les 4.5 millions de Kurdes qui ne représentent que 18% du peuple irakien ont été promus au premier rang, avec un rôle prépondérant ainsi qu’une position dominante dans l’Irak occupé.

Les Turkmènes irakiens sont malheureusement ignorés et rarement mentionnés dans les médias occidentaux bien qu’ils aient été l’objet d’une discrimination permanente en Irak depuis 1921 et malgré le fait qu’ils sont l’objet aujourd’hui d’exactions inadmissibles de la part des Kurdes dans le nord de l’Irak.

En effet, depuis la création de l’état irakien en 1921 les Turkmènes sont marginalisés, discriminés et privés de leurs droits les plus élémentaires, dans l’indifférence totale de la communauté internationale. Leur marginalisation a été initiée par les autorités coloniales britanniques après la Première Guerre Mondiale en 1918 pour des raisons géopolitiques et économiques, afin de faciliter la séparation de la Province de Mossoul de l’Empire Ottoman (la Turquie) pour contrôler les champs pétroliers de la ville de Kirkouk qui était habitée exclusivement par des Turkmènes étant donné que cette ville est depuis des siècles leur capitale et leur grand centre culturel.

Après le renversement de la monarchie en Irak le 14 juillet 1958 et le retour du militant kurde Mullah Mustafa Barzani de son exil en Union Soviétique, la situation des Turkmènes s’est détériorée de manière dramatique à cause des ambitions hégémoniques de Mustafa Barzani et de son projet pour un état indépendant kurde dans le nord de l’Irak pour lequel l’accaparation des richesses pétrolières de Kirkouk était une nécessité. Mustafa Barzani et ses partisans alliés aux communistes irakiens ont dominé la politique en Irak sous le Général Kassem de 1958 à 1963 et c’est pendant cette période que les Kurdes ont amplifié leur migration dans la région turkmène, et particulièrement vers la ville de Kirkouk, afin de modifier la démographie de cette importante ville turkmène.

Durant cette période, les Turkmènes ont souffert de marginalisation accrue et d’une double discrimination de la part des Kurdes et du Gouvernement irakien, ils ont été victimes de déportations internes, d’exil, d’arrestations et de détentions arbitraires, de confiscations de leurs biens, de leurs terres agricoles, et le 14 juillet 1959 les responsables politiques et intellectuels Turkmènes ont été massacrés par les Kurdes.

En 1970 pour mettre fin à la rébellion kurde de Mustafa Barzani dans le nord-est du pays, le régime Baath lui a offert une région autonome kurde avec Erbil, une ville Turkmène, comme capitale, ceci en total dénigrement des intérêts légitimes des Turkmènes d’Irak et surtout des 300.000 Turkmènes d’Erbil qui ont été sacrifiés par le régime Baath et offerts comme « cadeau » à Mustafa Barzani pour qu’il mette fin à sa rébellion. Depuis lors ces Turkmènes souffrent de discrimination de la part des Kurdes, ils sont soit « Kurdifiés » ou bien considérés comme citoyens de seconde classe dans la région autonome kurde présidée par M. Massud Barzani et on n’entend plus parler d’eux.

Malheureusement, Barzani n’a pas cessé sa rébellion et a continué à revendiquer Kirkouk et ses richesses pétrolières ce qui a poussé le gouvernement central irakien à adopter la politique d’arabisation de la région turkmène pour couper court aux revendications kurdes sur la province de Kirkouk.

Cette politique d’arabisation a eu pour conséquence d’enlever aux Turkmènes les quelques droits dont ils bénéficiaient encore. Il leur était interdit : de parler la langue turkmène dans les bureaux officiels, d’acheter ou de construire des maisons, de vendre leurs biens à d’autres Turkmènes, etc. Lors du recensement ils ont été forcés de s’enregistrer en tant qu’Arabe ou Kurde, ainsi leur existence en Irak en tant que communauté leur a été officiellement dénigrée.

Aujourd’hui, après près de quatre années de guerre, d’occupation et de changement de régime en Irak, et malgré la propagande de l’administration américaine qu’ils ont apporté la « démocratie » en Irak et que les irakiens ont été « libérés », la réalité est que la situation et les conditions de vie des irakiens et notamment celles des Turkmènes se sont détériorées de manière dramatique. En plus de leur part de misère et d’humiliations résultant de l’occupation étrangère de l’Irak, les Turkmènes sont victimes de l’hégémonie kurde dans le nord du pays et de l’occupation de leur région ‘Turkmeneli’ par les milices kurdes qui se comportent comme des conquérants en pays conquis.

Prétextant que seuls les Kurdes ont été victimes du régime Baath, qu’eux seuls ont été déplacés de force et ont eu leurs biens confisqués à Kirkouk, les partis kurdes de MM Talabani et Barzani ont organisé le transport de quelques 600.000 Kurdes de la région autonome kurde et leur installation dans la province de Kirkouk depuis que Kirkouk est tombé aux mains de leurs milices, les peshmerga, avec la bénédiction des américains le 10 avril 2003.

Ces nouveaux venus à Kirkouk ont reçu de l’aide financière pour venir s’y installer et les autorités kurdes leur ont fourni des cartes d’identités et des documents falsifiés les faisant passer comme Kurdes originaires de Kirkouk, soi-disant expulsés par le régime de Saddam Hussein. Ceci est un mensonge, étant donné que les registres officiels montrent que durant le régime de Saddam moins de 12.000 habitants de Kirkouk ont été expulsés et parmi ceux-ci les Turkmènes représentaient plus de la moitié. Ce qui signifie que moins de 6.000 Kurdes ont été expulsés de Kirkouk par le régime Baath. Ces tromperies de la part des Kurdes, les falsifications des registres officiels, la délivrance de fausses cartes d’identité aux Kurdes ont été rendues possibles par le fait que les milices kurdes avaient pillé les bureaux de la population et d’enregistrement des biens fonciers de Kirkouk et confisqué les registres et les archives dès le premier jour de leur arrivée à Kerkuk le 10 avril 2003.

Dès lors, ce qui a changé pour les Turkmènes depuis le changement de régime en Irak est tout simplement la substitution de l’hégémonie arabe par l’hégémonie kurde, passant de la politique d’Arabisation de l’ancien régime à la politique de « Kurdification » de la région turkmène par les partis kurdes dominants de MM Talabani et Barzani.

Les Turkmènes dénoncent la politique actuelle et refusent l’hégémonie kurde dans leur région et ils revendiquent leur droit d’être reconnus comme le troisième groupe ethnique d’Irak et le droit d’être reconnus comme la troisième communauté principale du pays, avec des droits égaux à ceux des communautés arabes et kurdes.

Les Turkmènes appellent la communauté internationale et l’ONU à intervenir pour éviter la crise imminente au sujet de Kirkouk, de son appartenance et de son futur statut.

Depuis l’occupation de l’Irak et la collaboration des Kurdes dans l’invasion du nord de l’Irak, ceux-ci sont favorisés par l’administration américaine qui leur attribue des droits et des avantages au détriment des autre Irakiens, principalement des Turkmènes.

C’est ainsi que les milices kurdes ont été autorisées à pénétrer dans la région turkmène et à y imposer l’hégémonie kurde. Ensuite, dans la rédaction de la nouvelle constitution en 2004, les Kurdes ont été promus au niveau de deuxième communauté principale d’Irak, alors que les Turkmènes ont été de nouveau marginalisés, discriminés et descendus au niveau d’une minorité insignifiante et par conséquent de citoyens de deuxième classe.

De plus, pour légaliser la domination kurde dans le nord de l’Irak, les partis kurdes avec le soutien des occupants américains sont parvenus à inscrire dans la nouvelle constitution l’ Article 140 qui prévoit la normalisation, le recensement et un référendum dans la province de Kirkouk avant le 31 décembre 2007.

Entre-temps, les Kurdes, en préparation pour ce référendum et en coordination avec les américains, ont amené, installé et enregistré, plus de 600.000 Kurdes dans la province de Kirkouk pour changer la démographie de la province et sa composition ethnique afin de l’annexer par référendum dans la région autonome kurde.

Il est à noter que plus de 99% de ces nouveaux arrivés kurdes ne sont pas originaires de Kirkouk, ils n’y ont jamais vécu, travaillé ou possédé de résidences avant l’occupation. Plus grave encore, un grand nombre de ces Kurdes ne sont même pas irakiens, ce sont des Kurdes de Turquie, d’Iran et de Syrie auxquels les partis kurdes ont délivré des passeports irakiens pour les amener et les installer à Kirkouk.

La normalisation signifie le retour dans la province de Kirkouk des déplacés sous le régime Baath et la récupération de leurs biens confisqués ainsi que l’expulsion des Arabes qui ont été amenés et installés à Kirkouk dans le cadre de la politique d’Arabisation du régime Baath.

A ce jour, parmi les 32.000 dossiers de réclamation des habitants de la province de Kirkouk dont les biens avaient été confisqués par le régime Baath, moins de 1.000 dossiers, tous appartenant à des Kurdes, ont été traités et finalisés. Quant au reste des dossiers, tous appartenant à des Turkmènes, ils sont toujours en attente et aucun Turkmène n’a pu récupérer ses biens ! Ceci est une preuve incontestable de discrimination contre les Turkmènes en Irak.

Quant au recensement, les Turkmènes refusent l’inscription dans les registres officiels de la population de Kirkouk de ces 600.000 Kurdes amenés à Kirkouk depuis l’occupation en avril 2003 et évidemment ils demandent l’annulation du référendum si ces 600.000 nouveaux arrivants kurdes y participent.

En conclusion, et à juste titre, les Turkmènes refusent l’annexion de la province de Kirkouk à la région autonome kurde et ils sont supportés dans leur demande par les Arabes et les Chaldéo-assyriens de la province.

Les Turkmènes demandent que la normalisation dans la province de Kirkouk soit faite sous la supervision internationale, l’ONU ou l’Union Européenne.

Les Turkmènes demandent l’organisation d’une conférence internationale pour la paix et la reconstruction de l’Irak avec l’implication de la communauté internationale ainsi que des pays voisins afin de garantir l’unité, la sécurité et la reconstruction de l’Irak.

Les Turkmènes sont le seul groupe ethnique en Irak qui n’a pas de milices armées, ils sont pacifistes et rejettent la violence et l’existence des milices. Ils croient dans les vertus des valeurs démocratiques.

Les Turkmènes, comme la grande majorité des irakiens, sont contre l’occupation de l’Irak et demandent le départ immédiat et inconditionnel des forces d’occupation étrangères et ils aspirent à l’établissement d’une véritable démocratie dans un Irak libéré et uni.

Dr. Hassan Aydinli
Représentant des Turkmènes Irakiens en Europe

911 video

Article lié :

gilloo

  12/02/2007

Bonjour,

Nouvelle video 911 mysteries en anglais S/T en FR.

http://video.google.fr/videoplay?docid=-4049590380102614532&q=911+myster

Chine, Japon et UE retardent le crash de Bu$h ∫

Article lié :

Lambrechts Francis

  12/02/2007

... Près d’un demi-millier de milliard de dollars de dettes viendront s’ajouter dans les deux années qui arrivent, selon le plan Bush ... Même dans le meilleur des cas, il n’y a aucun moyen plausible de voir les Américains rembourser leurs dettes—publiques ou privées.

La dette publique à elle seule représente plus de 100 000 $ pour chaque foyer de quatre personnes. Les intérêts seraient d’environ 5 000 $. Combien de familles pourraient ajouter cela à leurs budgets ? Quel genre de politiciens le leur demanderait ?

Actuellement, le gouvernement US n’arrive même pas à payer les intérêts. La dette se nourrit donc d’elle-même… et l’ensemble continue de se développer encore et encore. Plus d’argent. Plus de crédit. Plus de dette.

... Et pourtant, les gens que nous rencontrons semblent tous responsables… et même intelligents. Ils conduisent des voitures… ils ont des emplois… ils gèrent leurs comptes. Comment peuvent-ils considérer le budget américain sans être choqués et inquiets… ou prêter encore plus d’argent au plus grand débiteur de la planète pour un rendement de moins de 5% ?

Bill Bonner http://www.la-chronique-agora.com/lca.php?id=1030

Mémoire courte

Article lié : Enfin des preuves

Alper

  12/02/2007

“Les relais bien dociles médiatiques” dixit Ségolène Royal, relaieront certainement la mise en scène comme étant la vérité. Pourtant Bush a annoncé il y a seulement quelques semaines et sans détour la nouvelle stratégie US concernant l’Iran : “trouver” des preuves de l’implication iranienne en Irak pour avoir des “raisons” de l’attaquer. Les médias auront la mémoire courte…

Deux poids deux mesures

Article lié : Choix sous pression et sans surprise

Alper

  12/02/2007

Il y a quelques mois alors qu’on “discutait” de l’adhésion turque, un des nombreux arguments contre cette adhésion était que la Turquie est à la botte des USA, donc l’adhérer à l’UE c’est en faire un “cheval de Troie” américain (personne pour rappeler que la Turquie avait refusé le déploiement, contre de gros “pour boire”, des troupes US dans sa guerre en Irak).

Aujourd’hui les USA veulent implanter des bases militaires au “coeur” de l’UE et personne pour en parler, ni dans les politiques, ni dans les médias : deux poids deux mesures, ou argument-prétexte ?

La folie du système

Article lié : Un budget “gargantuesque” de famine...

Swisswatch

  11/02/2007

Devant ces augmentations successives du budget du Pentagone, l’explication la plus logique devrait-être qu’il sagit d’une “course aux armements”.Devrait, dis-je, si l’on de base sur l’expérience historique. Des courses aux armements ont marquées diverses époques du XXème siécle, en particulier celle précédant la première Guerre Mondiale, la France et la GB s’armant contre l’Allemagne; celle précedant la seconde Guerre Mondiale (les mêmes antagonistes) ou celle de la “guerre froide”. Mais dans tous ces exemples, le mécanisme était le même: On répondait par une augmentation supérieure du budget militaire, à l’augmentation de celui de l’“adversaire”. Il y avait de la logique, toute militaire certe, mais de la logique tout de même.

Le cas des USA concernant l’actuelle surenchère annuelle de la dotation financière du Pentagone ne rentre pas dans le schéma des précédentes “courses aux armements”. Auparavant, on s’armait CONTRE un ennemi, CONTRE une menace précise, en RÉACTION. On augmentait le nombre d’unités, de divisions, et cette augmentation se chiffrait matériellement: On passait de 32 à 35 navires de ligne, de 2500 à 3000 avions, de 3000 à 5000 engins blindés, de 110 à 140 divisions d’infanterie, de 5000 à 7500 missiles etc… La recherche, l’amélioriation des matériels allant de soi et n’entraient de façon significative dans une augmentation budgétaire que dans le cadre du “programme” ou d’un “projet”.
Dans cette supposée “course aux armements” à laquelle nous assistons, la nouveauté est que l’adversaire est… SEUL! Il ne s’agit plus de se sur-armer CONTRE une menace. Le sur-armement se nourrit de lui-même. Le Pentagone à besoin de toujours plus, pour… le Pentagone. L’économie de marché, celle qui consiste à produire toujours plus a remplacé l’économie militaire. Produire, dans le cas du Pentagone, signifiant disposer des moyens de produire.
Voici donc les USA engagés dans une “logique” de dépense qui n’a plus rien à voir avec les logiques inflationistes passées et dont il devient impossible d’en saisir la logique. Surtout qu’en plus de s’armer contre ...? personne ne sait qui, la seconde nouveauté est que l’augmentation des moyens financiers ne débouche sur aucune augmentation des moyens militaires! Aucun porte-avion supplémentaire à ajouter à la liste, ni aucun avion, ni aucune division! Où passe donc l’argent?
Folie disais-je en titre…

Attentats du 9/11

Article lié :

gilloo

  11/02/2007

L’état d’Israel savait-il?

En Anglais fox news.

http://www.antiwar.com/blog/2007/02/09/911-what-did-the-israelis-know/

climat

Article lié : Les Inuits accusent GW : le global warming détruit leur mode de vie

lutgen pierre

  10/02/2007

J’ai plutôt l’impression que les Inuit vont à Washington pour obtenir des sous.

Car quand je lis l’article suivant dans un journal scientifique mexicain, je commence à avoir des doutes sur l’hystérie collective générée par le GIEC

” He aplicado las leyes de la Termodinámica para evaluar científicamente el impacto real de los seres humanos sobre el “calentamiento global” por la emisión de los llamados “gases de invernadero”.

El cambio total en la densidad del Bióxido de Carbono en la atmósfera ha sido de 180 ppmv desde 1850 DC. De esta cantidad, las actividades humanas son responsables solamente de 4.77 ppmv; el resto, 175.23 ppmv, se debe a procesos naturales.

El cambio total en la densidad del Bióxido de Carbono incrementaría la temperatura troposférica (TT) en solamente 0.03 K, lo cual discrepa del cambio real oservado en la variabilidad en la temperatura troposférica real (VTT) por – 0.49 K. Del incremento total de 0.03 K, las actividades humanas son responsables solamente de un aumento de 0.000795 K.

Pour ceux qui ne sont pas hispanophones:
A l’augmentation de 180 ppmv du dioxyde de carbone depuis 1850 les activités humaines ne contribuent que pour 4,77 ppmv
L’augmentation de 180 ppmv fera augmenter la température de 0,03°C. Les activités humaines seulement de 0,000795°C
Vous trouverez l’article complet sous http://www.mitosyfraudes.org ou mieux http://www.biocab.org/CG_Conclusion.html

Pierre Lutgen
10 rue Kommes L-6988 Hostert
tel 00352 348134 fax 348135

précisions sur le "Strike Group Stennis"

Article lié : Notre chronique régulière de l’attaque-surprise : plutôt next year à Téhéran

Antoine

  10/02/2007

Les navires qui escortent le USS Stennis sont (liste non exhaustive) le croiseur lance-missiles Antietam (CG 54) le destroyer lance-missiles Preble (DDG 88). Le groupe a été rejoint par les destroyers O’Kane (DDG 77) et Paul Hamilton (DDG 60). 2 sous marins ?

Tout ceci en sus des forces déjà déployées.

Pour la surprise on multipliera les messages contradictoires et les fausses alertes. A moins que GWB ne nous donne des infos.

Universities register for virtual future

Article lié :

MarkDerter

  10/02/2007


Discussion Universities register for virtual future
SAN FRANCISCO—If you want to know what higher education will look like in a few years, you might ask Charles Reed, chancellor of the largest four-year university system in the United States.
As head of the California State University system—with 23 campuses, 46,000 employees and more than 400,000 students—Reed says he’s worried about classroom space in the future because of, among other reasons, expanding enrollment.
Consequently, Reed said he envisions students becoming more like telecommuters. They might meet with faculty and peers one day a week on campus, and then use simulations, virtual worlds and downloaded information the rest of the week to complete coursework.
“It’s not an either-or thing. We need the ‘high touch,’ but we need the high tech at the same time,” Reed said Tuesday at Sun Microsystem’s Worldwide Education and Research Conference here.
The three-day conference kicked off Tuesday to a packed hotel ballroom of roughly 400 attendees hailing from universities around the world. Sun devoted a large part of the day to selling educators on its open-source technology for classroom computing. Sun Chairman Scott McNealy himself promoted a range of Sun efforts, including Project Blackbox, which creates data centers packaged in stackable shipping containers, and Curriki.org, which focuses on creating free curriculum in the mold of Wikipedia.
“Technology has to play a huge role in education. (It’s) changed commerce…publishing…banking. It’s got to change education big time,” McNealy said during a keynote speech.
Virtual worlds are already beginning to change higher education, according to several educators.
For example, more than 70 universities have built island campuses in Second Life, according to Stuart Sim, CTO and chief architect of Moodlerooms, which builds structures in virtual worlds and offers course management software. Sim said his company is currently developing tools to help universities better manage students and courses delivered in Second Life. That way, universities can have an application to control adding or removing a student avatar to the island campus, he said. The project is dubbed Sloodle.com.
Gerri Sinclair, executive director of the master’s degree program for digital media at the Great Northern Way Campus in Vancouver, Canada, said her group is building a Second Life virtual campus alongside its physical one. “Our students are digital natives, and they don’t want to be reached in traditional ways. So we’re creating a virtual campus as we’re building our real campus,” Sinclair said.
Jane Kagon, director of UCLA’s Extension Department of Entertainment Studies and Performing Arts, also announced during the conference that the university has opened a Second Life island for its digital-film students.
“It’s an interesting time” to be part of gaming, noted Chris Melissinos, Sun’s chief gaming officer. “There’s an opportunity to grab this technology and new modes of communication and use them for a greater purpose.”
In that vein, Melissinos discussed Sun’s Project Darkstar, which is designed to help developers of online games via server-side technology. With this technology, developers can create multiplayer online games that can be run on any game device, he said. Sun plans to demonstrate the technology at a game conference next month and will offer a free license for it to schools and universities, he said.
Still, there are downsides to mixing virtual worlds and education. For example, Sinclair said that her school held a seminar in Second Life and an avatar entered the room and began shooting at all the other avatars. “We didn’t know if we should duck,” she said. An administrator in the seminar left the room and figured out how to ban the offender.
Melissinos said Sun is working on open-source client-side software, called Project Wonderland, so developers can build applications on top of its server-side software. That presumably could solve security issues.
“We wouldn’t do business in Second Life there because it is insecure. That (security is) necessary for education, too,” Melissinos said.
Ultimately, Reed said, he cannot talk about where education is headed without talking about the future of technology because “it’s shaping how we reach out to students and team (with) them in every way,” he said.
The California State University system, for example, plans to finish in 2008 a new so-called common management system, which will combine financial information, human resources and student services for all 23 campuses on one network. It will let students and faculty access information from any location.
CSU also has systems in place for admission applications, teacher training and college prep tools. Reed said that schools’ biggest challenges are in keeping costs down, getting teachers and students linked on the systems, updating outdated technology and keeping the system secure. For example, he said CSU gets as many as 100,000 hits a day from hackers trying to access personal, financial data on students and faculty in its system.
“Many of the challenges we face today,” he said, “are similar to ones the rest of the country’s universities will face in the next 8 to 10 years.”
It would be desirable to hear your opinions under this clause ???
Thanks
Source -  http://www.lawyeir.com

La republique tcheque et le radar

Article lié : Choix sous pression et sans surprise

Gael Fraiteur

  09/02/2007

Dobry den pane dedefanso,

Cela signifie dans la langue de mon pays de residence: bonjour monsieur dedefensa.

Je suis toujours etonne de lire que le projet de radar americain est deja ficele et signe. Or ici, il est bien clair que la question n’est pas close.

On parle de discussions entre les gouvernements tcheque et etatsunien et certains medias etrangers presentent la chose comme reglee.

Ce ne me semble pas vraisemblable. La base americaine doit etre soustraite a l’autorite nationale tcheque. Mais l’article 11 de la constitution stipule que “le territoire de la republique tcheque forme un ensemble indissociable dont les frontieres ne peuvent etre changees que par une loi constitutionelle” (ma propre traduction approximative). Je ne suis juriste, encore moins le Delperee tcheque, mais cela semble signifier le recours obligatoire au parlement. L’article 39 definit qu’une loi constitutionelle requiert 3/5 des voix dans les deux chambres.

Meme si je me trompe dans mon interpretation de la constitution, il me semble que cette decision n’est pas entre les mains de ministres mais des parlementaires…

Voila pourquoi je ne comprends pas l’empressement des medias ou des ministeres…

Sinceres salutations,

Gael Fraiteur

réponse à Fred

Article lié : Des hélicoptères et des hommes : la question des pertes US prend de l’importance

Grizzli

  09/02/2007

En fait ce seraient des missiles “Stinger” américains, en provenance des anciens alliés des USA en Afghanistan, Ben Landen & Co . Pour rappel, ce sont des Sunnites, lesquels ne s’entendent pas avec avec les Chiites (les Iraniens).

Pour la paix “tranquillement” entre ces deux communautés d’Irak (Chiites et Sunnites), c’est trop tard. Merci Bush ! C’est à lui qu’on devrait casser la gueule. -Pour reprendre vos termes délicats et votre analyse subtile-